996 resultados para Dts (Double-Tube-Socket)
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The stability of the Hagen-Poiseuille flow of a Newtonian fluid in a tube of radius R surrounded by an incompressible viscoelastic medium of radius R < r < HR is analysed in the high Reynolds number regime. The dimensionless numbers that affect the fluid flow are the Reynolds number Re = (ρVR / η), the ratio of the viscosities of the wall and fluid ηr = (ηs/η), the ratio of radii H and the dimensionless velocity Γ = (ρV2/G)1/2. Here ρ is the density of the fluid, G is the coefficient of elasticity of the wall and Vis the maximum fluid velocity at the centre of the tube. In the high Reynolds number regime, an asymptotic expansion in the small parameter ε = (1/Re) is employed. In the leading approximation, the viscous effects are neglected and there is a balance between the inertial stresses in the fluid and the elastic stresses in the medium. There are multiple solutions for the leading-order growth rate do), all of which are imaginary, indicating that the fluctuations are neutrally stable, since there is no viscous dissipation of energy or transfer of energy from the mean flow to the fluctruations due to the Reynolds strees. There is an O(ε1/2) correction to the growth rate, s(1), due to the presence of a wall layer of thickness ε1/2R where the viscous stresses are O(ε1/2) smaller than the inertial stresses. An energy balance analysis indicates that the transfer of energy from the mean flow to the fluctuations due to the Reynolds stress in the wall layer is exactly cancelled by an opposite transfer of equal magnitude due to the deformation work done at the interface, and there is no net transfer from the mean flow to the fluctuations. Consequently, the fluctuations are stabilized by the viscous dissipation in the wall layer, and the real part of s(1) is negative. However, there are certain values of Γ and wavenumber k where s(l) = 0. At these points, the wail layer amplitude becomes zero because the tangential velocity boundary condition is identically satisfied by the inviscid flow solution. The real part of the O(ε) correction to the growth rate s(2) turns out to be negative at these points, indicating a small stabilizing effect due to the dissipation in the bulk of the fluid and the wall material. It is found that the minimum value of s(2) increases [is proportional to] (H − 1)−2 for (H − 1) [double less-than sign] 1 (thickness of wall much less than the tube radius), and decreases [is proportional to] (H−4 for H [dbl greater-than sign] 1. The damping rate for the inviscid modes is smaller than that for the viscous wall and centre modes in a rigid tube, which have been determined previously using a singular perturbation analysis. Therefore, these are the most unstable modes in the flow through a flexible tube.
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Materials with nonlinear optical properties are much sought after for ultrafast photonic applications. Mode-locked lasers can generate ultrafast pulses using saturable absorbers[1]. Currently, the dominant technology is based on semiconductor saturable absorber mirrors (SESAMs). However, narrow tuning range (tens of nm), complex fabrication and packaging limit their applications[2]. Single wall nanotubes (SWNTs) and graphene offer simpler and cost-effective solutions[1]. Broadband operation can be achieved in SWNTs using a distribution of tube diameters[1,3], or by using graphene[4-8], due to the gapless linear dispersion of Dirac electrons[8,9]. © 2011 IEEE.
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PURPOSE: To report a new technique to correct tube position in anterior chamber after glaucoma drainage device implantation.
PATIENT AND METHODS: A patient who underwent a glaucoma drainage device implantation was noted to have the tube touching the corneal endothelium. A 10/0 polypropylene suture with double-armed 3-inch long straight needle was placed transcamerally from limbus to limbus, in the superior part of the eye, passing the needle in front of the tube.
RESULTS: The position of the tube in the anterior chamber was corrected with optimal distance from corneal endothelium and iris surface. The position remained satisfactory after 20 months of follow-up.
CONCLUSIONS: The placement of a transcameral suture offers a safe, quick, and minimal invasive intervention for the correction of the position of a glaucoma drainage device tube in the anterior chamber.
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Tese de doutoramento, Biologia (Biologia do Desenvolvimento), Universidade de Lisboa, Faculdade de Ciências, 2015
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Les anomalies du tube neural (ATN) sont des malformations congénitales très fréquentes chez l’humain en touchant 1-2 nouveau-nés sur 1000 naissances. Elles résultent d’une fermeture incomplète du tube neural lors de l’embryogenèse. L’étiologie des ATN est complexe impliquant des facteurs environnementaux et des facteurs génétiques. La souris représente un outil puissant afin de mieux comprendre la génétique des ATN. Particulièrement, la souris modèle a impliqué fortement la voie de la polarité cellulaire planaire (PCP) dans ces malformations. Dans cette étude, nous avons identifié et caractérisé une nouvelle souris mutante, Skam26Jus dans le but d’identifier un nouveau gène causant les ATN. Skam26Jus a été générée par l’agent mutagène N-Ethyl-N-Nitrosuera. Cette souris est caractérisée par une queue en forme de boucle ou de crochet, soit un phénotype associé aux ATN. La complémentation génétique de la souris Skam26Jus avec une souris mutante d’un gène de la voie PCP Vangl2 (Looptail) a montré une interaction génétique entre le gène muté chez Skam26Jus et Vangl2, suggérant que ces deux gènes fonctionnent dans des voies de signalisation semblables ou parallèles. Un total de 50% des embryons doubles hétérozygotes avec un phénotype de la queue présentent un spina bifida. La cartographie par homozygotie du génome entier suivie par un clonage positionnel a permis d’identifier Lrp6 comme le gène muté chez Skam26Jus. Une mutation homozygote, p.Ile681Arg, a été identifiée dans Lrp6 chez les souris ayant une queue en boucle/crochet. Cette mutation était absente dans 30 souches génétiques pures indiquant que cette mutation est spécifique au phénotype observé. Une étude de phénotype-génotype évalue la pénétrance à 53 % de la mutation Ile681Arg. Lrp6 est connu pour activer la voie canonique Wnt/β-caténine et inhiber la voie non canonique Wnt/PCP. Le séquençage de la région codante et de la jonction exon-intron de LRP6 chez 268 patients a mené à l’identification de quatre nouvelles rares mutations faux sens absentes chez 272 contrôles et de toutes les bases de données publiques. Ces mutations sont p.Tyr306His ; p.Tyr373Cys ; p.Val1386Ile; p.Tyr1541Cys et leur pathogénicité prédite in silico indiquent que p.Val1386Ile est bénigne, et que p.Tyr306Hiset p.Tyr373Cys et p.Tyr1541Cys sont i possiblement dommageables. Les mutations p.Tyr306His, p.Tyr373Cys et p.Tyr1541Cys ont affecté l’habilité de LRP6 d’activer la voie Wnt/β-caténine en utilisant le système rapporteur luciférase de pTOPflash. Nos résultats suggèrent que LRP6 joue un rôle dans le développement des ATN chez une petite fraction de patients ayant une ATN. Cette étude présente aussi Skam26Jus comme un nouveau modèle pour étudier les ATN chez l’humain et fournit un outil important pour comprendre les mécanismes moléculaires à l’origine des A TN.
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L’auto-incompatibilité (AI) est une barrière reproductive prézygotique qui permet aux pistils d’une fleur de rejeter leur propre pollen. Les systèmes d’AI peuvent prévenir l’autofertilisation et ainsi limiter l’inbreeding. Dans l’AI gamétophytique, le génotype du pollen détermine son propre phénotype d’incompatibilité, et dans ce système, les déterminants mâles et femelles de l’AI sont codés par un locus multigénique et multi-allélique désigné le locus S. Chez les Solanaceae, le déterminant femelle de l’AI est une glycoprotéine stylaire extracellulaire fortement polymorphique possédant une activité ribonucléase et désignée S-RNase. Les S-RNases montrent un patron caractéristique de deux régions hypervariables (HVa et HVb), responsables de leur détermination allélique, et cinq régions hautement conservées (C1 à C5) impliquées dans l’activité catalytique ou la stabilisation structurelle de ces protéines. Dans ce travail, nous avons investigué plusieurs caractéristiques des S-RNases et identifié un nouveau ligand potentiel aux S-RNases chez Solanum chacoense. L’objectif de notre première étude était l’élucidation du rôle de la région C4 des S-RNases. Afin de tester l’hypothèse selon laquelle la région C4 serait impliquée dans le repliement ou la stabilité des S-RNases, nous avons généré un mutant dans lequel les quatre résidus chargés présents en région C4 furent remplacés par des résidus glycine. Cette protéine mutante ne s’accumulant pas à des niveaux détectables, la région C4 semble bien avoir un rôle structurel. Afin de vérifier si C4 est impliquée dans une liaison avec une autre protéine, nous avons généré le mutant R115G, dans lequel un acide aminé chargé fût éliminé afin de réduire les affinités de liaison dans cette région. Ce mutant n’affectant pas le phénotype de rejet pollinique, il est peu probable que la région C4 soit impliquée dans la liaison des S-RNases avec un ligand ou leur pénétration à l’intérieur des tubes polliniques. Enfin, le mutant K113R, dans lequel le seul résidu lysine conservé parmi toutes les S-RNases fût remplacé par un résidu arginine, fût généré afin de vérifier si cette lysine était un site potentiel d’ubiquitination des S-RNases. Toutefois, la dégradation des S-RNases ne fût pas inhibée. Ces résultats indiquent que C4 joue probablement un rôle structurel de stabilisation des S-RNases. Dans une seconde étude, nous avons analysé le rôle de la glycosylation des S-RNases, dont un site, en région C2, est conservé parmi toutes les S-RNases. Afin d’évaluer la possibilité que les sucres conjugués constituent une cible potentielle d’ubiquitination, nous avons généré une S11-RNase dont l‘unique site de glycosylation en C2 fût éliminé. Ce mutant se comporte de manière semblable à une S11-RNase de type sauvage, démontrant que l’absence de glycosylation ne confère pas un phénotype de rejet constitutif du pollen. Afin de déterminer si l’introduction d’un sucre dans la région HVa de la S11-RNase pourrait affecter le rejet pollinique, nous avons généré un second mutant comportant un site additionnel de glycosylation dans la région HVa et une troisième construction qui comporte elle aussi ce nouveau site mais dont le site en région C2 fût éliminé. Le mutant comportant deux sites de glycosylation se comporte de manière semblable à une S11-RNase de type sauvage mais, de manière surprenante, le mutant uniquement glycosylé en région HVa peut aussi rejeter le pollen d’haplotype S13. Nous proposons que la forme non glycosylée de ce mutant constitue un allèle à double spécificité, semblable à un autre allèle à double spécificité préalablement décrit. Il est intéressant de noter que puisque ce phénotype n’est pas observé dans le mutant comportant deux sites de glycosylation, cela suggère que les S-RNases ne sont pas déglycosylées à l’intérieur du pollen. Dans la dernière étude, nous avons réalisé plusieurs expériences d’interactions protéine-protéine afin d’identifier de potentiels interactants polliniques avec les S-RNases. Nous avons démontré que eEF1A, un composant de la machinerie de traduction chez les eucaryotes, peut lier une S11-RNase immobilisée sur résine concanavaline A. Des analyses de type pull-down utilisant la protéine eEF1A de S. chacoense étiquetée avec GST confirment cette interaction. Nous avons aussi montré que la liaison, préalablement constatée, entre eEF1A et l’actine est stimulée en présence de la S11-RNase, bien que cette dernière ne puisse directement lier l’actine. Enfin, nous avons constaté que dans les tubes polliniques incompatibles, l’actine adopte une structure agrégée qui co-localise avec les S-RNases. Ces résultats suggèrent que la liaison entre eEF1A et les S-RNases pourrait constituer un potentiel lien fonctionnel entre les S-RNases et l’altération du cytosquelette d’actine observée lors des réactions d’AI. Par ailleurs, si cette liaison est en mesure de titrer les S-RNases disponibles à l’intérieur du tube pollinique, ce mécanisme pourrait expliquer pourquoi des quantités minimales ou « seuils » de S-RNases sont nécessaires au déclenchement des réactions d’AI.
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Les anomalies du tube neural (ATN) sont des malformations congénitales parmi les plus fréquentes chez l’humain en touchant 1-2 nouveau-nés par 1000 naissances. Elles résultent d’un défaut de fermeture du tube neural pendant l’embryogenèse. Les formes les plus courantes d'ATN chez l'homme sont l'anencéphalie et le spina-bifida. Leur étiologie est complexe impliquant à la fois des facteurs environnementaux et des facteurs génétiques. Un dérèglement dans la signalisation Wnt, incluant la signalisation canonique Wnt/β-caténine et non-canonique de la polarité planaire cellulaire (PCP), peut causer respectivement le cancer ou les anomalies du tube neural (ATN). Les deux voies semblent s’antagoniser mutuellement. Dans cette étude, nous investiguons les rôles de Lrp6 et deANKRD6, entant qu’interrupteurs moléculaires entre les deux voies de signalisation Wnt, et CELSR1, en tant que membre de la PCP, chez la souris mutante Skax26m1Jus, générée par l’agent mutagène N-Ethyl-N-Nitrosuera, et dans une cohorte de patients humains ATN. Pour Lrp6, nous avons démontré que Skax26m1Jus représente un allèle hypermorphe de Lrp6 avec une augmentation de l’activité de la signalisation Wnt/canonique et une diminution de l’activité JNK induite par la voie PCP. Nous avons également montré que Lrp6Skax26m1Jus interagit génétiquement avec un mutant PCP (Vangl2Lp) où les doubles hétérozygotes ont montré une fréquence élevée d’ATN et des défauts dans la polarité des cellules ciliées de la cochlée. Particulièrement, notre étude démontre l'association des nouvelles et rares mutations faux-sens dans LRP6 avec les ATN humaines. Nous montrons que trois mutations de LRP6 causent une activité canonique réduite et non-canonique élevée. Pour ANKRD6, nous avons identifié quatre nouvelles et rares mutations faux-sens chez 0,8% des patients ATN et deux chez 1,3% des contrôles. Notamment, seulement deux, des six mutations validées (p.Pro548Leu et p.Arg632His) ont démontré un effet significatif sur l’activité de ANKRD6 selon un mode hypomorphique. Pour CELSR1, nous avons identifié une mutation non-sens dans l'exon 1 qui supprime la majeure partie de la protéine et une délétionde 12 pb. Cette perte de nucléotides ne change pas le cadre de lecture et élimine un motif putatif de phosphorylation par la PKC " SSR ". Nous avons également détecté un total de 13 nouveaux et rares variants faux-sens qui avaient été prédits comme étant pathogènes in silico. Nos données confirment le rôle inhibiteur de Lrp6 dans la signalisation PCP pendant la neurulation et indiquent aussi que les mutations faux-sens identifiées chez LRP6 et ANKRD6 pourraient affecter un équilibre réciproque et un antagonisme très sensible à un dosage précis entre les deux voies Wnt. Ces variants peuvent aussi agir comme facteurs prédisposants aux ATN. En outre, nos résultats impliquent aussi CELSR1 comme un facteur de risque pour les anomalies du tube neural ou l’agénésie caudale. Nos résultats fournissent des preuves supplémentaires que la voie de signalisation PCP a un rôle pathogène dans ces malformations congénitales et un outil important pour mieux comprendre leurs mécanismes moléculaires.
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Les anomalies du tube neural (ATN) sont des anomalies développementales où le tube neural reste ouvert (1-2/1000 naissances). Afin de prévenir cette maladie, une connaissance accrue des processus moléculaires est nécessaire. L’étiologie des ATN est complexe et implique des facteurs génétiques et environnementaux. La supplémentation en acide folique est reconnue pour diminuer les risques de développer une ATN de 50-70% et cette diminution varie en fonction du début de la supplémentation et de l’origine démographique. Les gènes impliqués dans les ATN sont largement inconnus. Les études génétiques sur les ATN chez l’humain se sont concentrées sur les gènes de la voie métabolique des folates du à leur rôle protecteur dans les ATN et les gènes candidats inférés des souris modèles. Ces derniers ont montré une forte association entre la voie non-canonique Wnt/polarité cellulaire planaire (PCP) et les ATN. Le gène Protein Tyrosine Kinase 7 est un membre de cette voie qui cause l’ATN sévère de la craniorachischisis chez les souris mutantes. Ptk7 interagit génétiquement avec Vangl2 (un autre gène de la voie PCP), où les doubles hétérozygotes montrent une spina bifida. Ces données font de PTK7 comme un excellent candidat pour les ATN chez l’humain. Nous avons re-séquencé la région codante et les jonctions intron-exon de ce gène dans une cohorte de 473 patients atteints de plusieurs types d’ATN. Nous avons identifié 6 mutations rares (fréquence allélique <1%) faux-sens présentes chez 1.1% de notre cohorte, dont 3 sont absentes dans les bases de données publiques. Une variante, p.Gly348Ser, a agi comme un allèle hypermorphique lorsqu'elle est surexprimée dans le modèle de poisson zèbre. Nos résultats impliquent la mutation de PTK7 comme un facteur de risque pour les ATN et supporte l'idée d'un rôle pathogène de la signalisation PCP dans ces malformations.
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A macroscopically oriented double diamond inverse bicontinuous cubic phase (QIID) of the lipid glycerol monooleate is reversibly converted into a gyroid phase (QIIG). The initial QIID phase is prepared in the form of a film coating the inside of a capillary, deposited under flow, which produces a sample uniaxially oriented with a ⟨110⟩ axis parallel to the symmetry axis of the sample. A transformation is induced by replacing the water within the capillary tube with a solution of poly(ethylene glycol), which draws water out of the QIID sample by osmotic stress. This converts the QIID phase into a QIIG phase with two coexisting orientations, with the ⟨100⟩ and ⟨111⟩ axes parallel to the symmetry axis, as demonstrated by small-angle X-ray scattering. The process can then be reversed, to recover the initial orientation of QIID phase. The epitaxial relation between the two oriented mesophases is consistent with topologypreserving geometric pathways that have previously been hypothesized for the transformation. Furthermore, this has implications for the production of macroscopically oriented QIIG phases, in particular with applications as nanomaterial templates.
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The launch of the Double Star mission has provided the opportunity to monitor events at distinct locations on the dayside magnetopause, in coordination with the quartet of Cluster spacecraft. We present results of two such coordinated studies. In the first, 6 April 2004, both Cluster and the Double Star TC-1 spacecraft were on outbound transits through the dawn-side magnetosphere. Cluster observed northward moving FTEs with +/- polarity, whereas TC-1 saw -/+ polarity FTEs. The strength, motion and occurrence of the FTE signatures changes somewhat according to changes in IMF clock angle. These observations are consistent with ongoing reconnection on the dayside magnetopause, resulting in a series of flux transfer events (FTEs) seen both at Cluster and TC-1. The observed polarity and motion of each FTE signature advocates the existence of an active reconnection region consistently located between the positions of Cluster and TC-1, lying north and south of the reconnection line, respectively. This scenario is supported by the application of a model, designed to track flux tube motion, to conditions appropriate for the prevailing interplanetary conditions. The results from the model confirm the observational evidence that the low-latitude FTE dynamics is sensitive to changes in convected upstream conditions. In particular, changing the interplanetary magnetic field (IMF) clock angle in the model predicts that TC-1 should miss the resulting FTEs more often than Cluster, as is observed. For the second conjunction, on the 4 Jan 2005, the Cluster and TC-1 spacecraft all exited the dusk-side magnetosphere almost simultaneously, with TC-1 lying almost equatorial and Cluster at northern latitudes at about 4 RE from TC-1. The spacecraft traverse the magnetopause during a strong reversal in the IMF from northward to southward and a number of magnetosheath FTE signatures are subsequently observed. One coordinated FTE, studied in detail by Pu et al, [this issue], carries and inflowing energetic electron population and shows a motion and orientation which is similar at all spacecraft and consistent with the predictions of the model for the flux tube dynamics, given a near sub-solar reconnection line. This event can be interpreted either as the passage of two parallel flux tubes arising from adjacent x-line positions, or as a crossing of a single flux tube at different positions.
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The recent launch of the equatorial spacecraft of the Double Star mission, TC-1, has provided an unprecedented opportunity to monitor the southern hemisphere dayside magnetopause boundary layer in conjunction with northern hemisphere observations by the quartet of Cluster spacecraft. We present first results of one such situation where, on 6 April 2004, both Cluster and the Double Star TC-1 spacecraft were on outbound transits through the dawnside magnetosphere. The observations are consistent with ongoing reconnection on the dayside magnetopause, resulting in a series of flux transfer events (FTEs) seen both at Cluster and TC-1, which appear to lie north and south of the reconnection line, respectively. In fact, the observed polarity and motion of each FTE signature advocates the existence of an active reconnection region consistently located between the positions of Cluster and TC-1, with Cluster observing northward moving FTEs with +/− polarity, whereas TC-1 sees −/+ polarity FTEs. This assertion is further supported by the application of a model designed to track flux tube motion for the prevailing interplanetary conditions. The results from this model show, in addition, that the low-latitude FTE dynamics are sensitive to changes in convected upstream conditions. In particular, changing the interplanetary magnetic field (IMF) clock angle in the model suggests that TC-1 should miss the resulting FTEs more often than Cluster and this is borne out by the observations.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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When a T-loop is used in segmental mechanics, it is generally attached posteriorly to an auxiliary tube in the first molars and anteriorly to a crimpable cross tube or a Burstone canine bracket. This article illustrates the use of a crimpable tube with a 90-degree bend on the base wire to secure a T-loop in segmental retraction. Both of these approaches allow a T-loop to be reactivated in a simple manner without undesirable changes in the system of forces, which could happen if the T-loop is skewed posteriorly.
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To assess the long-term results of double bicanalicular silicone tubes in canalicular (presaccal) stenosis of the nasolacrimal duct system, a retrospective follow-up was performed on patients operated between 1992 and 2002. Forty-five patients were included in the study, 44 of whom had eyes with canalicular stenosis (primary dacryocystorhinostomy), 4 with congenital agenesis of the lacrimal duct system, and 3 cases after primary external dacryocystorhinostomy. Double bicanalicular silicone tubes were inserted, fixed in the vestibulum nasi, and left in place as long-term space holders. Of the 51 endonasal primary dacryocystorhinostomies with canalicular stenosis, 32 (63%) became symptom-free after one procedure. Nineteen (37%) patients had a relapse. Double silicone bicanalicular tube insertion as long-term spacers in canalicular stenoses has a number of advantages, but canalicular stenoses still remain a challenging area.
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BACKGROUND Antifibrinolytics have been used for 2 decades to reduce bleeding in cardiac surgery. MDCO-2010 is a novel, synthetic, serine protease inhibitor. We describe the first experience with this drug in patients. METHODS In this phase II, double-blind, placebo-controlled study, 32 patients undergoing isolated primary coronary artery bypass grafting with cardiopulmonary bypass were randomly assigned to 1 of 5 increasing dosage groups of MDCO-2010. The primary aim was to evaluate pharmacokinetics (PK) with assessment of plasmatic concentrations of the drug, short-term safety, and tolerance of MDCO-2010. Secondary end points were influence on coagulation, chest tube drainage, and transfusion requirements. RESULTS PK analysis showed linear dosage-proportional correlation between MDCO-2010 infusion rate and PK parameters. Blood loss was significantly reduced in the 3 highest dosage groups compared with control (P = 0.002, 0.004 and 0.011, respectively). The incidence of allogeneic blood product transfusions was lower with MDCO-2010 4/24 (17%) vs 4/8 (50%) in the control group. MDCO-2010 exhibited dosage-dependent antifibrinolytic effects through suppression of D-dimer generation and inhibition of tissue plasminogen activator-induced lysis in ROTEM analysis as well as anticoagulant effects demonstrated by prolongation of activated clotting time and activated partial thromboplastin time. No systematic differences in markers of end organ function were observed among treatment groups. Three patients in the MDCO-2010 groups experienced serious adverse events. One patient experienced intraoperative thrombosis of venous grafts considered possibly related to the study drug. No reexploration for mediastinal bleeding was required, and there were no deaths. CONCLUSIONS This first-in-patient study demonstrated dosage-proportional PK for MDCO-2010 and reduction of chest tube drainage and transfusions in patients undergoing primary coronary artery bypass grafting. Antifibrinolytic and anticoagulant effects were demonstrated using various markers of coagulation. MDCO-2010 was well tolerated and showed an acceptable initial safety profile. Larger multi-institutional studies are warranted to further investigate the safety and efficacy of this compound.