32 resultados para Divinités guerrières
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Fragment 3 : Col. 1 : quelques signes appartenant au chapitre 18 (?).Col. 2 + vignette : chapitre 18. La vignette devait contenir trois divinités assises.Col. 3 + vignette : chapitre 18. Trois divinités assises dans la vignette.Fragment 2 :col. 1 : chapitre 18.Col. 2 + vignette : chapitre 21 (formule pour donner au défunt sa bouche dans la nécropole). La vignette montre le défunt officiant devant Osiris.Col. 3 + vignette : chapitre 23 (formule pour ouvrir au défunt sa bouche dans la nécropole). La vignette montre le défunt debout en train d'officier, le reste est perdu.Fragment 1 :Col 1 + vignette (très fragmentaires) : chapitre 24 (formule pour apporter la puissance magique au défunt dans la nécropole). La vignette laisse encore voir le défunt suivi d'un personnage qui porte un sistre (?).Col. 2 + vignette : chapitre 25 (formule pour faire l'évocation du nom du défunt à son avantage dans la nécropole). La vignette, lacunaire, représente le défunt debout.Col. 3 + vignette : chapitre 26 (formule pour donner un esprit au défunt pour son usage dans la nécropole). La vignette représente le défunt accroupi en adoration devant l'oiseau-ba.Col. 4 + vignette : chapitre 27 (formule pour empêcher qu'on enlève au défunt son coeur dans la nécropole). La vignette, lacunaire, laisse encore voir trois divinités assises.
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Fragment 2 :Col. 1 + vignette : chapitre 66 (?). La vignette montre le défunt debout.Col. 2 + vignette : chapitre 68 (formule pour sortir au jour). La vignette montre le défunt en adoration devant Hathor se tenant dans une chapelle.Col. 3 + vignette : chapitre 72 (formule pour sortir au jour et ouvrir la grotte). La vignette montre le défunt en adoration devant deux divinités assises.Fragment 1 :Col. 1 (très fragmentaire) : la vignette laisse voir un fourré de jonc qui correspond probablement au chapitre 75 (formule pour se rendre à Héliopolis et y prendre place).Col. 2 + vignette : chapitre 77 (formule pour acquérir la forme d'un faucon d'or). La vignette montre un faucon sur le signe de l'or.Col. 3 + vignette : chapitre 78 (formule pour acquérir la forme d'un faucon divin). La vignette montre un faucon sur le signe de l'infini.Col. 4 + vignette : chapitre 79 (formule pour faire partie de la corporation des dieux). Le défunt est debout devant trois figures divines armées du sceptre-ouas.Col. 5 + vignette : chapitre 81A (formule pour acquérir la forme d'un lotus). La vignette montre une tête humaine émergeant d'une fleur de lotus.Col. 6 + vignette : chapitre 83 (formule pour acquérir la forme d'un phénix). La vignette montre un phénix sous les traits d'un héron.Col. 7 + vignette (fragmentaires) : chapitre 82 (?) d'après la vignette qui semble représenter une statue de Ptah (formule pour acquérir la forme de Ptah).
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Fragment 2 :Col. 1 + vignette : chapitre 98 (formule pour aller chercher le bac dans le ciel). La vignette montre une divinité assise dans la barque solaire.Col. 2 + vignette : chapitre 100 (livre pour rendre parfait un bienheureux et permettre qu'il descende dans la barque de Rê avec Ceux qui sont dans sa suite). La vignette montre le défunt sur une barque solaire avec un phénix. Osiris est debout à droite de la barque.Col. 3 + vignette : chapitre 108 (formule pour connaître les bas des Occidentaux). La vignette montre le défunt en adoration devant deux divinités assises et un serpent.Fragment 1 :Col. 1 + vignette : chapitre 109 (?) (formule pour connaître les bas des Orientaux). La vignette montre une barque solaire avec une vache, une divinité à tête de faucon coiffée d'un disque solaire et du signe divin et une divinité à tête de saurien.Col. 2 : scène figurée du chapitre 110 représentant les champs de souchets dans l'au-delà.
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Col. 1, x+ 1-10 et vignette : chapitre 25, titre en lacune ("Formule pour faire que le défunt se souvienne de son nom dans la nécropole"). La vignette montre le défunt officiant devant un double de lui-même.Col. 1, x+11-22 et vignette : chapitre 26 avec titre rubriqué : "Formule pour lui donner son coeur dans la nécropole". La vignette montre le défunt accroupi devant l'oiseau-ba.Col. 2, x+1-13 et vignette : chapitre 27 avec titre en lacune (Formule pour empêcher que l'on retire le coeur d'un homme de son contrôle dans la nécropole). La vignette montre le défunt accroupi devant quatre divinités assises.Col. 2, x+14-22 et vignette : chapitre 30 avec titre rubriqué : "Formule pour empêcher que le coeur du défunt ne s'oppose à lui dans la nécropole". La vignette montre le défunt en adoration devant un scarabée (de coeur).Col. 3 et vignette : chapitre 42 avec titre en lacune ("Formule pour éviter le massacre qui se déroule dans Néninésou). La vignette montre le défunt transperçant un serpent.Col. 4, x+1-10 et vignette : chapitre 43 avec titre en lacune ("Formule pour empêcher qu'on ne tranche la tête d'un homme dans la nécropole"). La vignette montre le défunt debout devant trois têtes.Col. 4, x+11-22 et vignette : chapitre 44 avec titre rubriqué : "Formule pour ne pas mourir de nouveau dans la nécropole". On voit le défunt entrer dans une chapelle.
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Colonne 1 : trois vignettes sur trois registres. Sur la vignette supérieure, on voit le défunt en adoration devant Khépri, forme du dieu solaire, qui se trouve sur la barque solaire. La vignette du milieu montre le défunt en adoration devant Osiris assis sur son trône et assisté de Isis. La dernière vignette montre le défunt en adoration devant deux divinités assises, qui symbolisent l'Ennéade.Col. 2, x+1-11 et vignette : chapitre 111 (=108) avec titre en lacune ("Formule pour connaître les âmes de l'Occident"). La vignette montre le défunt en adoration devant deux divinité à tête de faucon.Col. 2, x+12-20 : chapitre 114 avec titre rubrique : "Formule pour connaître les âmes d'Hermopolis". La vignette montre le défunt devant Thot et une table d'offrandes.Col. 3, 1-10 et vignette : chapitre 117 avec titre rubriqué : "Formule (pour s'engager dans les chemins de Rosetchaou)". La vignette montre le défunt s'inclinant, le dos tourné vers une butte. Col. 3, 11-19 et vignette : chapitre 118 avec titre rubriqué : "Formule pour atteindre Rosetchaou". La vignette montre le défunt s'inclinant.Col. 4, 1-12 et vignette : chapitre 119 avec titre rubriqué : "Formule pour sortir de (Rosetchaou)". La vignette montre le défunt debout tourné vers la droite.Col. 4, 13-21 et vignette : chapitre 120 (=12) avec titre rubriqué : "Formule pour entrer et sortir de Rosetchaou". La vignette montre le défunt face à lui-même.Col. 5, 1-30 : début du chapitre 125, déclaration d'innocence.
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Scène initiale : vignettes du chapitre 16, sur quatre registres. Au registre inférieur, on voit le défunt coiffé d'un cône d'encens accompagné de son épouse ; ils sont tous les deux assis. Au deuxième registre, le disque solaire émergeant du Noun est adoré par quatre babouins. Au troisième régistre, deux déesses symbolisant l'Orient et l'Occident adorent le disque solaire, lequel est surmonté d'une barque où sont assises plusieurs divinités. Enfin, le registre supérieur, lacunaire, laisse deviner le défunt accomplissant un acte de piété.Colonnes de texte :Colonnes 1 à 5 : chapitre 18. Chaque séquence est surmontée d'une vignette présentant le défunt en adoration devant quatre divinités.Col. 6, lignes x+ 1-7 et vignette (fragmentaire) : chapitre 21, titre en lacune ("Formule pour donner une bouche au défunt"). On voit le défunt officier devant une divinité assise.Col. 6, l. x+8-22 et vignette : chapitre 23, avec titre rubriqué : "Formule pour ouvrir la bouche d'un homme pour son usage dans la nécropole". Le vignette montre le défunt officier devant un double de lui-même.
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Colonne de texte :l. x+1-7 et vignette : chapitre 104 avec titre en lacune ("Formule pour s'asseoir entre les grands dieux"). La vignette représente le défunt agenouillé devant trois divinités assises.l. x+8-20 et vignette : chapitre 105 avec titre rubriqué : "Formule pour apaiser le ka d'un homme à son usage dans la nécropole". Sur la vignette, on voit le défunt adorant le signe du ka sur une enseigne, rempli d'offrandes.Scène figurée : il s'agit du chapitre 110 où l'on voit le défunt se livrer à diverses occupations, notamment agricoles dans le champ des souchets.
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Grande scène au trait correspondant au chapitre 148. On voit le défunt en adoration devant Osiris Khentyimentyou accompagnée de la déesse de l'Occident, puis sept vaches et un taureau, quatre avirons et quatre groupes de trois divinités momiformes.Colonnes de texte :Col. 1, 1-11 et vignette : chapitre 155 avec titre rubriqué : "Formule du pilier-djed en or". La vignette contient un tel pilier.Col. 1, 12-19 et vignette : chapitre 156 avec titre rubriqué : "Formule du noeud-tit de jaspe rouge". La vignette montre ce noeud qui a la forme d'une clé de vie.Col. 2 et vignette : chapitre 162 avec titre rubrique "Formule pour faire qu'apparaisse une flamme sur la tête du bienheureux". La vignette montre une vache devant une fleur de lotus.
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La notion d'un esprit étranger et invisible qui prend possession d'un corps est, croit-on, sémitique. Les peuples proche-orientaux et juifs avaient développé des rituels et des pratiques spécifiques pour s'en débarasser. Les Grecs, pour leur part, avaient parfois à composer avec différentes entités, des daimones, des morts ou des apparitions et parfois des divinités dont les actions pouvaient s'avérer très nuisibles, si ce n'est nettement invasives. Toutefois, la communis opinio maintient que les concepts de la possession et de l'exorcisme ne furent chez eux, que tardivement introduits, et ce, sous l'influence des sémitiques. Pourtant, la littérature et les sources épigraphiques, papyrologiques et archéologiques semblent démontrer que les Grecs avaient déjà, dès l'époque classique, dans leur propre culture et religion, les éléments caractéristiques de la possession et de l'exorcisme. Une analyse approfondie de textes d'auteurs anciens, de formulaires de magie,dont les très connus Papyri Grecs Magiques et de diverses amulettes, apporte des arguments décisifs en ce sens.
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Les mouches, Sodome et Gomorrhe et Caligula présentent des divinités parodiant et critiquant les dirigeants politiques de l’Occupation (1940-1944), ainsi que l’usage par les dictateurs des idéologies religieuses traditionnelles dans le but de soumettre l’humanité à des régimes totalitaires. Divinités théâtrales autrefois infaillibles et toutes-puissantes, les figures analysées dans ce mémoire relèvent des remises en question de la divinité et du pouvoir politique du XXe siècle. Notre mémoire comporte trois chapitres examinant les discours de ces figures de la divinité sous des angles dramaturgique, sémiologique, philosophique et pragmatique avec comme point de départ l’hypothèse suivante : tout porte à croire qu’en limitant l’emprise de divinités fictives, et ce, en grande partie à travers les failles dans leurs discours, Sartre, Giraudoux et Camus ont tenté de neutraliser les discours correspondants d’hommes réels dans la conscience collective de l’époque. Les auteurs étudiés ont profondément modifié l’image traditionnelle de la divinité théâtrale en minant sa force langagière et en s’interrogeant sur son identité. Les divinités choisies pour cette étude annoncent la décomposition du personnage ayant lieu après 1950 : elles ont un statut dévalorisé de même qu’un langage à la force perlocutoire diminuée. Sans véritable emprise sur l’humanité, dépendant du théâtre, des simulacres, de l’histrionisme, ainsi que des faiblesses humaines, ces divinités caricaturales s’exposent à compromettre leurs régimes et sont réduites à une influence fortement limitée par la liberté des hommes. En actualisant ces mythes et récits ainsi, Sartre, Giraudoux et Camus ont tenté de discréditer, par extension, les dirigeants européens de l’époque.
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Les cultes isiaques se répandent autour du bassin méditerranéen entre le IVe s. av. et la fin du IVe s. apr. J.-C., arrivant à Rome au Ier siècle av. notre ère et y disparaissant conjointement aux cultes païens traditionnels avec ou peu après le coup porté par Théodose. Leur diffusion romaine s’étale donc sur une grande partie de l’histoire de l’Empire d’Occident, et ils vont ainsi se retrouver face à l’homme désormais considéré comme primus inter pares, grâce à l’accumulation de ses pouvoirs. L’empereur est pontifex maximus, c’est-à-dire maitre des cultes publics et du droit religieux, et il est ainsi l’agent du pouvoir qui a le potentiel religieux et législatif pour avoir un discours varié sur les autres traditions religieuses. Il semble donc inévitable que la sphère cultuelle isiaque rencontre et interagisse avec la sphère religieuse traditionnelle romaine, et que certains empereurs interfèrent, par renforcement ou au contraire par opposition, avec les cultes isiaques arrivés peu de temps avant l’avènement du pouvoir impérial. Cette thèse se propose non seulement d’étudier la dialectique entre institué romain (la force d’inertie) et instituant isiaque (la force de changements) dans la direction d’une potentielle altérité incluse (soit le dialogue évolutif du Nous par rapport à l’Autre), mais notamment par les liens publics romains et évolutifs entre l’empereur et les divinités isiaques. Nous effectuons cette recherche grâce à quatre types de sources antiques : la littérature pour le point de vue de l’élite littéraire gréco-romaine ; les inscriptions isiaques pour une définition surtout populaire de l’identité évolutive de l’instituant isiaque ; les monnaies et les oeuvres monumentales pour le point de vue public (et parfois plus personnel) impérial. Nous concentrons notre étude à partir de la dynastie sévérienne, qui laisse supposer que les cultes romano-orientaux profitent de la nouvelle configuration impériale avec des empereurs originaires d’Afrique et d’Orient, dans un phénomène d’« impérialisation » isiaque intensifié par un engagement tant impérial que populaire. En outre, nous nuancerons les conséquences sur la diffusion isiaque des troubles qui surviennent dans la deuxième moitié du IIIe siècle. Enfin, le IVe siècle, avec la christianisation de l’Empire et donc un christianisme devenant institué, ouvre sur une analyse des débats entre les défenseurs actifs du paganisme et les auteurs chrétiens, et de là, vers des interrogations sur l’intervention de la sphère isiaque dans ce face-à-face.
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Ce mémoire porte sur l’étude de l’orientation des sépultures mayas de la Période Classique (250 - 900/1000 de notre ère). Il s’agit d’une recherche visant à comprendre le choix d’une orientation sud des défunts dans la vallée du Belize et ses environs. L’intérêt porté à cette région vient du fait que l’orientation sud des défunts est un phénomène que l’on retrouve rarement sur le territoire maya, sauf à cet endroit. Alors que la présence de la cardinalité en lien avec la cosmovision maya est attestée dans l’architecture, le plan des sites, la forme et la fonction des divinités, dans l’agriculture, etc., il est plutôt rare qu’elle soit analysée dans les études du traitement funéraire. Ainsi, le but de cette recherche est de saisir l’ampleur de la pratique de l’orientation sud des défunts sur le territoire maya, de comprendre son origine et sa ou ses possible(s) signification(s). Les données des sépultures de la Période Classique de cinq sites de la vallée du Belize (Baking Pot, Barton Ramie, Blackman Eddy, Cahal Pech et Xunantunich), de quatre sites du Plateau Vaca (Minanha, Pacbitun, Mountain Cow et Caracol) et de trois sites situés à l’ouest (Holmul) et au nord (San José et Altun Ha) de ces deux régions sont compilées. Les résultats révèlent que le coeur de cette pratique se trouve dans la vallée du Belize, bien qu’une orientation sud des défunts ait été retrouvée partout. Cette pratique semble apparaitre à la fin de la Période Préclassique et les analyses ne révèlent pas de lien entre l’orientation sud et certaines variables (âge, sexe, position du défunt). Finalement, on arrive à la conclusion qu’il est possible que cette orientation sud des défunts soit en lien avec le passage des défunts dans l’inframonde et que cela forme un choix culturel local en lien avec le statut et l’identité du défunt.
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Ce mémoire porte sur l’étude de l’orientation des sépultures mayas de la Période Classique (250 - 900/1000 de notre ère). Il s’agit d’une recherche visant à comprendre le choix d’une orientation sud des défunts dans la vallée du Belize et ses environs. L’intérêt porté à cette région vient du fait que l’orientation sud des défunts est un phénomène que l’on retrouve rarement sur le territoire maya, sauf à cet endroit. Alors que la présence de la cardinalité en lien avec la cosmovision maya est attestée dans l’architecture, le plan des sites, la forme et la fonction des divinités, dans l’agriculture, etc., il est plutôt rare qu’elle soit analysée dans les études du traitement funéraire. Ainsi, le but de cette recherche est de saisir l’ampleur de la pratique de l’orientation sud des défunts sur le territoire maya, de comprendre son origine et sa ou ses possible(s) signification(s). Les données des sépultures de la Période Classique de cinq sites de la vallée du Belize (Baking Pot, Barton Ramie, Blackman Eddy, Cahal Pech et Xunantunich), de quatre sites du Plateau Vaca (Minanha, Pacbitun, Mountain Cow et Caracol) et de trois sites situés à l’ouest (Holmul) et au nord (San José et Altun Ha) de ces deux régions sont compilées. Les résultats révèlent que le coeur de cette pratique se trouve dans la vallée du Belize, bien qu’une orientation sud des défunts ait été retrouvée partout. Cette pratique semble apparaitre à la fin de la Période Préclassique et les analyses ne révèlent pas de lien entre l’orientation sud et certaines variables (âge, sexe, position du défunt). Finalement, on arrive à la conclusion qu’il est possible que cette orientation sud des défunts soit en lien avec le passage des défunts dans l’inframonde et que cela forme un choix culturel local en lien avec le statut et l’identité du défunt.
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En el presente artículo analizamos los desplazamientos de cultos indígenas hispanos desde distintas áreas de la Península Ibérica hacia los principales lugares de inmigración en Hispania: las áreas mineras y las ciudades. Proponemos que estos grupos de emigrantes rendían culto en su nueva residencia a las deidades que veneraban en sus regiones de procedencia como un medio de preservar su cohesión social y su identidad cultural. La dureza de la vida laboral en las áreas mineras reforzaba la necesidad de fortalecer los lazos culturales.