25 resultados para Daddy longlegs
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The letter reads:"Daddy dearie I have been so blue and homesick to-day that I could have cried my eyes out. Oh! Sweetheart, will the time ever come for that ice breaker to go down? I love you so and miss you so that dearie me if I don't see you soon, I'll die. Please keep reminding Mr. Grogan to let me know when that boat goes, for if I should miss it, I would be distincted. And if you should hear of it's sailing, dear, you let me know, too. The way I talk anyone might think that I am having a very unpleasant visit. On the contrary, I am enjoying my little sojourn here very much. I am with the family most of the time and they are all perfectly wonderful to me. They can't do enough for me. Shower me with love all the time, but with it all there is that big, big desire to be with my Dadd. I want to be where my heart is - in Shelter Bay. I can hardly wait to hear about the house. Have they started the plastering yet? I forgot to tell you that I cannot find out whether or not that linoleum can be bought in Canada. I shall keep on making inquiries, tho, dear, and hope to hear something about it soon. Well Daddy my own, bye-bye for another time. Al the love in the world your little Bubbles."
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Resumen basado en el de la autora
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Background: Receipt of early prenatal care, care during the first three months of pregnancy, is the standard in the United States. Sixty percent of non-Hispanic Black women who had a live birth in the Sunnyside community of Houston did not obtain early prenatal care in 2009. ^ This study's aims were to: 1) Describe the barriers to obtaining early prenatal care in non-Hispanic Black women who live in the Sunnyside community of Houston; and, 2) Describe the actions that could encourage non-Hispanic Black women who live in the Sunnyside Community to obtain early prenatal care. The goal was to provide information to organizations that promote early prenatal care use in non-Hispanic Black women in Harris County that may aid in developing interventions. ^ Methods: The Participatory Learning for Action rapid assessment qualitative method was used in a group setting to answer the research questions on behalf of women in the community. Women who participated in the group sessions also participated in an in-depth interview. Key informants who work in the community with pregnant women, or promote the use of prenatal care services, were also interviewed. An inductive analysis of the data was conducted to identify common themes that address the study's aims. ^ Results: Aim 1: Group participants identified fear of the reaction from family and/or the baby's daddy and shame, not having insurance or money, and lack of knowledge of the pregnancy and resources as the top three barriers to early prenatal care for women in the community. Aim 2: Group participants stated that to help women to overcome these barriers, communication, awareness and support; help, resources and services; and information and early education are needed. Participant in-depth interviewees echoed the themes of fear of the reaction from family and/or the baby's daddy and not knowing of the pregnancy. Key informants mentioned these themes as well, though not at the same priority level. Participants and key informants also mentioned similar themes for helping women to overcome barriers to early prenatal care. ^ Conclusion: A comprehensive approach is needed to improve early prenatal care use in the Sunnyside community. Education efforts must include all members of the community, young and old, to promote support for pregnant women. Community members must be a part of the process for developing education campaigns. Engaging the community builds a relationship with organizations that serve the community, which may promote use of the organizations' services, and build trust with the community. All efforts must be ongoing so that women and men of all ages in the community understand the importance of prenatal care and support women obtaining care early in the pregnancy.^
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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.
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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.
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For medium voice and piano.
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v.1. Jackanapes; The story of a short life; etc.-- v.2. Daddy Darwin's dovecot; Melchior's dream; and other tales.-- v.3. Old-fashioned fairy tales; Brothers of pity; and other tales of beasts and men.-- v.4. A great emergency; and other tales.-- v.5. Mrs. Overtheway's remembrances.-- v.6. Lob-lie-by-the-fire; The brownies; and other tales.-- v.7. A flat iron for a farthing.-- v.8. Six to sixteen.-- v.9. Jan of the windmill.-- v.10. We and the world.-- v.11. Mary's meadow; Snap-dragons; Dandelion clocks; and other stories.
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v. 1. Greenwich Hospital. Tom Brookes. Daddy Davy, the Negro -- v. 2. Chost stories. Frere du Diable. The fisherman's family. The red flag at the fore. The prisoner. The convict. The burning ship. The veteran soldier.
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"The first of these essays was written for the International quarterly. Those on Franklin and Paradise lost appeared in the Independent. All the others are taken from...the New York Evening post."
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.