26 resultados para Coppet, Yseult de
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Japanilaisen taiteilijan (Ka-no Tomo-noboun tai Kadji-ta Han-kon)kuvitusta Maurice de Coppet'n kokoelmaan kuuluneeseen eläintarinakirjaan. Le paon, les deux oisons et le plongeon (Riikinkukko, kaksi hanhenpoikasta ja kuikka/kaakkuri). Illustrée par Ka-no Tomo-nobou. (s. 11.)
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Vol. I: Portrait of Joseph Acerbi. Painted by P. Violet, engr. by P. W. Tomkins.
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Vol. I: Portrait of Joseph Acerbi. Painted by P. Violet, engr. by P. W. Tomkins.
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I. L'opinion publique au XVIIIe siècle. Montesquieu. Jean-Jacques Rousseau d'après des publications nouvelles. Le secret du roi. Diderot inédit.--II. La société français en 1765. Deux types de femmes: mme Du Defíand et mme Roland. La famille de Mirabeau. Coppet et mme de Staël. André Chénier inédit; sa lutte contre la terreur, son procès, sa mort.
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Las disputas en torno a determinados aspectos del dinero, como su neutralidad y el carácter endógeno o exógeno de la oferta monetaria, han sido permanentes entre las distintas escuelas de pensamiento y autores, estando su origen, probablemente, en la época de desarrollo del pensamiento escolástico. En este artículo pretendemos, en primer lugar, realizar un recorrido cronológico e histórico sobre el tratamiento científico económico del dinero, para, en segundo lugar, poner sobre la mesa la macroeconomía ortodoxa a la que han dado lugar las interpretaciones al respecto, así como los enfoques alternativos frente a este pensamiento dominante. Finalmente, intentamos poner en valor los desarrollos monetarios post-keynesianos, integrados en lo que denominan “Economía Monetaria de Producción”, confrontándolos con la llamada Nueva Síntesis Neoclásica.
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Les études historiques menées en héraldique sigillaire des femmes depuis une décennie permettent d’observer que l’emploi du sceau armorié par la femme apparaît au XIIe siècle. À ce titre, Yseult de Dol détient le sceau armorié féminin le plus anciennement répertorié en France, un fretté surmonté d’un chef plain, appendu à un acte de 1183. En fait état le Corpus des armoiries de femmes que j’ai constitué. Celui-ci comprend 1250 sceaux armoriés médiévaux. L’étude analytique du Corpus révèle que le sceau armorié féminin est en plein essor au XIIIe siècle, alors que son emploi décroît à partir du XIVe siècle, ce jusqu'à la fin du Moyen Âge. Cette décroissance s’explique par le développement du notariat, l’apparition de l’imprimerie, l’utilisation plus courante du papier au lieu du parchemin et le passage d’une société de l’oral à une société de l’écrit. Ce constat invite le chercheur en histoire sociale à se questionner. D’abord, sur les raisons qui amenèrent la femme de toutes classes sociales à faire usage du sceau armorié au XIIe siècle et subséquemment, sur les causes profondes qui expliquent le déclin de l’utilisation du sceau armorié par la femme à partir du XIVe siècle. Le sceau est l’empreinte, le signe, qui authentifie un document. Les armoiries sont des marques de reconnaissance, puis des marques de propriété. Ce sont notamment des symboles qui inscrivent la sigillante dans un système de références et de représentations. Ce système référentiel, constitué par les symboles héraldiques, peut être reconnu, mais surtout lu ou décodé, par la société et la pensée médiévale qui l’ont mis en place. Utilitaire et pragmatique, cette codification à visée cognitive permet de se souvenir. En somme, le sceau armorié renseigne sur l’identité sociale et juridique de la femme. Cette représentation iconographique sigillaire s’insère dans un système référentiel à usage mnémonique.