999 resultados para Construction navale--Québec (Province)--Québec--Histoire--19e siècle
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Cette étude s’intéresse à l’industrie de la construction navale pour le milieu du XVIIIe siècle en France dans la région de Bayonne. L’objectif est de documenter la relation qu’entretiennent les pratiques de construction traditionnelles et innovatrices à cette période. L’architecture de la frégate le Machault est au cœur de cette analyse. Construit en 1757 à Bayonne et perdu en 1760, le Machault a été fouillé, documenté et parallèlement récupéré par les archéologues de Parcs Canada entre 1969 et 1972 à Ristigouche dans la baie des Chaleurs, Québec. Cette étude constitue la première analyse architecturale approfondie menée sur ces vestiges. L’analyse est réalisée en trois temps qui correspondent aux trois grandes étapes de la chaine opératoire de la construction du navire. Tout d’abord, il est question d’aborder l’aspect de la foresterie afin de saisir la nature de la ressource forestière mobilisée pour la construction de la frégate. Ensuite, ce mémoire se penche sur la conception architecturale des navires qui renvoie à un aspect plus théorique, car il relève de la façon dont les formes du navire ont été « pensées ». Enfin, la charpenterie est abordée afin de saisir la séquence d’assemblage du navire. Ensemble, ces trois grands aspects dressent un portrait général de la construction navale pour la région de Bayonne au milieu du XVIIIe siècle.
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Cette recherche aborde le chant de la cueca chilienne à travers le spectre de la voix dans la construction de représentations sociales, et ce, sur la base d’une méthodologie mixte qui combine la recherche bibliographique, l’observation participante, les entrevues et l’analyse musicale. Comme point de départ, on remarque la pratique d’une cueca surnommée urbana, brava ou chilenera, caractérisée par un timbre vocal singulier associé au milieu « populaire » des chanteurs. Remontant aux premières traces de la cueca, au Chili, le chapitre 2 aborde les descriptions de la voix de la zamacueca au XIXe siècle publié dans des récits de voyage. L’analyse du contexte dans lequel ces récits se publient permet de constater que l’idée du caractère nasal de la cueca s’associe à la constitution d’altérité. Le chapitre 3 aborde la façon dont une théorie spécifique sur l’origine de la cueca chilienne contribue aux conceptions de la voix dans le genre. Le sujet de la nasalité apparaît encore, cette fois-ci imbriqué dans l’imagination de l’origine arabo-andalouse de la cueca. S’intéressant à la représentation du sujet populaire, le chapitre 4 expose deux figures centrales de la culture chilienne : le huaso et le roto, représentants du paysan et du sujet urbain, tous deux entremêlés avec des discours nationalistes. Le « parler populaire » apparaît représenté dans divers styles de cueca, en produisant des vocalités affectées par l’imagination de la classe sociale, et ce dans le contexte de débats sur l’authenticité. Le chapitre 5 aborde finalement l’expérience vécue par de jeunes chanteurs actifs sur une scène de revitalisation. Leurs dynamiques de chant en groupe soulignent l’impact de la compétition sur le déploiement de la voix. La pratique structurée selon le chant en ronde - chant à la rueda – montrera que la production d’un « bon pito », soit d’une voix adéquate à la cueca, révèle la nécessité d’adapter les voix aux besoins du groupe. La conclusion met en lumière que le rapport entre voix et style se présente comme une correlation cruciale pour comprendre non seulement la diversité des variantes de cuecas existantes à un moment donné, mais également leurs transformations au cours du temps par l’entremise d’un processus de stylisation. Au-delà du style, pourtant, la voix paraît exprimer quelque chose du sujet qui la fait résonner. Par ce biais, les diverses étiquettes accompagnant le terme cueca nous informent sur les caractéristiques ethniques, du genre et de classe des chanteurs, y compris les différentes voix d’un même sujet qui chante.
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Despite significant advances in building technologies with the use of conventional construction materials (as concrete and steel), which significantly have driven the construction industry, earth construction have demonstrated its importance and relevance, as well as it has matched in an efficient and eco-friendly manner the social housing concerns. The diversity of earth construction techniques allowed this material to adapt to different climatic, cultural and social contexts until the present time. However, in Angola, the construction with earth is still associated with population fringes of weak economic resources, for which, given the impossibility of being able to acquire modern construction materials (steel, cement, brick, among others), they resort to the use of available natural materials. Furthermore, the lack of scientific and technical knowledge justifies the negative appreciation of traditional building techniques, and the derogatory way how are considered the earth constructions in Angolan territory. Given the country's current development status, and taking into account the environmental requirements and the real socio-economic sustainability of Angola, it is considered that one of the viable and adequate options, could be the recovering and upgrading of the ancestral techniques of earth construction. The purpose of this research is to develop the technical and scientific knowledge in order to improve and optimize these construction solutions, responding to the real problems of housing quality as well as to the current social, economic and environmental sustainability requirements. In this paper, a description of the physical and mechanical characteristics of the adobes typically used in the construction of traditional houses in some localities of Huambo, province in Angola, is carried out. The methodology was based on mechanical in-situ testing in adobe blocks manufactured with traditional procedures: i) tensile strength evaluated with the bending test and compressive strength test on earth blocks specimens; and, ii) durability and erodibility test by Geelong method adopting the New Zealand standard (NZS) procedures (4297: 1998; 4297: 1998 and 4297: 1999). The results allow the characterization of the materials used in the construction of raw earth in the Huambo region, contributing to the development of knowledge of these sustainable and traditional housing constructive solutions with a strong presence in Angola [1, 2]. This study is part of a larger project in the area of Earth Construction [3], which aims to produce knowledge which can stimulate the use of environmental friendly construction materials and contribute to develop constructive solutions with improved performance, durability, comfort, safety and sustainability.