367 resultados para Cond
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[Mazarinade. 1650]
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[Mazarinade. 1650]
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Dès ses plus anciennes manifestations, la littérature narrative qui prend le nom de « roman » se donne comme un jeu d’échos et de réponses entre les textes. L’étude des collections de manuscrits permet de saisir ces jeux intertextuels en contexte, notamment à travers l’organisation de codex qui témoignent de la réception du roman médiéval par les copistes médiévaux eux-mêmes. La composition du manuscrit de Chantilly (Condé 472), où se côtoient romans parodiques et romans canoniques (notamment Érec, Yvain et Lancelot de Chrétien de Troyes), illustre le travail de scribes de toute évidence parfaitement conscients du ludisme des textes qu’ils recopiaient et qui s’assuraient, à travers la mise en recueil, de mettre en regard ce que l’on appellerait, en termes genettiens, le texte parodique et sa source hypotextuelle. La mise en recueil donne cependant un sens positif à cette réflexion critique sur l’art du roman : elle ne se contente pas d’organiser la série de romans parodiques de façon à miner la crédibilité du monde arthurien et, ce faisant, de réorienter l’éclairage jeté sur les romans de Chrétien de Troyes, elle propose la lecture allégorique comme voie de renouvellement. Avec les premières branches du Perlesvaus, elle explore les possibilités d’une lecture édifiante de la légende arthurienne, dans un monde où l’humour le cède à l’horreur. Cette voie, abandonnée avant l’heureuse conclusion, est reprise dans un tout autre registre avec le Roman de Renart. La position finale attribuée aux branches du Roman de Renart et le choix de branches où l’enjeu rhétorique et herméneutique est clairement exprimé laissent croire que le scribe qui est derrière l’agencement du manuscrit a trouvé dans les aventures du goupil le juste équilibre entre parodie et allégorie capable de justifier pleinement l’aventure paradoxale du roman antiromanesque.
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Ce travail sur l’infidélité dans le couple traite les différentes sources de l’ennui ainsi que leurs conséquences dans la vie du couple. Les différentes opinions de différents auteurs sur la cause de l’infidélité dans le couple sont vues en long et en large. L’éducation féminine du XIXème siècle éclaire sur le handicap qui a entrainé certaines filles dans le malheur car l’éducation de l’époque ne les avait pas bien préparées pour devenir de bonnes épouses. Ce mémoire montre l’image de la religion dans ces deux oeuvres : Madame Bovary et Traversée de la mangrove. La question est de voir comment ces auteurs peignent la religion dans ces oeuvres et pourquoi ils adoptent l’infidélité pour sauver la femme de son ennui. Enfin, la comparaison de ces ennuis est faite afin de voir que dans ces couples, malgré le fait qu’ils appartiennent à des époques différentes, l’ennui dans le couple est le même. Ces auteurs ont procédé aux mêmes stratégies pour sauver le couple de son ennui. La morale critique et religieuse a été utilisée pour aborder ce thème, lorsque nous avons fait une lecture biblique de ces deux oeuvres.
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Si Maryse Condé, écrivain française originaire de la Guadeloupe, semble s’être sentie chez elle dans l’ensemble du monde atlantique (elle a résidé aux Antilles, en France, aux Etats-Unis, en Afrique), ainsi certaines de ses œuvres, alors même qu’elles prennent pour cadre de référence les Antilles, témoignent d’une rare capacité à s’approprier tout l’espace atlantique, que ce soit à travers les mouvements réels, libres ou forcés, des protagonistes ou au contraire par le biais de leurs souvenirs et rêveries. L’analyse des Derniers rois mages (1992), en particulier, nous permettra de dégager l’originalité de Maryse Condé en ce qui concerne la représentation de cet espace – espace non plus organisé en fonction des cartographies imaginaires figées fournies par l’impérialisme, la « négritude » ou la « créolité », mais traversé par une dynamique exploratoire, multifocale et non fusionnelle.
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[Paul] Laval
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Maryse Condé toma de la historia y de la literatura el personaje de Tituba, negra esclava bruja, y le da una voz para inventar y narrar en un “relato de esclava" (sclave narrative) – en clave de seudo-autobiografía-- su vida olvidada. Moi, Tituba… reproduce la odisea canónica del “mito del héroe": exilio-iniciación-regreso. En su derrotero hacia la heroización, Tituba traza también el doble movimiento del “viaje del héroe": katábisis o descenso a los infiernos, y anábasis o ascenso a la figura emblemática de heroína inmortal. Su recorrido la lleva finalmente a su Ítaca en la que muere, alcanza la apoteosis y gana la inmortalidad al ser cantada –según la cultura a la que pertenece- como modelo de liberación de una raza maldita. Nos proponemos seguir esta travesía en sus diferentes etapas.
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On cover: Deuxième édition.
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