889 resultados para Christian poetry, Armenian.
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"Entered at Stationers Hall, 1793"--T.p. verso.
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Includes bibliographical references.
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Born in Armenia, the oldest Christian country in the world but nevertheless one of the youngest reinstated republics (1991) after the collapse of the Soviet Union, Arshile Gorky flew to the United States in 1920, where he chose to reinvent himself in the struggle to become an artist. This reinvention meant the creation of a persona with, or behind, which Gorky kept alive the artistic flame inside himself. Gorky became one of the most learned voices lecturing on contemporary European modernist artists and movements of the late nineteenth and early twentieth centuries in the United States (New York) without ever visiting Europe. Moreover, he was able to survive the traumatic events he underwent during the Armenian Genocide (1915-1919) to adapt to his new country and identity, to live through the years of the Depression and, eventually, to become the protagonistof a major artistic breakthrough. This paper proposes an insight into the experience of life and frame of work of this Armenian-American artist, whose simultaneously rich, traumatic, dislocated and reenacted life and work established one of the most fertile links between his middle‑eastern origins, his dreamed of Europe and the particular transit of his American artistic creation.
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L’architecture au sens strict, qui renvoie à la construction, n’est pas indépendante des déterminations mentales, des images et des valeurs esthétiques, comme références, amenées par divers champs d’intérêt au problème du sens. Elle est, de par ce fait, un objet d’interprétation. Ce qu’on appelle communément « signification architecturale », est un univers vaste dans lequel sont constellées des constructions hypothétiques. En ce qui nous concerne, il s’agit non seulement de mouler la signification architecturale selon un cadre et des matières spécifiques de référence, mais aussi, de voir de près la relation de cette question avec l’attitude de perception de l’homme. Dans l’étude de la signification architecturale, on ne peut donc se détacher du problème de la perception. Au fond, notre travail montrera leur interaction, les moyens de sa mise en œuvre et ce qui est en jeu selon les pratiques théoriques qui la commandent. En posant la question de l’origine de l’acte de perception, qui n’est ni un simple acte de voir, ni un acte contemplatif, mais une forme d’interaction active avec la forme architecturale ou la forme d’art en général, on trouve dans les écrits de l’historien Christian Norberg-Schulz deux types de travaux, et donc deux types de réponses dont nous pouvons d’emblée souligner le caractère antinomique l’une par rapport à l’autre. C’est qu’il traite, dans le premier livre qu’il a écrit, Intentions in architecture (1962), connu dans sa version française sous le titre Système logique de l’architecture (1974, ci-après SLA), de l’expression architecturale et des modes de vie en société comme un continuum, défendant ainsi une approche culturelle de la question en jeu : la signification architecturale et ses temporalités. SLA désigne et représente un système théorique influencé, à bien des égards, par les travaux de l’épistémologie de Jean Piaget et par les contributions de la sémiotique au développement de l’étude de la signification architecturale. Le second type de réponse sur l’origine de l’acte de perception que formule Norberg-Schulz, basé sur sur les réflexions du philosophe Martin Heidegger, se rapporte à un terrain d’étude qui se situe à la dérive de la revendication du fondement social et culturel du langage architectural. Il lie, plus précisément, l’étude de la signification à l’étude de l’être. Reconnaissant ainsi la primauté, voire la prééminence, d’une recherche ontologique, qui consiste à soutenir les questionnements sur l’être en tant qu’être, il devrait amener avec régularité, à partir de son livre Existence, Space and Architecture (1971), des questions sur le fondement universel et historique de l’expression architecturale. Aux deux mouvements théoriques caractéristiques de ses écrits correspond le mouvement que prend la construction de notre thèse que nous séparons en deux parties. La première partie sera ainsi consacrée à l’étude de SLA avec l’objectif de déceler les ambiguïtés qui entourent le cadre de son élaboration et à montrer les types de legs que son auteur laisse à la théorie architecturale. Notre étude va montrer l’aspect controversé de ce livre, lié aux influences qu’exerce la pragmatique sur l’étude de la signification. Il s’agit dans cette première partie de présenter les modèles théoriques dont il débat et de les mettre en relation avec les différentes échelles qui y sont proposées pour l’étude du langage architectural, notamment avec l’échelle sociale. Celle-ci implique l’étude de la fonctionnalité de l’architecture et des moyens de recherche sur la typologie de la forme architecturale et sur sa schématisation. Notre approche critique de cet ouvrage prend le point de vue de la recherche historique chez Manfredo Tafuri. La seconde partie de notre thèse porte, elle, sur les fondements de l’intérêt chez Norberg-Schulz à partager avec Heidegger la question de l’Être qui contribuent à fonder une forme d’investigation existentielle sur la signification architecturale et du problème de la perception . L’éclairage de ces fondements exige, toutefois, de montrer l’enracinement de la question de l’Être dans l’essence de la pratique herméneutique chez Heidegger, mais aussi chez H. G. Gadamer, dont se réclame aussi directement Norberg-Schulz, et de dévoiler, par conséquent, la primauté établie de l’image comme champ permettant d’instaurer la question de l’Être au sein de la recherche architecturale. Sa recherche conséquente sur des valeurs esthétiques transculturelles a ainsi permis de réduire les échelles d’étude de la signification à l’unique échelle d’étude de l’Être. C’est en empruntant cette direction que Norberg-Schulz constitue, au fond, suivant Heidegger, une approche qui a pour tâche d’aborder l’« habiter » et le « bâtir » à titre de solutions au problème existentiel de l’Être. Notre étude révèle, cependant, une interaction entre la question de l’Être et la critique de la technique moderne par laquelle l’architecture est directement concernée, centrée sur son attrait le plus marquant : la reproductibilité des formes. Entre les écrits de Norberg-Schulz et les analyses spécifiques de Heidegger sur le problème de l’art, il existe un contexte de rupture avec le langage de la théorie qu’il s’agit pour nous de dégager et de ramener aux exigences du travail herméneutique, une approche que nous avons nous-même adoptée. Notre méthode est donc essentiellement qualitative. Elle s’inspire notamment des méthodes d’interprétation, de là aussi notre recours à un corpus constitué des travaux de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida ainsi qu’à d’autres travaux associés à ce type d’analyse. Notre recherche demeure cependant attentive à des questions d’ordre épistémologique concernant la relation entre la discipline architecturale et les sciences qui se prêtent à l’étude du langage architectural. Notre thèse propose non seulement une compréhension approfondie des réflexions de Norberg-Schulz, mais aussi une démonstration de l’incompatibilité de la phénoménologie de Heidegger et des sciences du langage, notamment la sémiotique.
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Cette thèse pose la question de la fortune remarquable du surréalisme en Belgique et porte particulièrement attention à la poétique de Christian Dotremont qui, après une période surréaliste, trace le premier logogramme en 1962. La partie initiale de notre recherche interroge ses rapports avec le groupe surréaliste bruxellois (Paul Nougé et René Magritte), préoccupé par le refus de l’œuvre. Cette démarche subversive se transforme dans l’art expérimental du groupe Cobra (communauté artistique fondée en 1948 par Dotremont). Nous nous intéressons à cette évolution d’une préoccupation logocentrique (où le mot compte pour le contenu qu’il véhicule : il s’agit de la poétique « primitive » de Nougé et des objets bouleversants de Magritte) vers l’exploration du mot comme trace, comme scription et, par là même, comme source de poésie. La deuxième partie de notre recherche traite de l’époque Cobra où se forge ce que nous appelons la poétique du visible chez Dotremont dont le résultat est la découverte du pouvoir créatif du mot en tant que matière, en tant que trace manuscrite. Ces expérimentations centrées sur la matérialité du langage préparent le cheminement artistique de Dotremont vers l’invention du logogramme (objet d’analyse de la troisième partie de la thèse). Dans l’idée d’une légitimation du logogramme en tant que nouveau genre poético-pictural, nous relevons ses invariants créateurs : sans pour autant se soumettre au modèle pictural, celui-ci n’est ni peinture des mots, ni mot-tableau, il exploite la matérialité de la lettre comme source poétique : genre transfrontalier qui ne cesse de mettre en question et d’inclure dans sa cinétique la métamorphose de sa réception.
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Réalisé en cotutelle avec l'Université de la Sorbonne - Paris IV
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History and Identity in the Late Antique Near East gathers together the work of distinguished historians and early career scholars with a broad range of expertise to investigate the significance of newly emerged, or recently resurrected, ethnic identities on the borders of the eastern Mediterranean world. It focuses on the "long late antiquity" from the eve of the Arab conquest of the Roman East to the formation of the Abbasid caliphate. The first half of the book offers papers on the Christian Orient on the cusp of the Islamic invasions. These papers discuss how Christians negotiated the end of Roman power, whether in the selective use of the patristic past to create confessional divisions or the emphasis of the shared philosophical legacy of the Greco-Roman world. The second half of the book considers Muslim attempts to negotiate the pasts of the conquered lands of the Near East, where the Christian histories of Hira or Egypt were used to create distinctive regional identities for Arab settlers. Like the first half, this section investigates the redeployment of a shared history, this time the historical imagination of the Qu'ran and the era of the first caliphs. All the papers in the volume bring together studies of the invention of the past across traditional divides between disciplines, placing the re-assessment of the past as a central feature of the long late antiquity. As a whole, History and Identity in the Late Antique Near East represents a distinctive contribution to recent writing on late antiquity, due to its cultural breadth, its interdisciplinary focus, and its novel definition of late antiquity itself.
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The Bull "Reversurus" (1867) and its dogmatic legitimization at the First Vatican Council in 1870 caused not only ecclesiastical controversy and Schism in the Armenian Catholic Church, but it had also wide political consequences for the Armenian Catholics in the Ottoman Empire. The conflict originally between the Armenian Catholics and Rome attracted very soon the attention of the European imperial Powers. France, the British Empire, the German Empire, Austria-Hungary and Russia were the main political powers who were involved in the Armenian affair. A full picture of the role of all these powers for the course of the Armenian Schism is missing. Mostly the role of France is foregrounded in the printed sources, as the main power, which supported the papacy to win during the Armenian affair. The role and the motives of the other imperial powers is almost missing. This article will try to describe as completely as possible the historical and political background, which brought to the escalation of the Armenian conflict beyond the national frontiers and led to number of conflicts at the international and transnational level. It will be shown that the imperial policy in Europe in the 19th century have played an enormous role throughout the Armenian Schism. It will be explained that several historical circumstances in Europe, especially the relation of the European imperial powers to each other as well as their expectations from the Ottoman Empire and its Armenian subjects were decisive for the duration and conclusion of the Armenian Schism.
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by J. Aikin, M.D, Oliver Goldsmith
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[edited by Thomas Percy]
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