997 resultados para Carey, Hugh


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Hugh Alexander, b. 1780 arrived in Niagara shortly after his birth. He attended school and later apprenticed as a clerk. In 1797 he was granted 200 acres of land in Bertie township and became a merchant and trader in Fort Erie. He was the owner of a sailing vessel, the Chippawa, which he used to transport goods in the area. The ship was lost and/or confiscated as a result of War of 1812 skirmishes on Lake Erie. By 1812 Hugh Alexander was in business together with his brother Ephraim. The Alexander’s storehouse, store and house were burned by the British military when they abandoned Fort Erie ahead of the invading American military in late May 1813. At the time of the burning, Hugh Alexander was engaged as a Lieutenant with the 3rd Lincoln Militia. Prior to this Hugh Alexander had established a second mercantile in Stamford, opposite the green. Misfortune was to strike at this location as well when the British military abandoned the whole of the Niagara area to the invading American forces and the Stamford location was looted. After the end of the hostilities Alexander went on to rebuild his storehouse in Fort Erie and to re-establish his store in Stamford. Hugh Alexander died on November 2, 1817 and is buried in the Stamford Presbyterian Cemetery. Source: George A. Seibel, The Niagara Portage Road: 200 Years 1790-1990. Niagara Falls: City of Niagara Falls, 1990, p. 259-262.

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Letter with the letterhead “Allan Line of Royal Mail Steamships, Hugh and Andrew Allan, agents, Montreal”. The salutation is “Dear Sir” and it is signed by Andrew Allan. Mr. Allan had enclosed $150 for shooting rights for last season and is asking if there are any rights available for next year, Dec. 16, 1886.

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Les débats économiques au 19e siècle, loin d’être l’apanage du monde universitaire, étaient aux États-Unis un des principaux objets de contentieux entre les partis politiques et ceux-ci trouvaient écho dans la sphère publique. Les journaux étaient alors le principal moyen de communiquer les opinions des différents partis. La présente étude vise à mettre en contexte et cerner la position des écrits du plus important économiste américain de son époque, Henry Charles Carey (1793-1879), reconnu comme tel par J.S. Mill et Karl Marx en leur temps, lors de la décennie de 1850 dans le journal le plus influent de cette période, le New York Tribune. Pour ce faire, il a fallu au préalable identifier les articles non signés de Carey dans le journal, ce qui n’avait auparavant jamais été fait. Au moment d’écrire dans le principal organe américain qui défendait la protection aux États-Unis afin d’industrialiser le pays, Carey était alors le représentant le plus prééminent du système américain d’économie. Ce dernier, fondé sur les écrits d’Alexander Hamilton, prônait l’industrialisation des États-Unis et l’intervention de l’État pour défendre le bien commun, s’opposant ainsi à l’école libérale anglaise basée sur les écrits d’Adam Smith. Conceptuellement, la pensée économique de Carey se situe dans la tradition des Autres Canon, basée sur la production et l’innovation. Ceci le mena à s’opposer avec vigueur tant au malthusianisme qu’à la division internationale du travail, justifiée théoriquement par la thèse de l’avantage comparatif de Ricardo. En effet, dans son analyse, la volonté exprimée au milieu du 19e siècle par l’Angleterre de devenir l’atelier du monde et de faire du reste des nations des producteurs de matières premières sous un régime de libre-échange n’était rien d’autre que la continuation de la politique coloniale par d’autres moyens. Pour Carey, la spécialisation dans l’exportation de matières premières, notamment défendue par les planteurs du Sud des États-Unis, loin d’être bénéfique au pays, était le sûr gage de la pauvreté comme les cas de l’Irlande et de l’Inde le démontraient.

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La série Body Techniques (2007) a été réalisée par l’artiste britannique Carey Young dans le cadre d’une résidence offerte par la biennale de Sharjah, aux Émirats Arabes Unis. Les huit photographies de format tableau constituant la série montrent l’artiste qui, portant l’uniforme d’une femme d’affaires, réinterprète huit œuvres célèbres associées à la mouvance de l’art conceptuel. Des paysages singuliers, situés aux abords des villes de Sharjah et Dubaï, servent de toile de fond à ces actions et leur confèrent une aura futuriste. La présente analyse tâche de démontrer que la série est habitée par un paradoxe remettant en question le statut d’art engagé que l’artiste revendique pour son œuvre. Ce paradoxe se manifeste à travers trois axes, autour desquels s’articule notre réflexion : les médiations se glissant entre Body Techniques et les œuvres que la série réinterprète, la déconstruction du « médium » du paysage, et le rôle actif occupé par le dispositif photographique. Cet examen attentif de chacune des occurrences du paradoxe permet de révéler Body Techniques comme une incarnation exemplaire de la double contrainte traversant toute œuvre d’art contemporain engagé : celle permettant aux artistes de critiquer le système auquel ils participent, mais les forçant en retour à participer au système qu’ils critiquent.