979 resultados para CD4-CD8 ratio


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Introduction: CD103 is a specific integrin present on some CD4+ lymphocytes of the mucosal immune system. It has been hypothesized that most CD4+ lymphocytes in pulmonary sarcoidosis do not originate from mucosal sites but from redistribution from the peripheral blood, and therefore do not bear the CD103 integrin. Several studies have suggested that a low CD103+ percentage among bronchoalveolar lavage (BAL) CD4+ lymphocytes discriminates between sarcoidosis and other causes of lymphocytic alveolitis, but contradictory data exist. Methods: We reviewed 1151 consecutive patients with BAL lymphocytosis >10% and flow cytometry performed between 2006 and 2014. 944 cases were excluded due to poor BAL quality (n= 97), unavailable clinical data (n= 760), or unclear diagnosis (n= 87). The remaining 207 patients were grouped into 9 diagnostic categories. To assess the discriminative value of the CD103+CD4+/CD4+ ratio to distinguish sarcoidosis from the other entities, area under ROC curves (AUC) were determined. Results: Sarcoidosis patients (n=53) had a lower CD103+CD4+/CD4+ ratio than the other diagnostic categories. AUC was 62% for sarcoidosis compared to all other patients and 69% for sarcoidosis compared to other interstitial lung diseases. When combining CD103+CD4+/CD4+ and CD4+/CD8+ ratios, AUC increased to 76% and 78% respectively. When applying published cut-offs from 4 previous studies to our population, AUC varied between 54 and 73%. Conclusions: The CD103+CD4+/CD4+ ratio does not accurately discriminate between sarcoidosis and other causes of lymphocytic alveolitis, neither alone nor in combination with CD4+/CD8+ ratio, and is not a relevant marker for the diagnosis of sarcoidosis.

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Dysregulation of the skin immune system (SIS) could explain the high prevalence of skin disorders in HIV+ individuals. The present study was carried out to determine whether alterations in the cell population of SIS and epidermal immunoactivation occur in the normal skin of HIV+ individuals. Forty-five biopsies were taken from the normal upper arm skin of 45 HIV+ patients and of 15 healthy controls. HIV+ individuals were divided into three categories according to their CD4 cell blood count (<200, 200-499 and ³500/µl). Hematoxylin-eosin was used to stain tissue sections for morphological analysis and immunohistochemistry was used for the evaluation of the frequency of macrophages, Langerhans cells, and CD lymphocyte subsets. In addition, semiquantitative analysis of LFA-1, ICAM-1 and HLA-DR was determined in epidermal cells. Macrophages, Langerhans cells, and CD lymphocyte subsets did not differ significantly between any of the patient categories and the control group. When all HIV+ individuals were compared as a group to the control group, a significant increase in dermal CD8+ T lymphocytes (P < 0.01) and lower CD4-CD8 ratios (P < 0.01) were observed in the HIV+ individuals. Epidermal ICAM-1 and HLA-DR expression was negative in both HIV+ and normal skin biopsies. No evidence of a depletion of the SIS population or of epidermal immunoactivation in normal skin from HIV+ individuals was demonstrable, suggesting that alterations in the central immune system are not necessarily reflected in the SIS of HIV-infected patients.

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Le diabète auto-immun résulte de la destruction des cellules bêta pancréatiques sécrétrices d’insuline par les lymphocytes T du système immunitaire. Il s’ensuit une déficience hormonale qui peut être comblée par des injections quotidiennes d’insuline d’origine exogène, toutefois il demeure à ce jour impossible de guérir les patients atteints de la maladie. De façon générale, un système immunitaire sain reconnaît une multitude d’antigènes différents et assure ainsi notre défense à l’égard de différents pathogènes ou encore de cellules tumorales. Il arrive cependant que, pour des raisons génétiques et/ou environnementales, les lymphocytes T puissent s’activer de façon aberrante suite à la reconnaissance d’antigènes provenant du soi. C’est ce bris de tolérance qui mène au développement de pathologies auto-immunes telles que le diabète auto-immun. Afin de limiter l’auto-immunité, des mécanismes de sélection stricts permettent d’éliminer la majorité des lymphocytes T présentant une forte affinité envers des antigènes du soi lors de leur développement dans le thymus. Certains de ces lymphocytes réussissent toutefois à échapper à l’apoptose et migrent en périphérie afin d’y circuler en quête d’un antigène spécifiquement reconnu. Il est alors primordial que des mécanismes périphériques assurent le maintien de la tolérance immunitaire en faisant obstacle à l’activation et à la prolifération des lymphocytes T auto-réactifs. L’une des avenues afin d’inhiber le développement de réponses immunitaires aberrantes est la génération de lymphocytes T régulateurs. Ces cellules, d’origine thymique ou périphérique, peuvent arborer différents phénotypes et agissent via de multiples mécanismes afin d’inactiver et/ou éliminer les cellules impliquées dans l’apparition de pathologies auto-immunes. L’utilisation de modèles murins transgéniques a permis la mise en évidence d’une population peu caractérisée de lymphocytes T au potentiel régulateur. En effet, la proportion de ces cellules T n’exprimant pas les corécepteurs CD4 et CD8 (double négatives, DN) a été inversement corrélée à la prédisposition à l’auto-immunité chez ces ii souris. L’objectif principal de cette thèse est de démontrer la fonction immuno-régulatrice des lymphocytes T DN, tout en investiguant les facteurs génétiques responsables du maintien de cette population cellulaire. Nous avons observé que les lymphocytes T DN exercent une activité cytotoxique à l’égard des lymphocytes B de façon spécifique à l’antigène, via la libération de granules cytolytiques contenant du granzyme B et de la perforine. Par ailleurs, nous avons établi qu’un unique transfert adoptif de ces cellules est suffisant afin d’inhiber le développement du diabète auto-immun chez des hôtes transgéniques prédisposés à la maladie. Le recours à des souris déficientes pour l’expression du gène CD47 a permis de constater que la voie de signalisation CD47-Sirp est essentielle dans le maintien de la proportion des lymphocytes T DN. De plus, le locus murin de prédisposition au diabète auto-immun Idd13, qui contient le gène Sirp, a été identifié pour son rôle dans la régulation de la proportion de ces cellules. Finalement, une analyse génétique a révélé que d’autres intervalles génétiques sont impliqués dans le contrôle de la population des lymphocytes T DN. Parmi ceux-ci, un locus situé en région proximale du chromosome 12 a été validé grâce à la création de souris congéniques. Grâce aux résultats présentés dans cette thèse, notre compréhension de la biologie ainsi que de la régulation des lymphocytes T DN est approfondie. Ces connaissances constituent un pas important vers la création de thérapies cellulaires novatrices permettant de prévenir et de guérir diverses pathologies auto-immunes.

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La tolérance immunitaire dépend de la distinction entre le soi et le non soi par le système immunitaire. Un bris dans la tolérance immunitaire mène à l'auto-immunité, qui peut provoquer la destruction des organes, des glandes, des articulations ou du système nerveux central. Le diabète auto-immun, également connu sous le nom diabète juvénile et diabète de type 1, résulte d'une attaque auto-immune sur les cellules β pancréatiques sécrétrices d’insuline, localisées au niveau des îlots de Langerhans du pancréas. Bien que le diabète auto-immun soit traitable par une combinaison d’injections quotidiennes d’insuline d’origine exogène, de régime et d'exercices, beaucoup de complications chroniques peuvent se manifester chez les patients, y compris, mais non limitées à, la cécité, les maladies cardiovasculaires, l’insuffisance rénale et l'amputation. En raison des nombreuses complications liées au diabète auto-immun à long terme, la recherche continue afin de mieux comprendre tous les facteurs impliqués dans la progression de la maladie dans le but de développer de nouvelles thérapies qui empêcheront, renverseront et/ou traiteront cette maladie. Un rôle primordial dans la génération et l'entretien de la tolérance immunitaire a été attribué au nombre et à la fonction des sous-populations de cellules régulatrices. Une de ces populations est constituée de cellules T CD4-CD8- (double négatives, DN), qui ont été étudiées chez la souris et l'humain pour leur contribution à la tolérance périphérique, à la prévention des maladies et pour leur potentiel associé à la thérapie cellulaire. En effet, les cellules de T DN sont d'intérêt thérapeutique parce qu'elles montrent un potentiel immunorégulateur antigène-spécifique dans divers cadres expérimentaux, y compris la prévention du diabète auto-immun. D’ailleurs, en utilisant un système transgénique, nous avons démontré que les souris prédisposées au diabète auto-immun présentent peu de cellules T DN, et que ce phénotype contribue à la susceptibilité au diabète auto-immun. En outre, un transfert des cellules T DN est suffisant pour empêcher la progression vers le diabète chez les souris prédisposées au diabète auto-immun. Ces résultats suggèrent que les cellules T DN puissent présenter un intérêt thérapeutique pour les patients diabétiques. Cependant, nous devons d'abord valider ces résultats en utilisant un modèle non-transgénique, qui est plus physiologiquement comparable à l'humain. L'objectif principal de cette thèse est de définir la fonction immunorégulatrice des cellules T DN, ainsi que le potentiel thérapeutique de celles-ci dans la prévention du diabète auto-immun chez un modèle non-transgénique. Dans cette thèse, on démontre que les souris résistantes au diabète auto-immun présentent une proportion et nombre absolu plus élevés de cellules T DN non-transgéniques, lorsque comparées aux souris susceptibles. Cela confirme une association entre le faible nombre de cellules T DN et la susceptibilité à la maladie. On observe que les cellules T DN éliminent les cellules B activées in vitro par une voie dépendante de la voie perforine et granzyme, où la fonction des cellules T DN est équivalente entre les souris résistantes et prédisposées au diabète auto-immun. Ces résultats confirment que l'association au diabète auto-immun est due à une insuffisance en terme du nombre de cellules T DN, plutôt qu’à une déficience fonctionnelle. On démontre que les cellules T DN non-transgéniques éliminent des cellules B chargées avec des antigènes d'îlots, mais pas des cellules B chargées avec un antigène non reconnu, in vitro. Par ailleurs, on établit que le transfert des cellules T DN activées peut empêcher le développement du diabète auto-immun dans un modèle de souris non-transgénique. De plus, nous observons que les cellules T DN migrent aux îlots pancréatiques, et subissent une activation et une prolifération préférentielles au niveau des ganglions pancréatiques. D'ailleurs, le transfert des cellules T DN entraîne une diminution d'auto-anticorps spécifiques de l'insuline et de cellules B de centres germinatifs directement dans les îlots, ce qui corrèle avec les résultats décrits ci-dessus. Les résultats présentés dans cette thèse permettent de démontrer la fonction des cellules T DN in vitro et in vivo, ainsi que leur potentiel lié à la thérapie cellulaire pour le diabète auto-immun.

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Une petite population de lymphocytes T exprimant les deux corécepteurs CD4 et CD8 et appelée double positive (DP), a été détectée dans le sang périphérique de donneurs sains et de patients atteints de diverses pathologies dont la sclérose en plaques (SEP). Nous avons émis l’hypothèse qu’il s’agissait de lymphocytes T hautement activés pouvant contribuer à l’inflammation chronique présente dans la SEP. Nous avons comparé les cellules T DP obtenues du sang de donneurs sains et de patients atteints de la SEP et non traités. La fréquence des cellules DP était similaire chez les patients et les donneurs sains. La proportion de lymphocytes T DP qui exprimaient les chaines du récepteur de l’interleukine-15 (IL-15) était plus élevée que pour les autres populations lymphocytaires. Des mesures d’induction de la phosphorylation du STAT5 (signal transducer and activator of transcription) ont démontré que les cellules DP ont répondu à des doses plus faibles et pour de plus longues périodes à l’IL-15 comparativement aux autres lymphocytes T. Le pourcentage de lymphocytes T DP ayant la capacité de produire l’interféron-gamma et des enzymes lytiques était élevé chez les témoins sains mais ces niveaux étaient significativement réduits chez les patients atteints de la SEP. La caractérisation phénotypique de cellules DP a suggéré que ces cellules ont des propriétés similaires aux lymphocytes T activés. Bien qu’il ne s’agisse que d’une caractérisation partielle, il semble que les lymphocytes T DP perdent une partie de leurs propriétés chez les patients atteints de la SEP.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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The diagnosis of T-cell large granular lymphocytic leukemia in association with other B-cell disorders is uncommon but not unknown. However, the concomitant presence of three hematological diseases is extraordinarily rare. We report an 88-year-old male patient with three simultaneous clonal disorders, that is, CD4+/CD8(weak) T-cell large granular lymphocytic leukemia, monoclonal gammopathy of unknown significance and monoclonal B-cell lymphocytosis. The patient has only minimal complaints and has no anemia, neutropenia or thrombocytopenia. Lymphadenopathy and hepatosplenomegaly were not present. The three disorders were characterized by flow cytometry analysis, and the clonality of the T-cell large granular lymphocytic leukemia was confirmed by polymerase chain reaction. Interestingly, the patient has different B-cell clones, given that plasma cells of monoclonal gammopathy of unknown significance exhibited a kappa light-chain restriction population and, on the other hand, B-lymphocytes of monoclonal B-cell lymphocytosis exhibited a lambda light-chain restriction population. This finding does not support the antigen-driven hypothesis for the development of multi-compartment diseases, but suggests that T-cell large granular lymphocytic expansion might represent a direct antitumor immunological response to both B-cell and plasma-cell aberrant populations, as part of the immune surveillance against malignant neoplasms.

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Purpose: The purpose of this investigation was to evaluate the impact of undertaking peripheral blood stem cell transplantation (PBST) on T-cell number and function, and to determine the role of a mixed type, moderate intensity exercise program in facilitating the recovery of T-cell number and function. Methods: Immunological measures of white blood cell, lymphocyte, CD3(+), CD4(+), and CD8(+) counts, and CD3(+) cell function were assessed pretransplant (PI), immediately posttransplant (PII), and 1 month (II), 2 months (12) and 3 months (PIII) posttransplant. After PII, 12 patients were divided equally into a control group (CG) or exercise intervention group (EG). Results: Lower total T-cell, helper T-cell, and suppressor T-cell counts (P < 0.01), as well as lower T-cell function (P < 0.01), when compared with normative data, were found at PI. More specifically, 88% of the group had CD3(+), CD4(+), and CD8(+) counts that were more than 40%, 20%, and 50% below normal at PI, respectively. Undertaking a PBST caused further adverse changes to the total leukocyte, lymphocyte, CD3(+), CD4(+) and CD8(+) count. and the helper/suppressor ratio. Although CD8(+) counts had returned to normal by PIII, CD3(+), CD4(+), and the CD4(+)/CD8(+) ratio remained significantly lower than normative data (P < 0.01), with 66%, 100%, and 100% of the subject group reporting counts and ratios, respectively, below the normal range. Conclusion: The PBST patients were immunocompromised before undertaking the transplant, and the transplant procedure imposed further adverse changes to the leukocyte and lymphocyte counts. The leukocyte and CD8(+) counts returned to normal within 3 months posttransplant; however, the other immunological parameters assessed demonstrated a delayed recovery. Although participation in the exercise program did not facilitate a faster immune cell recovery, neither did the exercise program hinder or delay recovery.

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The immunoloical profile of acquired immunodeficiency syndrome (AIDS) and chronic lymphadenopathy syndrome (CLAS) in 15 and 11 Brazilian patients, respectively, was studied. The AIDS patients showed reduced percentage of total T (CD3) and T-helper-inducer (CD4) lymphocytes, relative increase in numbers of T-suppressor-cytotoxic (CD8) cells and a marked inversion of T-helper-inducer/suppressor-cytotoxic (CD4/CD8) ratio. Lymphoproliferative responses to PHA, ConA, PPD and PWM were diminished. Hypergamaglobulinemia and high levels of circulating immune complexes were also found. The CLAS patients also showed important immunological alterations, but not so intense as those with AIDS. These data seems to be similar to those observed in other parts of the world.

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OBJECTIVE: To describe the effect of HAART on Kaposi sarcoma herpes virus (KSHV) antibody response and viremia among HIV-positive MSM. DESIGN: A follow-up study of 272 HIV-positive MSM (including 22 with Kaposi sarcoma) who first initiated HAART between January 1996 and July 2004 in the Swiss HIV Cohort Study. METHODS: For each individual, two serum samples, one at HAART initiation and another 24 months later, were tested for latent and lytic KSHV antibodies using immunofluorescence assays, and for KSHV viremia using PCR. Factors associated with changes in KSHV antibody titers and viremia were evaluated. RESULTS: At HAART initiation, 69.1 and 75.0% of patients were seropositive to latent and lytic KSHV antibodies, respectively. Seropositivity was associated with the presence of Kaposi sarcoma, older age, lower CD8 cell count and higher CD4/CD8 ratio. Prevalence of KSHV viremia at HAART initiation was 6.4%, being significantly higher among patients with Kaposi sarcoma (35.0%), and those with HIV viral loads 100 000 copies/ml (11.7%) or higher. At 24-month follow-up, geometric mean titers (GMTs) among KSHV seropositive patients increased and antibody seroprevalence was higher. Having Kaposi sarcoma and/or CD4 cell counts less than 50 cells/microl at HAART initiation was associated both with higher probability for antibody titers to increase (including seroconversion) and larger increases in GMTs. Only one of 17 viremic patients at HAART initiation had viremia at 24-month follow-up. CONCLUSION: HAART increases KSHV-specific humoral immune response and clearance of viremia among HIV-infected MSM, consistent with the dramatic protection offered by HAART against Kaposi sarcoma.

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A 72 kDa Trypanosoma cruzi glycoprotein recognized by the 164C11 monoclonal antibody (IgM isotype) was purified by preparative electrophoresis. The antigenic preparation obtained, named TcY 72, was used to immunize C57Bl/10 mice. The following results were observed after immunization: (1) induction of higher titres of IgG than IgM antibodies, as evaluated by indirect immunofluorescence; (2) significant DTH after injection of epimastigotes in mice footpads; (3) peak parasitemia in immunized mice was significantly reduced and animals were negative by 13 days post-infection, although the mice still succumb to infection; (4) the phenotypic analysis of spleen cell populations showed a decrease in the CD4/CD8 ratio in immunized mice. Taken as a whole, these findings indicate that TcY 72 is immunogenic and potentially important for protective immunity.

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A 41-year-old woman who worked in a furniture plant was admitted to hospital for acute dyspnea that had developed a few hours she marked pieces of "Alcantara" material with a heated metallic blade. The chest x-ray showed a restrictive syndrome. The lymphocyte count was high in the bronchioalveolar lavage fluid with a CD4/CD8 ratio of 0.11, leading to the diagnosis of alveolitis. Investigations at the work place allowed identification and evaluation of the causal agent. Alcantara is a synthetic fabric composed of 70% polyurethane fibers, which when burned produces isocyanate monomers. After eliminating exposure and institution of corticosteroid therapy, the outcome was good with complete recovery. The risk was eliminated by changing the work procedure. This risk has not been reported earlier for furniture manufacture.

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BACKGROUND: The long-term outcome of antiretroviral therapy (ART) is not assessed in controlled trials. We aimed to analyse trends in the population effectiveness of ART in the Swiss HIV Cohort Study over the last decade. METHODS: We analysed the odds of stably suppressed viral load (ssVL: three consecutive values <50 HIV-1 RNA copies/mL) and of CD4 cell count exceeding 500 cells/μL for each year between 2000 and 2008 in three scenarios: an open cohort; a closed cohort ignoring the influx of new participants after 2000; and a worst-case closed cohort retaining lost or dead patients as virological failures in subsequent years. We used generalized estimating equations with sex, age, risk, non-White ethnicity and era of starting combination ART (cART) as fixed co-factors. Time-updated co-factors included type of ART regimen, number of new drugs and adherence to therapy. RESULTS: The open cohort included 9802 individuals (median age 38 years; 31% female). From 2000 to 2008, the proportion of participants with ssVL increased from 37 to 64% [adjusted odds ratio (OR) per year 1.16 (95% CI 1.15-1.17)] and the proportion with CD4 count >500 cells/μL increased from 40 to >50% [OR 1.07 (95% CI 1.06-1.07)]. Similar trends were seen in the two closed cohorts. Adjustment did not substantially affect time trends. CONCLUSIONS: There was no relevant dilution effect through new participants entering the open clinical cohort, and the increase in virological/immunological success over time was not an artefact of the study design of open cohorts. This can partly be explained by new treatment options and other improvements in medical care.