992 resultados para Arm Support
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The purpose of this study was to determine the influence of an ongoing cognitive task on an individual’s ability to generate a compensatory arm response. Twenty young and 16 older adults recovered their balance from a support surface translation while completing a cognitive (counting) task of varying difficulty. Surface electromyographic (EMG) recordings from the shoulders and kinematics of the right arm were collected to quantify the compensatory arm response. Results indicated that the counting task, regardless of its difficulty as well as the age of the individual, had minimal influence on the onset or magnitude of arm muscle activity that occurred following a loss of balance. In contrast to previous research, this study’s findings suggest that the cortical or cognitive resources utilized by the cognitive task are not relied upon for the generation of compensatory arm responses and that older adults are not disproportionately affected by dual-tasking than young adults.
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Problématique : Depuis bientôt deux décennies, la République Démocratique du Congo (RDC) est le territoire d’un conflit armé qui, selon l’International Rescue Commite, aurait occasionné plus de 3 millions de décès et autant de déplacés internes. Plusieurs rapports font également cas des nombreux actes de violence sexuelle (les viols, les mutilations, l’esclavage, l’exploitation sexuelle, etc.) commis envers les filles, les femmes et dans une moindre ampleur les hommes. S’il existe un consensus sur le côté barbare des actes de violence sexuelle liés aux conflits armés, rares sont les études qui ont évalué leurs conséquences sur la santé reproductive des survivantes surtout en termes d’issues telles que les fistules, les douleurs pelviennes chroniques (DPC), le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue de tels actes. Par ailleurs, même si la santé mentale des populations en zones de conflit représente un sujet d’intérêt, l’impact spécifique de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale des survivantes a été peu étudié. De plus, ces travaux s’intéressent aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale et sur la santé reproductive séparément et ce, sans évaluer les relations qui peuvent exister entre ces deux dimensions qui, pourtant, s’influencent mutuellement. Aussi, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit, ainsi que la contribution des normes socioculturelles aux difficultés que rencontrent les survivantes, a été peu étudié. Pourtant, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit peut permettre de mieux comprendre comment l’expérience d’un tel acte peut affecter la santé mentale. Enfin, aucune étude n’a évalué les effets de la violence sexuelle liée au conflit en la comparant à la violence sexuelle non liée au conflit (VSNLC). Pourtant, il est reconnu qu’à de nombreux égards, la violence sexuelle liée au conflit est bien différente de la VSNLC puisqu’elle est perpétrée avec l’intention de créer le maximum d’effets adverses pour la victime et sa communauté. Objectifs : Les objectifs poursuivis dans cette thèse visent à : 1) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé reproductive; 2) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale en termes de sévérité des symptômes de stress posttraumatique (PTSD), de sévérité des symptômes de détresse psychologique et de probabilité de souffrir de troubles mentaux communs (TMC); 3) évaluer la contribution des troubles physiques de santé reproductive, en particulier les fistules et les douleurs pelviennes chroniques (DPC), aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale; 4) évaluer la contribution de l’état de santé mentale aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur le désir de rapports sexuels et le désir d’enfant; et 5) étudier l’impact de la violence sexuelle liée au conflit sur le plan social ainsi que la contribution des normes socioculturelles à ses effets adverses et la façon dont ces effets pourraient à leur tour influencer la santé des femmes et leur relation avec l’enfant issu de l’acte de violence sexuelle subi. Méthodologie : Un devis mixte de nature convergente a permis de collecter des données quantitatives auprès de l’ensemble des participantes (étude transversale) et des données qualitatives sur un nombre plus restreint de femmes (étude phénoménologique). Une étude transversale populationnelle a été conduite entre juillet et août 2012 auprès de 320 femmes âgées de 15 à 45 ans habitant quatre (4) quartiers de la ville de Goma située dans la province du Nord-Kivu en RDC. Les femmes ont été recrutées à travers des annonces faites par les responsables des programmes d’alphabétisation et de résolution de conflits implantés dans les différents quartiers par le Collectif Alpha Ujuvi, une ONG locale. Les issues de santé reproductive évaluées sont : les fistules, les DPC, le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue d’un acte de violence sexuelle. Les variables de santé mentale d’intérêt sont : la sévérité des symptômes de détresse psychologique, la sévérité des symptômes de PTSD et la probabilité de souffrir de TMC. Pour les analyses, l’exposition a été définie en trois (3) catégories selon l’expérience passée de violence sexuelle : les femmes qui ont vécu des actes de violence sexuelle liée au conflit, celles qui ont vécu des actes de VSNLC et celles qui ont déclaré n’avoir jamais subi d’acte de violence sexuelle au cours de leur vie. Les variables de confusion potentielles mesurées sont : l’âge, le statut matrimonial, le nombre d’enfants, le niveau d’éducation le plus élevé atteint et l’occupation professionnelle. Les mesures d’associations ont été évaluées à l’aide de modèles de régressions logistiques et linéaires simples et multiples. Des tests d’interaction multiplicative et des analyses stratifiées ont été également conduits pour évaluer l’effet potentiellement modificateur de quelques variables (âge, statut matrimonial, nombre d’enfants) sur la relation entre la violence sexuelle et les variables de santé reproductive ou de santé mentale. Ces tests ont également été utilisés pour évaluer la contribution d’une variable de santé reproductive ou de santé mentale aux effets de la violence sexuelle sur l’autre dimension de la santé d’intérêt dans cette étude. Une étude phénoménologique a été conduite dans le même intervalle de temps auprès de 12 femmes ayant participé à la partie quantitative de l’étude qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit et ont eu un enfant issu d’une agression sexuelle. Les sujets explorés incluent : la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit vécu et de la vie quotidienne par les victimes; la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit par la famille et l’entourage et leurs réactions après l’agression; la perception de la grossesse issue de l’acte de violence sexuelle par la victime; la perception de l’enfant issu de la violence sexuelle liée au conflit par la victime ainsi que son entourage; les conséquences sociales de l’expérience de violence sexuelle liée au conflit et les besoins des victimes pour leur réhabilitation. Une analyse thématique avec un codage ouvert a permis de ressortir les thèmes clés des récits des participantes. Par la suite, l’approche de théorisation ancrée a été utilisée pour induire un cadre décrivant l’impact social de l’expérience de la violence sexuelle liée au conflit et les facteurs y contribuant. Résultats : Le premier article de cette thèse montre que, comparées aux femmes qui n’ont jamais vécu un acte de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=11.1, IC 95% [3.1-39.3]), des DPC (OR=5.1, IC 95% [2.4-10.9]), de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=3.5, IC 95% [1.7-6.9]) et une absence de désir d’enfant (OR=3.5, IC 95% [1.6-7.8]). Comparées aux mêmes femmes, celles qui ont vécu la VSNLC ont plus de probabilité de souffrir de DPC (OR=2.3, IC 95% [0.95-5.8]) et de rapporter une absence de désir d’enfant (OR=2.7, IC 95% [1.1-6.5]). Comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont également une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=9.5, IC 95% [1.6-56.4]), des DPC (OR=2.2, IC 95% [0.8-5.7]) et de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=2.5, IC 95% [1.1-6.1]). En ce qui concerne les grossesses issues des viols, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit sont plus nombreuses à souhaiter avorter (55% vs 25% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Elles sont également plus nombreuses à déclarer qu’elles auraient avorté si les soins appropriés étaient accessibles (39% vs 21% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Le second article montre qu’en comparaison aux femmes qui n’ont jamais subi de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 8.6 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (30% vs 76%, p<0.0001). De plus, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 10.1 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (48% vs 76%, p<0.001). Les valeurs minimales et maximales de score de sévérité de symptômes de détresse psychologique sont de 0/12 pour les femmes qui n’ont jamais vécu de violence sexuelle, 4/19 pour celles qui ont vécu la VSNLC et de 5/18 pour celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au confit. En ce qui concerne la sévérité des symptômes de PTSD, les scores minimal et maximal sont respectivement de 0.36/3.22, 0.41/3.41 et 0.95/3.45. Le fait d’avoir développé une fistule ou de souffrir de DPC après l’agression sexuelle augmente la force des associations entre la violence sexuelle et la santé mentale. Les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui ont souffert de fistules présentent des symptômes de détresse psychologique et de PTSD plus sévères comparées aux femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit mais n’ont pas de fistules. Les résultats sont similaires pour les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui souffrent de DPC. Des résultats complémentaires suggèrent que le statut matrimonial modifie l’effet de la violence sexuelle sur la sévérité des symptômes de détresse psychologique, les femmes divorcées/séparées et les veuves étant celles qui ont les moyennes de score les plus élevées (respectivement 11.3 et 12.1 vs 9.26 et 9.49 pour les célibataires et les mariées). Par ailleurs, la sévérité des symptômes de détresse psychologique modifie l’association entre la violence sexuelle liée au conflit et le désir d’enfant. Le troisième article montre que, sur le plan social, l’expérience de violence sexuelle liée au conflit entraine également de lourdes conséquences. Toutes celles qui ont vécu ce type d’acte décrivent leur vie de survivante et de mère d’un enfant issu d’une agression sexuelle comme difficile, oppressive, faite de peines et de soucis et sans valeur. Plusieurs facteurs influencent la description que les victimes de violence sexuelle liée au conflit font de leur vie quotidienne, et ils sont tous reliés aux normes socioculturelles qui font de la femme une citoyenne de seconde zone, ne font aucune différence entre un viol et un adultère, condamnent les victimes de violence sexuelle plutôt que leurs agresseurs, rejettent et stigmatisent les victimes de tels actes ainsi que l’enfant qui en est issu. En réponse au rejet et au manque de considération, les femmes victimes de violence sexuelle liée au conflit ont tendance à s’isoler pour éviter les insultes et à garder le silence sur leur agression. En plus, les réactions de leur entourage/communauté ont tendance à leur faire revivre l’agression sexuelle subie, autant d’éléments qui nuisent davantage à leur réhabilitation. D’autres résultats démontrent que les enfants issus d’actes de violence sexuelle liée au conflit sont également rejetés par leur communauté, leur famille adoptive ainsi que le conjoint de leur mère, ce qui affecte davantage les survivantes. Avec leurs mères, les relations développées varient entre le rejet, la résignation et l’affection. Néanmoins, ces relations sont plus souvent tendues probablement à cause de la stigmatisation de la communauté. Conclusion: La violence sexuelle liée au conflit a des effets adverses sur la santé reproductive, la santé mentale mais également sur le plan social. Ces trois dimensions sont loin d’être isolées puisque cette étude a permis de démontrer qu’elles s’influencent mutuellement. Ceci suggère que la prise en charge des victimes de violence sexuelle liée au conflit ne doit pas se concentrer sur un aspect ou un autre de la santé mais prendre en compte l’ensemble des dimensions de la femme pour offrir une aide holistique, plus adaptée et qui sera plus efficace à long terme.
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This paper provides some additional evidence in support of the hypothesis that robot therapies are clinically beneficial in neurorehabilitation. Although only 4 subjects were included in the study, the design of the intervention and the measures were done so as to minimise bias. The results are presented as single case studies, and can only be interpreted as such due to the study size. The intensity of intervention was 16 hours and the therapy philosophy (based on Carr and Shepherd) was that coordinated movements are preferable to joint based therapies, and that coordinating distal movements (in this case grasps) helps not only to recover function in these areas, but has greater value since the results are immediately transferable to daily skills such as reach and grasp movements.
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The participation of the trapezius (pars media) and rhomboideus major muscles were studied electromyographically in movements of lateral and medial rotation (free and against resistance) of the arm. In the majority of cases both muscles were inactive during the performance of the analysed movements. Cases in which only one or both muscles acted in free rotation occurred only at the second half or ending of the movement. Records of electrical potentials during against resistance rotation were due to tensional efforts at the shoulder level.
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The trapezius (pars superior) and levator scapulae mm were studied in the arm movements of circumduction and pendular oscillation in 30 adult volunteers of both sexes. A two-channel TECA TE 4 electromyograph and single coaxial needle electrodes were used. It was found out that as arm conduction, both muscles show an activity that gradually increases and decreases the intensity at the elevation and lowering phases respectively. It was also noticed that between two consecutive circumductions a 'silent period' in the activity of the above mentioned muscles occurs. In pendular oscillation these muscles show electrical activity both in the forward and backward moving, and both muscles show a 'silent period' when the arm passes by the trunk. It was not observed in these movements any significant difference in activity of these muscles regarding sex.
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An interstitial deletion of 7q21 was found in a boy with mental retardation, microcephaly, convergent strabismus, micrognathia, genital anomalies, and other findings, including ectrodactyly.
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In order to eliminate the de Gennes packing problem, which usually limits the attainable size of dendrimers, a new branching unit containing para-tetraphenylene ethynyl arms has been synthesized and utilized in the preparation of dendrimers of the Müllen type. The divergent principle of synthesis, based on the Dilthey reaction, could be carried up to sixth generation which contains 2776 benzene rings and possesses a diameter in the 27 nm range ("exploded dendrimer"). Monodispersity and dimensions of this and the lower generation species have been studied by MALDI-TOF MS (including the very recent superconducting tunnel junction detector), by size-exclusion chromatography, dynamic light scattering, transmission electron microscopy, and atomic force microscopy. Interesting features, apart from the huge dimension, are the low density and high porosity of these giant molecules which cause extensive aggregation in the gas phase, flattening on solid support (AFM) and the ready incorporation of guest molecules in the condensed phase. Since the synthesis of the para-tetraphenylene arms is quite elaborate, similar dendrimers containing para-terphenylene arms have been prepared; they are accessible more economically ("semi-exploded dendrimers"). It has been shown that they in several aspects mimic the features of the "exploded dendrimers". In order to take advantage of the presence of large internal cavities in this dendrimer type, dendrons containing -C≡C- triple bonds have also been incorporated. Surprisingly, they are readily hydrogenated under the condition of heterogeneous catalysis (Pd/C) which demonstrates the large size of the cavities. As revealed by a quartz microbalance study the post-hydrogenation dendrimers are less prone to incorporate guest molecules than before hydrogenation. Obviously, the more flexible nature of the former reduces porosity, it also leads to significant shrinkage. An interesting perspective is the use of homogeneous hydrogenation catalysts of variable size with the aim of determining the dimension of internal free space.
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OBJECTIVES: The aim of this study was to compare the long-term outcomes of implants placed in patients treated for periodontitis periodontally compromised patients (PCP) and in periodontally healthy patients (PHP) in relation to adhesion to supportive periodontal therapy (SPT). MATERIAL AND METHODS: One hundred and twelve partially edentulous patients were consecutively enrolled in private specialist practice and divided into three groups according to their initial periodontal condition: PHP, moderate PCP and severe PCP. Perio and implant treatment was carried out as needed. Solid screws (S), hollow screws (HS) and hollow cylinders (HC) were installed to support fixed prostheses, after successful completion of initial periodontal therapy (full-mouth plaque score <25% and full-mouth bleeding score <25%). At the end of treatment, patients were asked to follow an individualized SPT program. At 10 years, clinical measures and radiographic bone changes were recorded by two calibrated operators, blinded to the initial patient classification. RESULTS: Eleven patients were lost to follow-up. During the period of observation, 18 implants were removed because of biological complications. The implant survival rate was 96.6%, 92.8% and 90% for all implants and 98%, 94.2% and 90% for S-implants only, respectively, for PHP, moderate PCP and severe PCP. The mean bone loss was 0.75 (+/- 0.88) mm in PHP, 1.14 (+/- 1.11) mm in moderate PCP and 0.98 (+/- 1.22) mm in severe PCP, without any statistically significant difference. The percentage of sites, with bone loss > or =3 mm, was, respectively, 4.7% for PHP, 11.2% for moderate PCP and 15.1% for severe PCP, with a statistically significant difference between PHP and severe PCP (P<0.05). Lack of adhesion to SPT was correlated with a higher incidence of bone loss and implant loss. CONCLUSION: Patients with a history of periodontitis presented a lower survival rate and a statistically significantly higher number of sites with peri-implant bone loss. Furthermore, PCP, who did not completely adhere to the SPT, were found to present a higher implant failure rate. This underlines the value of the SPT in enhancing the long-term outcomes of implant therapy, particularly in subjects affected by periodontitis, in order to control reinfection and limit biological complications.
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Robotic exoskeletons can be used to study and treat patients with neurological impairments. They can guide and support the human limb over a large range of motion, which requires that the movement trajectory of the exoskeleton coincide with the one of the human arm. This is straightforward to achieve for rather simple joints like the elbow, but very challenging for complex joints like the human shoulder, which is comprised by several bones and can exhibit a movement with multiple rotational and translational degrees of freedom. Thus, several research groups have developed different shoulder actuation mechanism. However, there are no experimental studies that directly compare the comfort of two different shoulder actuation mechanisms. In this study, the comfort and the naturalness of the new shoulder actuation mechanism of the ARMin III exoskeleton are compared to a ball-and-socket-type shoulder actuation. The study was conducted in 20 healthy subjects using questionnaires and 3D-motion records to assess comfort and naturalness. The results indicate that the new shoulder actuation is slightly better than a ball-and-socket-type actuation. However, the differences are small, and under the tested conditions, the comfort and the naturalness of the two tested shoulder actuations do not differ a lot.
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The objective of this study was to compare onset of deep and superficial cervical flexor muscle activity during rapid, unilateral arm movements between ten patients with chronic neck pain and 12 control subjects. Deep cervical flexor (DCF) electromyographic activity (EMG) was recorded with custom electrodes inserted via the nose and fixed by suction to the posterior mucosa of the oropharynx. Surface electrodes were placed over the sternocleidomastoid (SCM) and anterior scalene (AS) muscles. While standing, subjects flexed and extended the right arm in response to a visual stimulus. For the control group, activation of DCF, SCM and AS muscles occurred less than 50 ms after the onset of deltoid activity, which is consistent with feedforward control of the neck during arm flexion and extension. When subjects with a history of neck pain flexed the arm, the onsets of DCF and contralateral SCM and AS muscles were significantly delayed (p<0.05). It is concluded that the delay in neck muscle activity associated with movement of the arm in patients with neck pain indicates a significant deficit in the automatic feedforward control of the cervical spine. As the deep cervical muscles are fundamentally important for support of the cervical lordosis and the cervical joints, change in the feedforward response may leave the cervical spine vulnerable to reactive forces from arm movement.
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Using a computer keyboard with the forearms unsupported has been proposed as a causal factor for neck/shoulder and arm/hand diagnoses. Recent laboratory and field studies have demonstrated that forearm support might be preferable to working in the traditional floating posture. The aim of this study was to determine whether providing forearm Support when using a normal computer workstation would decrease musculoskeletal discomfort in intensive computer users in a call centre. A randomised controlled study (n = 59), of 6 weeks duration was conducted. Thirty participants (Group 1) were allocated to forearm support using the desk surface with the remainder (Group 2) acting as a control group. At 6 weeks, the control group was also set up with forearm support. Both groups were then monitored for another 6 weeks. Questionnaires were used at 1, 6 and 12 weeks to obtain information about discomfort, workstation setup, working posture and comfort. Nine participants (Group 1 n = 6, Group 2 n = 3) withdrew within a week of commencing forearm support either due to discomfort or difficulty in maintaining the posture. At 6 weeks, the group using forearm support generated significantly fewer reports of discomfort in the neck and back, although the difference between the groups was not statistically significant. At 12 weeks, there were fewer reports of neck, back and wrist discomfort when preintervention discomfort was compared with post intervention discomfort. These findings indicate that for the majority of users, forearm support may be preferable to the floating Posture implicit in current guidelines for computer workstation setup. (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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As the number of women surviving breast cancer increases, with implications for the health system, research into the physical and psychosocial sequelae of the cancer and its treatment is a priority. This research estimated self-reported health-related quality of life (HRQoL) associated with two rehabilitation interventions for breast cancer survivors, compared to a non-intervention group. Women were selected if they received an early home-based physiotherapy intervention (DAART, n = 36) or a group-based exercise and psychosocial intervention (STRETCH, n = 31). Questionnaires on HRQoL, using the Functional Assessment of Cancer Therapy - Breast Cancer plus Arm Morbidity module, were administered at pre-, post-intervention, 6- and 12-months post-diagnosis. Data on a non-intervention group (n = 208) were available 6- and 12-months post-diagnosis. Comparing pre/post-intervention measures, benefits were evident for functional well-being, including reductions in arm morbidity and upper-body disability for participants completing the DAART service at one-to-two months following diagnosis. In contrast, minimal changes were observed between pre/post-intervention measures for the STRETCH group at approximately 4-months post-diagnosis. Overall, mean HRQoL scores (adjusted for age, chemotherapy, hormone therapy, high blood pressure and occupation type) improved gradually across all groups from 6- to 12-months post-diagnosis, and no prominent differences were found. However, this obscured declining HRQoL scores for 20-40% of women at 12 months post-diagnosis, despite receiving supportive care services. Greater awareness and screening for adjustment problems among breast cancer survivors is required throughout the disease trajectory. Early physiotherapy after surgery has the potential for short-term functional, physical and overall HRQoL benefits.
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The purpose of this research was to estimate the cost-effectiveness of two rehabilitation interventions for breast cancer survivors, each compared to a population-based, non-intervention group (n = 208). The two services included an early home-based physiotherapy intervention (DAART, n = 36) and a group-based exercise and psychosocial intervention (STRETCH, n = 31). A societal perspective was taken and costs were included as those incurred by the health care system, the survivors and community. Health outcomes included: (a) 'rehabilitated cases' based on changes in health-related quality of life between 6 and 12 months post-diagnosis, using the Functional Assessment of Cancer Therapy - Breast Cancer plus Arm Morbidity (FACT-B+4) questionnaire, and (b) quality-adjusted life years (QALYs) using utility scores from the Subjective Health Estimation (SHE) scale. Data were collected using self-reported questionnaires, medical records and program budgets. A Monte-Carlo modelling approach was used to test for uncertainty in cost and outcome estimates. The proportion of rehabilitated cases was similar across the three groups. From a societal perspective compared with the non-intervention group, the DAART intervention appeared to be the most efficient option with an incremental cost of $1344 per QALY gained, whereas the incremental cost per QALY gained from the STRETCH program was $14,478. Both DAART and STRETCH are low-cost, low-technological health promoting programs representing excellent public health investments.
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Reproduction of a previously presented elbow position is affected by changes in head position. As movement of the head is associated with local biomechanical changes, the aim of the present study was to determine if illusory changes in head position could induce similar effects on the reproduction of elbow position. Galvanic vestibular stimulation (GVS) was applied to healthy subjects in supine lying. The stimulus was applied during the presentation of an elbow position, which the subject then reproduced without stimulation. In the first study, 13 subjects received 1.5 mA stimuli, which caused postural sway in standing, confirming that the firing of vestibular afferents was affected, but no illusory changes in head position were reported. In the second study, 13 subjects received 2.0-3.0 mA GVS. Six out of 13 subjects reported consistent illusory changes in head position, away from the side of the anode. In these subjects, anode right stimulation induced illusory left lateral flexion and elbow joint position error towards extension (p=0.03), while anode left tended to have the opposite effect (p=0.16). The GVS had no effect on error in subjects who did not experience illusory head movement with either 1.5 mA stimulus (p=0.8) or 2.0-3.0 mA stimulus (p=0.7). This study demonstrates that the accuracy of elbow repositioning is affected by illusory changes in head position. These results support the hypothesis that the perceived position of proximal body segments is used in the planning and performance of accurate upper limb movements.
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Objective: To validate the unidimensionality of the Action Research Arm Test (ARAT) using Mokken analysis and to examine whether scores of the ARAT can be transformed into interval scores using Rasch analysis. Subjects and methods: A total of 351 patients with stroke were recruited from 5 rehabilitation departments located in 4 regions of Taiwan. The 19-item ARAT was administered to all the subjects by a physical therapist. The data were analysed using item response theory by non-parametric Mokken analysis followed by Rasch analysis. Results: The results supported a unidimensional scale of the 19-item ARAT by Mokken analysis, with the scalability coefficient H = 0.95. Except for the item pinch ball bearing 3rd finger and thumb'', the remaining 18 items have a consistently hierarchical order along the upper extremity function's continuum. In contrast, the Rasch analysis, with a stepwise deletion of misfit items, showed that only 4 items (grasp ball'', grasp block 5 cm(3)'', grasp block 2.5 cm(3)'', and grip tube 1 cm(3)'') fit the Rasch rating scale model's expectations. Conclusion: Our findings indicated that the 19-item ARAT constituted a unidimensional construct measuring upper extremity function in stroke patients. However, the results did not support the premise that the raw sum scores of the ARAT can be transformed into interval Rasch scores. Thus, the raw sum scores of the ARAT can provide information only about order of patients on their upper extremity functional abilities, but not represent each patient's exact functioning.