482 resultados para Anticorps anticoagulant lupique


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Le virus Epstein-Barr (VEB) est fortement associé au développement de syndromes lymphoprolifératifs (SLP) en greffe pédiatrique. Ce virus a la capacité d’immortaliser les lymphocytes B et de provoquer leur prolifération incontrôlée chez l’hôte immunodéprimé. Plusieurs études démontrent que le cycle lytique du virus jouerait un rôle primordial dans la genèse des SLP en produisant des particules virales pouvant infecter les cellules B adjacentes. Chez un individu immunodéprimé, ces cellules B nouvellement infectées peuvent donner naissance à une expansion lymphocytaire. Le projet présenté dans ce mémoire fait partie d’un programme de recherche visant à élucider le rôle de l’infection productive par le VEB dans le développement des SLP. L’objectif précis de ce projet est de développer un anticorps monoclonal chimère contre la glycoprotéine gp350 du VEB dans le but de neutraliser le virus et d’ainsi prévenir son entrée dans les cellules B. Notre laboratoire a construit une version chimère de l’anticorps monoclonal murin 72A1, lequel se lie à la gp350 et bloque l’infection. Les premiers essais ont révélé la présence de chaînes non fonctionnelles (aberrantes) dans l’hybridome produisant l’anticorps 72A1. La construction de la chaîne légère authentique est maintenant complète alors que celle de la chaîne lourde est toujours en cours. Le processus de caractérisation de l’anticorps chimère inclura des essais de cytotoxicité à médiation cellulaire dépendante des anticorps (ADCC). Dans cette optique, une lignée cellulaire exprimant de façon stable la gp350 a été établie. Notre anticorps chimère anti-gp350 pourrait éventuellement être utilisé comme thérapie préventive chez les greffés présentant un risque élevé de SLP en empêchant l’infection des cellules B adjacentes.

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La sclérose systémique (ScS) est une maladie auto-immune dont l’un des principaux auto-anticorps, dirigé contre la protéine centromérique B (CENP-B), est fortement associé à l’hypertension artérielle pulmonaire, l’une des causes majeures de décès dû à la ScS. L’hypertension résulte de l’occlusion progressive des vaisseaux suite à une hyperactivation des cellules musculaires lisses (CML) de la paroi vasculaire. Cependant, les facteurs responsables de ce remodelage vasculaire restent inconnus. Plusieurs études récentes ont démontré que certains auto-antigènes possèdent des fonctions biologiques additionnelles lorsqu'ils se retrouvent dans le milieu extracellulaire. En effet, une fois libérés par nécrose ou apoptose, ces auto-antigènes adoptent une activité biologique qui s'apparente à celles des cytokines et peuvent ainsi participer aux processus normaux de réparation de blessure et/ou acquérir une activité pathogène qui contribue au développement de certaines maladies auto-immunes. Nos résultats suggèrent que la CENP-B peut être ajoutée à cette liste de molécules bifonctionnelles. À l'aide des techniques d'immunofluorescence, d'ELISA cellulaire et de cytométrie en flux, nous avons démontré que la CENP-B se liait spécifiquement à la surface des CML vasculaire de l’artère pulmonaire avec une plus grande affinité pour le phénotype contractile que synthétique. Cette liaison provoquait la migration des cellules ainsi que la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires telles que l’interleukine 6 et 8. Les mécanismes par lesquels la protéine exerçait ces effets impliquaient la phosphorylation de FAK et Src ainsi que la voie des MAP kinases, avec ERK1/2 et p38. Des études de signalisation intracellulaire effectuées à l’aide de plusieurs inhibiteurs spécifiques ainsi que des études de désensibilisation nous ont permis d’identifier le récepteur de la CENP-B en plus d’identifier les mécanismes complets de sa signalisation membranaire. Nous avons démontré que la CENP-B se liait de manière spécifique aux CML vasculaire via le récepteur de chémokine 3 (CCR3) pour ensuite transactiver le récepteur EGF, selon un mécanisme métalloprotéase-dépendant qui implique le relargage du HB-EGF. Cette transactivation est un processus important dans l’activation de la voie des MAP kinases ainsi que dans la sécrétion d’IL-8 induite par la CENP-B. Finalement, nous avons démontré que les auto-anticorps anti-CENP-B pouvaient abolir cette cascade de signalisation, empêchant ainsi la CENP-B d’exercer son rôle de cytokine. L’identification de la CENP-B comme ligand du CCR3 ouvre donc plusieurs perspectives quant à l’étude du rôle pathogène des auto-anticorps anti-CENP-B dans la ScS.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Chez le chien, les thromboses représentent une complication majeure de nombreuses conditions qui sont revues dans ce manuscrit. L’arsenal thérapeutique actuel présente certaines limites: des effets anticoagulants variables d’un patient à l’autre, des hémorragies et une administration par voie sous-cutanée pour l’héparine. Le rivaroxaban est un nouvel anticoagulant oral approuvé pour la prévention et le traitement des thromboses chez l’humain. C’est un inhibiteur direct du facteur Xa. La présente étude a pour objectif d’évaluer les effets hémostatiques du rivaroxaban chez des chiens en santé, en utilisant les tests de coagulation suivants: temps de prothrombine (PT), temps partiel de thromboplastine (aPTT), activité anti-facteur X, génération de thrombine (GT) et thromboélastographie (TEG®). Tout d’abord, l’effet anticoagulant du rivaroxaban a été évalué in vitro : le plasma citraté pauvre en plaquettes provenant de 20 Beagle en santé a été aliquoté et enrichi avec des solutions de rivaroxaban à des concentrations de 0 à 1000 mg/L d’anticoagulant. Une prolongation concentration-dépendante de tous les tests de coagulation a été notée. Les concentrations de 0.024 et 0.053 mg/L diminuent respectivement de 50% la vitesse de propagation de la GT et la densité optique de l’activité anti-facteur X. Ces derniers tests sont les plus sensibles et précis pour détecter l’effet anticoagulant du rivaroxaban. Ensuite, 24 Beagle en santé ont été répartis aléatoirement en 3 groupes (n=8). Chaque groupe a reçu par voie orale un placebo, ou 20 mg de rivaroxaban une ou deux fois à 8h d’intervalle. Quinze échantillons sanguins ont été prélevés pour chaque chien sur 30 heures. Pour tous les tests de coagulation excepté la TEG®, une différence significative a été notée dans les résultats entre les groupes traités et le groupe placebo (p<0.0001). La durée de l’effet anticoagulant du rivaroxaban était de 7.9-18.7h dans le groupe traité une fois; et de 17.5-26.8h dans le groupe traité deux fois. Le pic d’action de l’effet anticoagulant était d’environ 2h. Seul le paramètre R de la TEG® était significativement affecté dans les groupes traités. En conclusion, le rivaroxaban exerce un effet anticoagulant chez le chien à la dose de 2 mg/kg. Une administration biquotidienne semble appropriée pour un effet de 24h.

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We investigated the relationship between the severity and incidence of resistance among Norway rats (Rattus norvegicus) on a farm in Wales and the subsequent outcome of a practical rodent control operation. Bromadiolone resistance factors were estimated for rats trapped on the farm using the blood clotting response test, and were found to be 2 to 3 for male rats and approximately 6 for females. The incidence of resistance in the rat population was high. Infestation size was estimated by census baiting and tracking, and was found to be substantial, with a maximum of 6.5 kg of bait being eaten on a single night. A proprietary rodenticide (Deadline (TM)), containing 0.005% bromadiolone, was used to control the infestation. The duration of baiting was 35 days and, according to the two methods of assessment used, treatment success was in the region of 87 and 93%. No evidence was observed of a significant impact of resistance on the rat control operation, and the remaining rats of this very heavy infestation would probably have been controlled if baiting had continued for longer.

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This paper presents a reappraisal of the blood clotting response (BCR) tests for anticoagulant rodenticides, and proposes a standardised methodology for identifying and quantifying physiological resistance in populations of rodent species. The standardisation is based on the International Normalised Ratio, which is standardised against a WHO international reference preparation of thromboplastin, and allows comparison of data obtained using different thromboplastin reagents. ne methodology is statistically sound, being based on the 50% response, and has been validated against the Norway rat (Rattus norvegicus) and the house mouse (Mus domesticus). Susceptibility baseline data are presented for warfarin, diphacinone, chlorophacinone and coumatetralyl against the Norway rat, and for bromadiolone, difenacoum, difethialone, flocoumafen and brodifacoum against the Norway rat and the house mouse. A 'test dose' of twice the ED50 can be used for initial identification of resistance, and will provide a similar level of information to previously published methods. Higher multiples of the ED50 can be used to assess the resistance factor, and to predict the likely impact on field control.

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Studies on exposure of non-targets to anticoagulant rodenticides have largely focussed on predatory birds and mammals; insectivores have rarely been studied. We investigated the exposure of 120 European hedgehogs (Erinaceus europaeus) from throughout Britain to first- and second-generation anticoagulant rodenticides (FGARs and SGARs) using high performance liquid chromatography coupled with fluorescence detection (HPLC) and liquid-chromatography mass spectrometry (LCMS). The proportion of hedgehogs with liver SGAR concentrations detected by HPLC was 3-13% per compound, 23% overall. LCMS identified much higher prevalence for difenacoum and bromadiolone, mainly because of greater ability to detect low level contamination. The overall proportion of hedgehogs with LCMS-detected residues was 57.5% (SGARs alone) and 66.7% (FGARs and SGARs combined); 27 (22.5%) hedgehogs contained >1 rodenticide. Exposure of insectivores and predators to anticoagulant rodenticides appears to be similar. The greater sensitivity of LCMS suggests that hitherto exposure of non-targets is likely to have been under-estimated using HPLC techniques.

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A sample of 10 Norway rats (Rattus norvegicus) was taken for DNA resistance testing from an agricultural site in Kent where applications of the anticoagulant rodenticide bromadiolone had been unsuccessful. All animals tested were homozygous for the single nucleotide VKORC1 polymorphism tyrosine139phenylalanine, or Y139F. This is a common resistance mutation found extensively in France and Belgium but not previously in the UK. Y139F confers a significant level of resistance to first-generation anticoagulants, such as chlorophacinone, and to the second-generation compound bromadiolone. Another compound widely used in the UK, difenacoum, is also thought to be partially resisted by rats which carry Y139F. A silent VKORC1 mutation was also found in all rats tested. The presence of a third important VKORC1 mutation which confers resistance to anticoagulant rodenticides in widespread use in the UK, the others being Y139C and L120Q, further threatens the ability of pest control practitioners to deliver effective rodent control.

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Cost effective methods are now available to identify physiological resistance in wild populations of Norway rat and House mice that are proving difficult to control. The new molecular methodology is a significant development for resistance management.

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For the first time, it has been unequivocally shown that multiple-feed second-generation anticoagulant rodenticides were ineffective against a population of rats in N.W. Berkshire, UK because of an unusually high prevalence and high degree of resistance. Use of the non-anticoagulant rodenticide calciferol led to a substantial reduction in the population, although primary poisoning of small birds appeared to be greater than with anticoagulant baits. There was strong evidence that many of the surviving rats had developed an aversion towards calciferol-treated bait. A reduction in the degree of anticoagulant resistance in the population was evident after a period of 17 months without anticoagulant use. The long-term strategy to manage the resistant population should integrate non-anticoagulant and anticoagulant rodenticide use to take advantage of possible pleiotropic costs of resistance.

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Warfarin resistance was first discovered among Norway rat (Rattus norvegicus) populations in Scotland in 1958 and further reports of resistance, both in this species and in others, soon followed from other parts of Europe and the United States. Researchers quickly defined the practical impact of these resistance phenomena and developed robust methods by which to monitor their spread. These tasks were relatively simple because of the high degree of immunity to warfarin conferred by the resistance genes. Later, the second generation anticoagulants were introduced to control rodents resistant to the warfarin-like compounds, but resistance to difenacoum, bromadiolone and brodifacoum is now reported in certain localities in Europe and elsewhere. However, the adoption of test methods designed initially for use with the first generation compounds to identify resistance to compounds of the second generation has led to some practical difficulties in conducting tests and in establishing meaningful resistance baselines. In particular, the results of certain test methodologies are difficult to interpret in terms of the likely impact on practical control treatments of the resistance phenomena they seek to identify. This paper defines rodenticide resistance in the context of both first and second generation anticoagulants. It examines the advantages and disadvantages of existing laboratory and field methods used in the detection of rodent populations resistant to anticoagulants and proposes some improvements in the application of these techniques and in the interpretation of their results.