767 resultados para ATRIAL FIBRILLATION


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Since the management of atrial fibrillation may be difficult in the individual patient, our purpose was to develop simple clinical recommendations to help the general internist manage this common clinical problem. Systematic review of the literature with evaluation of data-related evidence and framing of graded recommendations. Atrial fibrillation affects some 1% of the population in Western countries and is linked to a significant increase in morbidity and mortality. The management of atrial fibrillation requires individualised evaluation of the risks and benefits of therapeutic modalities, relying whenever possible on simple and validated tools. The two main points requiring a decision in clinical management are 1) whether or not to implement thromboembolic prevention therapy, and 2) whether preference should be given to a "rate control" or "rhythm control" strategy. Thromboembolic prophylaxis should be prescribed after individualised risk assessment: for patients at risk, oral anticoagulation with warfarin decreases the rate of embolic complications by 60% and aspirin by 20%, at the expense of an increased incidence of haemorrhagic complications. "Rate control" and "rhythm control" strategies are probably equivalent, and the choice should also be made on an individualised basis. To assist the physician in making his choices for the care of an atrial fibrillation patient we propose specific tables and algorithms, with graded recommendations. On the evidence of data from the literature we propose simple algorithms and tables for the clinical management of atrial fibrillation in the individual patient.

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Fond : Le substrat de fibrillation auriculaire (FA) vagale et celui secondaire à remodelage par tachycardie auriculaire (RTA) partagent beaucoup des caractéristiques : période réfractaire efficace (PRE) réduite, hétérogénéité accrue de PRE et quelques mécanismes moléculaires communs. Cette étude a comparé les 2 substrats à une abréviation comparable de PRE. Méthodes : Chez chacun de 6 chiens de groupe de stimulation vagal (SV), les paramètres de stimulation cervicale bilatérale de nerves vagaux ont été ajustés pour produire la même PRE moyenne (calculé à 8 sites des oreillettes gauche et droite) avec 6 chiens de groupe de RTA assorti à sexe et poids. Des paramètres électrophysiologiques, la durée moyenne de la fibrillation auriculaire (DAF) et les fréquences dominantes (FD) locales ont étés calculés. Résultats : En dépit des PREs assorties (SV: 80±12msec contre RTA: 79±12msec) la DAF était plus longue (*), l’hétérogénéité de conduction était plus élevée (*), la FD était plus rapide (*) et la variabilité de FD plus grande (*) chez les chiens SV. Les zones de maximum FD qui reflètent les zones d’origine de FA étaient à côté de ganglions autonomes chez les chiens SV. Conclusions : Pour un PRE atriale comparable, la FA secondaire à SV est plus rapide et plus persistante que la FA avec un substrat de RTA. Ces résultats sont consistants avec des modèles de travail suggérant que l'hyperpolarisation SV-induite contribue de façon important à la stabilisation et à l'accélération des rotors qui maintiennent la FA. La similitude de la distribution de FD du groupe vagal avec la distribution des lésions d’ablation après cartographie des électrogrammes atriales fragmentés suggère des nouvelles techniques d’ablation. La distribution des FD entre le SV et le RTA fournit de nouvelles idées au sujet de possible rémodelage neuroreceptorial et indique des différences importantes entre ces substrats de FA superficiellement semblables.

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Le système nerveux autonome cardiaque est devenu une cible dans les thérapies ablatives de la fibrillation auriculaire. Nous avons étudié les voies de communication et la fonction des plexus ganglionnaires (PG) de l'oreillette gauche (PGOG) afin de clarifier la validité physiopathologique des méthodes de détection et des thérapies impliquant ces groupes de neuronnes. Méthodes: Vingt-deux chiens ont subi une double thoracotomie et ont été instrumentés avec des plaques auriculaires épidcardiques de multiélectrodes. Une stimulation électrique (2 mA, 15 Hz) des PGOG a été réalisée à l'état basal et successivement après: 1) une décentralisation vagale, 2) l'ablation par radiofréquence des plexus péri-aortiques et de la veine cave supérieure (Ao/VCS) et 3) l'ablation du PG de l'oreillette droite (PGOD). Ces procédures de dénervation ont été réalisées suivant une séquence antérograde (n = 17) ou rétrograde (n = 5). Résultats: Chez 17 des 22 animaux, la stimulation des PGOG a induit une bradycardie sinusale (149 ± 34 bpm vs 136 ± 28 bpm, p < 0.002) et des changements de repolarization (ΔREPOL) auriculaires isointégrales. Dans le groupe des ablations antérogrades, les réponses aux stimulations vagales ont été supprimées suite à la décentralisation vagale chez un seul animal, par l'ablation des plexus Ao/VCS dans 4 cas et par l'ablation du PGOG dans 5 autres animaux. Des changements ont persisté tout au long chez 2 chiens. La valeur de surface des ΔREPOL a diminué avec les dénervations séquentielles, passant de 365 ± 252 mm2 en basale à 53 ± 106 mm2 après l'ablation du PGOD (p < 0.03). Dans le groupe de dénervation rétrograde, les changements de repolarisation et chronotropiques ont été supprimés suite à l'ablation du PGOD chez deux chiens et suite à l'ablation Ao/VCS chez trois. La valeur de surface du ΔREPOL a aussi diminué après l'ablation du PGOD (269±144mm2 vs 124±158mm2, p<0.05). Conclusion: Les PGOD sont identifiables en préablation par la réponse bradycardique à la stimulation directe dans la plupart des cas. Le PGOD semble former la principale, mais non la seule, voie de communication avec le nœud sinusal. Ces résultats pourraient avoir des implications dans le traitement de la FA par méthodes ablatives.

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La fibrillation auriculaire (FA) est une arythmie touchant les oreillettes. En FA, la contraction auriculaire est rapide et irrégulière. Le remplissage des ventricules devient incomplet, ce qui réduit le débit cardiaque. La FA peut entraîner des palpitations, des évanouissements, des douleurs thoraciques ou l’insuffisance cardiaque. Elle augmente aussi le risque d'accident vasculaire. Le pontage coronarien est une intervention chirurgicale réalisée pour restaurer le flux sanguin dans les cas de maladie coronarienne sévère. 10% à 65% des patients qui n'ont jamais subi de FA, en sont victime le plus souvent lors du deuxième ou troisième jour postopératoire. La FA est particulièrement fréquente après une chirurgie de la valve mitrale, survenant alors dans environ 64% des patients. L'apparition de la FA postopératoire est associée à une augmentation de la morbidité, de la durée et des coûts d'hospitalisation. Les mécanismes responsables de la FA postopératoire ne sont pas bien compris. L'identification des patients à haut risque de FA après un pontage coronarien serait utile pour sa prévention. Le présent projet est basé sur l'analyse d’électrogrammes cardiaques enregistrées chez les patients après pontage un aorte-coronaire. Le premier objectif de la recherche est d'étudier si les enregistrements affichent des changements typiques avant l'apparition de la FA. Le deuxième objectif est d'identifier des facteurs prédictifs permettant d’identifier les patients qui vont développer une FA. Les enregistrements ont été réalisés par l'équipe du Dr Pierre Pagé sur 137 patients traités par pontage coronarien. Trois électrodes unipolaires ont été suturées sur l'épicarde des oreillettes pour enregistrer en continu pendant les 4 premiers jours postopératoires. La première tâche était de développer un algorithme pour détecter et distinguer les activations auriculaires et ventriculaires sur chaque canal, et pour combiner les activations des trois canaux appartenant à un même événement cardiaque. L'algorithme a été développé et optimisé sur un premier ensemble de marqueurs, et sa performance évaluée sur un second ensemble. Un logiciel de validation a été développé pour préparer ces deux ensembles et pour corriger les détections sur tous les enregistrements qui ont été utilisés plus tard dans les analyses. Il a été complété par des outils pour former, étiqueter et valider les battements sinusaux normaux, les activations auriculaires et ventriculaires prématurées (PAA, PVA), ainsi que les épisodes d'arythmie. Les données cliniques préopératoires ont ensuite été analysées pour établir le risque préopératoire de FA. L’âge, le niveau de créatinine sérique et un diagnostic d'infarctus du myocarde se sont révélés être les plus importants facteurs de prédiction. Bien que le niveau du risque préopératoire puisse dans une certaine mesure prédire qui développera la FA, il n'était pas corrélé avec le temps de l'apparition de la FA postopératoire. Pour l'ensemble des patients ayant eu au moins un épisode de FA d’une durée de 10 minutes ou plus, les deux heures précédant la première FA prolongée ont été analysées. Cette première FA prolongée était toujours déclenchée par un PAA dont l’origine était le plus souvent sur l'oreillette gauche. Cependant, au cours des deux heures pré-FA, la distribution des PAA et de la fraction de ceux-ci provenant de l'oreillette gauche était large et inhomogène parmi les patients. Le nombre de PAA, la durée des arythmies transitoires, le rythme cardiaque sinusal, la portion basse fréquence de la variabilité du rythme cardiaque (LF portion) montraient des changements significatifs dans la dernière heure avant le début de la FA. La dernière étape consistait à comparer les patients avec et sans FA prolongée pour trouver des facteurs permettant de discriminer les deux groupes. Cinq types de modèles de régression logistique ont été comparés. Ils avaient une sensibilité, une spécificité et une courbe opérateur-receveur similaires, et tous avaient un niveau de prédiction des patients sans FA très faible. Une méthode de moyenne glissante a été proposée pour améliorer la discrimination, surtout pour les patients sans FA. Deux modèles ont été retenus, sélectionnés sur les critères de robustesse, de précision, et d’applicabilité. Autour 70% patients sans FA et 75% de patients avec FA ont été correctement identifiés dans la dernière heure avant la FA. Le taux de PAA, la fraction des PAA initiés dans l'oreillette gauche, le pNN50, le temps de conduction auriculo-ventriculaire, et la corrélation entre ce dernier et le rythme cardiaque étaient les variables de prédiction communes à ces deux modèles.

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La fibrillation auriculaire est le trouble du rythme le plus fréquent chez l'homme. Elle conduit souvent à de graves complications telles que l'insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux. Un mécanisme neurogène de la fibrillation auriculaire mis en évidence. L'induction de tachyarythmie par stimulation du nerf médiastinal a été proposée comme modèle pour étudier la fibrillation auriculaire neurogène. Dans cette thèse, nous avons étudié l'activité des neurones cardiaques intrinsèques et leurs interactions à l'intérieur des plexus ganglionnaires de l'oreillette droite dans un modèle canin de la fibrillation auriculaire neurogène. Ces activités ont été enregistrées par un réseau multicanal de microélectrodes empalé dans le plexus ganglionnaire de l'oreillette droite. L'enregistrement de l'activité neuronale a été effectué continument sur une période de près de 4 heures comprenant différentes interventions vasculaires (occlusion de l'aorte, de la veine cave inférieure, puis de l'artère coronaire descendante antérieure gauche), des stimuli mécaniques (toucher de l'oreillette ou du ventricule) et électriques (stimulation du nerf vague ou des ganglions stellaires) ainsi que des épisodes induits de fibrillation auriculaire. L'identification et la classification neuronale ont été effectuées en utilisant l'analyse en composantes principales et le partitionnement de données (cluster analysis) dans le logiciel Spike2. Une nouvelle méthode basée sur l'analyse en composante principale est proposée pour annuler l'activité auriculaire superposée sur le signal neuronal et ainsi augmenter la précision de l'identification de la réponse neuronale et de la classification. En se basant sur la réponse neuronale, nous avons défini des sous-types de neurones (afférent, efférent et les neurones des circuits locaux). Leur activité liée à différents facteurs de stress nous ont permis de fournir une description plus détaillée du système nerveux cardiaque intrinsèque. La majorité des neurones enregistrés ont réagi à des épisodes de fibrillation auriculaire en devenant plus actifs. Cette hyperactivité des neurones cardiaques intrinsèques suggère que le contrôle de cette activité pourrait aider à prévenir la fibrillation auriculaire neurogène. Puisque la stimulation à basse intensité du nerf vague affaiblit l'activité neuronale cardiaque intrinsèque (en particulier pour les neurones afférents et convergents des circuits locaux), nous avons examiné si cette intervention pouvait être appliquée comme thérapie pour la fibrillation auriculaire. Nos résultats montrent que la stimulation du nerf vague droit a été en mesure d'atténuer la fibrillation auriculaire dans 12 des 16 cas malgré un effet pro-arythmique défavorable dans 1 des 16 cas. L'action protective a diminué au fil du temps et est devenue inefficace après ~ 40 minutes après 3 minutes de stimulation du nerf vague.

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OBJECTIVE: Anticoagulation is a challenge for the prophylaxis of thromboembolic events in elderly patients with chronic atrial fibrillation. Stable anticoagulation is defined as the time within > 70% of the therapeutic range. However, the dosage required to achieve stable anticoagulation remains unknown. The aim of this study was to analyze the warfarin dose necessary for the maintenance of stable oral anticoagulation therapy in elderly patients. METHODS: We analyzed 112 consecutive outpatients with atrial fibrillation who were >= 65 years of age, had received anticoagulation therapy with warfarin for more than 1 year and had a stable international normalized ratio between 2.0 and 3.0 for >= 6 months. The international normalized ratio was measured in the central laboratory using the traditional method. RESULTS: The patients were stratified according to the following age groups:,75 or >= 75 years and <80 or >= 80 years. The mean daily doses of warfarin were similar for patients, <75 or >= 75 years (3.34 +/- 1.71 versus 3.26 +/- 1.27 mg/day, p = 0.794) and <80 or >= 80 years (3.36 +/- 1.49 versus 3.15 +/- 1.23 mg/day, p = 0.433). In 88 (79%) patients, the daily warfarin dose was between 2 and 5 mg/day; in 13 (11%) patients, the daily warfarin dose was,2.0 mg/day; and in 11 (10%) patients, the daily warfarin dose was >5.0 mg/day. The correlation between the daily warfarin dose and the international normalized ratio was 0.22 (p = 0.012). CONCLUSION: Stable anticoagulation was achieved in 80% of patients who received doses of 2 to 5 mg/day of warfarin, and the mean daily dose was similar across the age groups analyzed.

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OBJECTIVES: Though elderly persons with chronic atrial fibrillation have more comorbidities that could limit indications for the chronic use of anticoagulants, few studies have focused on the risk of falls within this particular group. To evaluate the predictors of the risk of falls among elderly with chronic atrial fibrillation, a cross-sectional, observational study was performed. METHODS: From 295 consecutive patients aged 60 years or older with a history of atrial fibrillation who were enrolled within the last 2 years in the cardiogeriatrics outpatient clinic of the Instituto do Coracao do Hospital das Clinicas da Faculdade de Medicina da Universidade de Sao Paulo, 107 took part in this study. Their age was 77.9 +/- 6.4 years, and 62 were female. They were divided into two groups: a) no history of falls in the previous year and b) a history of one or more falls in the previous year. Data regarding the history of falls and social, demographic, anthropometric, and clinical information were collected. Multidimensional assessment instruments and questionnaires were applied. RESULTS: At least one fall was reported in 55 patients (51.4%). Among them, 27 (49.1%) presented recurrent falls, with body lesions in 90.4% and fractures in 9.1% of the cases. Multivariate logistic regression showed that self-reported difficulty maintaining balance, use of amiodarone, and diabetes were independent variables associated with the risk of falls, with a sensitivity of 92.9% and a specificity of 44.9%. CONCLUSION: In a group of elderly patients with chronic atrial fibrillation who were relatively independent and able to attend an outpatient clinic, the occurrence of falls with recurrence and clinical consequences was high. Difficulty maintaining balance, the use of amiodarone and a diagnosis of diabetes mellitus were independent predictors of the risk for falls. Thus, simple clinical data predicted falls better than objective functional tests.

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Background: Atrial fibrillation (AF) is a controversial risk factor for dementia. Objective: The objective of this study was to assess the association between AF and dementia in the "Sao Paulo Ageing & Health" (SPAH) study participants. Methods: SPAH is a cross-sectional, population-based study of elderly people living in a deprived neighborhood in Sao Paulo, Brazil. Dementia diagnosis was performed according to the 10/66 study group protocol based on Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-IV) criteria. Diagnosis of AF was made using a 12-lead electrocardiogram (ECG) recording, which was assessed by two cardiologists. Data on demographics and cardiovascular risk factors were also obtained. Results: Dementia was diagnosed in 66 (4.3%) and AF in 36 (2.4%) of 1,524 participants with a valid ECG. The crude odds ratio (OR) for dementia in participants with AF was 2.8 (95% confidence interval [CI]: 1.0-8.1; p=0.06) compared with individuals without AF. When analyzing data according to sex, a positive relationship was found in women (OR 4.2; 95% CI: 1.24-15.1; p=0.03). After age-adjustment, however, this association was no longer significant (OR 2.2; 95% CI: 0.6-8.9; p=0.26). Conclusion: There was no independent association between AF and dementia in this sample. The prevalence of AF may be low in this population owing to premature cardiovascular death. (Arq Bras Cardiol 2012;99(6):1108-1114)

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Background: Atrial fibrillation is a serious public health problem posing a considerable burden to not only patients, but the healthcare environment due to high rates of morbidity, mortality, and medical resource utilization. There are limited data on the variation in treatment practice patterns across different countries, healthcare settings and the associated health outcomes. Methods/design: RHYTHM-AF was a prospective observational multinational study of management of recent onset atrial fibrillation patients considered for cardioversion designed to collect data on international treatment patterns and short term outcomes related to cardioversion. We present data collected in 10 countries between May 2010 and June 2011. Enrollment was ongoing in Italy and Brazil at the time of data analysis. Data were collected at the time of atrial fibrillation episode in all countries (Australia, Brazil, France, Germany, Italy, Netherlands, Poland, Spain, Sweden, United Kingdom), and cumulative follow-up data were collected at day 60 (+/- 10) in all but Spain. Information on center characteristics, enrollment data, patient demographics, detail of atrial fibrillation episode, medical history, diagnostic procedures, acute treatment of atrial fibrillation, discharge information and the follow-up data on major events and rehospitalizations up to day 60 were collected. Discussion: A total of 3940 patients were enrolled from 175 acute care centers. 70.5% of the centers were either academic (44%) or teaching (26%) hospitals with an overall median capacity of 510 beds. The sites were mostly specialized with anticoagulation clinics (65.9%), heart failure (75.1%) and hypertension clinics (60.1%) available. The RHYTHM-AF registry will provide insight into regional variability of antiarrhythmic and antithrombotic treatment of atrial fibrillation, the appropriateness of such treatments with respect to outcomes, and their cost-efficacy. Observations will help inform strategies to improve cardiovascular outcomes in patients with atrial fibrillation.

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Background In ROCKET AF, rivaroxaban was non-inferior to adjusted-dose warfarin in preventing stroke or systemic embolism among patients with atrial fibrillation (AF). We aimed to investigate whether the efficacy and safety of rivaroxaban compared with warfarin is consistent among the subgroups of patients with and without previous stroke or transient ischaemic attack (TIA). Methods In ROCKET AF, patients with AF who were at increased risk of stroke were randomly assigned (1:1) in a double-blind manner to rivaroxaban 20 mg daily or adjusted dose warfarin (international normalised ratio 2-0-3.0). Patients and investigators were masked to treatment allocation. Between Dec 18,2006, and June 17,2009,14 264 patients from 1178 centres in 45 countries were randomly assigned. The primary endpoint was the composite of stroke or non-CNS systemic embolism. In this substudy we assessed the interaction of the treatment effects of rivaroxaban and warfarin among patients with and without previous stroke or TIA. Efficacy analyses were by intention to treat and safety analyses were done in the on-treatment population. ROCKET AF is registered with ClinicalTrials.gov, number NCT00403767. Findings 7468 (52%) patients had a previous stroke (n=4907) or TIA (n=2561) and 6796 (48%) had no previous stroke or TIA. The number of events per 100 person-years for the primary endpoint in patients treated with rivaroxaban compared with warfarin was consistent among patients with previous stroke or TIA (2.79% rivaroxaban vs 2.96% warfarin; hazard ratio [HR] 0-94,95% CI 0.77-1.16) and those without (1.44% vs 1.88%; 0.77, 0.58-1-01; interaction p=0.23). The number of major and non-major clinically relevant bleeding events per 100 person-years in patients treated with rivaroxaban compared with warfarin was consistent among patients with previous stroke or TIA (13.31% rivaroxaban vs 13.87% warfarin; HR 0.96,95% CI 0.87-1-07) and those without (16.69% vs 15.19%; 1.10, 0.99-1.21; interaction p=0.08). Interpretation There was no evidence that the relative efficacy and safety of rivaroxaban compared with warfarin was different between patients who had a previous stroke or TIA and those who had no previous stroke or TIA. These results support the use of rivaroxaban as an alternative to warfarin for prevention of recurrent as well as initial stroke in patients with AF.

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BACKGROUND: Atrial fibrillation (AF) is a significant risk factor for cardiovascular (CV) mortality. This study aims to evaluate the prognostic implication of AF in patients with peripheral arterial disease (PAD). METHODS: The International Reduction of Atherothrombosis for Continued Health (REACH) Registry included 23,542 outpatients in Europe with established coronary artery disease, cerebrovascular disease (CVD), PAD and/or >/=3 risk factors. Of these, 3753 patients had symptomatic PAD. CV risk factors were determined at baseline. Study end point was a combination of cardiac death, non-fatal myocardial infarction (MI) and stroke (CV events) during 2 years of follow-up. Cox regression analysis adjusted for age, gender and other risk factors (i.e., congestive heart failure, coronary artery re-vascularisation, coronary artery bypass grafting (CABG), MI, hypertension, stroke, current smoking and diabetes) was used. RESULTS: Of 3753 PAD patients, 392 (10%) were known to have AF. Patients with AF were older and had a higher prevalence of CVD, diabetes and hypertension. Long-term CV mortality occurred in 5.6% of patients with AF and in 1.6% of those without AF (p<0.001). Multivariable analyses showed that AF was an independent predictor of late CV events (hazard ratio (HR): 1.5; 95% confidence interval (CI): 1.09-2.0). CONCLUSION: AF is common in European patients with symptomatic PAD and is independently associated with a worse 2-year CV outcome.

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Mapping and ablation of atrial tachycardias (ATs) secondary to catheter ablation of atrial fibrillation (AF) is often challenging due to the complex atrial substrate, different AT mechanisms, and potential origin not only in the left atrium (LA) but also from the right atrium (RA) and the adjacent thoracic veins.

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Atrial fibrillation (AF) and heart failure (HF) are common and interrelated conditions, each promoting the other, and both associated with increased mortality. HF leads to structural and electrical atrial remodeling, thus creating the basis for the development and perpetuation of AF; and AF may lead to hemodynamic deterioration and the development of tachycardia-mediated cardiomyopathy. Stroke prevention by antithrombotic therapy is crucial in patients with AF and HF. Of the 2 principal therapeutic strategies to treat AF, rate control and rhythm control, neither has been shown to be superior to the other in terms of survival, despite better survival in patients with sinus rhythm compared with those in AF. Antiarrhythmic drug toxicity and poor efficacy are concerns. Catheter ablation of AF can establish sinus rhythm without the risks of antiarrhythmic drug therapy, but has important procedural risks, and data from randomized trials showing a survival benefit of this treatment strategy are still lacking. In intractable cases, ablation of the atrioventricular junction and placement of a permanent pacemaker is a treatment alternative; and biventricular pacing may prevent or reduce the negative consequences of chronic right ventricular pacing.

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The European PLAATO (Percutaneous Left Atrial Appendage Transcatheter Occlusion) study was performed to determine the safety and efficacy of left atrial appendage occlusion by catheter technique. Embolic stroke due to atrial fibrillation is a common observation, especially in the elderly. Most thrombi in atrial fibrillation form in the left atrial appendage (LAA), its occlusion may therefore reduce the incidence of stroke in these patients.