985 resultados para Éthique du soin


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Par une approche analytique, cette étude en éthique clinique a examiné la problématique de la demande d’assistance médicalisée pour mourir formulée dans le cadre des soins de fin de vie. Partant du fait que cette demande sollicite les soignants dans leur savoir et leur savoir-faire, surtout dans leur savoir-être, cette étude rend d’abord compte d’un fait : bon gré mal gré l’interdit de l’euthanasie par la loi et la déontologie médicale, ainsi que le débat contradictoire à son sujet qui dure déjà voici quelques décennies, il arrive de temps à autres que les soignants œuvrant en soins de fin de vie, soient confrontés à une demande d’assistance médicalisée pour mourir. Cette demande qui émane de certaines personnes en fin de vie et / ou de leurs proches, est souvent source de malaise pour les soignants à l’endroit de qui elle crée des défis majeurs et fait naître des dilemmes éthiques importants. Plus particulièrement, cette demande interroge toujours la finalité même des soins de fin de vie : est-ce que l’aide pour mourir fait partie de ces soins ? En réponse à cette question difficile, cette démarche réflexive de soignant chercheur en éthique montre qu’il est difficile de donner une réponse binaire en forme de oui / non ; il est difficile de donner une réponse d’application universalisable, et de définir une généralisable conduite à tenir devant une telle demande, car chaque cas est singulier et unique à son genre. Cette étude montre prioritairement que l’humanisation de la mort est à la fois un enjeu éthique important et un défi majeur pour notre société où la vie des individus est médicalisée de la naissance à la mort. En conséquence, parce que la demande d’assistance médicalisée pour mourir sollicite les soignants dans leur savoir et leur savoir-faire, cette étude montre toute l’importance de la réflexivité et de la créativité que doivent développer les soignants pour apporter une réponse constructive à chaque demande : une réponse humanisant le mourir et la mort elle-même, c’est-à-dire une réponse qui soit, sur le plan éthique, raisonnable et cohérente, une réponse qui soit sur le plan humain, porteuse de sens. D’où, outre l’axiologie, cette démarche réflexive montre que l’interdisciplinarité, la sémantique, l’herméneutique et les grilles d’analyse en éthique, constituent des outils réflexifs efficaces pouvant mieux aider les soignants dans leur démarche. Sur quelles bases éthiques, les soignants doivent-ils examiner une demande d’assistance médicalisée pour mourir, demande qui se présente toujours sous la forme d’un dilemme éthique? Cette question renvoie entre autre au fait que cette demande sollicite profondément les soignants dans leur savoir-être en relation des soins de fin de vie. Aussi bonnes les unes que les autres, qu’on soit pour ou contre l’euthanasie, plusieurs stratégies et méthodes d’analyse sont proposées aux soignants pour la résolution des conflits des valeurs et des dilemmes éthiques. Mais, ce n’est pas sur cette voie-là que cette étude invite les soignants. C’est plutôt par leur réflexivité et leur créativité, enrichies principalement par leur humanisme, leur expérience de vie, leur intuition, et secondairement par les différentes méthodes d’analyse, que selon chaque contexte, les soignants par le souci permanent de bien faire qui les caractérisent, trouveront toujours par eux-mêmes ce qui convient de faire dans l’ici et maintenant de chaque demande. C’est pourquoi, devant une demande d’assistance médicalisée pour mourir qui leur est adressée dans le cadre des soins de fin de vie, cette démarche éthique invite donc les soignants à être « des cliniciens créatifs, des praticiens réflexifs» . C’est pour cette raison, sur le plan proprement dit de la réflexion éthique, cette étude fait apparaître les repères de l’éthique humaniste de fin de vie comme bases axiologiques sur lesquels les soignants peuvent construire une démarche crédible pour répondre au mieux à cette demande. L’éthique humaniste de fin de vie située dans le sillage de l’humanisme médical , où l’humain précède le médical, renvoie au fait qu’en soins de fin de vie où émerge une demande d’aide à la mort, entre le demandeur de cette aide et le soignant, tout doit être basé sur une confiante relation d’homme à homme, même si du côté du soignant, son savoir être dans cette relation est aussi enrichi par sa compétence, ses connaissances et son expérience ou son savoir-faire. Basée sur l’humanité du soignant dans la démarche de soins, l’éthique humaniste de fin de vie en tant que pratique réflexive émerge de la créativité éthique du soignant lui-même et de l’équipe autour de lui ; et cette éthique se situe entre interrogation et transgression, et se définit comme une éthique « du vide-de-sens-à-remplir » dans un profond souci humain de bien faire. Car, exclue l’indifférence à la demande de l’assistance médicalisée pour mourir, son acceptation ou son refus par le soignant, doit porter sur l’humanisation de la mort. Cette dernière étant fondamentalement définie par rapport à ce qui déshumanise la fin de vie.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Ce mémoire vise à explorer le lien étroit unissant le scepticisme philosophique, le dispositif cinématographique et la tétralogie de Gus Van Sant : Gerry, Elephant, Last days et Paranoid Park. À partir de la philosophie de Stanley Cavell, il sera d’abord question de développer le scepticisme comme condition d’existence et non plus comme doctrine philosophique. Stanley Cavell fait bifurquer le problème sceptique de la cognition vers l’éthique et nous verrons comment Gus Van Sant, en proposant un cinéma du désoeuvrement et de la mélancolie où l’individu est en rupture avec le monde, rejoint cette dimension éthique du scepticisme par le cinéma. Ensuite, il s’agira de voir comment le dispositif cinématographique est l’expression même du scepticisme cavellien et comment il permet de tendre vers le perfectionnisme moral en imposant la reconnaissance de son existence à travers la décision morale. Enfin, nous verrons comment Gus Van Sant, en réinventant le plan-séquence et le ralenti, répond singulièrement au problème posé par le scepticisme en réintégrant l’individu dans le monde à force de manipulations formelles qui sont autant de réponses au désoeuvrement contemporain comme condition existentielle. Ces réponses trouvées par Gus Van Sant ne sont pas des solutions, mais une exploration des dimensions d’un problème qu’il renouvèle : le scepticisme.

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Thèse réalisée en cotutelle avec l'Institut supérieur de philosophie, Université catholique de Louvain.

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Réalisé en cotutelle avec L'École des hautes études en sciences sociales de Paris

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La question de l’accès financier des personnes socialement défavorisées aux soins de santé est aujourd’hui un enjeu éthique de grande importance dans de nombreux pays à faible revenu ou en voie d’émergence. On peut se demander comment l’équité dans l’accès aux soins peut être rendue effective puisque l’égalité des chances pour tous et la santé sont des pré-requis aux choix de vie et à la réalisation de soi. Les soins de santé sont donc d’une importance éthique particulière du fait qu’ils contribuent à préserver notre statut comme citoyens pleinement fonctionnels. Au Cameroun, bien que des efforts considérables soient consentis par les pouvoirs publics et leurs partenaires extérieurs pour favoriser l’accès aux soins des personnes défavorisées, le secteur de la santé reste encore très marqué par l’inégalité dans l’accès financier aux prestations sanitaires. Les médicaments les plus essentiels ne sont pas financièrement à la portée de tous et les coûts d’accès aux soins ambulatoires et hospitaliers dans les formations sanitaires sont manifestement prohibitifs pour une large frange de la population. Lors des épisodes de maladie, l’accès aux soins se fait par le paiement direct au point d’accès, et la pratique de l’automédication s’est répandue du fait de l’incapacité des personnes socialement défavorisées à payer leurs soins sans courir le risque de perdre l’essentiel de leur revenu. Les mesures de prise en charge sociale ou des systèmes de financement qui garantissent la réduction des inégalités entre les classes sociales sont fortement limitées par les faibles capacités d’une économie qui repose essentiellement sur l’informel. Sur la base de cette réalité, cette thèse analyse à partir du cas des travailleurs vulnérables du secteur informel urbain, la pertinence du choix politique de la couverture universelle santé au Cameroun à travers les principes de responsabilité et de solidarité. La population d’étude choisie est celle des travailleurs vulnérables du secteur informel en considération des problématiques liées à leur accès aux soins de santé, de l’importance de leur apport dans l’économie du pays ( 90 % des travailleurs) et du rôle qu’elle pourrait jouer dans l’atteinte de l’objectif de la couverture universelle santé. La thèse analyse donc, d’une part, les conditions et les modalités de répartition des biens sociaux qui répondent à la nécessaire redistribution équitable des ressources, en l’occurrence l’accès aux soins de qualité. Après avoir montré les préoccupations d’ordre politique, social, économique et éthique liées au problème d’accès universel aux soins, la thèse propose des stratégies opérationnelles susceptibles de conduire à l’amélioration de la qualité des soins et à un assainissement de la gestion du secteur des services de soins (éthique du care et éthique de bonne gouvernance). Aussi, dans la perspective de la recherche d’un financement local soutenable et durable de l’accès de tous aux soins, la thèse propose une approche participative. L’exploration de cette perspective aboutit au résultat qu’une approche inclusive et intégrée de promotion de l’économie informelle (dynamisation de ses activités et potentialisation de ses acteurs) pourrait faire de ce secteur un véritable levier de développement économique et social. Un développement social et solidaire durable et susceptible, sur le long terme, de réaliser l’objectif de la couverture universelle santé. En d’autres termes, elle propose des stratégies de capabilisation et de responsabilisation des travailleurs du secteur informel, en vue d’une société plus impliquée, plus responsable et plus solidaire. Une approche susceptible de matérialiser le droit à la santé, de construire l’autonomie des travailleurs en situation de vulnérabilité et de renforcer leurs capacités contributives à travers une opérationnalisation adaptée au contexte des principes de responsabilité et de solidarité.

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Je me propose d’explorer la notion de chaos dans les chapitres intérieurs du Zhuangzi, un texte taoïste daté du III e ou du IV e siècle avant notre ère, afin de démontrer que l’éthique du chaos qu’il préconise constitue un art de vivre à l’unisson avec le devenir cosmique. En ce que le Zhuangzi met en scène des personnages se moquant des codes moraux confucianistes, je corrèlerai tout d’abord cette éthique du chaos à l’élan transgressif qu’il représente vis-à-vis de l’ordre. Parce que le Zhuangzi vise en outre une quête de pleine liberté et d’intensification de la vie pour elle-même, je montrerai en quoi cette éthique est à comprendre comme l’art de la métamorphose du « je », c’est-à-dire comme la capacité d’épouser une pluralité du « je » s’harmonisant au Dao, ce qui génère et transforme le monde.

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Ce mémoire de maîtrise présente les résultats de l’analyse ergonomique centrée sur l’activité de quatre préposées aux bénéficiaires (PAB) travaillant dans trois centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) et ayant reçu la formation à l’approche relationnelle de soins (ARS). L’hypothèse spécifique de ce projet est que des facteurs de l’environnement de travail des PAB influencent la mise en œuvre des principes enseignés lors de la formation à l’ARS. Pour ce faire, une étude de cas en profondeur par observation in situ a été réalisée auprès de quatre PAB. 44 soins d’hygiène en ont été extraits, puis analysés à l’aide d’une grille d’objectivation de l’ARS. Des entretiens post-soin semi structurés ont été réalisés avec chaque PAB, afin de recueillir leur perception du soin réalisé. Des entretiens d’autoconfrontation ont complété l’étude. Les résultats montrent que les éléments de l’ARS les plus souvent mis en œuvre sont principalement reliés à la création de la bulle relationnelle et la communication alors que ceux qui sont les moins souvent mis en œuvre concernent le toucher et le maintien des capacités du résident. La connaissance préalable du résident ressort comme un facteur-clé facilitant la mise en œuvre de l’ARS. Les PAB se soucient toujours de l’environnement physique, mais elles le perçoivent comme un facteur nuisible à l’ARS, dont elles doivent se préoccuper continuellement. Les contraintes temporelles perçues constituent pour certaines une entrave à la mise en œuvre de l’ARS, alors que pour celles qui ont intégré l’ARS dans leur quotidien, elle leur permet de gagner du temps. Notre étude comporte toutefois certaines limites. Ainsi, certains éléments de la grille n’ont pu être évalués étant donné le non accès aux dossiers des résidents. La grille d’objectivation et le questionnaire post-soin se sont parfois avérés imprécis; les verbalisations des PAB ont alors permis d’éclaircir les résultats bruts. Les outils pourraient être plus sensibles à la mise en œuvre de l’ARS dans le travail réel.

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Le présent mémoire entend analyser la pratique de l’auto-filmage dans deux films : La Pudeur ou l’impudeur (Hervé Guibert) et Tarnation (Jonathan Caouette). Nous regroupons ces long-métrages sous l’étiquette « auto-filmage pathographique ». Le malade, s’émancipant de l’imagerie médicale et des pratiques cinématographiques institutionnelles, reprend l’image filmique à son compte, aidé en cela par une technologie toujours plus ergonomique. Cette résurgence de l’image du corps malade dans le champ social ne se fait pas sans heurt ; l’exposition de corps décharnés et agoniques convoque un imaginaire catastrophiste et contredit les rituels d’effacement du corps auxquels procède la société occidentale. La forme que prend le récit de soi dans l’auto-filmage pathographique dépend de la maladie qui affecte chaque créateur. Nous observons une redéfinition de la sincérité, en lien avec l’exercice autobiographique. Il s’agit d’utiliser, dans l’auto-filmage pathographique, certains procédés fictionnels pour créer un discours sur soi-même dont la véracité repose sur d’autres critères que ceux communément admis. L’auto-filmage pathographique suppose en ce sens un véritable changement d’attitude et la mise en place de techniques de soi. Il induit une forme de réconciliation avec sa propre identité physique et psychique. En cela, l’écriture filmique de soi est un agent transformateur de la vie et un exercice spirituel. Les réalisateurs ne sont cependant pas uniquement tournés vers eux-mêmes. Chacun inclut quelques privilégiés au coeur de sa démarche. Le soin de soi, dans l’auto-filmage pathographique, ne se désolidarise pas du soin des autres. Auto-filmage et caméra subjective entretiennent un lien dialectique qui donne son sens à l’auto-filmage pathographique et voit leur antagonisme éclater. L’individu s’auto-filmant n’est pas seul ; sa démarche n’est pas qu’un solipsisme. Elle se voit dépassée par l’émergence de l’autre dans le champ ou parfois même, sa prise en main de la caméra.

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Contient : 1 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à madame de Nemours,... A Moustiers, ce 24e d'aoust 1628 » ; 2 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à madame de Nemours » ; 3 Lettre de « V[ITTORE-] AMEDEO [DE SAVOIE], prince de Piemont... à monsieur le duc de Nemours » ; 4 Lettre de « C[HARLES-] EMANUEL », duc DE SAVOIE, au duc de Nemours. « De Turin, ce 24 novembre 1628 » ; 5 Lettre de « J[EAN-] FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve... Annessy, le XIX auvril 1629 » ; 6 Lettre de « C[HARLES-] EMANUEL », duc DE SAVOIE, à « monseigneur le duc de Nemours,... Aviliane, ce 29 avril 1629 » ; 7 Lettre de « M[AURICE], cardinal DE SAVOYE,... à monsieur le duc de Nemours,... Turin, ce 3 may 1629 » ; 8 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO » DE SAVOIE, prince de Piémont, au duc de Nemours. « De Thurin, ce 28 juillet 1629 » ; 9 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [DE SAVOIE, prince de Piémont]... à monseigneur de Nemours » ; 10 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [DE SAVOIE, prince de Piémont]... à monsieur de Nemours,... A Chambery, ce 3 de novembre 1629 » ; 11 Lettre de l'archiduchesse « ISABEL » CLAIRE-EUGENIE, gouvernante des Pays-Bas, à la duchesse de Nemours. « De Brusselas, a 28 de noviembre 1629 ». En espagnol ; 12 Lettre de « J[EAN-]FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve », à la duchesse de Nemours. « A Annessy, le 28 febvrier 1630 » ; 13 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [DE SAVOIE, prince de Piémont]... à la chambre des comptes de Savoye,... De Turin, ce 16e may 1630 ». Copie ; 14 « Responces aux calomnies advancées à S. A. Sme [de Savoie] contre Me Jean André Pavy d'Annessy ». 1630 ; 15 Lettre du Sr « CARRON, secretaire de l'ordre [de l'Annonciade]... à monseigneur le duc de Nemours,... De Savillan, ce 26 julliet 1630 » ; 16 Lettre de « HENRY DE SAVOYE [duc DE NEMOURS]... à monsieur de Mepieux,... De Paris, ce 20 aoust 1630 » ; 17 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOYE]... à madame de Nemours,... De la montagne de Thurin, ce 4e septembre 1630 » ; 18 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à monsieur le duc de Nemours,... A Sanfré, ce 28 de setembre 1630 » ; 19 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à madame la duchesse de Nemours,... A Sanfré, ce 28 de setembre 1630 » ; 20 Lettre du Sr « CARRON [secrétaire de l'ordre de l'Annonciade]... A Sanfré, le 29 de septembre 1630 » ; 21 Lettre du Sr « CARRON » au duc de Nemours. « A Sanfré, ce 29 setembre 1630 » ; 22 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, au duc de Nemours. « A Sanfré, ce 30 de settembre 1630 » ; 23 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, à la duchesse de Nemours. « A Sanfré, ce 30 de setembre 1630 » ; 24 Lettre du comte de « VERUE » au duc de Nemours. « De Rive, ce 2me 8bre 1630 » ; 25 Lettre de la reine « MARIE [DE MEDICIS]... à mon nepveu le duc de Nemours,... A Lyon, le IXe octobre 1630 » ; 26 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, au duc de Nemours. « De Villeneufve, ce 29 de novembre 1630 » ; 27 Lettre du prince « THOMAS » FRANÇOIS DE SAVOIE à « madame de Nemours,... A Villeneufve d'Ast, ce pr Xbre 1630 » ; 28 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, à « monseigneur le duc de Nemours,... A Querasque, ce 3 de decembre 1630 » ; 29 Lettre de « FRANCESCO D'ESTE,... duc de Modene... al Sr duca di Nemurs,... Di Reggio, li 10 gennaio 1631 ». En italien ; 30 Lettre d'ALBERT D'AQUAVIVA D'ARAGON, duc D'«ATRYE,... En Rome, ce 15 mars 1631 » ; 31 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO, duc DE SAVOYE,... à mon cousin le duc de Nemours,... A Querasque, ce IIIe d'avril 1631 » ; 32 « Articolo segreto della pace... tra il sigr duca di Savoya et il sigr duca di Mantova... In Cherasco, li 6 aprile 1631 ». En italien. Copie ; 33 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à madame ma cousine la duchesse de Nemours,... A Queras, ce 27 may 1631 » ; 34 Lettre du Sr « CARRON », secrétaire de l'ordre de l'Annonciade, au duc de Nemours. « A Turin, ce 14 d'octobre 1631 » ; 35 Lettre du prince « THOMAS » FRANÇOIS DE SAVOIE à la duchesse de Nemours. « A Carignan, ce 25e de juin 1631 » ; 36 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « Mr le duc de Nemours,... A Moncalier, ce 29 de juin 1631 » ; 37 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame la duchesse de Nemours,... A Moncalier, ce 29 de juin 1631 » ; 38 Lettre d'ABEL DE « SERVIEN,... à monseigneur le duc de Nemours,... A Virieus, le 7 8bre 1631 » ; 39 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Carignan, ce 4e janvier 1632 » ; 40 Lettre de « M[AURICE], cardinal DE SAVOYE,... à madame de Nemours,... De Turin, le 14 fevrier 1632 » ; 41 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à madame la duchesse de Nemours,... A Turin, ce 3 de mars 1632 » ; 42 Lettre de « M[AURICE], cardinal DE SAVOYE », au duc de Nemours. « Turin, le 13 may 1632 » ; 43 Lettre de « CHRESTIENNE [DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE]... à monsieur le duc de Nemours, mon cousin... De Turin, ce 2me de may 1632 » ; 44 « Ratiffication » par HENRI DE SAVOIE, duc DE NEMOURS, d'un don de trente mille livres tournois par lui fait à « François de Sainct Hubert, escuier, sieur de La Gastine », en reconnaissance du soin qu'il avait pris de ses affaires. « Faict et passé à Paris... l'an mil six cens trente deux, le vingt sixiesme jour de may » ; 45 Lettre du Sr DE « ST SIMON » au duc de Nemours. « A Pont Favergé, ce 13 juin 1632 » ; 46 Lettre de « J[EAN-]FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve », à la duchesse de Nemours. « A Annessy, le 28 juillet 1632 » ; 47 Lettre d'ARMAND-JEAN DU PLESSIS, « cardinal DE RICHELIEU,... à madame la duchesse de Nemours,... De Fontainebleau, ce 2e juing 1633 » ; 48 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « monsieur de Nemours,... De Mirefleurs, ce 22e juing 1633 » ; 49 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Mirefleurs, ce 22e juing 1633 » ; 50 Lettre de « J[EAN-]FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve », à la duchesse de Nemours. « A Clairmont, le premier juillet 1633 » ; 51 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Turin, ce 2e 7bre 1633 » ; 52 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à madame de Nemours,... De Turin, ce 30e de septembre 1633 » ; 53 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à made la duchesse de Nemours,... De Chambery, ce 12e de novembre 1633 » ; 54 Lettre de « CATERINE D[E] S[AVOIE]... à madame de Nemours, ma cousine... A Turin, le 14me decembre 1633 » ; 55 Lettre de « MARIE D[E] S[AVOIE]... à madame de Nemours, ma cousine... A Turin, le 14me Xbre 1633 » ; 56 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... Turin, ce 15 Xbre 1633 » ; 57 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à made la duchesse de Nemours,... De Chambery, ce 24e de decembre 1633 » ; 58 Lettre de « CHRESTIENNE [DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE]... à madame la duchesse de Nemours, ma cousine... Turin, ce 4 febvrier 1634 » ; 59 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Turin, ce 5e febvrier 1634 » ; 60 Lettre du prince « THOMAS » FRANÇOIS DE SAVOIE à la duchesse de Nemours. « De Chambery, ce 15 de fevrier 1634 » ; 61 Lettre de la princesse « MATILDE DE SAVOYE,... à madame la duchesse de Nemours,... De Turin, ce 22e juillet 1634 » ; 62 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, à « m[adame] de Nemours,... Du Valentin, le 3 aoust 1637 » ; 63 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO » DE SAVOIE, prince de Piémont, au duc « de Nemours » ; 64 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO » DE SAVOIE, prince de Piémont, au « duc de Nemours ». 1627 ; 65 Protestation de fidélité à la reine Marie de Médicis ; 66 État de payement de gens de guerre. Copie ; 67 Petit Mémoire adressé à M. « de Villeroy » pour le prier de rappeler au roi Louis XIII qu'il a promis de mettre l'abbaye de Saint-Évroul à la disposition du duc de Nemours ; 68 Mémoire pour un agent du roi Louis XIII auprès du duc de Savoie. Copie ; 69 Lettre de CHARLES DE BOURBON, « conte DE SOISSONS,... à monseigneur le duc de Nemours » ; 70 Minute d'une lettre de HENRI DE SAVOIE, duc DE NEMOURS, au duc de Savoie ; 71 « Instruction » donnée par le duc DE NEMOURS à « monsieur de Crocq, estant à Turin » près le duc de Savoie. Copie ; 72 « Coppie de lettre escritte par [HENRI DE LORRAINE, duc] DU MAINE, à monsgr d'Aumalle » ; 73 Lettre, avec chiffre et déchiffrement, relative au différend du duc de Nemours avec le duc de Savoie, adressée « à monsieur Bertelot, conseiller et secretaire ordinaire » du duc de Nemours ; 74 « Memoyres pour messeigneurs les ducs de Guize et de Montheleon », relatifs aux affaires de Savoie, à eux adressés par « HENRY DE SAVOYE [duc DE NEMOURS]... Ce 1 d'aoust » ; 75 Lettre adressée au « duc de Nemours », pour lui annoncer le rétablissement d'un de ses neveux

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De multiples auteurs de la discipline infirmière réclament la valeur inestimable de la relation de caring et de ses bienfaits pour la clientèle nécessitant des soins et services de réadaptation. En dépit de cette importance, la recherche concernant les bienfaits thérapeutiques de la relation de caring pour la clientèle de réadaptation demeure encore un domaine peu exploité. Actuellement, aucune étude scientifique québécoise, canadienne ou internationale, issue de la discipline infirmière, ne porte sur la compréhension de l’expérience d’« être avec » la personne soignée dans un contexte de réadaptation, aspect qui s’avère central à la relation de caring selon Watson. Au cœur même de la philosophie du Human Caring de Watson, la présente étude vise à explorer, par des entrevues qualitatives auprès de 17 infirmières oeuvrant en contexte de réadaptation, la signification de l’expérience d « être avec » la personne soignée, de même que leur perception de la contribution de cette expérience à la réadaptation de la personne soignée. Cinquante et une entrevues, c’est-à-dire trois entrevues réalisées pour chaque participant de recherche, ont été analysées à l’aide de la méthode phénoménologique intitulée « Relational Caring Inquiry » développée par Cara (1997). Le processus de recrutement des participants a impliqué la direction des soins infirmiers des deux centres de réadaptation ciblés par l’étude. Une attention particulière a été mise afin de favoriser une diversité de participants (par exemple : genre, niveau éducationnel, quart de travail, unité de soins). Le processus d’analyse des données a permis la découverte de cinq eidos-thèmes. Parmi ces eidos-thèmes, quatre se rapportent à la signification de l’expérience d’«être avec» la personne soignée (première question de recherche), à savoir : (a) l’importance des valeurs humanistes au centre du soin, (b) l’investissement de l’infirmière et de la personne soignée, (c) les dimensions réciproque et relationnelle du soin et, finalement, (d) l’expérience de soin irremplaçable d’une complexité contextuelle. De façon plus détaillée, le premier eidos-thème dévoile les fondements humanistes à la base de l’expérience d’« être avec » la personne soignée. Le deuxième manifeste l’implication substantielle de l’infirmière et de la personne soignée. Le troisième eidos-thème met en lumière la réciprocité et la dimension relationnelle comme étant des éléments centraux à l’expérience d’« être avec » la personne soignée. Le quatrième eidos-thème documente les natures fondamentale et complexe de cette expérience de soin unique, de même que les conditions contextuelles qui la facilitent et la contraignent. Le cinquième et dernier eidos-thème ayant émergé de la présente étude, « rehaussement de l’harmonie corps-âme-esprit chez la personne soignée et l’infirmière », illustre la perception des participantes quant à la contribution thérapeutique de l’expérience d’« être avec » la personne soignée à la réadaptation de cette dernière (deuxième question de recherche). Cette contribution se situe en termes de répondre aux besoins du patient, d’optimiser les progrès de réadaptation de la personne soignée, de promouvoir le niveau de bien-être de la personne soignée et de l’infirmière et, finalement, de hausser la croissance intérieure des personnes engagées dans cette expérience de soin extraordinaire. La reconnaissance des cinq eidos-thèmes a favorisé l’émergence de l’essence universelle du phénomène à l’étude qui s’intitule « la rencontre humaine profonde, thérapeutique et transformatrice ». La présente étude contribue de façon novatrice au développement des connaissances, notamment en permettant une meilleure compréhension de ce que signifie l’expérience d’« être avec » la personne soignée, pour des infirmières en réadaptation et en proposant une multitude de résultats probants pouvant servir de guide à la promulgation de soins infirmiers en contexte de réadaptation. En déterminant la signification ontologique de cette expérience de soin, la présente étude permet de préciser la place du phénomène d’« être avec » la personne soignée au centre de la théorie du caring. Ces résultats qui découlent de la deuxième question de recherche participent au développement initial d’un corpus de connaissances. Ces résultats probants serviront de guide au renouvellement de la pratique infirmière en contexte de réadaptation. De plus, en identifiant les bienfaits de cette expérience de soin, la présente étude reconnaît l’élément au cœur de la relation transpersonnelle de caring, qui contribue à rehausser l’harmonie corps-âme-esprit chez la personne soignée et l’infirmière. En plus de la clinique, des recommandations au niveau de la formation et de la recherche en sciences infirmières découlent de la présente étude.

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Le phénomène de la mort a été et sera toujours présent au sein des sociétés. Bien que la mort soit une étape triste et pénible à vivre, elle n’en demeure pas moins un événement inévitable et bien réel. Cependant, il existe des moyens, comme la pratique des rites, permettant d’atténuer la souffrance causée par un décès. Malgré tout, il n’est pas rare de constater l’absence ou le peu de temps consacré aux rites lors d’un décès en milieu hospitalier (O’Gorman, 1998; Lemieux, 1991; Leonetti, 2004; Hamonet, 1992; Piquet, 1999; Hanus, 1999; Vachon, 2007; Hasendhal, 1998). Les raisons susceptibles d’être à l’origine de cette situation peuvent découler du fait que les progrès de la médecine et des technologies amènent à croire que l’être humain est invulnérable face à la mort et que celle-ci représente un échec vis-à-vis la maladie. Le manque de formation des soignants par rapport à la mort (Leonetti, 2004; Goopy, 2005; Blum, 2006) est aussi à considérer. Finalement, la tendance de certaines sociétés occidentales qui occultent et nient la mort (O’Gorman, 1998; Piquet, 1999; Matzo et al., 2001; MSSS, 2004; Leonetti, 2004; SFAP, 2005; Goopy, 2005) constitue une autre possibilité. Pourtant, offrir la possibilité aux familles de réaliser leurs rites en signe d’amour pour le défunt fait partie de la composante du soin spirituel lequel, est intégré dans les soins infirmiers. À notre connaissance, peu d’études ont exploré les rites dans un contexte de décès en milieu hospitalier, d’où la pertinence de s’y attarder. Ainsi, le but de la recherche consistait à décrire et à comprendre la signification des rites associés au décès de la personne soignée, pour des infirmières œuvrant en milieu hospitalier. Pour ce faire, l’étudiante-chercheuse a réalisé auprès de neufs infirmières, une étude qualitative de type phénoménologique, ayant comme perspective disciplinaire, la philosophie du caring de Watson (1979, 1988, 2006, 2008). L’analyse des verbatim, réalisée selon la méthodologie de Giorgi (1997), a permis d’obtenir 28 sous-thèmes émergeant des six thèmes suivant soit : a) accompagnement empreint de caring; b) respect incontesté de la dignité humaine et du caractère sacré des rites; c) réconfort spirituel des personnes, des familles et du personnel; d) conciliation des croyances culturelles et religieuses; e) mort comme phénomène existentiel; f) barrières face aux rites. Par la suite, a émergé de ces thèmes, l’essence de la signification des rites associés au décès de la personne soignée, pour des infirmières œuvrant en milieu hospitalier. L’essence correspond à : un hommage essentiel envers le défunt et sa famille, en dépit des nombreuses barrières qui freinent sa pratique. Plusieurs thèmes et sous-thèmes corroborent les résultats de quelques études et les propos théoriques de différents auteurs. Toutefois, le caractère inédit de quelques unes de nos conclusions révèle la nature novatrice de la présente recherche. Par conséquent, les résultats de cette étude peuvent sensibiliser les infirmières à comprendre les rites en milieu hospitalier et offrir des pistes d’interventions pouvant contribuer au renouvellement des pratiques de soins offerts en fin de vie. Enfin, accompagner les familles dans leur pratique des rites concourt certainement à promouvoir l’humanisation des soins.

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L’éthique du care est confrontée à un problème qui a des allures de paradoxe: bien que sa politisation paraisse nécessaire, l’éthique du care ne semble pas pouvoir trouver en elle-même les ressources suffisantes à la formulation d’une théorie politique compréhensive. Il ne semble pas exister de théorie politique du care à part entière. Cet article examine la fécondité d’un rapprochement entre éthique du care et théorie néorépublicaine de la non-domination. Le résultat, non négligeable, serait de garantir des formes importantes de protections aux activités de care, mais il cela n’empêcherait pas nécessairement les représentations négatives de ces activités, dont on peut supposer qu’elle est l’un des facteurs de la marginalisation et de la répartition inégale qui les affecte. Pour bloquer ces représentations dégradantes, il faudrait que le care soit discuté et défini dans l’espace public non seulement comme un lieu possible de la domination, mais comme un aspect fondamental et positif de la vie individuelle et collective.

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Ibn Khaldûn(1332-1406) fut homme d’Etat et historien des conflits et des changements politiques au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Il a écrit la Muqaddima, une vaste analyse du déclin de la civilisation arabe. Dans cet ouvrage l’ «éthique du Juste » est présentée comme l’obéissance à la loi et l’application des sciences rationnelles à la tradition. Ceci le mène à condamner l’ « éthique du Bien » en tant que calcul de son propre bonheur. Le conflit actuel reflète bien ce dualisme sous de nouvelles formes d’eudémonisme telle que l’utilitarisme. Sa théorie du changement politique et des conflits est toujours d’actualité : le développement économique conduit à la destruction des dynasties au pouvoir ; ce dernier repose sur l’Asabiya, une forme spécifique du capital social. Le pouvoir politique dure trois générations et connaît une évolution faite d’essor, d’apogée et de déclin. Cette théorie des « trois phases » du développement permet de mieux comprendre les conflits que connaît actuellement le monde arabe.