571 resultados para swd: Virtuelle Realität
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Cette recherche s’intéresse aux enjeux de l’habitat de demain de la génération des baby-boomers, tout particulièrement ceux nés entre 1945 et 1953, qui arrivent aujourd’hui à la retraite. C’est au carrefour de la vision de ce que signifie habiter selon des auteurs comme Benoit Goetz ( 2011), des philosophes comme Heidegger (1958), Bachelard (1957), Benjamin (1955), Büber (1962) ou encore Deleuze (1980) d’une part, soulignant les facteurs de porosité et les liens aux autres, et d’autre part les caractéristiques des baby-boomers telles que présentées par Jean François Sirinelli (2003) et Josée Garceau (2012), que se situe la recherche. Cette génération informée entend rester active et pratique des « adeptions » qui influencent par les gestes un savoir habiter et par là son habitat. L’étude de terrain a sondé les aspirations des baby-boomers en ce qui concerne leur choix résidentiel pour l’avenir, pour comprendre sur quelles valeurs et vers quels buts leur projet se construit. Le choix de méthodologies qualitatives s’appuie sur le visionnement préalable d’un film récent : Et si on vivait tous ensemble. Des entretiens semi-dirigés, auprès de cinq baby-boomers, de 60 à 65 ans, effectués en deux phases avec verbatim approuvés,étaient basés sur trois thèmes : la mémoire, l’adeption et le projet. Entre autres résultats, sont confirmés avec variantes, plusieurs concepts théoriques, comme ceux de porosité et d’ouverture par la fenêtre à la fois physique et virtuelle, mais soulignent le spectre de la maison de retraite et des préoccupations financières concernant l’avenir d’un habitat nécessairement autonome. Cette génération imprégnée par le monde technologique veut avoir accès à tout ce que propose la modernité sans pour autant perdre le sens de l’historicité de leur vie. Nés dans un monde en bouillonnement, les baby-boomers ont réinventé chaque étape de leur existence, ce qui laisse préfigurer que cette génération s’apprête à réinventer la retraite et ses sites domiciliaires. Aussi l’approche design devra-t-elle complètement se renouveler pour ces nouveaux usagers.
Virtual (dis) connectivities : mobile intimacy and presence for women in long distance relationships
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Nous vivons dans une époque où la mobilité internationale est une pratique très courante; ainsi, de plus en plus de partenaires doivent maintenir leurs relations à distance. Le phénomène va de pair avec le développement des nouvelles technologies, qui introduisent de nouvelles formes et de pratiques pour maintenir l’intimité. Cela soulève des questions sur les pratiques de connexion (ou déconnexion) lorsque les couples sont séparés par la distance et le temps. Ce mémoire propose d’explorer comment les femmes dans des relations amoureuses à distance utilisent divers modes d’expression (visuels, textuels, oraux et tactiles) ainsi que plusieurs sens à travers de multiples technologies mobiles, qui lui permettent de reconstruire la présence et l’intimité avec l’autre. Inspiré par le new mobilities paradigm (Sheller & Urry, 2006), ainsi que les concepts de mobile intimacy (Hjorth & Lim, 2012; Elliott & Urry, 2010) et la présence imaginée (Chayko, 2002; Elliott & Urry, 2010), je propose les notions de (dé) connectivité virtuelle, le lieu virtuel, ainsi que la présence/absence technologique. Utilisant une approche méthodologique mixte, venant des données d’entrevues semi-dirigées, de l’autoethnographie, de la recherche création et de journaux de bord multimédias, certaines pratiques de contrôle et de surveillance, des formes émergentes de travail, l’immédiateté et la réciprocité émergent dans une époque d’interconnectivité.
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Wilson Harris créée dans son roman Le palace du paon un espace de transformation intellectuelle d’une nature inédite. Cet espace se confond avec la matrice narrative de son roman. Celle-ci permet la génèse de l’identité guyanaise, non pas à partir des vestiges pré-coloniaux, ni grâce aux récits des historiens des vainqueurs mais avec des ingrédients philosophiques et littéraires de nature à transformer l’étoffe même de notre imaginaire et énergie créative. Il utilise pour ce faire la répétition comme stratégie narrative permettant de rompre la linéarité chronologique qui joint passé, présent et avenir. Ainsi faisant, il déjoue toutes les attentes de ses lecteurs les habituant ainsi à ce que Derrida appelle la logique spectrale qui permet l’influence mutuelle entre passé et présent. Ce travail est l’exploration des mécanismes de ce lâcher prise imaginatif mais aussi de toutes les voix qui répètent, à travers le temps et les continents, cet appel à l’hospitalité inconditionnelle envers l’Autre, c'est-à-dire une ouverture envers le paradoxal, le multiple, le différent en soi et en dehors de soi.
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Ce mémoire s'intéresse à la reconstruction d'un modèle 3D à partir de plusieurs images. Le modèle 3D est élaboré avec une représentation hiérarchique de voxels sous la forme d'un octree. Un cube englobant le modèle 3D est calculé à partir de la position des caméras. Ce cube contient les voxels et il définit la position de caméras virtuelles. Le modèle 3D est initialisé par une enveloppe convexe basée sur la couleur uniforme du fond des images. Cette enveloppe permet de creuser la périphérie du modèle 3D. Ensuite un coût pondéré est calculé pour évaluer la qualité de chaque voxel à faire partie de la surface de l'objet. Ce coût tient compte de la similarité des pixels provenant de chaque image associée à la caméra virtuelle. Finalement et pour chacune des caméras virtuelles, une surface est calculée basée sur le coût en utilisant la méthode de SGM. La méthode SGM tient compte du voisinage lors du calcul de profondeur et ce mémoire présente une variation de la méthode pour tenir compte des voxels précédemment exclus du modèle par l'étape d'initialisation ou de creusage par une autre surface. Par la suite, les surfaces calculées sont utilisées pour creuser et finaliser le modèle 3D. Ce mémoire présente une combinaison innovante d'étapes permettant de créer un modèle 3D basé sur un ensemble d'images existant ou encore sur une suite d'images capturées en série pouvant mener à la création d'un modèle 3D en temps réel.
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Bien que des photographies d’expressions émotionnelles faciales soient couramment utilisées pour étudier le traitement des informations affectives, les ensembles de stimuli actuels comportent différentes limites méthodologiques. Dans la perspective d’améliorer la validité écologique des travaux sur la reconnaissance émotionnelle faciale (REF), l’étude propose un nouvel ensemble de stimuli dynamiques constitué de personnages virtuels exprimant les six émotions fondamentales à différentes intensités. La validation préliminaire des stimuli a été effectuée en les comparant aux stimuli du POFA. Dans l’étude 1, le contenu émotionnel de 84 avatars statiques et de 48 photographies du POFA a été évalué par 150 étudiants. Dans l’étude 2, la REF a été évaluée chez 134 étudiants à l’aide d’avatars dynamiques. L’habileté à reconnaître les émotions est similaire à celle rapportée dans la littérature scientifique ainsi qu’au POFA. Les résultats permettent de conclure que les avatars constituent un ensemble valide de stimuli pour étudier la REF, offrant une contribution significative dans le domaine de la recherche émotionnelle. L’usage d’avatars étant de plus en plus courant à des fins d’intervention et de recherche, les stimuli ouvrent aussi la voie à diverses applications, entre autres pour l’étude des comportements violents. D’autres travaux devront être réalisés afin de poursuivre leur validation.
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Montréal est au coeur de l’oeuvre romanesque de l’écrivaine québécoise Nelly Arcan. Non seulement la métropole fournit-elle le décor à l’intrigue des quatre romans de l’auteure, mais aussi elle s’émancipe progressivement de sa seule fonction de cadre pour constituer, d’un opus à l’autre, un topos à part entière du récit, inséparable du sort des personnages qui y jouent leur destin. Tour à tour sordide et branchée à travers les quartiers de prédilection fréquentés par la romancière, virtuelle et fantastique dans le passage remarqué de l’autofiction à la science-fiction, la ville désirante mise en scène par Nelly Arcan ne livre pas d’emblée tous ses secrets. C’est en interrogeant les arcanes de l’oeuvre, à la lumière de « Montréal interdite » d’Alain Médam et de « Paris insolite » de Jean-Paul Cléber, que la cybermétropole arcanienne révèle sa part insoupçonnée de mystère.
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La présente thèse rend compte de la dimension affective de la communication. Pour ce faire, l’expérience est d’abord considérée comme durée qualitative (Henri Bergson). Donc, l’expérience est mouvement. Point de départ : le mouvement comme caractéristique intrinsèque du corps qui, ainsi compris, devient un point de passage. Qu’est-ce qui le traverse? Des événements. Il se constitue par ce passage même, ce qui fait de lui un devenir-corps. Ici, toute expérience est acte de communication à son stade le plus pur. Qui est-ce qui communique? L’expérience est une occasion d’actualisation du virtuel. Il s’agit de l’actualisation d’une force virtuelle – que A. N. Whitehead appelle la forme subjective. Le sens du message est l’événement lui-même, c’est-à-dire ce qui émerge dans l’expérience (Gilles Deleuze). Non pas l’expérience subjective d’un sujet préconstitué, mais l’expérience pure, telle que définie par William James : une relationalité. Ce qui s’actualise est une tonalité affective (Whitehead), vécue comme qualité esthétique. Quels sont les facteurs constitutifs du sens? Élargissons la traditionnelle dualité sujet-objet à un complexe relationnel : nous pouvons ainsi percevoir des acteurs affectifs, perceptifs, humains et technologiques, dans un agencement qui se concrétise comme relationalité émergente. Tout événement est situé. Par conséquent, l’émergence du sens devient acte de co-création dans lequel participent les multiples facteurs qui conditionnent l’événement. Cette vision sort d’un anthropocentrisme pour concevoir l’événement lui-même comme sujet de ses propres expériences (Whitehead). De sorte que, tout comme chaque acte de communication, l’expérience des médias est aussi événement vécu. Ce dernier est incorporé par les dimensions du devenir-corps – la conscience-affective et la conscience-réflexive. Celles-ci sont si intimement interreliées qu’elles deviennent mutuellement inclusives dans l’expérience et totalement actives dans l’actualisation du sens.
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Qu’est-ce qu’une identité virtuelle? Quel est le rapport entre l’usager et son « profil » - par exemple son profil Facebook? Et encore, qu’est-ce que l’espace du web et quel est son rapport avec l’espace où nous vivons? Utilisant la notion foucauldienne d’hétérotopie, cet article cherche à ouvrir des pistes de recherches pour mieux comprendre les enjeux des identités numériques.
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Fotografie ist zu einem festen Bestandteil technisierter Kulturen geworden, zu so einem selbstverständlichen Segment unserer Gesellschaft, dass wir sie als solche oft gar nicht mehr wahrnehmen. Dabei haben die Bilder den Blick auf die Welt radikal verändert und neue Wirklichkeiten geschaffen. Die Durchdringung unserer Welt mit dieser visuellen Macht, erfordert die grundsätzliche Feststellung, dass fotografische Bilder nicht einfache Abbilder der Realität sind, sie dürfen nicht mit dieser verwechselt werden. Deshalb wird zunächst das Wesen der Fotografie thematisiert, um anschließend die Bildproduktion als zentrales Medium touristischer Aneignung zu illustrieren. Kernstück der Ausführungen bilden Reflexionen zu Motivationen und Funktionen des Fotografierens im Urlaub. An dieser Stelle findet dann eine Verknüpfung von Rassismus und Reisefotografie statt, wobei sich die geäußerten Denkmuster und beschriebenen Verhaltensweisen auf Touristen, die aus den westlichen Instudrienationen stammen und in die Länder des Südens reisen, beziehen. Die Ergebnisse werden mit empirisch gewonnenen Ausssagen von Urlaubern und mit Fotografien selbst belegt.
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Informations- und Kommunikationstechnologien über das Internet bieten vielfältige Möglichkeit innovative Lernumgebungen zu schaffen. Mit der Zukunftswerkstatt-online wird der Versuch unternommen, die Lernmethode Zukunftswerkstatt, als telekooperative Lernumgebung zu gestalten. Die Entwicklung dieser internetbasierten Lernumgebung und das damit verbundene Dissertationsvorhaben zeichnet sich vornehmlich durch den partizipativen und prozessorientierten Austausch sowohl mit Informatikern als auch mit potentiellen Nutzern in einer Pilotphase aus. Die zentrale Motivation des Forschungsvorhabens erklärt sich über die Entwicklung von Möglichkeiten Lernergruppen Raum zu geben sich ihrer persönlich bedeutsamen Probleme bewusst zu werden, Ideen für Lösungsstrategien zu entwickeln und konkrete Veränderungen anzugehen. Das Forschungsdesign dieser Arbeit bedient sich verschiedener Erhebungs- und Auswertungsmethoden der empirischen Sozialforschung mit dem Ziel, die Grenzen einzelner Methoden zu minimieren, um zu differenzierten Erkenntnissen im Forschungsfeld zu gelangen. Die Evaluation des Forschungsvorhabens begründet sich vorwiegend aus Methoden der qualitativen Sozialforschung (teilnehmende Beobachtung, schriftlichen Befragung, linguistische Analyse der Chatbeiträge sowie fokussierte Interviews im Rahmen von drei Fallstudien). Im Sinne der Handlungs- und Aktionsforschung liegt das Forschungsinteresse zum einen in der Entwicklung der Zukunftswerkstatt-online unter besonderer Berücksichtigung der Funktionen, Softwareergonomie, zum anderen hinsichtlich der Frage nach den Möglichkeiten zur kreativen Gestaltung von Lernprozesse. Im Fokus des Interesses stehen daher folgende Forschungsfragen: 1. Wie muss eine Zukunftswerkstatt-online gestaltet werden, um als effektives Problemlöse- und Erschließungsinstrument für offene Möglichkeitsräume zu funktionieren? 2. Was kann eine Zukunftswerkstatt-online hinsichtlich der kommunikativen Aufgaben für Lehrende und Lerngruppen leisten? 3. Welche Lehr-/ Lernvoraussetzungen lassen sich für die Anwendung einer Zukunftswerkstatt-online formulieren? Aufgrund der Auswertungen der o.g. Evaluationsmethoden lassen sich folgende signifikante Aspekte bezüglich des Anregungsgehalts der Zukunftswerkstatt-online benennen: 1. Aspekt der Situiertheit: Die Mischung aus Vorstrukturierung durch die drei Phasen der Methode auf der einen Seiten und den Freiraum hinsichtlich der inhaltlichen Gestaltung wird von den Probanden als positiv und unterstützend für den Lernprozess bewertet. 2. Aspekt der multiplen Perspektive: Mit der Zukunftswerkstatt-online wird eine strukturierte Zusammenarbeit in Gruppen ermöglicht. Problemfelder können somit aus unterschiedlichen Perspektiven dargestellt werden. 3. Aspekt des Lernens im sozialen Kontext: Der "Community" Gedanke des Internets wird während der Arbeit mit der Zukunftswerkstatt-online gefördert. Es lassen sich drei unterstützende Faktoren hierzu benennen: - Der vorgegebene Interaktionsrahmen der Methode. - Die von den Lernenden gewählte Inhalte. - Die Auswahl der Kooperationspartner. Hinsichtlich der Förderung von Schlüsselkompetenzen kann die Zukunftswerkstatt-online folgendes leisten: Förderung der fachlichen Kompetenz: Die Zukunftswerkstatt-online stärkt mediale Kompetenzen der Teilnehmer. Darüber hinaus werden durch die Möglichkeiten der Dokumentation des Diskussionsverlaufs und der Speicherung von Daten, Informationen nachhaltige gesichert. Förderung der sozialen Kompetenz: Aufgrund der Arbeit in einem weites gehenden hierarchiefreien Raum wird vernetzten Arbeiten und synergetischer Austausch der Teilnehmer ermöglicht. Förderung der personalen Kompetenz: Die kommunikativen Kompetenzen werden gefördert sowie die Entwicklung eines Methodenrepertoires für die Gestaltung von Gruppenprozessen in eigenen Handlungsfeldern der Teilnehmer ausgebaut. Folgende Voraussetzung lassen sich aus den Forschungsergebnissen ableiten, die bei der Durchführung einer Zukunftswerkstatt-online unterstützend wirken: Für Lernende: - Grundlagen der Computer und Internetkompetenz, - Hohe Selbstlernkompetenz, - Kompetenzen zur Kooperation, - Schriftsprachliche Kompetenz und - Einbringung einer persönlich bedeutsamen Problemstellung. Für Lehrende: - Kompetenzen in der Organisation/Administration von Lernprozessen, - Unterstützung der Lernprozesse durch klare Anweisungen und Hilfestellungen bei der Bewältigung von Problemen. Zusammenfassend lässt sich feststellen, dass die Zukunftswerkstatt-online den aktiven Umgang, die Auseinandersetzung und die Konstruktion von handlungsorientiertem Wissen fördert. Darüber hinaus eröffnet sie in einem noch relativ neuen Wirkungsfeld der Pädagogik Möglichkeiten, neue Formen des Lehren und Lernens im virtuellen Raum zu erproben, zu evaluieren und perspektivisch weiter zu entwickeln.
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Das Management von Kundenbeziehungen hat sich in der klassischen Ökonomie unter dem Begriff »Customer Relationship Management« (kurz: CRM) etabliert und sich in den letzten Jahren als erfolgreicher Ansatz erwiesen. In der grundlegenden Zielsetzung, wertvolle, d.h. profitable und kreditwürdige Kunden an ein Unternehmen zu binden, kommen Business-Intelligence Technologien zur Generierung von Kundenwissen aus kundenbezogenen Daten zum Einsatz. Als technologische Plattform der Kommunikation und Interaktion gewähren Business Communities einen direkten Einblick in die Gedanken und Präferenzen der Kunden. Von Business-Communitybasiertem Wissen der Kunden und über Kunden können individuelle Kundenbedürfnisse, Verhaltensweisen und damit auch wertvolle (potenzielle, profilgleiche) Kunden abgeleitet werden, was eine differenziertere und selektivere Behandlung der Kunden möglich macht. Business Communities bieten ein umfassendes Datenpotenzial, welches jedoch bis dato für das CRM im Firmenkundengeschäft respektive die Profilbildung noch nicht genutzt wird. Synergiepotenziale von der Datenquelle "Business Community" und der Technologie "Business Intelligence" werden bislang vernachlässigt. An dieser Stelle setzt die Arbeit an. Das Ziel ist die sinnvolle Zusammenführung beider Ansätze zu einem erweiterten Ansatz für das Management der irmenkundenbeziehung. Dazu wird ein BIgestütztes CRM-Konzept für die Generierung, Analyse und Optimierung von Kundenwissen erarbeitet, welches speziell durch den Einsatz einer B2B-Community gewonnen und für eine Profilbildung genutzt wird. Es soll durch die Anbindung von Fremddatenbanken Optimierung finden: In den Prozess der Wissensgenerierung fließen zur Datenqualifizierung und -quantifizierung externe (Kunden-) Daten ein, die von Fremddatenbanken (wie z.B. Information Provider, Wirtschaftsauskunftsdienste) bereitgestellt werden. Der Kern dieser Zielsetzung liegt in der umfassenden Generierung und stetigen Optimierung von Wissen, das den Aufbau einer langfristigen, individuellen und wertvollen Kundenbeziehung unterstützen soll.
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Aufgrund der breiten aktuellen Verwendung des Mythen-Begriffs in Kunst und Werbung, aber darüber hinaus auch in nahezu allen Bereichen gesellschaftlichen Lebens und vor allem in der Philosophie ergibt sich die Notwendigkeit, einen erweiterten Mythos-Begriff über das Historisch-Authentische hinaus zu verfolgen. Ausgehend von einer strukturalen Annäherung an den Mythos-Begriff im Sinne des von Roland Barthes vorgeschlagenen sekundären semiologischen Systems, d.h. einer semiologischen Sinnverschiebung zur Schaffung einer neuen – mythischen – Bedeutung, fordert diese neue Bedeutung eine Analyse, eine Mythenanalyse heraus. Dies ist deshalb so entscheidend, weil eben diese neue Bedeutung ihr mythisches Profil im Sinne von Hans Blumenberg durch forcierte Bedeutsamkeit für Individuen oder für bestimmte gesellschaftliche Gruppierungen unterlegt, z.B. durch bewusst intensive Wiederholung eines Themas oder durch unerwartete Koinzidenzen von Ereignissen oder durch Steigerung bzw. Depotenzierung von Fakten. Der erweiterte Mythen-Begriff verlangt nach einer Strukturierung und führt dabei zu unterschiedlichen Mythen-Ansätzen: zum Ursprungsstoff des authentischen Mythos und darauf basierender Geisteslage, zum Erkennen eines reflektierten Mythos, wenn es um das Verhältnis Mythos/Aufklärung geht, zum Zeitgeist-Mythos mit seinen umfangreichen Ausprägungen ideologischer, affirmativer und kritischer Art oder zu Alltagsmythen, die sich auf Persönlichkeitskulte und Sachverherrlichungen beziehen. Gerade der letztere Typus ist das Terrain der Werbung, die über den Gebrauchswert eines Produktes hinaus Wert steigernde Tauschwerte durch symbolische Zusatzattribute erarbeiten möchte. Hierbei können Markenmythen unterschiedlichster Prägung entstehen, denen wir täglich im Fernsehen oder im Supermarkt begegnen. Die Manifestation des Mythos in der Kunst ist einerseits eine unendliche Transformationsgeschichte mythischer Substanzen und andererseits ein überhöhender Bezug auf Zeitgeisterscheinungen, etwa bei dem Mythos des Künstlers selbst oder der durch ihn vorgenommenen „Verklärung des Gewöhnlichen“. Die Transformationsprozesse können u.a . prototypisch an zwei Beispielketten erläutert werden, die für den Kunst/Werbung-Komplex besonders interessant sind, weil ihr Charakter sich in einem Fall für die Werbung als äußerst Erfolg versprechend erwiesen hat und weil sich im zweiten Fall geradezu das Gegenteil abzeichnet: Zum einen ist es die Mythengestalt der Nymphe, jene jugendliche, erotisch-verführerische Frauengestalt, die über ihre antiken Wurzeln als Sinnbild der Lebensfreude und Fruchtbarkeit hinaus in und nach der Renaissance ihre Eignung als Verbildlichung der Wiederzulassung des Weiblichen in der Kunst beweist und schließlich der Instrumen-talisierung der Werbung dient. Im anderen Fall ist es die Geschichte der Medusa, die man idealtypisch als die andere Seite der Nympha bezeichnen kann. Hier hat Kunst Auf-klärungsarbeit geleistet, vor allem durch die Verschiebung des medusischen Schreckens von ihr weg zu einer allgemein-medusischen Realität, deren neue Träger nicht nur den Schrecken, sondern zugleich ihre Beteiligung an der Schaffung dieses Schreckens auf sich nehmen. Mythosanalyse ist erforderlich, um die Stellungnahmen der Künstler über alle Epochen hinweg und dabei vor allem diese Transformationsprozesse zu erkennen und im Sinne von Ent- oder Remythologisierung einzuordnen. Die hierarchische Zuordnung der dabei erkannten Bedeutungen kann zu einem Grundbestandteil einer praktischen Philosophie werden, wenn sie einen Diskurs durchläuft, der sich an Jürgen Habermas’ Aspekt der Richtigkeit für kommunikatives Handeln unter dem Gesichtspunkt der Toleranz orientiert. Dabei ist nicht nur zu beachten, dass eine verstärkte Mythenbildung in der Kunst zu einem erweiterten Mythen-begriff und damit zu dem erweiterten, heute dominierenden Kunstbegriff postmoderner Prägung geführt hat, sondern dass innerhalb des aktuellen Mythenpakets sich die Darstellungen von Zeitgeist- und Alltagsmythen zu Lasten des authentischen und des reflektierten Mythos entwickelt haben, wobei zusätzlich werbliche Markenmythen ihre Entstehung auf Verfahrensvorbildern der Kunst basieren. Die ökonomische Rationalität der aktuellen Gesellschaft hat die Mythenbildung keines-wegs abgebaut, sie hat sie im Gegenteil gefördert. Der neuerliche Mythenbedarf wurde stimuliert durch die Sinnentleerung der zweckrationalisierten Welt, die Ersatzbedarf anmeldete. Ihre Ordnungsprinzipien durchdringen nicht nur ihre Paradedisziplin, die Ökonomie, sondern Politik und Staat, Wissenschaft und Kunst. Das Umschlagen der Aufklärung wird nur zu vermeiden sein, wenn wir uns Schritt für Schritt durch Mythenanalyse unserer Unmündigkeit entledigen.
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Das Thema dieser Arbeit ist die philosophischgeschichliche Darlegung des Selbstfindungsprozesses des lateinamerikanischen Denkens. Es wird die enge Verknüpfung dieses Denkens mit der Kultur aufgezeigt, in der es entstand und die sich in deren Mythen und Traditionen widerspiegelt. Durch diese kulturgeschichtlichen Betrachtungen soll der Leser zum Verständnis der lateinamerikanischen Autoren und zu deren zentralen Themen hingeführt werden. Die Erfahrung hat die lateinamerikanischen Denker gelehrt, dass sie die Begriffswelt Europas nicht identisch in ihre Lebenswelt übernehmen können, sonder dass sie diese umbilden müssen. Die Widersprüche zwischen den Bezugspunkten ihres Denkens, der westlichen Rationalität und der eigenen Realität empfinden sie als Inauthentizität. Das Bewusstsein von der Notwendigkeit eines Neuanfangs, des Befindens an einem Nullpunkt, kennzeichnet die Philosophie Lateinamerikas. Nicht der Besitz eines Wissens in festen Begriffen, sondern die Suche nach Offenheit charakterisiert diese Denken. Offenheit ist ihr zentraler Begriff, der ihren Weg zur Authentizität beschreibt. Authentizität ist hier nicht eine Eigenschaft des Menschen, die er aus sich selbst entwickelt. Sie ist auch nicht rein vom Erkennen des faktischen Seins deduzierbar. Authentizität ist ein Ziel, das nur gemeinsam mit den anderen, in einer durch die Gemeinsamkeit geschaffenen Kultur erreicht werden kann. Die Authentizität eines Denkens kann nur aus einer kulturellen Gemeinschaft erwachsen. In Lateinamerika erfolgt die Orientierung an der Gemeinschaft und deren Lebensgesetzen. Freiheit bedeutet hier diese Lebensgesetze aufzufinden und sie mit derGemeinschaft zu realizieren, also eine Verpfichtung auf die eigene Authentizität. Diese Philosophie sucht die Utopie, die Vergangenheit und Zukunft verbindet. Sie hat die Kraft der Transformation und setzt neue Intentionen, die unser Bild der Realität verändern. Sie bietet die Möglichkeit zu einem Denken das über die eine Rationalität hinausgeht. Durch ihre Ziele wird sie zum Teil der interkulturellen Philosophie.
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Die vorliegende Arbeit besteht aus einem theoretischen Teil, der Filmrezeption aus weiblicher Sicht zum Gegenstand hat und einem praktischen Teil, der 8 Filme über die Methode von Übertragung und Gegenübertragung erschließt. Es wird die These vertreten, daß Film nicht nur gesehen, sondern auch verzehrt und verschlungen wird. Das Konzept der Lewinschen Traumleinwand als visueller Erinnerungsspur und die Annahme der taktilen, primären Wahrnehmung, die René Spitz in der Mundhöhle situiert, die er als Urhöhle bezeichnet, dient der Darstellung dieses doppelten Wahrnehmungsansatzes. Das Konzept Daniel Sterns von der „amodalen Wahrnehmung“ kann den Transfer von visueller zu akustischer Rezeption von Film erklären. Es wird die Annahme vertreten, daß es zu einer Regression auf die Stufe der Wiederbelebung einer halluzinatorischen Einheit mit einer frühen prägenitalen Mutter kommt, die sich in multiplen primären Identifizierungen der Zuschauerin niederschlägt. Es wird ein weiblicher Blick auf den Film postuliert. Die Autorin geht davon aus, daß diese Regression, aufgrund spezifischer weiblicher Entwicklung, Frauen leichter fällt als Männern. Die Arbeit stellt die ursprünglich von der feministischen Filmtheorie vertretene Auffassung von der ausschließlichen Auslösung von phallischen Identifizierungen aufgrund der Annahme der Verschweißung des männlichen Zuschauerblicks mit der männlichen Filmkamera in Frage. Die Filminterpretationen verdanken sich einem intersubjektiven methodischen Zugang. Der Film wird zu einem Partner, mit dem die Autorin interagiert; er hat die Qualität eines Übergangsobjekts. Im Prozess des Erlebens und des Verstehens bewegt sich Mechthild Zeul in einem „intermediären Raum“ (Winnicott), in dem sich psychische Realität mit äußerer Realität mischen. Theoretisch wird dieser Raum in Anlehnung an René Spitz als „Urhöhle“ bezeichnet.
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Aus der Einleitung: "Der 'Mythos von der Krise der Kinder- und Jugendarbeit' (Pothmann/ Thole 2001, S. 91) scheint Realität zu werden. Wird der öffentlichen Kommunikation vertraut, dann ist die Kinder- und Jugendarbeit in ihrer Existenz ernsthaft gefährdet (vgl. Hafeneger 2005). Meldungen, wie 'die Kürzungs- und Streichwut des Hamburger Senats macht auch vor Kindern und Jugendlichen nicht halt' (Frosch 2004), stützen die Vermutung, dass 'die offene Jugendarbeit den Bach hinunter geht' (Lass 2004), also ihrem Kollaps immer näher kommt. Entsprechende Diagnosen sind nicht neu und begleiten die Analysen zur Kinder- und Jugendarbeit seit ihren Anfängen (vgl. Thole 1988). Als belastbare, verallgemeinerbare Beschreibungen über den Zustand des Arbeitsfeldes der Kinder- und Jugendhilfe taugten sie bislang allerdings eher wenig. Gegenwärtig jedoch scheint die von so vielen artikulierte 'gefühlte Wirklichkeit' zum Zustand der Kinder- und Jugendarbeit mit den realen Fakten in Übereinstimmung zu kommen. Bedrohlich wirkt nicht nur, dass der Kinder- und Jugendarbeit angesichts der desolaten Lage der öffentlichen Haushalte die Gelder gestrichen werden. Noch schwerer wiegen derzeit die sich deutlich abzeichnenden strukturellen Veränderungen im Bildungs-, Erziehungs- und Sozialwesen. Konkret für die Kinder- und Jugendarbeit sind in diesem Zusammenhang die vor allem in Ostdeutschland in den nächsten Jahren dramatischen demographischen Veränderungen zu benennen, die der jetzt noch bestehenden Infrastruktur zur Kinder- und Jugendarbeit wohl die Legitimation entziehen werden. Gleichermaßen virulent ist – insbesondere bezogen auf die Gestaltung von Nachmittagsangeboten – das sich verändernde Verhältnis von Kinder- und Jugendhilfe insgesamt und hier insbesondere von Kinder- und Jugendarbeit und Schule. Sicherlich ist noch nicht entschieden, welche Richtung eine Zusammenarbeit dieser beiden Sozialisationsagenturen einnimmt und welche Rolle der Kinder- und Jugendarbeit hierbei zufällt. Sicher scheint derzeit nur, dass Kinder- und Jugendarbeit am Ende des gegenwärtigen Neubestimmungsprozesses ein anderes Gesicht haben wird. Auf die Larmoyanzen, die sich gegenwärtig angesichts dieser Situation zeigen, wiesen unlängst Nanine Delmas und Werner Lindner (2006) nachdrücklich hin. Nach einigen rückblickenden Erinnerungen (1.), werde ich in drei Zugängen den Bildungsgedanken im Hinblick auf die Kinder- und Jugendarbeit diskutieren und abschließend resümieren (4.) Ausgehend von den Ergebnissen eines DFG-Projektes 'Ko.perform' (2.) wird Bildung als eine Grundvokabel der Kinder- und Jugendarbeit vorgestellt (3.). Anschließend möchte ich unter Hinweis auf die Lage der Generationsverhältnisse diese Markierung problematisieren (4.). Abschließend möchte ich die Stärken der Kinder- und Jugendarbeit nochmals pointiert benennen."