881 resultados para Subjectivity and objectivity
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This thesis takes liberation to be supreme knowledge of the unity underlying the world of multiplicity. This knowledge is always already attained, so all are eternally liberated, but it is unrecognized in ordinary experience. We will look at the Bhagavad-Gītā to consider why this is so. When Arjuna saw Kṛṣṇa’s imperishable Self, he saw all beings standing as one in Kṛṣṇa; thus, he was confronted by supreme knowledge. But he was overwhelmed with fear and confusion and took refuge in blindness. I argue that Arjuna was not prepared to face recognition because he was unpractised in non-attachment. Attached to his subjectivity, he trembled in the face of unity. The supreme goal is standing firm in recognition while living in the world.
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Problème: Ma thèse porte sur l’identité individuelle comme interrogation sur les enjeux personnels et sur ce qui constitue l’identification hybride à l’intérieur des notions concurrentielles en ce qui a trait à l’authenticité. Plus précisément, j’aborde le concept des identifications hybrides en tant que zones intermédiaires pour ce qui est de l’alternance de codes linguistiques et comme négociation des espaces continuels dans leur mouvement entre les cultures et les langues. Une telle négociation engendre des tensions et/ou apporte le lien créatif. Les tensions sont inhérentes à n’importe quelle construction d’identité où les lignes qui définissent des personnes ne sont pas spécifiques à une culture ou à une langue, où des notions de l’identité pure sont contestées et des codes communs de l’appartenance sont compromis. Le lien créatif se produit dans les exemples où l’alternance de code linguistique ou la négociation des espaces produit le mouvement ouvert et fluide entre les codes de concurrence des références et les différences à travers les discriminations raciales, la sexualité, la culture et la langue. Les travaux que j’ai sélectionnés représentent une section transversale de quelques auteurs migrants provenant de la minorité en Amérique du Nord qui alternent les codes linguistiques de cette manière. Les travaux détaillent le temps et l’espace dans leur traitement de l’identité et dans la façon dont ils cernent l’hybridité dans les textes suivants : The Woman Warrior de Maxine Hong Kingston (1975-76), Hunger of Memory de Richard Rodriguez (1982), Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer de Dany Laferrière (1985), Borderlands/La Frontera de Gloria Anzalduá (1987), Lost in Translation de Eva Hoffman (1989), Avril ou l’anti-passion de Antonio D’Alfonso (1990) et Chorus of Mushrooms de Hiromi Goto (1994). Enjeux/Questions La notion de l’identification hybride est provocante comme sujet. Elle met en question l’identité pure. C’est un sujet qui a suscité beaucoup de discussions tant en ce qui a trait à la littérature, à la politique, à la société, à la linguistique, aux communications, qu’au sein même des cercles philosophiques. Ce sujet est compliqué parce qu’il secoue la base des espaces fixes et structurés de l’identité dans sa signification culturelle et linguistique. Par exemple, la notion de patrie n’a pas les représentations exclusives du pays d’origine ou du pays d’accueil. De même, les notions de race, d’appartenance ethnique, et d’espaces sexuels sont parfois négativement acceptées si elles proviennent des codes socialement admis et normalisés de l’extérieur. De tels codes de la signification sont souvent définis par l’étiquette d’identification hétérosexuelle et blanche. Dans l’environnement généralisé d’aujourd’hui, plus que jamais, une personne doit négocier qui elle est, au sens de son appartenance à soi, en tant qu’individu et ce, face aux modèles locaux, régionaux, nationaux, voire même globaux de la subjectivité. Nous pouvons interpréter ce mouvement comme une série de couches superposées de la signification. Quand nous rencontrons une personne pour la première fois, nous ne voyons que la couche supérieure. D’ailleurs, son soi intérieur est caché par de nombreuses couches superposées (voir Joseph D. Straubhaar). Toutefois, sous cette couche supérieure, on retrouve beaucoup d’autres couches et tout comme pour un oignon, on doit les enlever une par une pour que l’individualité complète d’une personne soit révélée et comprise. Le noyau d’une personne représente un point de départ crucial pour opposer qui elle était à la façon dont elle se transforme sans cesse. Sa base, ou son noyau, dépend du moment, et comprend, mais ne s’y limite pas, ses origines, son environnement et ses expériences d’enfance, son éducation, sa notion de famille, et ses amitiés. De plus, les notions d’amour-propre et d’amour pour les autres, d’altruisme, sont aussi des points importants. Il y a une relation réciproque entre le soi et l’autre qui établit notre degré d’estime de soi. En raison de la mondialisation, notre façon de comprendre la culture, en fait, comment on consomme et définit la culture, devient rapidement un phénomène de déplacement. À l’intérieur de cette arène de culture généralisée, la façon dont les personnes sont à l’origine chinoises, mexicaines, italiennes, ou autres, et poursuivent leur évolution culturelle, se définit plus aussi facilement qu’avant. Approche Ainsi, ma thèse explore la subjectivité hybride comme position des tensions et/ou des relations créatrices entre les cultures et les langues. Quoique je ne souhaite aucunement simplifier ni le processus, ni les questions de l’auto-identification, il m’apparaît que la subjectivité hybride est aujourd’hui une réalité croissante dans l’arène généralisée de la culture. Ce processus d’échange est particulièrement complexe chez les populations migrantes en conflit avec leur désir de s’intégrer dans les nouveaux espaces adoptés, c’est-à-dire leur pays d’accueil. Ce réel désir d’appartenance peut entrer en conflit avec celui de garder les espaces originels de la culture définie par son pays d’origine. Ainsi, les références antérieures de l’identification d’une personne, les fondements de son individualité, son noyau, peuvent toujours ne pas correspondre à, ou bien fonctionner harmonieusement avec, les références extérieures et les couches d’identification changeantes, celles qu’elle s’approprie du pays d’accueil. Puisque nos politiques, nos religions et nos établissements d’enseignement proviennent des représentations nationales de la culture et de la communauté, le processus d’identification et la création de son individualité extérieure sont formées par le contact avec ces établissements. La façon dont une personne va chercher l’identification entre les espaces personnels et les espaces publics détermine ainsi le degré de conflit et/ou de lien créatif éprouvé entre les modes et les codes des espaces culturels et linguistiques. Par conséquent, l’identification des populations migrantes suggère que la « community and culture will represent both a hybridization of home and host cultures » (Straubhaar 27). Il y a beaucoup d’écrits au sujet de l’hybridité et des questions de l’identité et de la patrie, toutefois cette thèse aborde la valeur créative de l’alternance de codes culturels et linguistiques. Ce que la littérature indiquera Par conséquent, la plate-forme à partir de laquelle j’explore mon sujet de l’hybridité flotte entre l’interprétation postcoloniale de Homi Bhabha concernant le troisième espace hybride; le modèle d’hétéroglossie de Mikhail Bakhtine qui englobent plusieurs de mes exemples; la représentation de Roland Barthes sur l’identité comme espace transgressif qui est un modèle de référence et la contribution de Chantal Zabus sur le palimpseste et l’alternance de codes africains. J’utilise aussi le modèle de Sherry Simon portant sur l’espace urbain hybride de Montréal qui établit un lien important avec la valeur des échanges culturels et linguistiques, et les analyses de Janet Paterson. En effet, la façon dont elle traite la figure de l’Autre dans les modèles littéraires au Québec fournisse un aperçu régional et national de l’identification hybride. Enfin, l’exploration du bilinguisme de Doris Sommer comme espace esthétique et même humoristique d’identification situe l’hybridité dans une espace de rencontre créative. Conséquence Mon approche dans cette thèse ne prétend pas résoudre les problèmes qui peuvent résulter des plates-formes de la subjectivité hybride. Pour cette raison, j’évite d’aborder toute approche politique ou nationaliste de l’identité qui réfute l’identification hybride. De la même façon, je n’amène pas de discussion approfondie sur les questions postcoloniales. Le but de cette thèse est de démontrer à quel point la subjectivité hybride peut être une zone de relation créatrice lorsque l’alternance de codes permet des échanges de communication plus intimes entre les cultures et les langues. C’est un espace qui devient créateur parce qu’il favorise une attitude plus ouverte vis-à-vis les différents champs qui passent par la culture, aussi bien la langue, que la sexualité, la politique ou la religion. Les zones hybrides de l’identification nous permettent de contester les traditions dépassées, les coutumes, les modes de communication et la non-acceptation, toutes choses dépassées qui emprisonnent le désir et empêchent d’explorer et d’adopter des codes en dehors des normes et des modèles de la culture contenus dans le discours blanc, dominant, de l’appartenance culturelle et linguistique mondialisée. Ainsi, il appert que ces zones des relations multi-ethniques exigent plus d’attention des cercles scolaires puisque la population des centres urbains à travers l’Amérique du Nord devient de plus en plus nourrie par d’autres types de populations. Donc, il existe un besoin réel d’établir une communication sincère qui permettrait à la population de bien comprendre les populations adoptées. C’est une invitation à stimuler une relation plus intime de l’un avec l’autre. Toutefois, il est évident qu’une communication efficace à travers les frontières des codes linguistiques, culturels, sexuels, religieux et politiques exige une négociation continuelle. Mais une telle négociation peut stimuler la compréhension plus juste des différences (culturelle ou linguistique) si des institutions académiques offrent des programmes d’études intégrant davantage les littératures migrantes. Ma thèse vise à illustrer (par son choix littéraire) l’identification hybride comme une réalité importante dans les cultures généralisées qui croissent toujours aujourd’hui. Les espaces géographiques nous gardent éloignés les uns des autres, mais notre consommation de produits exotiques, qu’ils soient culturels ou non, et même notre consommation de l’autre, s’est rétrécie sensiblement depuis les deux dernières décennies et les indicateurs suggèrent que ce processus n’est pas une tendance, mais plutôt une nouvelle manière d’éprouver la vie et de connaître les autres. Ainsi les marqueurs qui forment nos frontières externes, aussi bien que ces marqueurs qui nous définissent de l’intérieur, exigent un examen minutieux de ces enjeux inter(trans)culturels, surtout si nous souhaitons nous en tenir avec succès à des langues et des codes culturels présents, tout en favorisant la diversité culturelle et linguistique. MOTS-CLÉS : identification hybride, mouvement ouvert, alternance de code linguistique, négociation des espaces, tensions, connectivité créative
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L'objectif de ce mémoire est de comprendre la neutralité axiologique non pas comme une exigence épistémologique, mais plutôt comme un idéal éducationnel. Max Weber propose une science basée sur la description factuelle, de laquelle on exclut la formulation de jugements de valeur. Pour l'auteur, il est préférable de séparer les jugements descriptifs des jugements évaluatifs dans le but de préserver l'autonomie intellectuelle des étudiants. Comme il serait contraire au principe d'autonomie de laisser le professeur influencer et convaincre ses étudiants, de façon partisane, d'adhérer à certaines thèses normatives, Weber propose un mécanisme pour éviter que le professeur n'influence ses étudiants de manière illégitime. Les critiques contemporaines de la neutralité axiologique, en particulier celles de Sen et Putnam, voient dans le critère de neutralité un rejet de l'entrelacement logique des faits et des valeurs. Ils critiquent la supposée subjectivité des valeurs et, ce faisant, défendent une conception enrichie de la science où les valeurs éthiques sont présentes. Weber n'a jamais défendu qu'il était impossible de mener une analyse à la fois descriptive et normative. Seulement, on doit s'interroger sur les lieux où s'exprime la normativité, et s'assurer que toutes les conditions sont présentes pour qu'une discussion normative tende réellement à l'objectivité.
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La présente thèse est une étude ethnographique qui examine le savoir en tant que pratique située au Ladakh, dans l’Himalaya indien. Elle analyse les implications socioculturelles des deux moteurs de changement en jeu au Ladakh: l’un est d'origine socio-économique et lié à la production du Ladakh en tant que zone frontalière, tandis que l’autre est de nature environnementale et entrainé par les changements climatiques. Alors que le Ladakh est demeuré hors de la portée de l’État bureaucratique pendant l’administration coloniale britannique, la région s’est trouvée reconfigurée en zone frontalière stratégique après l’indépendance de l’Inde des suites des guerres successives avec le Pakistan et la Chine. L’Indépendance a mené à la partition de l’Inde et du Pakistan en 1947; cette thèse examine la portée à long terme des évènements traumatisants de la partition tels qu’ils se sont déroulés au Ladakh et comment les Ladakhis établissent des liens entre ces évènements et les changements climatiques. L’État indien s’est produit dans la région à travers une volonté de dominer les montagnes, principalement par le développement d’infrastructures et par l’intégration du savoir local des Ladakhis dans l’appareil militaire. La militarisation a restructuré l'économie du Ladakh, redéfini la structure des ménages, contribué à l’exode rural, déplacé la centralité des activités agropastorales et, tel que la dissertation le soutient, altéré de manière significative la connexion de la population locale avec l'environnement. La rationalisation croissante de la perspective sur l’environnement aujourd'hui contribue à la fragmentation des liens qui unissent les domaines naturels et humains dans la cosmologie locale de même qu’à l'abandon des pratiques rituelles connexes. Parallèlement, la région est touchée par des effets distincts des changements climatiques, en particulier la récession des glaciers. La thèse juxtapose l'expérience subjective de ces vastes changements dans la vie quotidienne des villageois de la Vallée de Sham avec les faits historiques environnementaux, démontrant ainsi que les événements historiques locaux influent sur les perceptions des changements environnementaux. L'analyse démontre qu’un phénomène objectif tel que la récession des glaciers est interprété à travers des réalités locales. Plus précisément, selon la conception du monde locale, un glacier en retrait est une figure rhétorique d’une transformation de la condition humaine. Comme le fait valoir la dissertation, l’interprétation culturelle ne constitue pas un obstacle à l'objectivité de l'histoire naturelle de la cosmologie locale. L’interprétation culturelle et l'expérience empirique s’avèrent par ailleurs essentielles à la vitalité des connaissances locales sur l'environnement et à la performance des pratiques associées.
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Cette recherche examine la traduction et la réception en France, en Grande Bretagne et aux États-Unis de la littérature contemporaine d’expression arabe écrite par des femmes, afin de répondre à deux questions principales: comment les écrivaines provenant de pays arabes perdent-elles leur agentivité dans les processus de traduction et de réception? Et comment la traduction et la réception de leurs textes contribuent-elles à la construction d’une altérité arabe? Pour y répondre, l’auteure examine trois romans présentant des traits thématiques et formels très différents, à savoir Fawḍā al-Ḥawāss (1997) par Ahlem Mosteghanemi, Innahā Lundun Yā ‘Azīzī (2001) par Hanan al-Shaykh et Banāt al-Riyāḍ (2005) par Rajaa Alsanea. L’analyse, basée sur le modèle à trois dimensions de Norman Fairclough, vise à découvrir comment les écrivaines expriment leur agentivité à travers l’écriture, et quelles images elles projettent d’elles-mêmes et plus généralement des femmes dans leurs sociétés respectives. L’auteure se penche ensuite sur les traductions anglaise et française de chaque roman. Elle examine les déplacements qui s’opèrent principalement sur le plan de la texture et le plan pragma-sémiotique, et interroge en quoi ces déplacements ébranlent l’autorité des écrivaines. Enfin, une étude de la réception de ces traductions en France, en Grande Bretagne et aux États-Unis vient enrichir l’analyse textuelle. À cette étape, les critiques éditoriales et universitaires ainsi que les choix éditoriaux relatifs au paratexte sont scrutés de façon à mettre en lumière les processus décisionnels, les discours et les tropes sous-tendant la mise en marché et la consommation de ces traductions. L’analyse des originaux révèle tout d’abord qu’à travers leurs textes, les auteures sont des agentes actives de changement social. Elles s’insurgent, chacune à sa manière, contre les discours hégémoniques tant locaux qu’occidentaux, et (ré-)imaginent leurs sociétés et leurs nations. Ce faisant, elles se créent leur propre espace discursif dans la sphère publique. Toutefois, la thèse montre que dans la plupart des traductions, les discours dissidents sont neutralisés, l’agentivité et la subjectivité des écrivaines minées au profit d’un discours dominant orientaliste. Ce même discours semble sous-tendre la réception des romans en traduction. Dans ce discours réifiant, l’expression de la différence culturelle est inextricablement imbriquée dans l’expression de la différence sexuelle: la « femme arabe » est la victime d’une religion islamique et d’une culture arabe essentiellement misogynes et arriérées. L’étude suggère, cependant, que ce sont moins les interventions des traductrices que les décisions des éditeurs, le travail de médiation opéré par les critiques, et l’intérêt (ou le désintérêt) des universitaires qui influencent le plus la manière dont ces romans sont mis en marché et reçus dans les nouveaux contextes. L’auteure conclut par rappeler l’importance d’une éthique de la traduction qui transcende toute approche binaire et se fonde sur une lecture éthique des textes qui fait ressortir le lien entre la poétique et la politique. Enfin, elle propose une lecture basée sur la reconnaissance du caractère situé du texte traduit comme du sujet lisant/traduisant.
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This article seeks to demonstrate how Law inter-related with Economy, constitutes in modern societies one of the main instruments for the construction of citizen consensus or the construction of political hegemony in modern societies. If we consider this affirmation —as is argued here— the transformations suffered in recent decades by Law as a consequence of the new phase of capitalistic globalization, have played an important role in the constitution of a new subjectivity (“single thought”) in the population.
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Regulatory agencies such as Europol, Frontex, Eurojust, CEPOL as well as bodies such as OLAF, have over the past decade become increasingly active within the institutional architecture constituting the EU’s Area of Freedom, Security and Justice and are now placed at the forefront of implementing and developing the EU’s internal security model. A prominent feature of agency activity is the large-scale proliferation of ‘knowledge’ on security threats via the production of policy tools such as threat assessments, risk analyses, periodic and situation reports. These instruments now play a critical role in providing the evidence-base that supports EU policymaking, with agency-generated ‘knowledge’ feeding political priority setting and decision-making within the EU’s new Internal Security Strategy (ISS). This paper examines the nature and purpose of knowledge generated by EU Home Affairs agencies. It asks where does this knowledge originate? How does it measure against criteria of objectivity, scientific rigour, reliability and accuracy? And how is it processed in order to frame threats, justify actions and set priorities under the ISS?
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The main objectives of this paper are to: firstly, identify key issues related to sustainable intelligent buildings (environmental, social, economic and technological factors); develop a conceptual model for the selection of the appropriate KPIs; secondly, test critically stakeholder's perceptions and values of selected KPIs intelligent buildings; and thirdly develop a new model for measuring the level of sustainability for sustainable intelligent buildings. This paper uses a consensus-based model (Sustainable Built Environment Tool- SuBETool), which is analysed using the analytical hierarchical process (AHP) for multi-criteria decision-making. The use of the multi-attribute model for priority setting in the sustainability assessment of intelligent buildings is introduced. The paper commences by reviewing the literature on sustainable intelligent buildings research and presents a pilot-study investigating the problems of complexity and subjectivity. This study is based upon a survey perceptions held by selected stakeholders and the value they attribute to selected KPIs. It is argued that the benefit of the new proposed model (SuBETool) is a ‘tool’ for ‘comparative’ rather than an absolute measurement. It has the potential to provide useful lessons from current sustainability assessment methods for strategic future of sustainable intelligent buildings in order to improve a building's performance and to deliver objective outcomes. Findings of this survey enrich the field of intelligent buildings in two ways. Firstly, it gives a detailed insight into the selection of sustainable building indicators, as well as their degree of importance. Secondly, it tesst critically stakeholder's perceptions and values of selected KPIs intelligent buildings. It is concluded that the priority levels for selected criteria is largely dependent on the integrated design team, which includes the client, architects, engineers and facilities managers.
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In this essay I argue that Heaney uses the figure of the neighbour to examine questions of otherness and cultural difference and their relationship to history and politics. The neighbour is of course a figure that has played a central role in Western philosophy and theology for centuries, from the Gospels and Kant to Freud and Lacan. It is also a concept to which Western poetry often returns, particularly in the work of Herbert, Clare, Eliot and Auden. Heaney too belongs to this tradition, in that his oeuvre contains many poems which consider the relationship between neighbours, and do so in ways profoundly suggestive for consideration of the relationship between historical events, social structures, cultural difference and psychic affect. In my essay I argue that Heaney sketches a profoundly materialist conception of subjectivity in its relationship with the Other. In doing so I contrast Heaney’s treatment of the neighbour, with its emphasis on questions of politics and locality, to the treatment of the neighbour in the ethical philosophy of Emmanuel Levinas.
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Contemporary artists exploring Jewish identity in the UK are caught between two exclusions, broadly speaking: an art community that that sees itself as ‘post –identity’ and a ‘black’ art scene that revolves around the organizations that emerged out of the Identity debates of the 1980s and 1990s, namely Iniva, Third Text, Autograph. These organizations and those debates, don’t usually include Jewish identity within their remit as Jewish artists are considered to be well represented in the British art scene and, in any case, white. Out of these assumptions, questions arise in relation to the position of Jews in Britain and what is at stake for an artist in exploring Jewish Identity in their work. There is considerable scholarship, relatively speaking on art and Jewish Identity in the US (such as Lisa Bloom; Norman Kleeblatt; Catherine Sousslouf), which inform the debates on visual culture and Jews. In this chapter, I will be drawing out some of the distinctions between the US and the UK debates within my analysis, building on my own writing over the last ten years as well as the work of Juliet Steyn, Jon Stratton and Griselda Pollock. In short, this chapter aims to explore the problematic of what Jewish Identity can offer the viewer as art; what place such art inhabits within a wider artistic context and how, if at all, it is received. There is a predominance of lens based work that explores Identity arising out of the provenance of feminist practices and the politics of documentary that will be important in the framing of the work. I do not aim to consider what constitutes a Jewish artist, that has been done elsewhere and is an inadequate and somewhat spurious conversation . I will also not be focusing on artists whose intention is to celebrate an unproblematised Jewishness (however that is constituted in any given work). Recent artworks and scholarship has in any case rendered the trumpeting of attachment to any singular identity anachronistic at best. I will focus on artists working in the UK who incorporate questions of Jewishness into a larger visual enquiry that build on Judith Butler’s notion of identity as process or performative as well as the more recent debates and artwork that consider the intersectionality of identifications that co-constitute provisional identities (Jones, Modood, Sara Ahmed, Braidotti/Nikki S Lee, Glenn Ligon). The case studies to think through these questions of identity, will be artworks by Susan Hiller, Doug Fishbone and Suzanne Triester. In thinking through works by these artists, I will also serve to contextualise them, situating them briefly within the history of the landmark exhibition in the UK, Rubies and Rebels and the work of Ruth Novaczek, Lily Markewitz, Oreet Ashery and myself.
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The limited coverage of servants in nineteenth-century literature may plausibly be ascribed to the tenuous nature of the roles they play in primary texts, and especially to the problematic nature of their agency. This idea is implicit in the arguments of Bruce Robbins, whose The Servant’s Hand remains the most cogent approach to giving servants a palpable role in critical narrative: for Robbins, the agency that acts through the servant ‘prosthesis’ rebounds on the master, granting the servant figure a sometimes exorbitant textual agency. The figure of the sleepwalking maid, and the analogies between sleepwalking and domestic service implicit in it, will help to complicate this picture. In anecdotes of spontaneous sleepwalking, and their subsequent appropriation by mesmerists, maids are cast as non-agents in terms of ownership of narrative: their subjectivity is immaterial to the public fate of the story which their acts generate. But this apparent non-agency is itself derived from their spontaneity; from an autonomous, albeit unconscious, self-will. As such, sleepwalking subjectivity is a gift to paternalism; a mastery it does not have to produce. In conclusion, it is this undetermined quality, rather than a simple lack of agency, that characterizes the maid in the novel, and which continues to exclude domestic servants from critical narrative.
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This article discusses the aesthetic and spatial representational strategies of the popular studio-based musical television drama serials Rock Follies and Rock Follies of ’77. It analyses how the texts’ themes relating to women and the entertainment industry are mediated through their postmodern ironic mode and representation of fantastic spaces. Rock Follies’ distinctive stylised aesthetic and mode of caricature are analysed with reference to the visual intentions and ‘voice’ of the writer, Howard Schuman. Through considering the programmes’ various spatial strategies, the article draws attention to the importance of visual and performance style in their postmodern discourse on culture, fantasy, gender and subjectivity. Analysis of the spaces of musical performance, characters’ domestic environments and simulated entertainment spaces reveals how a dialectic is established between the escapist imaginative pleasures of fantasy and the manipulative and exploitative practices of the culture industry. The shift from the optimism of the first series, when the LittleLadies first form, to the darker mood of the second series, in which they are increasingly divided by industry pressures, is traced through changes in the aesthetics of space and characterisation. As a space of artifice, performance and electronic visual manipulation that facilitates the texts’ reflexive representation of culture and feminised fantasy, the studio’s unique aesthetic strengths emerge through this case study.
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This article presents a group of women-authored testimonial texts published between 1959–1989 in revolutionary Cuba. Despite the recent scholarly debates within Latin American Cultural Studies regarding Latin American testimonio, these texts have received little or no critical or theoretical attention within or outside Cuba. The article therefore starts by situating them within the specific context of revolutionary culture, especially with reference to questions of gender, genre and publication. Having established that the texts as a whole privilege the collective revolutionary context and revolutionary experience over gendered or generic aspects, the seven texts are then grouped under a more specific contextual category, as narratives of voluntary work (participation and observation), in order to provide a clearer structure for their description and analysis. Each of the texts is then described within its sub-group, and the article ends by indicating how such texts challenge testimonio paradigms by positing a relational notion of subjectivity.
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This essay considers the interest shared by William Hogarth and Charles Dickens on the idea of instrumentality in the art of realism. Taking his cue from eighteenth-century epistemological philosophy, Hogarth developed an idea of beauty and realism as insisting upon the need for human subjectivity or perspective. Naïve realism was a style that troubled both Hogarth and Dickens and both men developed forms in which caricature, melodrama and exaggeration is crucial to the development of verisimilitude. Considering the progress pieces and the writings of Hogarth as a preface to the style of Dickens, I argue that Nicholas Nickleby developed an extraordinary self-reflexivity. Both Nicholas and his uncle Ralph form part of a narrative study of the implications of filtering perception through the distorting lens of the individual.