990 resultados para Seydelmann, Karl, 1793-1843.


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Management sciences and corporate practices of companies bring extensive views on the ethics and the corporate responsibility. The practical experiments try to build, and to make appropriate themselves to itself by the actors of companies, the deontological ethics governed by principles. Dialogue and deliberation are the political frame given to this construction. A question seems then central, that of the ultimate rational foundation of the morality and its normative contents. K.O. Apel’s propositions concerning his ethics of the discussion founded in a pragmatico-transcendental way seems to me to allow an essential advance on the subject. According to Apel, this foundation should supply: 1) The bases of an ultimate rational foundation of the morality and its normative contents, 2) The bases of the universal validity of a principle of justice, solidarity and co responsibility, 3) The bases of an ethics of the responsibility, but not an deontological ethics, governed by principles which could come to complete and to legitimize socio organizational processes and systems of relations which, placed in a new ethical context, could continue. In this article, I try to show in what K.O. Apel’s propositions allow to enrich a reflection opened by the research works in business ethics and in organizational behavior.

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La question alimentaire, chez Joris-Karl Huysmans, est une préoccupation centrale. Son œuvre témoigne d’un réel intérêt pour la nourriture et le motif de la quête du repas structure plusieurs de ses écrits. Bien au-delà de la simple question diététique, j’émets l’hypothèse que l’alimentation constitue chez Huysmans un véritable topos qui parcourt l’œuvre et la structure. Depuis la névrose de l’indigeste jusqu’à l’élévation spirituelle des nourritures célestes, elle progresse dans un cheminement toujours plus mystique alors que le mangeur tente d’accéder à la béatitude alimentaire. Afin de mieux cerner cette évolution thématique et discursive, j’examine principalement un corpus restreint comprenant À Vau-l’eau (1882), En Ménage (1881), À Rebours (1884) et Là-bas (1891). Ces quatre œuvres, prises isolément, présentent un contenu particulièrement riche en préoccupations alimentaires; côte à côte, elles dévoilent une réelle évolution textuelle et thématique, développent et amplifient la question alimentaire qui passe de la quête vitale de subsistance à celle d’une nourriture plus spirituelle.

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La question qui traverse toute l’œuvre de Karl Rahner continue de se poser : comment rendre crédible et croyable la révélation de Dieu en Jésus aux gens d’aujourd’hui? Cette question doit être pensée sans cesse à nouveau dans la réalité concrète de la vie humaine. Au temps de Rahner, on mettait l’accent sur la transcendance de Dieu. Depuis ce temps, la culture occidentale s’est transformée : au début du 21e siècle, elle présente de façon marquée les traits du matérialisme, du consumérisme, de l’individualisme, du relativisme et du sécularisme. Conséquemment, on a aujourd’hui tendance à évacuer la transcendance divine. Notre recherche consiste en l’effectuation d’échanges entre la théologie de Karl Rahner et la philosophie de Gilles Deleuze, dans le but d’établir des conditions de possibilités d’un croire chrétiennement aujourd’hui. La philosophie de Deleuze nous introduit dans un processus créatif avec lequel nous pouvons penser radicalement Dieu comme à la fois transcendant et immanent. Notre démarche construit huit hybrides conceptuels qui aident à penser Rahner autrement et à ouvrir la possibilité d’un croire chrétiennement aujourd’hui. Notre recherche ouvre également la perspective d’une théologie de la rencontre entre des mondes théologiques, philosophiques, artistiques et scientifiques. Enfin, elle aide à éclairer la réalité de la nouvelle évangélisation en Occident chrétien.

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Les débats économiques au 19e siècle, loin d’être l’apanage du monde universitaire, étaient aux États-Unis un des principaux objets de contentieux entre les partis politiques et ceux-ci trouvaient écho dans la sphère publique. Les journaux étaient alors le principal moyen de communiquer les opinions des différents partis. La présente étude vise à mettre en contexte et cerner la position des écrits du plus important économiste américain de son époque, Henry Charles Carey (1793-1879), reconnu comme tel par J.S. Mill et Karl Marx en leur temps, lors de la décennie de 1850 dans le journal le plus influent de cette période, le New York Tribune. Pour ce faire, il a fallu au préalable identifier les articles non signés de Carey dans le journal, ce qui n’avait auparavant jamais été fait. Au moment d’écrire dans le principal organe américain qui défendait la protection aux États-Unis afin d’industrialiser le pays, Carey était alors le représentant le plus prééminent du système américain d’économie. Ce dernier, fondé sur les écrits d’Alexander Hamilton, prônait l’industrialisation des États-Unis et l’intervention de l’État pour défendre le bien commun, s’opposant ainsi à l’école libérale anglaise basée sur les écrits d’Adam Smith. Conceptuellement, la pensée économique de Carey se situe dans la tradition des Autres Canon, basée sur la production et l’innovation. Ceci le mena à s’opposer avec vigueur tant au malthusianisme qu’à la division internationale du travail, justifiée théoriquement par la thèse de l’avantage comparatif de Ricardo. En effet, dans son analyse, la volonté exprimée au milieu du 19e siècle par l’Angleterre de devenir l’atelier du monde et de faire du reste des nations des producteurs de matières premières sous un régime de libre-échange n’était rien d’autre que la continuation de la politique coloniale par d’autres moyens. Pour Carey, la spécialisation dans l’exportation de matières premières, notamment défendue par les planteurs du Sud des États-Unis, loin d’être bénéfique au pays, était le sûr gage de la pauvreté comme les cas de l’Irlande et de l’Inde le démontraient.

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Im Zentrum der Dissertation steht die höfische Tierhaltung in der ehemaligen Residenzstadt Kassel. Die Auswertung der Archivquellen stellt ein kontinuierliches Bild des Aufkommens exotischer Tiere vom 15. bis ins 18. Jahrhundert dar. Der Fokus richtet sich auf die barocke Menagerie des Landgrafen Karl von Hessen-Kassel (ca. 1680 - 1730), die mit ihrem systematisch aufgebauten und umfangreichen Tierbestand die Einrichtungen seiner Vorgänger weit übertraf. Die Sammlung lebender Raritäten aus allen Regionen der Welt diente der absolutistischen Selbstdarstellung und der Visualisierung des Herrschaftsstatus. Die Untersuchung der zeitgenössischen Reiseberichte zeigt, dass die Menagerietiere vom Betrachter ebenso als kuriose und/oder rare Sehenswürdigkeiten empfunden wurden wie die musealen Ausstellungsstücke einer Kunstkammer. Da sie als lebende Schauobjekte Staunen auslösten, müssen sie mit der „frühneuzeitlichen Neugierde“ (curiositas) in Verbindung gebracht werden und bildeten einen wesentlichen Bestandteil des imaginären Welttheaters „Macrocosmos in Microcosmo“. Gerade hier kann die Dissertation eine enge Verbindung zwischen Menagerie und Kunstkammer belegen, die in der Forschungsliteratur bisher kaum thematisiert wurde. Die Tiersammlung bildete einen räumlich separierten Teil der Sammlungen des kunstsinnigen und naturwissenschaftlich interessierten Fürsten, die ansonsten im Kunsthaus untergebracht waren. Der Menagerie kam die gleiche reichspolitisch repräsentative Bedeutung zu, welche auch die begehbare Sammlung inne hatte. Die von 1764 bis 1785 bestehende Menagerie seines Enkelsohnes, Friedrich II., folgte dagegen anderen Zielsetzungen. Sie ist in Zusammenhang mit pädagogischen und kulturellen Bemühungen seiner Regierung im Sinne des aufgeklärten Absolutismus zu sehen. Ein weiterer Teil der Untersuchung widmet sich dem Kasseler „Tierstück“ von Johann Melchior Roos („Die Menagerie des Landgrafen Carl“, 1722-1728, mhk). Die kunsthistorische Analyse ordnet das Gemälde in die Tradition der niederländischen Sammelbilder des 17. Jahrhunderts ein. Der Maler bedient sich traditioneller Paradiesdarstellungen, welche die Utopie von der friedlichen Koexistenz aller Lebewesen zum Thema haben. Ebenso steht das Kasseler „Tierstück“ als Sammelbild wertvoller gemalter Raritäten den naturhistorisch-enzyklopädischen Stillleben nahe, die bevorzugt Muscheln und Blumenbuketts zeigen. Die Präsentation des Gemäldes als Bestandteil der enzyklopädisch gedachten Naturaliensammlung im „Kunsthaus“ (Ottoneum) ordnet es von Beginn an der begehbaren höfischen Welt zu. Dabei wird die zeitgenössische Wahrnehmung des „Tierstücks“ als kurioses Kunstwerk herausgearbeitet, dem im Ensemble von Naturalia und Artificialia ein universalistisches Bildprogramm zukam. Die Authentizität der im Gemälde dargestellten Tiersammlung lässt sich nicht bestätigen. Der Maler hat mit seiner fiktiven Bildkompilation einen idealen Zustand erzeugt. Als typisches Sammlungsbild ist es eher als Metonymie der Sammlung wahrzunehmen, das seinen Verweiszusammenhang innerhalb der als Mikrokosmos organisierten Sammlung entfalten konnte.

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Anàlisi dels deferents discursos de moderats, progressistes i republicans i els usos dels mots “poble” i “nació” durant els anys 1837-1843. L’autor considera que aquesta perspectiva és important per entendre el període, tot i que els recents debats sobre els orígens del nacionalisme a Espanya ho han deixat en un lloc secundari

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Este artículo pertenece a un dossier monográfico titulado 'La era de las revoluciones'