941 resultados para SKIN-SPARING MASTECTOMY
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We analysed 16 variable number tandem repeats (VNTR) and three single-nucleotide polymorphisms (SNP) in Mycobacterium leprae present on 115 Ziehl-Neelsen (Z-N)-stained slides and in 51 skin biopsy samples derived from leprosy patients from Ceará (n = 23), Pernambuco (n = 41), Rio de Janeiro (n = 22) and Rondônia (RO) (n = 78). All skin biopsies yielded SNP-based genotypes, while 48 of the samples (94.1%) yielded complete VNTR genotypes. We evaluated two procedures for extracting M. leprae DNA from Z-N-stained slides: the first including Chelex and the other combining proteinase and sodium dodecyl sulfate. Of the 76 samples processed using the first procedure, 30.2% were positive for 16 or 15 VNTRs, whereas of the 39 samples processed using the second procedure, 28.2% yielded genotypes defined by at least 10 VNTRs. Combined VNTR and SNP analysis revealed large variability in genotypes, but a high prevalence of SNP genotype 4 in the Northeast Region of Brazil. Our observation of two samples from RO with an identical genotype and seven groups with similar genotypes, including four derived from residents of the same state or region, suggest a tendency to form groups according to the origin of the isolates. This study demonstrates the existence of geographically related M. leprae genotypes and that Z-N-stained slides are an alternative source for M. leprae genotyping.
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Summary: The mammalian epidermis is a pluristratified epithelium composed of 90% keratinocytes, and its main function is to serve as barrier for the body. The epithelial sodium channel (ENaC), formed by three homologous subunits α, β and γ is found in a variety of epithelia including epidermis. Previous studies showed that ENaC modulates different aspects of epidermal differentiation, such as synthesis of differentiation-specific proteins and lipid secretion. ENaC plays also a critical role in sodium homeostasis of renal and pulmonary epithelia, and its activity is thereby well controlled by hormones and non-hormonal factors, such as the serine protease CAP1 (channel-activating protease 1), also termed prostasin encoded by Prss8 gene. Serine proteases are proteolytic enzymes involved in numerous physiological and pathological processes in the epidermis. In order to evaluate the role of β and γENaC in epidermis, we analyzed the skin phenotype of β and γENaC null mutant (βENaC-/- and γENaC-/-) mice in comparison with the phenotype of αENaC-deficient mice. Furthermore, keratin14-specific CAP1-deficient mice (Prss8lox/Δ /K14-Cre) were generated in order to unveil the role of the serine protease CAP1 in epidermal development and function. This study reveals that the skin phenotype of βENaC and γENaC null mutant mice is less severe than the one of αENaC-deficient mice. However, all these mice present a common premature lipid secretion in the mid-granular layer of the epidermis. Further, the composition of the lipids of the stratum corneum in αENaC-deficient mice is strongly altered, suggesting that epidermal barrier function is compromised. K14-specific CAP1-deficient newborn mice are born at the expected Mendelian ratio, but die soon after birth, showing that CAP1 is required for postnatal survival. The epidermis of these mice exhibits striking malformations of the stratum corneum showing hyperkeratosis. These defects seriously affect both inward and outward epidermal barrier function, leading to rapid and fatal dehydration. As in αENaC-deficient mice, the lipid composition of the stratum corneum of K14-specific CAP1-deficient mice is disturbed. Furthermore, lack of CAP1 leads to the selective loss of filaggrin monomers, important for keratins aggregation and skin moisturization, and to an increased of aberrant profilaggrin precursors. In conclusion, both ENaC and CAP1 expression in the epidermis are crucial for keratinocyte differentiation processes and/or barrier function. Since the abnormalities in K14-specific CAP1-deficient mice resemble key features of human skin ichthyosis, in particular Harlequin ichthyosis, the study of ENaC and CAP1 mutant mice might allow new insights into mechanisms underlying skin diseases. Résumé: L'épiderme des mammifères est un épithélium pluristratifié, protégeant le corps contre les perturbations extérieures et la déshydratation. Le canal épithélial à sodium (ENaC), formé de trois sous-unités α, β et γ, est exprimé dans de nombreux épithélia, comme l'épiderme. Des études ont montré que l'absence de la sous-unité αENaC modulait différents aspects de la différenciation des kératinocytes de l'épiderme, comme la synthèse de protéines spécifiques ou la sécrétion de lipides dans la couche granulaire de l'épiderme. ENaC joue également un rôle crucial dans l'homéostasie du sodium dans les épithélia électriquement étanches, comme l'épithélium rénal ou pulmonaire. L'activité de ENaC est par conséquent finement régulée, en partie par des hormones, mais aussi par des facteurs non-hormonaux, telle que la sérine protéase CAP1 (« channel-activating protease 1 >>) (nommée également prostasine et codée par le gène Prss8). Le but de ce travail a donc été d'étudier le rôle des sous-unités β et γENaC dans l'épiderme en comparaison avec celui de la sous-unité α en utilisant des souris mutantes βENaC-/- et γENaC-/-. Dans un deuxième temps, le phénotype d'une souris chez qui CAP1 a été spécifiquement invalidé dans l'épiderme (Prsslox/Δ/K14-Cre) a été analysé, dans le but de mettre en évidence le rôle de cette protéase dans l'épiderme. Comme déjà montré pour les souris αENaC-/-, la sécrétion des lipides dans la couche granulaire de l'épiderme des souris βENaC-/- et γENaC-/- est prématurée. Cependant, l'hyperplasie et l'expression anormale des protéines marqueurs de la différenciation présents chez les souris αENaC-/- n'ont pas été observés dans l'épiderme des souris βENaC-/- et γENaC-/-. La composition lipidique de la couche cornée des souris αENaC-/- est fortement altérée suggérant que la fonction de barrière de l'épiderme de ces souris est compromise. Les souris mutantes CAP1 ont quant à elles révélé des malformations sévères de leur couche cornée, affectant la fonction de barrière de leur épiderme et conduisant à la mort de ces souris par déshydratation quelques jours après leur naissance. De plus, la composition en lipides de la couche cornée ainsi que la taille des cellules cornées, les cornéocytes, de ces souris sont modifiées par rapport aux souris contrôles. L'invalidation de la protéine CAP1 dans l'épiderme conduit aussi à la perte de la filaggrine, une protéine cruciale pour l'agrégation des kératines dans la couche cornée et le maintien du niveau d'hydratation de la peau, et à l'accumulation de ses précurseurs. En conclusion, l'expression de ENaC et de CAP1 est cruciale pour la différenciation de l'épiderme et/ou sa fonction de barrière. De plus, le phénotype des souris mutantes CAP1 présente des caractéristiques qui ressemblent à celles observées dans certaines pathologies humaines cutanées, comme l'ichthyose d'Harlequin. L'étude des souris mutantes ENaC et CAP1 pourrait donc apporter de nouvelles connaissances dans les mécanismes impliqués dans l'ichthyose d'Harlequin ou d'autres maladies de la peau chez l'homme. Résumé tout public: La peau est le plus grand organe vital du corps humain. Sa fonction principale est de protéger le corps comme une barrière, contre les agressions extérieures et la déshydratation. De nombreuses maladies de la peau résultent d'une perte de fonction de cette barrière. Bien que les pathologies cutanées soient très bien décrites, leur cause génétique n'est en général pas encore connue. La souris est alors un modèle de choix pour la recherche fondamentale. En effet, grâce aux progrès récents de la science, le génome de la souris peut aujourd'hui être modifié dans le but d'étudier le rôle de nombreuses protéines. Dans différents organes, comme le rein et le poumon, le canal épithélial à sodium (ENaC), composé de trois sous-unités protéiques homologues (α, β, et γ), joue un rôle essentiel dans la réabsorption du sodium. L'activité de ENaC est régulée par de nombreux facteurs hormonaux et non-hormonaux, telle que la protéase CAP1 (« channel-activating protease 1 »). L'invalidation de la sous-unité αENaC chez la souris a permis de montrer que dans la peau, le canal ENaC est impliqué dans la différenciation des cellules de l'épiderme et la croissance des poils. Durant ce travail, le phénotype des souris chez qui la protéine βENaC, γENaC ou CAP1 a été invalidée (souris mutantes), a été étudié dans le but de mieux comprendre le rôle des sous-unités du canal ENaC et de son régulateur CAP1 dans la peau. Les résultats de ce projet ont montré que les souris mutantes βENaC et γENaC présentent un épiderme anormal avec une synthèse prématurée de lipides dans la couche granulaire, suggérant l'implication de ENaC dans la fonction de barrière de la peau. De plus, quand CAP1 est invalidé de manière totale chez les souris, le développement embryonnaire est perturbé et ces souris meurent avant la naissance. CAP1 a donc été invalidé spécifiquement dans l'épiderme des souris. Ces souris mutantes « épiderme-spécifique » naissent normalement, mais meurent peu après la naissance de déshydratation. La couche superficielle de l'épiderme, appelée couche cornée, de ces souris est malformée et ne confère plus à la peau sa fonction de barrière. De plus, les composants de la couche cornée, les cellules cornées entourées de lipides, sont sévèrement altérés. Le phénotype de ces souris ressemble aux caractéristiques présentes chez les patients atteints d'ichthyoses, en particulier l'ichthyose d'Harlequin. En conclusion, le canal ENaC ainsi que son régulateur CAP1 jouent un rôle clé dans les processus de différenciation de l'épiderme et/ou de sa fonction de barrière. De plus, les souris mutantes pour CAP1 et ENaC se révéleront peut-être comme des modèles appropriés dans l'étude de l'ichthyose d'Harlequin ou d'autres maladies cutanées.
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Résumé en français Cadre : Policlinique pédiatrique à Lausanne en Suisse, pays rencontrant une proportion importante de tuberculose au sein de la population de migrants. But : Déterminer les facteurs de risque associés à un test tuberculinique positif (ou test de Mantoux), notamment l'influence du BCG (Bacille Calmette Guérin) et d'un contact avec un personne ayant une tuberculose active. Les patients concernés étaient des enfants examinés dans le cadre d'un contrôle de santé ou dans le cadre d'une étude d'entourage d'un cas déclaré de tuberculose. Méthode : Etude descriptive comprenant des enfants ayant eu un test tuberculinique (2 unités RT23) entre novembre 2002 et avril 2004. L'âge, le sexe, l'anamnèse de contact avec une personne ayant une tuberculose active, la vaccination par le BCG, le pays d'origine et le lieu de naissance (en Suisse ou hors de la Suisse) étaient répertoriés. Résultats : Parmi les 234 enfants de l'étude, 176 (75%) avaient une réaction tuberculinique égal à zéro et 31 (13%) avaient une réaction positive (> 10mm). Dans le modèle de régression linéaire, la taille de la réaction tuberculinique variait significativement selon l'anamnèse de contact avec une personne ayant une tuberculose active, l'âge, l'incidence de la tuberculose dans le pays d'origine et la vaccination par le BCG. Le sexe ou le lieu de naissance n'influençait pas la taille de la réaction. Dans le modèle de régression logistique incluant toutes les valeurs répertoriées, les paramètres significativement associés avec un Mantoux positif étaient l'âge (Odds Ratio = 1.21, 95% CI 1.08 ; 1.35), l'anamnèse de contact avec une personne ayant une tuberculose active (OR = 7.31, 95% CI 2.23 ; 24) et l'incidence de la tuberculose dans le pays d'origine (OR = 1.01, 95% CI 1.00 ; 1.02). Le sexe (OR = 1.18, 95% CI 0.50 ; 2.78) et la vaçcination par le BCG (OR = 2.97, 95% CI 0.91 ; 9.72) n'étaient pas associés avec une réaction tuberculinique positive. Conclusions : L'incidence de la tuberculose dans le pays d'origine, la vaccination par le BCG et l'âge influencent le test de Mantoux (taille ou proportion de réaction > 10mm). Toutefois, le facteur de risque le plus important d'avoir une réaction tuberculinique positive est l'anamnèse de contact avec. une personne ayant une tuberculose active.
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RESUME Le diagnostic d'infection tuberculeuse repose essentiellement sur le test tuberculinique (test de Mantoux). Cependant, le résultat de ce dernier est également influencé par d'autres facteurs, le plus important étant la vaccination par le Bacille Calmette-Guérin (BCG), interaction connue depuis de nombreuses années. Il est généralement admis que l'effet de la vaccination peut entraîner des réactions positives jusqu'à un diamètre d'induration de 15 mm. Au-delà, la positivité du test est en général attribuée à une primo-infection tuberculeuse. Peu d'études se sont réellement penchées sur le sujet. Chez le personnel de soins soumis à des Mantoux répétés, cette notion revêt une importance particulière pour interpréter correctement une réaction fortement positive en l'absence de facteurs de risque tuberculeux, dans un pays à faible endémie tuberculeuse. Notre étude a cherché à déterminer si le diamètre transversal de l'induration du Mantoux était un critère fiable pour distinguer une positivité associée à une infection tuberculeuse de celle associée à une ancienne vaccination. Elle s'est attachée à rechercher un seuil au-delà duquel l'infection tuberculeuse pourrait être considérée comme probable. Entre janvier 1991 et mars 1998, tous les nouveaux employés du CHUV ont été invités à recevoir un test tuberculinique à l'occasion de leur visite d'entrée à la Médecine du personnel. En cas de réponse négative, un deuxième test a été pratiqué une semaine plus tard, pour détecter un éventuel effet booster. Lors de la première visite, l'infirmière a rempli un questionnaire comprenant les données démographiques usuelles, des informations concernant les facteurs pouvant influencer la positivité du test, notamment les antécédents de vaccination par le BCG, les expositions à la tuberculose et l'existence d'antécédents d'infection tuberculeuse. Parmi les 5117 sujets inclus dans l'étude, nous avons trouvé que l'influence de la vaccination variait en fonction de l'âge. Chez les sujets de moins de 40 ans, la vaccination par le BCG était le prédicteur le plus important d'un Mantoux positif inférieur à 18 mm, de loin supérieur aux facteurs de risque habituels pour une infection tuberculeuse, eux aussi significatifs. L'effet du BCG était présent pour des réactions allant jusqu'à 20 mm. Pour les Mantoux supérieurs à 20 mm, l'odds ratio (OR) relatif au BCG demeure clairement élevé (supérieur à 3,4) bien que non significatif. Par contre, pour les employés âgés de plus de 40 ans, le BCG est un facteur prédictif pour les tests supérieurs à 10 mm (OR 2.4) mais n'est plus un facteur significatif pour une taille supérieure à 15 mm. Ces résultats montrent que l'interprétation d'un test tuberculinique même fortement positif, doit être faite avec prudence et discernement. En effet, notre étude démontre que chez les sujets vaccinés de moins de 40 ans, dans les zones de faible endémie tuberculeuse particulièrement en l'absence de facteurs de risque pour une infection tuberculeuse, un Mantoux positif jusqu'à 18 mm est dû, le plus probablement, à une ancienne vaccination par le BCG, plutôt qu'à une infection par M tuberczilosis. L'interprétation des Mantoux de taille inférieure à 18 mm et les Mantoux effectués chez des sujets de moins de 40 ans, doit prendre en compte l'existence d'un BCG antérieur. En conséquence, la mise en évidence d'une réaction de Mantoux fortement positive ne devrait pas conduire systématiquement à un traitement préventif. L'absence de spécificité du test Mantoux, utilisé pour le dépistage de la tuberculose depuis bientôt une centaine d'année, est un problème connu. Nous démontrons que la taille de l'induration ne peut pas être utilisée de façon fiable comme critère pour identifier une infection tuberculeuse chez une personne vaccinée avec le BCG, avec le risque de sui-traiter un nombre important de sujets. Dans notre étude, 21% des sujets avaient un Mantoux supérieur ou égal à 15 mm et auraient dû être traités selon les recommandations en vigueur en Suisse si l'on ne tenait pas compte du BCG antérieur. Des tests plus spécifiques sont actuellement à l'étude et permettront vraisemblablement, à l'avenir, de palier au problème de l'absence de spécificité du test de Mantoux. Abstract : Background. Previous bacillus Calmette-Guerin (BCG) vaccination can confound the results of a tuberculin skin test (TST). We sought to determine a cutoff diameter of TST induration beyond which the influence of BCG vaccination was negligible in evaluating potential Mycobacterium tuberculosis infection in a population of health care workers with a high vaccination rate and low incidence of tuberculosis. Methods. From 1991 through 1998, all new employees at the University Hospital of Lausanne, Switzerland, underwent a 2-step TST at entry visit. We also gathered information on demographic characteristics, along with factors commonly associated with tuberculin positivity, including previous BCG vaccination, history of latent M. tuberculosis infection, and predictors for M. tuberculosis infection. Results. Among the 5117 investigated subjects, we found that influence of BCG vaccination on TST results varied across categories of age (likelihood ratio test, 0.0001). Prior BCG vaccination had a strong influence on skin test results of mm in diameter among persons <40 years old, compared with the influence of factors predictive of M. tuberculosis infection. Prior latent M. tuberculosis infection and travel or employment in a country in which tuberculosis is endemic also had significant influences. Conclusions. Interpretation of TST reactions of mm among BCG-vaccinated persons <40 years of age must be done with caution in areas with a low incidence of tuberculosis. In such a population, except for persons who have never been vaccinated, TST reactions of ---518 mm are more likely to be the result of prior vaccination than infection and should not systematically lead to preventive treatment.
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Scedosporium apiospermum is a filamentous fungus that can cause cutaneous or extracutaneous disease. A large number of cases have been published over the last decades, mainly in patients immunocompromised as a result of their disease or treatment. These kinds of infections can progress rapidly and become disseminated, leading to very serious or even fatal complications. We report two new cases of skin infection by Scedosporium apiospermum from our hospital.
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Nanotechnologists have become involved in regenerative medicine via creation of biomaterials and nanostructures with potential clinical implications. Their aim is to develop systems that can mimic, reinforce or even create in vivo tissue repair strategies. In fact, in the last decade, important advances in the field of tissue engineering, cell therapy and cell delivery have already been achieved. In this review, we will delve into the latest research advances and discuss whether cell and/or tissue repair devices are a possibility. Focusing on the application of nanotechnology in tissue engineering research, this review highlights recent advances in the application of nano-engineered scaffolds designed to replace or restore the followed tissues: (i) skin; (ii) cartilage; (iii) bone; (iv) nerve; and (v) cardiac.
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It has been reported that patients with progressive tuberculosis (TB) express abundant amounts of the antimicrobial peptides (AMPs) cathelicidin (LL-37) and human neutrophil peptide-1 (HNP-1) in circulating cells, whereas latent TB infected donors showed no differences when compared with purified protein derivative (PPD) and QuantiFERON®-TB Gold (QFT)-healthy individuals. The aim of this study was to determine whether LL-37 and HNP-1 production correlates with higher tuberculin skin test (TST) and QFT values in TB household contacts. Twenty-six TB household contact individuals between 26-58 years old TST and QFT positive with at last two years of latent TB infection were recruited. AMPs production by polymorphonuclear cells was determined by flow cytometry and correlation between TST and QFT values was analysed. Our results showed that there is a positive correlation between levels of HNP-1 and LL-37 production with reactivity to TST and/or QFT levels. This preliminary study suggests the potential use of the expression levels of these peptides as biomarkers for progression in latent infected individuals.
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Peroxisome proliferator-activated receptors, PPARalpha, PPARbeta/delta and PPARgamma, are fatty acid activated transcription factors that belong to the nuclear hormone receptor family. While they are best known as transcriptional regulators of lipid and glucose metabolism, evidence has also accumulated for their importance in skin homeostasis. The three PPAR isotypes are expressed in rodent and human skin. Various cell culture and in vivo approaches suggest that PPARalpha contributes to fetal skin development, to epidermal barrier maturation and to sebocyte activity. PPARbeta/delta regulates sebocyte differentiation, promotes hair follicle growth and has pro-differentiating effects in keratinocytes in normal and inflammatory conditions. In contrast, the role of PPARgamma appears to be rather minor in keratinocytes, whereas its activity is required for sebaceous gland differentiation. Importantly, PPARalpha and beta/delta are instrumental in skin repair after an injury, each of them playing specific roles. Due to their collective diverse functions in skin biology, PPARs represent a major research target for the understanding and treatment of many skin diseases, such as benign epidermal tumors, papillomas, acne vulgaris and psoriasis.
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A cohort of 123 adult contacts was followed for 18‐24 months (86 completed the follow-up) to compare conversion and reversion rates based on two serial measures of QuantiFERON (QFT) and tuberculin skin test (TST) (PPD from TUBERSOL, Aventis Pasteur, Canada) for diagnosing latent tuberculosis (TB) in household contacts of TB patients using conventional (C) and borderline zone (BZ) definitions. Questionnaires were used to obtain information regarding TB exposure, TB risk factors and socio-demographic data. QFT (IU/mL) conversion was defined as <0.35 to ≥0.35 (C) or <0.35 to >0.70 (BZ) and reversion was defined as ≥0.35 to <0.35 (C) or ≥0.35 to <0.20 (BZ); TST (mm) conversion was defined as <5 to ≥5 (C) or <5 to >10 (BZ) and reversion was defined as ≥5 to <5 (C). The QFT conversion and reversion rates were 10.5% and 7% with C and 8.1% and 4.7% with the BZ definitions, respectively. The TST rates were higher compared with QFT, especially with the C definitions (conversion 23.3%, reversion 9.3%). The QFT conversion and reversion rates were higher for TST ≥5; for TST, both rates were lower for QFT <0.35. No risk factors were associated with the probability of converting or reverting. The inconsistency and apparent randomness of serial testing is confusing and adds to the limitations of these tests and definitions to follow-up close TB contacts.
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The interferon (IFN)-γ response to peptides can be a useful diagnostic marker of Mycobacterium tuberculosis (MTB) latent infection. We identified promiscuous and potentially protective CD4+ T-cell epitopes from the most conserved regions of MTB antigenic proteins by scanning the MTB antigenic proteins GroEL2, phosphate-binding protein 1 precursor and 19 kDa antigen with the TEPITOPE algorithm. Seven peptide sequences predicted to bind to multiple human leukocyte antigen (HLA)-DR molecules were synthesised and tested with IFN-γ enzyme-linked immunospot (ELISPOT) assays using peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) from 16 Mantoux tuberculin skin test (TST)-positive and 16 TST-negative healthy donors. Eighty-eight percent of TST-positive donors responded to at least one of the peptides, compared to 25% of TST-negative donors. Each individual peptide induced IFN-γ production by PBMCs from at least 31% of the TST-positive donors. The magnitude of the response against all peptides was 182 ± 230 x 106 IFN-γ spot forming cells (SFC) among TST-positive donors and 36 ± 62 x 106 SFC among TST-negative donors (p = 0.007). The response to GroEL2 (463-477) was only observed in the TST-positive group. This combination of novel MTB CD4 T-cell epitopes should be tested in a larger cohort of individuals with latent tuberculosis (TB) to evaluate its potential to diagnose latent TB and it may be included in ELISPOT-based IFN-γ assays to identify individuals with this condition.
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Altered serine protease activity is associated with skin disorders in humans and in mice. The serine protease channel-activating protease-1 (CAP1; also termed protease serine S1 family member 8 (Prss8)) is important for epidermal homeostasis and is thus indispensable for postnatal survival in mice, but its roles and effectors in skin pathology are poorly defined. In this paper, we report that transgenic expression in mouse skin of either CAP1/Prss8 (K14-CAP1/Prss8) or protease-activated receptor-2 (PAR2; Grhl3(PAR2/+)), one candidate downstream target, causes epidermal hyperplasia, ichthyosis and itching. K14-CAP1/Prss8 ectopic expression impairs epidermal barrier function and causes skin inflammation characterized by an increase in thymic stromal lymphopoietin levels and immune cell infiltrations. Strikingly, both gross and functional K14-CAP1/Prss8-induced phenotypes are completely negated when superimposed on a PAR2-null background, establishing PAR2 as a pivotal mediator of pathogenesis. Our data provide genetic evidence for PAR2 as a downstream effector of CAP1/Prss8 in a signalling cascade that may provide novel therapeutic targets for ichthyoses, pruritus and inflammatory skin diseases.
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La peau est sujette à un vieillissement intrinsèque (processus naturel et chronologique) et extrinsèque (processus induit par l'environnement et notamment les rayons UV). Plusieurs études ont montré que le vieillissement cutané s'accompagne d'une réduction de la densité capillaire au sein du derme et d'une dégradation de plusieurs protéines de la matrice extracellulaire. Cette atteinte morphologique est associée à une diminution de la capacité vasodilatatrice maximale de la microcirculation dermique et en particulier, de la réponse maximale du flux sanguin cutané à un échauffement local de la surface cutanée à des températures avoisinant les 43-44°C. Cette réponse, appelée hyperémie locale induite par la chaleur (local thermal hyperemia), est facilement mesurable par des investigations non invasives, telles que le laser Doppler. Nous avons entrepris cette étude afin d'investiguer les effets de l'âge sur la réactivité de la microcirculation dermique dans des zones cutanées exposées différemment aux rayons UV. Pour ce faire, nous avons étudié, chez des patients jeunes (18 à 30 ans, n=13) et des patients âgés (> 60 ans, n=13), la vasodilatation cutanée induite par réchauffement local de la peau, au niveau de 3 sites anatomiques différents (la cuisse, l'avant- bras et le front). Les mesures ont été effectuées au moyen d'un laser Doppler. Pour chaque sujet et chaque site, la température cutanée fut tout d'abord amenée à 34°C par 2 corps de chauffe (A et B), disposés de manière adjacente sur la peau. La température fut ensuite augmentée à 39°C (corps de chauffe A) et à 41°C (corps de chauffe B) pour une durée de 30 minutes, dans l'optique d'induire une vasodilatation sous- maximale. Ensuite, la température fut augmentée à 43 °C (corps de chauffe A et B) pour 15 minutes supplémentaires. Enfin, la vasodilatation maximale a été induite par un échauffement local à 44°C pour 15 minutes supplémentaires (corps de chauffe A et B). L'enregistrement séquentiel du flux sanguin cutané, effectué chaque minute par laser Doppler imager, donne des images sur lesquelles peut être calculé le flux sanguin cutané (unités de perfusion, PU). Par la suite, nous avons calculé les conductances vasculaires cutanées (CVC), en divisant le flux sanguin (PU) par la tension artérielle moyenne (mmHg), afin de permettre une normalisation entre les différents sujets. Les CVC, évaluées au temps de départ (température 34°C) et après vasodilatation maximale (température 44°C), étaient plus hautes au niveau du front qu'au niveau des 2 autres sites anatomiques. Sur les 3 sites, la CVC maximale (température 44°C) diminuait avec l'âge mais de façon moins importante au niveau du front, en comparaison avec les 2 autres sites. La réponse aux températures sous-maximales (température 39 et 41°C), exprimée en pourcentage de la CVC maximale, ne variait pas avec l'âge ni en fonction du site anatomique étudié. En conclusion, cette étude est la première à étudier simultanément l'hyperémie locale induite par la chaleur sur 3 sites ayant une exposition différente aux rayons UV. Le processus utilisé (laser Doppler imager) est également unique dans la littérature concernant les altérations de la microcirculation cutanée en lien avec l'âge. Cette étude confirme ainsi que le vieillissement cutané intrinsèque et/ou extrinsèque réduit la capacité vasodilatatrice maximale de la microcirculation dermique. Par contre, la réactivité à réchauffement local à des températures moindres ne semble pas être affectée.
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AIM: Patients with non-insulin-dependent diabetes mellitus (NIDDM) are at increased cardiovascular risk due to an accelerated atherosclerotic process. The present study aimed to compare skin microvascular function, pulse wave velocity (PWV), and a variety of hemostatic markers of endothelium injury [von Willebrand factor (vWF), plasminogen activator inhibitor-1 (PAI-1), tissue plasminogen activator (t-PA), tissue factor pathway inhibitor (TFPI), and the soluble form of thrombomodulin (s-TM)] in patients with NIDDM. METHODS: 54 patients with NIDDM and 38 sex- and age-matched controls were studied. 27 diabetics had no overt micro- and/or macrovascular complications, while the remainder had either or both. The forearm skin blood flow was assessed by laser-Doppler imaging, which allowed the measurement of the response to iontophoretically applied acetylcholine (endothelium-dependent vasodilation) and sodium nitroprusside (endothelium-independent vasodilation), as well as the reactive hyperemia triggered by the transient occlusion of the circulation. RESULTS: Both endothelial and non-endothelial reactivity were significantly blunted in diabetics, regardless of the presence or the absence of vascular complications. Plasma vWF, TFPI and s-TM levels were significantly increased compared with controls only in patients exhibiting vascular complications. Concentrations of t-PA and PAI-1 were significantly increased in the two groups of diabetics versus controls. CONCLUSION: In NIDDM, both endothelium-dependent and -independent microvascular skin reactivity are impaired, whether or not underlying vascular complications exist. It also appears that microvascular endothelial dysfunction is not necessarily associated in NIDDM with increased circulating levels of hemostatic markers of endothelial damage known to reflect a hypercoagulable state.
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There is evidence that reactive hyperemia (ie, the transient increase of blood flow above resting level after a short period of ischemia) could be negatively modulated by vasoconstrictor prostanoids. The present study tested whether pharmacological blockade of the thromboxane prostanoid receptors with the specific antagonist S18886 (terutroban) would amplify reactive hyperemia in human skin and skeletal muscle. Twenty healthy young male volunteers were enrolled in a randomized, blinded, crossover trial of oral S18886 30 mg/d for 5 days versus placebo. Reactive hyperemia was evaluated in forearm skin and skeletal muscle, after occlusion of the brachial artery with a pneumatic cuff inflated at suprasystolic pressure. Blood flow was measured with laser Doppler imaging (skin) and strain gauge venous occlusion plethysmography (muscle). On the first and last day of each treatment period, recordings of reactive hyperemia were obtained immediately before and 2 hours after drug intake. Whether in forearm muscle or skin, S18886 had no discernible effect on peak postocclusion blood flow, nor on the global hyperemic response as quantified by the area under curve. These results do not support that thromboxane prostanoid receptor activation could exert a moderating influence on reactive hyperemia in human skin and skeletal muscle, at least in young subjects.
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Early studies in patients with systemic lupus erythematosus (SLE) reported increased incidence of tuberculosis. The tuberculin skin test (TST) is the technique of choice to detect latent tuberculosis infection (LTBI) but has several limitations. OBJECTIVES We compared TST and the newer T.SPOT.TB test to diagnose LTBI in SLE patients. METHODS In this observational cohort study conducted between August 2009 and February 2012, we recruited 92 patients from those attending the SLE clinic of our university hospital. Data recorded were epidemiological and sociodemographic characteristics. Laboratory analyses included TST and T.SPOT.TB tests. RESULTS Of the patients studied, 92% were women with an average age of 42.7 years. Overall, the degree of correlation between the two tests was low (Kappa index = 0.324) but was better in patients not receiving corticosteroids (CTC)/immunosuppressive (IS) therapy (Kappa = 0.436) and in those receiving hydroxychloroquine (Kappa = 0.473). While TST results were adversely affected by those receiving CTC and/or IS drugs (P = 0.021), the T.SPOT.TB results were not. CONCLUSION Although the TST test remains a useful tool for diagnosing LTBI in SLE patients, the T.SPOT.TB test is perhaps better employed when the patient is receiving CTC and/or IS drugs.