1000 resultados para Programme de prévention
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Thèse (Méd.) - Université de Lausanne, 1986. - Bibliographie p. 111-121
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Die Einführung zeitlicher und örtlicher Verkaufsbeschränkungen für alkoholische Getränke im Kanton Genf ging mit einem Rückgang der Alkoholintoxikationen bei Jugendlichen und jungen Erwachsenen einher. Damit wird ein weiterer Hinweis dafür geliefert, dass mit strukturellen Präventionsmassnahmen wirksamer Jugendschutz geleistet werden kann.
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Résumé Contexte et objectifs Le premier volet a comme objectif d'évaluer la prévalence de l'affection chronique (AC) parmi les adolescents en Suisse, de décrire leurs comportements (loisirs, sexualité, conduites à risque) et de les comparer aux adolescents non porteur d'AC afin d'évaluer l'impact de l'AC sur leur bien-être. Le second volet a comme objectif d'explorer leur réseau de soutien, leur mode d'adaptation et leur perception de la prise en charge dont ils bénéficient par les équipes soignantes. Chacun des objectifs est traité dans un article : - « Chronic illness, life style and emotional health in adolescence: results of a cross-sectional survey on the health of 15-20-year-olds in Switzerland » Eur J Pediatr (2003) 162: 682-689 - « Adolescents porteurs d'affections chroniques: la parole aux patients » Med Hyg 2004 ; 62 : 2224-9. Méthode Première partie: les données ont été obtenues par analyse secondaire de l'enquête sur la santé des adolescents en Suisse, réalisée en 1993-1994 auprès d'un échantillon de 9268 jeunes de 15 à 20 ans (6% de la population visée), à l'aide d'un questionnaire auto administré de 100 questions environ. Le programme SPSS a été utilisé pour effectuer les analyses bi- et multi-variées. Seconde partie: la commission d'éthique de la Faculté de médecine de l'Université de Lausanne a donné son accord permettant la réalisation d'un focus group (discussion en petit groupe) de 12 jeunes. Ils ont participé à une discussion de 2 heures, conduite par un modérateur entraîné à cette méthode. Résultats Premier volet : 11.4% des filles et 9.6% des garçons se déclarent porteurs d'une AC. 25% des filles porteuses d'une AC (versus 13% de non porteur; p=0.007) et 38% des garçons porteurs d'une AC (versus 25% de non porteur; p=0.002) déclarent ne pas utiliser la ceinture de sécurité quand ils conduisent. 6.3% des filles (versus 2.7% ; p= 0.000) disent avoir conduit en étant ivres. 43% des filles (versus 36% ; p= 0.004) et 47% des garçons (versus 39% ; p=0.001) sent fumeurs de cigarettes. 32% des garçons (versus 27% p=0.02) rapportent avoir consommé du cannabis. 17% des filles (versus 13°h ; p=0.013) et 43% des garçons (versus 36% ; p= 0.002) disent boire de l'alcool. Le fait d'être porteur d'AC a aussi des conséquences psychologiques : 7.7% des filles (versus 3.4% ; p= 0.000) et 4.9% des garçons (versus 2% ; p=0.000) ont effectué un tentamen durant les 12 mois précédents. Deuxième volet: Sur oui peuvent-ils compter ? Avant tout sur eux-mêmes, puis sur leurs parents ou leurs amis. Les pairs, l'équipe soignante, les autres malades et les enseignants ont chacun des rôles à jouer à des moments précis de l'évolution de l'AC. Leurs modes d'adaptation: prendre du recul, faire preuve d'humour et demander de l'aide à leurs proches. Ils s'évadent dans l'écriture, les pensées ou la musique. Demande aux médecins une prise en charge globale qui permette une compréhension de l'ensemble de leurs besoins plutôt que focalisée seulement sur leur AC. Le respect, la possibilité d'un soutien et d'explications précises leur paraissent importants. Conclusions Les conduites dites à risque ne sont pas moins fréquentes chez les adolescents porteurs d'AC que chez leurs pairs Elles peuvent être expliquées par le besoin de tester leurs limites tant sur le plan des consommations que du comportement. Une prévention et une attention spécifiques des équipes soignantes sont nécessaires. Un réseau social diversifié paraît nécessaire aux jeunes souffrant d'AC. Les médecins devraient avoir une vision globale de leur patient, les aider à se situer dans le monde de l'adolescence, leur permettre de nommer leurs émotions et anticiper les questions difficiles à poser. Abstract The objective was to evaluate the prevalence of chronic conditions (CC) in adolescents in Switzerland; interval to describe their behaviour (leisure, sexuality, risk taking behaviour) and to compare them to those in adolescents who do not have CC in order to evaluate the impact of those conditions on their well-being. The data were obtained from the Swiss Multicentre Adolescent Survey Introduction on Health, targeting a sample of 9268 in-school adolescents aged 15 to 20 years, who answered a self-administered questionnaire. Some 11.4% of girls and 9.6% of boys declared themselves carriers of a CC. Of girls suffering from a CC, 25% (versus 13% of non carriers; P = 0.007) and 38% of boys (versus 25%; P=0.002) proclaimed not to wear a seatbelt whilst driving. Of CC girls, 6.3% (versus 2.7%; P= 0.000) reported within the last 12 months to have driven whilst drunk. Of the girls, 43% (versus 36%; P=0.004) and 47% (versus 39%; P=0.001) were cigarette smokers. Over 32% of boys (versus 27%; P=0.02) reported having ever used cannabis and 17% of girls (versus 13%; P=0.013) and 43% of boys (versus 36%; P=0.002) admitted drinking alcohol. The burden of their illness had important psychological consequences: 7.7% of girls (versus 3.4%; P=0.000) and 4.9% of boys (versus 2.0%; P=0.000) had attempted suicide during the previous 12 months. Conclusion: Experimental behaviours are not rarer in adolescents with a chronic condition and might be explained by a need to test their limits both in terms of consumption and behaviour. Prevention and specific attention from the health caring team is necessary.
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Ce cas décrit les enjeux politiques soulevés au moment de la mise en oeuvre d'une politique gouvernementale visant l'amélioration des services de santé. [Auteurs]
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Actuellement, en Suisse, environ 1% des femmes en âge de procréer ont une hépatite B chronique(8). En l'absence de mesures de prévention, le risque de transmission du virus de l'hépatite B, de la mère à son enfant, est estimé à 40%(3,4,5) lors de l'accouchement. Ce risque s'étend bien au-delà de la période péri¬natale. Les enfants infectés dans ces circonstances ont une probabilité de 90% de développer une infection chronique(5,7) et un quart meurent prématurément de cirrhose ou d'hépatocarcinome(2). L'Office fédéral de la santé publique recommande d'effectuer un dépistage anténatal de l'antigène HBsAg lors de toute grossesse(1) et d'effectuer une vaccination passive et active chez tous les enfants naissant d'une mère avec une hépatite B chronique. Cette prophylaxie doit être effectuée comme suit : immunoglobuline spécifique et lere dose de vaccin dans les 12 heures suivant la naissance (en maternité) ; 2eme dose de vaccin à 1 mois, 3eme dose de vaccin à 6 mois et contrôle de la réponse immune entre le 7eme et le 12eme mois (par le médecin traitant). Cette étude vise à évaluer la compliance du système de soins envers ces recommandations qui exigent l'intervention des maternités et des médecins traitants et qui s'étalent dans le temps. Pour ce faire, un recensement rétrospectif des enfants nés de mère avec une hépatite B chronique, en 2005 et 2006 dans 4 maternités vaudoises, a été effectué. Les mesures appliquées par les maternités, les informations transmises aux médecins traitants et les mesures appliquées par ces derniers ont été évaluées. Sur un total de 10'412 parturientes testées, 70 présentent une infection chronique et 51 acceptent le recrutement dans l'étude (représentant un collectif de 54 enfants). En maternité, l'immunisation active et passive est effectuée chez tous les enfants. L'évidence qu'elle est effectuée dans les 12 heures suivant la naissance est fournie dans 61% des cas (mais dans 100% des dossiers dans lequel ce renseignement est consigné). La nécessité de poursuivre la vaccination n'est mentionné au médecin traitant que dans 15% des cas, et dans seulement 11% des cas les modalités du calendrier vaccinal sont précisées. La recommandation d'effectuer un contrôle sérologique n'apparaît dans aucun document de transmission. Chez les médecins traitants, la 2eme dose de vaccin est administrée à 100% des enfants, mais seulement dans 15% des cas dans les délais recommandés. La 3eme dose de vaccination est administrée à 98% des enfants, mais seulement dans 43% des cas dans les délais recommandés. La sérologie de contrôle n'est effectuée que chez 24% des enfants, et seulement dans 7% des cas dans les délais recommandés. Les maternités appliquent les mesures de prophylaxie dans le délai imparti, tout au moins quand l'heure d'intervention est indiquée. Les médecins traitants sont rarement informés de la nécessité de compléter la vaccination et jamais des modalités ni de la nécessité d'effectuer un contrôle sérologique. L'application des mesures de prévention par les médecins traitants est non conforme aux recommandations. Nous émettons l'hypothèse que cet état reflète la carence d'information de la part des maternités et nous proposons que celles-ci utilisent un document de transmission standardisé qui indique précisément aux médecins traitants ce qui reste à faire, et quand, en matière de prévention de l'hépatite B chez le nouveau-né/nourrisson.
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Cystic echinococcosis is a highly endemic parasitic zoonosis that is present in the Southern Cone countries of America. For several decades, various prevention and control programmes have been implemented in different countries and regions, with varying results. In Uruguay, a new control programme was implemented in 2006 that employed new strategies for canine diagnosis and treatment, dog population control, diagnosis in humans, epidemiological surveillance, and health education, including community participation. The control programme in Uruguay addresses the control and surveillance of the disease from a holistic perspective based on Primary Health Care, which has strengthened the community’s participation in developing and coordinating activities in an interdisciplinary manner. Similarly, the control programme that is currently implemented is based on a risk-focused approach. The surveillance and control measures were focused on small villages and extremely poor urban areas. In this study, the strategies used and the results obtained from 2008-2013 are analysed and discussed.
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Nephrolithiasis still remains a too frequent - and under-appreciated - cause of end-stage renal disease (ESRD), and this is all the most unfortunate since such an untoward course is now preventable in most cases. Among 1391 patients who started maintenance dialysis at Necker hospital between 1989 and 2000, nephrolithiasis was identified as the cause of ESRD in 45 of them, an overall prevalence of 3.2%. Infection stones accounted for 42.2% of cases, calcium stones for 26.7%, uric acid stones for 17.8% and hereditary diseases for 13.3%. The proportion of nephrolithiasis-associated ESRD declined from 4.7% to 2.2% from the 1989-1991 to the 1998-2000 period, as a result of the decreased incidence of ESRD in patients with infection and calcium nephrolithiasis. Based on our observations and on published reports, it emerges that most cases of nephrolithiasis-associated ESRD were due to sub-optimal management (especially in the case of infection or cystine stones) or to late (or erroneous) etiologic diagnosis, precluding early institution of appropriate therapeutic measures. In particular, several patients with primary hyperoxaluria or 2,8-dihydroxyadeninuria were diagnosed while already on dialysis or after unsuccessful kidney transplantation, due to wrong initial diagnosis. In conclusion, thanks to recent advances in diagnosis and management of stone formers, ESRD should now be prevented in the great majority of patients, at the condition of early etiologic diagnosis based on accurate morphoconstitutional analysis of calculi and metabolic evaluation, and early implementation of appropriate preventive medical treatment.
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En 1994, l'entreprise Ciba SC située à Monthey (canton du Valais, Suisse) a décidé d'élargir ses actions de promotion de la santé en offrant à ses collaborateurs de 50 ans une consultation médicale intitulée "Bilan de santé". 1.1. Historique. 1.2. Prolongation du projet auprès des praticiens. 2. Population et méthodes. 2.1. Médecins et module de formation : Réalisation du "Module de consultation des 50 ans en pratique ambulatoire, remboursement, évaluation du module de formation. 2.2. Collaborateurs des usines de Monthey. 2.3. Réalisation pratique et déroulement de la consultation. 2.4. Evaluation de l'impact du projet. 3. Résultats. 3.1. Participation, habitudes de vie et santé des participants : tabagisme, alimentation, activité physique, alcool, drogues, médicaments, situation de vie et état psychique, prévention routière, vaccinations, hypercholestérolémie, données cliniques, facteurs de risques identifiés et reportés par le médecin. 3.2. Evaluation, l'opinion des patients : satisfaction, conséquences sur les habitudes de vie. 3.3. Evaluation, l'opinion des praticiens : satisfaction, impact et souhaits perçus chez les médecins, déroulement de la consultation, examens de laboratoire, rémunération. 4. Discussion. 5. Conclusion.
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Suite à un accident exposant à du sang (piqûre; coupure), provenant d'un patient infecté, le risque d'infection par VIH est d'environ 0,3% et par le virus de l'hépatite C (VHC) d'environ 0,5%. Chez les personnes vaccinées avec une réponse immunitaire adéquate (titre d'anticorps HBs >100 mUI/ml), aucune infection professionnelle par hépatite B n'a été reconnue en Suisse. La plupart des infections par VIH et VHB peuvent être prévenues par un traitement d'urgence et une prophylaxie postexpositionnelle (PEP). Il n'y a actuellement aucune prophylaxie postexpositionnelle pour le VHC. En cas de transmission de VHC, un traitement rapide par peginterféron et ribavirine est à envisager. Chaque hôpital et cabinet médical doivent mettre sur pied un système pour assurer une prise en charge optimale et en urgence des blessures par piqûres ou coupures. Lors de blessures accidentelles avec du sang de patients séropositifs pour le VIH et dans des situations complexes, il est recommandé de consulter un médecin du personnel ou un infectiologue expérimenté. The risk of infection after an occupational needle stick injury with blood from an infected source patient is approximately 0.3% for HIV and 0.5% for hepatitis C virus (HCV). In Switzerland no cases of occupational HBV infection have been recorded in fully vaccinated persons with a documented adequate vaccine response (HBsantibody titer >100 mIU/mL). Most occupational HIV und HBV infections can be prevented by appropriate emergency measures and post-exposure prophylaxis (PEP). No HCV-PEP is currently available. Early therapy with peginterferon and ribavirin should be considered in cases of occupational HCV seroconversion. Every hospital and office practice should establish a system for 24 h/24 h emergency management of occupational needle stick injuries. In the setting of an HIV-seropositive source patient and in complex situations, early consultation with a specialist in occupational medicine or infectious diseases should be considered.
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PRINCIPLES: International guidelines for heart failure (HF) care recommend the implementation of inter-professional disease management programmes. To date, no such programme has been tested in Switzerland. The aim of this randomised controlled trial (RCT) was to test the effect on hospitalisation, mortality and quality of life of an adult ambulatory disease management programme for patients with HF in Switzerland.METHODS: Consecutive patients admitted to internal medicine in a Swiss university hospital were screened for decompensated HF. A total of 42 eligible patients were randomised to an intervention (n = 22) or usual care group (n = 20). Medical treatment was optimised and lifestyle recommendations were given to all patients. Intervention patients additionally received a home visit by a HF-nurse, followed by 17 telephone calls of decreasing frequency over 12 months, focusing on self-care. Calls from the HF nurse to primary care physicians communicated health concerns and identified goals of care. Data were collected at baseline, 3, 6, 9 and 12 months. Mixed regression analysis (quality of life) was used. Outcome assessment was conducted by researchers blinded to group assignment.RESULTS: After 12 months, 22 (52%) patients had an all-cause re-admission or died. Only 3 patients were hospitalised with HF decompensation. No significant effect of the intervention was found on HF related to quality of life.CONCLUSIONS: An inter-professional disease management programme is possible in the Swiss healthcare setting but effects on outcomes need to be confirmed in larger studies.