988 resultados para Cuneiform inscriptions
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Contient : 1 « Comment le pont d'Avignon fust commensé myraculeusement ». Lettre ; 2 « Pax inter archiepiscopum et capitulum Lugdunenses ex una, et cives ex altera... Actum anno Incarnationis Dominice milesimo ducentesimo octavo mense septembrii ». En latin ; 3 Note sur « ung lac bien profond et appoissonné », qui était autrefois « entre le chasteau » de « Pierrescise et les murailles de la ville » ; A la suite, lavis représentant les deux sceaux de la ville de Lyon : «... sigillum secretum universitatis communitatis Lugduni » ; 4 « Des anciennes pompes funeralles ». Premiers mots : « La vanité supersticieuse des payens ydolastres... ». Derniers mots : « ... il fit graver et entailler des navires » ; 5 Epitaphes et autres curiosités, en latin et en français ; a « Epitaphium Lucrecie : Collatinus Tarquinius dulcissimae conjugi et incomparabili Lucrecie, pudicie decori... » ; b « Rome. D. M. » Epitaphium Euphrosinae. Premier vers : « Quid sibi vult queris tellus congesta viator... » ; c « Aliud Rome. D. M. ». Premier vers : « Hic jacet exiguis Dionisia flebilis annis... » ; d « Rome, et est declaracio epitaphii ejusdem nobilis mulieris de greco in latinum ». Epitaphium Somoneae. Premiers vers : « Ego que cantu eram Syrenis suavior, ego que apud Bachum,... » ; e « Aliud Rome ». Epitaphium ejusdem (?) Somoneae. Premier vers : « Tu qui secura procedis mente parumper... » ; f « Epitaphium Lucrecie nuper repertum in episcopatu Viterbiensy. D. M. S. : Collatinus Tarquinus (sic) dulcissime conjugi et imparabili (sic)... » ; g « Mundus ». Épitaphe en vers ; h Épigramme en vers français. « Rondeau : Vielle mule du temps passé... » ; i Autre épigramme sur la prise de Brescia. « Rondeau : Regina celi letare. Alleluia, car Bresse est prise, Et Venise un chascun desprise. Elle entend très mal son carré... » ; j Autre épigramme contre la république de Venise. « Rondeau : Veniciens de maulvaiz cresme... » ; k « Rondeau : Royalle dame, triomphe des humains... » ; l « Ce que j'ey leu en ung roc au piet de la tour du far près la coloingne en qualité que l'on dit une des bonnes d'Ercules, que fit ediffier ledict Ercules pour sa memoire : Marti Aug... » ; m « Signum Karoli, gloriosi regis, in Ynsulle Barbare, anno ab Incarnacionis (sic) Dominy (sic) DCCCC LXXV » ; n « Le signet du roy Clovis, premier roy crestien » ; o « Le signet du roy Lothaire » ; p « Le signet du roy Pyppin » ; 6 « Des anticquytés de Nostre Dame de l'Isle, près Lion » ; 7 « De anticalia Lugduni ». Recueil d'extraits d'auteurs anciens concernant Lyon (Senèque, Suétone, Ptolemée, Juvénal, Eusèbe, Tacite), et d'inscriptions ou d'épitaphes qui se lisent à Lyon. En latin ; 8 Extrait en latin concernant la tarasque, monstre en forme de dragon, qui autrefois infestait la contrée située le long du Rhône, entre Arles et Avignon, dans les environs de Tarascon, et qui fut dompté par sainte Marthe. En tête on lit : « Je Pierre Sala ey pris se qui s'ensuit sus l'original d'un très ancien livre, qui est en l'eglise de Tarascon, et ce fut environ l'an 1505 ». A cet extrait est joint un portrait de la tarasque, dessiné à la plume ; 9 Extraits, en latin et en français, concernant le squelette du géant « Briart », trouvé le 5 novembre 1456 en la baronnie de Crussol, près S. Peray, « au ruisseau Mederie ». Un de ces extraits est une « epistre » en vers « faicte par monseigneur de MAILLE, en françois, suyvant le latin » qui la précède, « le roy Loys XI estant à séjour à Vallence ». Ces extraits sont précédés d'une peinture donnant une idée de l'endroit où fut trouvé le géant Briart, et dudit géant, peinture qui remplit le revers du feuillet 48, au droit duquel est dessiné le portrait de la tarasque ci-dessus énoncé ; 10 « L'epitre de Senecque à Lucille, du feu qui brulla Lion, qui pour lors estoit sus le mont de Fourvières, et se fut environ 50 ans avant la nativité Nostre Seigneur ». Traduction ; 11 Inscriptions latines à S. Michel auprès d'Aina y et « en l'Anticaille » ; 12 « Des ars qui sont partie à Lyon, partie dehors, près Sainct Hyrinier, Chappono, en plusieurs aultres lieux ». Premiers mots : « Lesdictz ars sont appellées (sic) par le peuple rudde et barbare ars des Sarazins... ». Derniers mots : « ... à l'archediacre de Saluces, etc. »
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Catalogue des évêques de Mayence (fol. 4), — Besançon (fol. 32), — Metz (fol. 51), — Chiemsee (fol. 68), — Trèves (fol. 72). — Souscriptions d'archevêques et évêques à divers conciles (fol. 99). — Liste de relations diplomatiques et géographiques du XVIe siècle, en italien (fol. 137). — Quartiers du duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, 1684 (fol. 141, 306). — « Discours de ce qui s'est passé en la ville de Poictiers ès années 1588 et 1589 » (fol. 153) ; armorial des maires de Poitiers (fol. 165), suivi d'autres pièces sur le Poitou. — « Mémoires de la ville de Loudun et du pays de Loudunois, par M. Louis Trincant, procureur du Roy au siège de Loudun » (fol. 192), suivi de pièces justificatives et de deux lettres de Trincant aux frères de Sainte-Marthe (fol. 262, 263). — « Discours concernant l'usurpation de la Navarre, dresséz par Arnaud d'Oihénart, avocat en la Cour de parlement de Navarre » (fol. 272). — Généalogies de la maison de Prunelay (fol. 302), — et des Borgia (fol. 346). — Extraits d'une histoire de Suède (fol. 308). — Épitaphes de l'abbaye du Val au diocèse de Paris (fol. 328), et inscriptions ou épitaphes diverses, entre autres des Villequier, des ducs de Lorraine, de Marguerite de Valois (fol. 368). — Catalogue des auteurs cités dans l'Histoire généalogique des Sainte-Marthe (fol. 386). — Voyages à travers la France (fol. 406 et 491), la Hollande et l'Angleterre (fol. 436). — Liste des personnes auxquelles les Sainte-Marthe ont fait présent de leurs ouvrages (fol. 470). — Note sur la reine Christine de Suède (fol. 484). — Conquête de la Hollande, 1672 (fol. 496). — Évêques de Pologne (fol. 519). — Discours de la Servitude volontaire, de La Boétie (fol. 551).
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Contient : Fragment d'une notice, en français, sur l'abbaye de Sainte-Benoite d'Origny, extraite d'un ms. de l'abbaye ; Notes sur des chartes relatives à diverses abbayes du Midi de la France ; Archevêques d'Aix ; Évêques d'Albi ; Évêques de Périgueux et d'Arles ; Évêques d'Orléans, placard imprimé ; Évêques de Beauvais ; Listes des abbés des monastères du diocèse de Beauvais ; Évêques de Castres ; Évêques d'Angoulême ; Évêques de Poitiers ; Évêques d'Angoulême ; Évêques de Saintes ; Préface d'Isaac, évêque de Langres, à son recueil de canons ; Évêques de Lescar ; Textes relatifs aux archevêques de Lyon ; Évêques de Luçon ; Évêques de Maillezais ; Évêques de Marseille ; Évêques de Nantes ; Obits de divers évêques d'Orléans ; Archevêques de Narbonne ; Extraits du Livre rouge de l'archevêché de Narbonne ; Évêques de Nîmes ; Évêques de Saint-Papoul ; Évêques de Paris ; Pièces diverses sur l'église et les évêques de Paris ; Évêques de Soissons ; Sur l'origine des comtes de Soissons ; Extrait du Livre Vert de l'église de Sisteron ; Évêques de Toulouse ; Évêques de Tréguier ; Archevêques de Tours ; Évêques du Puy ; Notes et pièces sur diverses abbayes du diocèse de Soissons ; Documents sur divers archevêques de Tours ; C'est la vie et légende de Monsieur saint Arnoul, évesque et martyr. (Imprimé, Chartres, 1607 ; in-8°) ; Inscriptions métriques de la basilique de Saint-Martin de Tours ; Vers latins en l'honneur de François Gueslé, archevêque de Tours (placard imprimé) ; Lettres de Besly à A. Duchesne au sujet de la Chronique de Tours ; Notes sur divers archevêques de Tours ; « Recherches de l'antiquité de l'église cathédrale de Viviers, par Jacques de Romieu », et lettre de celui-ci à Duchesne ; Extraits d'une Notitia Vasconiae, de Scipion Dupleix ; Extraits de Bernard Gui ; Testament d'Haduindus, évêque du Mans (Pardessus, n° 300) ; Notes sur les évêques de Noyon ; Notes diverses ; Épitaphe en vers de Jean Olivier, évêque d'Angers ; Extraits d'une histoire manuscrite du Ponthieu ; Documents relatifs aux évêques d'Orléans ; Notice sur Gautier de Bruges, évêque de Poitiers ; Épitaphe de Pierre Trousseau, évêque de la même ville ; Liste des prieurs de Saint-Martin-des-Champs, par Dom M. Marrier (placard imprimé, 1616) ; Notice de la découverte d'une chapelle souterraine à Montmartre, le 12 juillet 1611 (placard imprimé, 1611) ; Notice sur l'abbaye de Saint-Jean de Laon ; Notice sur l'abbaye de Saint-Ruf d'Avignon ; Pouillé de l'abbaye de Marmoutier ; Pouillé de l'abbaye de Montiérender ; Pouillé de l'abbaye de Saint-Germain d'Auxerre ; Pouillé de l'abbaye de Saint-Rémi de Reims ; « Beneficia in exemptione Fiscanensi constituta » ; Notice sur l'abbaye de Saint-Père de Melun ; Pouillé du monastère de Saint-Florent de Saumur ; Pouillé de l'abbaye de Saint-Jouin de Marne ; Extraits des pouillés des abbayes d'Evron, Ruricourt, Saint-Martin de Pontoise, Saint-Denis, etc ; Pouillé de l'abbaye de Montiéramey, et liste des prieurés dépendant de Moissac ; Notes sur divers légats pontificaux
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Ce ms. contient : 1° les Grandes Chroniques, jusqu'à la mort de Philippe-Auguste ; 2° la Chronique française de GUILLAUME DE NANGIS, de 1223 à 1316 (fol. 362-400) ; 3° une continuation de 1316 à 1330. Cf. L. Delisle, Mém. sur les ouvrages de G. de Nangis, dans les Mém. de l'Acad. des Inscriptions (1873), t. XXVII, II, p. 355.
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Contient : 1 Sept vers latins exprimant par un mot la caractéristique de chaque mois dans l'année ; « Pocula Janus amat et Februus algeo clamat... » ; 2 Catéchisme en flamand. Extrait ; 3 Copie faite en 1570, par « Philippe Harduyn de S. Jaques », d'un traité imprimé à Louvain en 1550, traité composé « par frere ADRIEN DE MALINES, de l'ordre de S. François », sur la manière de se préparer à recevoir la communion. En flamand ; 4 Extrait concernant la médecine des sauvages de la Floride, tiré de « LESCARBOT, en son Histoire » de la Nouvelle-France, imprimée en 1609, « livre VI, chapitre XV » ; 5 Traduction par « PH. HARD[UIN] de S. JA[CQUES] » du traité dont nous avons la copie plus haut, sous le n° 3 ; 6 Extraits tirés de l'« Histoire de la mission de quelques capucins en l'isle de Maragnan, livre Ier, chap. III, VIII, XXXV, XXXVIII, XLII, XLIV », sous les rubriques « maladies contagieuses... poissons estranges... oyseaux... arbres... la saison des vents au pays du Bresil... fruicts qui se trouvent en l'isle de Maragnan... papillons... admirable longueur de vie » ; 7 Les serments « de l'espée... de la dague... du baston à deux bouz... de la roue » ; 8 « Basse dance commune » ; 9 Citation : « Quid enim bonum ejus est... » ; 10 Date de la naissance de Philippe Coifin ; 11 Copie de la « requeste presentée par ceux d'Anvers, qui communement se faisoyent nommer gueux, au roy catholique, leur souverain seigneur » ; 12 « A monseigneur Mr le comte de Hoocstraede, gouverneur pour S. M. en la ville d'Anvers, et messigneurs les bourgmeesters et eschevins et conseil aud. Anvers », requête ; 13 « De la noblesse », discours ; 14 « Exemple memorable d'un serment frauduleusement fait », tiré de « PAUL EMILE, lib. Ier des Gestes des François » ; 15 « De nomine Ernesto, ex WOLFGANGO LAZIO », dans l'ouvrage de cet auteur qui a pour titre : « De gentium aliquot migrationibus ». En latin ; 16 « Ex sancta BRIGIDA », citation, en latin ; 17 Quatre vers latins prophétiques ; 18 Huit vers latins prophétiques ; 19 Deux vers latins sous le titre : « Volumen anni 1588 » ; 20 « Aliud distichon chronicon » ; 21 « Denombrement des archeveschez, eveschez, duchez, baronnies et comtez, villes et villages, feux et arpens de terre du roiaume de France » ; 22 « Longueur de vie, fécondité des femmes », extrait de l' « Histoire de la mission de quelques capucins en l'Isle de Maragnan, chap. XLIV » ; 23 Lettre de BODIN : « Mr, j'ay envoyé à Mr le procureur general les procez verbaux, comme il m'estoit enjoint, de l'execution de l'arrest de la cour, l'ayant receu dimenche dernier XIXe de mars... » ; 24 Lettre de BODIN : « Mr, ce petit mot servira de messager pour vous prier de me faire sçavoir comment Mr d'Ogier et sa famille se portent... » ; 25 Lettre de BODIN : « Mr, j'ay eu peur que vostre ville ne fut contrainte, par faute de vivres, de capituler à dures conditions, ayant sceu que la livre de beurre s'estoit vendue quinze solz... Ce 15e jour » d' « aoust 1589 » ; 26 Lettre de BODIN : « Mr, je desyre sçavoir de voz nouvelles et de vostre famille et qui soyent bonnes, combien qu'il est impossible, en une calamité si generale... De Laon, ce 7e jour de novembre 1591 » ; 27 Lettre de BODIN : « Mr, contre tant de calamitez si faut il chercher tous les moyens de se consoler, quand l'occasion s'y presente... Ce ... 12e janvier 1593 » ; 28 Lettre d' « ALEXANDRE FANCESCHI,... à l'illustrissime et reverendissime ! Monseigneur, cela que j'ay dit et exposé à vostre seigneurie illme aprez luy avoir presenté le bref de creance de la part de N. S. Pere... » ; 29 « Lettre de Mr BODIN, imprimée à Paris par Guillaume Chaudiere. Mr, depuis trois jours un de mes amiz vous ayant visité m'a rescrit que vous estiez demeuré fort estonné de ce que j'estoy ligueur... De Laon, ce 20 janvier 1590 » ; 30 Relation sommaire des actes de la conference tenue à Suresnes en 1593 ; 31 « Le procez, par PIERRE DE RONSARD, Vandosmois », pièce de 272 vers adressée « à tres illustre prince Charles, cardinal de Lorraine » ; 32 Deux vers latins relatifs audit procès ; 33 Deux vers latins répondant aux deux qui précèdent ; 34 « Animaux terrestres qui se touvent à Maragnan... animaux rampans » ; 35 « De l'imprimerie » ; 36 « Sententiae selectae ex diversis authoribus ». En latin ; 37 « Praecepta quaedam » ; 38 « Recueil des choses advenues en France » ès années 1559, 1560, 1574 et 1575 ; Mariage d'Élisabeth de France, fille de Henri II, avec Philippe II, roi d'Espagne ; Supplice d'Anne Du Bourg, conseiller au parlement, convaincu d'hérésie ; Mort de Henri II, roi de France, blessé dans un tournoi par le comte de Montgomery ; Tumulte d'Amboise ; Siège de Domfront par le Sr de Matignon, en 1574 ; Mort de Charles IX ; Arrivée de Henri III à Lyon ; « Lances et brandons de feu », vus dans le ciel en 1574 et en 1575 ; 39 Deux vers ; 40 « Marque du vray François » ; 41 Deux vers ; 42 « Marque du vray catholique françois » ; 43 « Discours de ce que le general PORTAL expedia au voyage qu'il fit au camp du prince de Condé » ; 44 « Fragment de la remonstrance et requeste faite à Leurs Majestez par le general PORTAL » ; 45 « Discours merveilleux de Malchus » ; 46 « Stances de la Chasse aux dames » ; 47 « Dictons vulgaires » (fol. 49) ; 48 « Feux merveilleux advenuz à Rouen », en « 1118... 1100... 1126... 1073... 1193... 1203... 1220... 1228... 1243... 1514... 1513... 1515... 1569... 1330... 1472... 1415... 1480... 1519... 1453... 1315... 1483... 1513... 1550... 1523... 1347... 1477... 1479 » ; 49 « L'orloge de la passion de nôtre sauveur et redempteur Jesu-Chrit » ; 50 Maximes de droit féodal : « Le prince ou signeur qui fait felonnie à son vassal... » ; 51 « Les sept archeveschez du royaume de France » ; 52 « De corona imperatoria. Imperator romanus tribus coronis debet coronari... » ; 53 « Versus (5) vulgares de septem electoribus imperii » ; 54 « De la cité de Venise. La cité de Venise ne reconnoit aucun supérieur en temporalité... » ; 55 Note ; 56 Note sur les ressources que l'on peut tirer d'un impôt de 20 livres par clocher en France ; 57 « Le pris des monnoyes d'or et d'argent, publié en France, l'an 1532, au mois de mars, et l'an 1533, au moys d'avril », note ; 58 « Aetates hominis », tableau ; 59 « Cur Beda venerabilis titulo decoretur », note, en latin ; 60 Comment St Jérôme ordonna le service liturgique de l'église, note ; 61 Note sur trois baptêmes de cloches à Fleury-sur-Andelle, l'an 1529 ; 62 Baptêmes de cloches à « Noion-sur-Andelle, à present dit Charleval... l'an 1574 » ; 63 « La suscription des cloches de Charleval » mentionnées ci-dessus. En latin ; 64 « Epitaphium Georgii Fereyi Carlovalli, in divi Dyonisii aede sepulti, a patre Joanne Fereyo compositum ». En latin ; 65 « Outiz d'un cordouannier : un tranchet, une allenne. Il y en a de propres à besongner en liege... » ; 66 « Motz de gaudisserie », note ; 67 « Declaration des benefices estans à la donnaison et presentation de l'archevesque de Rouen, au diocese dud. Rouen ». En latin ; 68 « Lettre du roy CHARLES IX au Sr de Carrouges, gouverneur de Rouen » ; 69 « Epigramma de morte Molaei, propter conspiratam regis mortem capite truncati anno 1574 » ; 70 « De musices tonis. Primus tonus, qui dorius alio nomine dicitur... ». En latin ; 71 « De sainte Maxellende, vierge et martyre » du Cambrésis. « Au tems du roy de France, nommé Thierry,... laquelle celebre sa feste le XIIIe de novembre » ; 72 Note sur Hardouin, doyen du Mans, qui l'an 1161 fut fait archevêque de Bordeaux ; 73 « Recueil d'un dialogue auquel est introduite Alythie, c'est-à-dire Verité, laquelle est logée en ces quartiers de la Hongrie, qui est souz la puissance du Turc, par l'autheur, qui est inconnu, si ce n'est qu'aucuns l'attribuent au Sr Du Plessis, de la maison de Bouy, huguenot » ; 74 « Capitulation faite par le Sr de Mattignon avec ceux de Carenten, l'an 1574 » ; 75 « Lettre de la royne, mere du roy, regente en France, au bailly de Gisors... Nous avons entendu que plusieurs personnes, tant nobles que roturieres, qui estoyent en la guerre de Normendie... Donné à Paris, le 17 juillet 1574. Signé : CATHERINE » ; 76 « Lettre de M. DE LA MAILLERAYE, gouverneur en Normendie, en l'absence du duc de Bouillon, au bailly de Gisors. Mr le bailly, je ne vous sçauroy mieux instruire de l'intention de la royne... De La Mailleraye, le XXIIIIe de juillet 1574. DE MOY » ; 77 « Quibus planetis unumquodque musices intervallum tribuatur. Jupiter habet gratiam vocis octavae simul et quintae... Musicae genera elementis simul atque quatuor humoribus convenire dicebant veteres... coelo stellato contribuerunt ». En latin ; 78 « ERASMUS, in epistola ad Joannem et Stanislaum Bonneros, fratres polonos, Terentii comoediis praefixa : Nihil homini melius pietate... ». En latin ; 79 « Anticlaudianus. De peculiari multorum artificum dote » ; 80 « PIERRE RONSARD » ; 81 « ANTHOINE BAÏF » ; 82 Sentences en latin ; « Quemadmodum bona prudentiae pars... » ; « Ad parandam eruditionem... » ; « Ea demum in omnem vitam... » ; 83 « Stadium spatium est quod centum et viginti quinque nostros efficit passus... », définition du stade d'après Pline, livre II, chap. XXIII. En latin ; 84 Sentences et réflexions, en latin ; « Difficile est, ut divus Hieronymus ait, senum mutare linguam... ». En marge on lit : « FUCHSIUS, in epistola nuncupatoria medicinae paradoxis affixa » ; « Nullum imperium, imo ne religio quidem ipsa sine literarum praesidio conservari potest... » ; « Si linguas literasque bonas rebus humanis princeps exemerit... » ; « Principum nostrae aetatis... » ; « Neque melius, neque honestius... » ; « Adulatores unum hoc conantur... » ; « Illa in studiis dissensio ac conflictatio Hesiodo, atque adeo Galeno, utque mortalibus longe utilissima sit prohatur... » ; « Arabes medici in universum omnes nihil aliud conati sunt, nisi quod ex aliorum... » ; « Convenit ut princeps imperii sui ac rerum agendarum initia a gloriae Dei propagatione capiat... » ; « Anno M. D. XXXIV scripsit Leonarthus Fuchsius libros Paradoxorum medicinae... » ; « Nihil indecorum est docere, quod didicisse sit utile et honestum » ; 85 « La riviere du Nil sourd du lac appellé Zaïre... » ; 86 « Quatrain sur les estatz tenus à Blois au mois de decembre 1576 » ; 87 « Autre » quatrain sur les états de Blois en 1576 ; 88 Pensées, sentences et réflexions, en latin ; « Ut poesis suam a musica άρμονίαν, geometria proportiones ab arithmetica mutuatur... ». En marge on lit : « Ex JACOBI OMPHALII jureconsulti nomologia » ; « Quemadmodum Apelles et Parrhasius suam imaginibus addiderunt symmetriam... » ; « Ut apud Platonem Socrates,... » ; « Clysteris usus ibi Aegiptiae avi... » ; « Absolvitur reus... » ; « Absens in criminibus damnari non debet, ut divus Adrianus,... » ; « Cicero Asiaticorum levitatem... » ; « Mentitur in carcere, qui dolorem pati potest... » ; « Sicut frons parva modestiae... » ; « Certus et constans usus plenam in re omni parit perfectionem » ; « Quo quenque naturae έ'ξις ferat... » ; « Quemadmodum medici leviter aegrotantes leviter curant... » ; « Ut tempestates saepe certo aliquo coeli signo commoventur... ». En marge on lit : « EX CICERONIS oratione pro Murena,... » ; « Argumentationes viscera ac veluti nervi sunt orationis... » ; « Diversum argumentandi morem rhetor a dialectico sectatur... » ; « Argumentatio syllogismorum figuras ac modos complectitur... » ; « Nasica disoit qu'il estoit bon que Romme eust toujours un ennemy à qui faire la guerre... ». D'après « FLORUS » ; « Nullae laudes tam firmae... ». A la marge on lit : « JOAN. PICARDUS JONKERIANUS, de prisca celtopaedia lib. I » ; « Ut ex medicina nihil oportet putare proficisci... ». En marge on lit : CICERO, lib. de Inventione » ; « Sicut medico diligenti, priusquam conetur aegro adhibere medicinam... ». En marge on lit : « Idem [CICERO] lib. II de Oratore » ; « JUSTINIANUS de lege Aquilia, tit. III. Institutionum imperialium : Si medicus qui servum tuum secuit... » ; « Qui moritur minis sepelitur crepitibus asininis » ; « Vinum et musica laetificant cor... » ; « Tibiae et psalterium... » ; 89 Distique accompagnant un cadeau envoyé, le 23 novembre 1594, à-Philippe Harduyn de St-Jacques, le lendemain de son mariage avec Geneviève Drouet ; Aureus est annus, sunt aurea munera, dulces... » ; 90 « Le soleil dechasse les tenebres... » ; 91-92 « Sur les figures nouvellement erigées à l'Horloge du Palais, à Paris. Quadrains » ; 93 « 1587. De quinque Henricis : Valesio, Guisio, Navarraeo, Condaeo, Montmorencio » ; 94 Six vers composés par « le president FAUCHET », après avoir « veu son effigie representée à S. Germain en Laye souz le nom de Neptune » ; 95 Proverbes ; « El fuer de Aragon... ». En espagnol ; « Noyer en vigne... » ; 96 Examen de la question suivante : « A sçavoir si les femmes doivent estre rejettées de l'heritage du royaume, comme aussy de son gouvernement, par le droict francogallique. Chap. XIX » ; 97 « La vraye origine de ces mos Guelphes et Gibelins. Les divisions et partialitez qui avindrent en Italie... » ; 98 « Pourquoy les Normans ont esté ainsy appellez. BELLEFOREST, au IIIe livre de son Histoire universelle, chap. XL, rejette l'opinion commune de ce mot Norman... » ; 99 Pensées diverses, en latin. « Levior majori succedens labor ipso magis otio recreat... » ; 100 GESNERUS, « in epistola nuncupatoria bibliothecae, sive catalogi universalis omnium scriptorum : De theriaco remedio tres Galeni (ut creditur) libros habemus... ». Extrait, en latin ; 101 « Bussii epitaphium, magistro nostro HANGAR, doctore theologo parisiensi authore » ; 102 « Jacobi de Levi, herois Queslaei, epitaphium in [aede] divi Pauli (ubi honorificentissime, jussu Henrici III, regis christianiss., cui έταϊρος chariss. et in deliciis summopere fuit, idem Queslaeus sepultus jacet, ibique monimentum marmoreum valde superbum ab eodem rege erectum est in ejusdem Queslaei memoriam) literis aureis marmori insculptum » ; 103 « Ad idem epitaphium velut responsum in laudem victoris Entragaei, ab eodem theologo » ; 104 « Hoc sequens prognosticon inventum fuit in libro quodam manuscripto apud Carthusienses parisinos, fol. LXXV, circa annum Domini [1422], dum regnaret in sede lilii Carolus nomine Sextus, circiter quadragesimum tertium seu postremum annum regni ejusdem : « Cum rex Henricus regnabit origine Francus... » ; En latin ; 105 « Epistola domini PII, papae, transmissa Ludovico, christianiss. Francorum regi, ad quassationem... Sanctionis Pragmaticae. Charissime in Christo fili, salutem et apostolicam benedictionem. Accepimus ex literis venerabilis fratris nostri Johannis, episcopi Atrebatensis... Datum Romae, die XXVI octobris, anno Domini 1461, pontificatus nostri anno quarto ». En latin ; 106 « Ex epistola nuncupatoria quarti libri ARNOLDI FERRONII de Gestis Gallorum. Tres causae quibus homines ad historiam scribendam maxime stimulantur... ». En latin ; 107 « Industria, honore et liberalitate alitur... ». En latin ; 108 Six lignes, en latin, concernant Maximilien Ier, empereur d'Allemagne ; 109 « Breve instruction de musique » ; 110 « Des cometes » ; 111 « Extrait d'un livre intitulé : la Fontaine de toutes sciences, fait par le philosophe SIRACH, et imprimé à Paris, l'an 1486, le 20e de fevrier, auquel le roy Boetus demande et led. Sirach respond » ; 112 Notes à l'usage de celui qui veut faire bâtir ; 113 « Quando et quis primum in Hispania rex catholicus sit dictus ». En latin ; 114 « Discours ... tiré d'un livre intitulé : Response des vrays catholiques françois à l'avertissement des catholiques anglois, pour l'exclusion du roy de Navarre, nommé Henry de Bourbon, de la couronne de France, imprimé l'an 1588, sans exprimer autrement le nom de l'autheur et de l'imprimeur, combien que l'on se doubte que l'autheur soit un nommé D'ORLEANS, advocat, lequel on estime aussy avoir composé luy-mesme l'advertissement des catholiques anglois aux catholiques françois » ; 115 Sentence tirée du même livre, « laquelle l'autheur attribue à Pacianus, evesque de Barcelonne » ; 116 Mesures de capacité dans leurs applications au vin, au blé, au sel, à l'avoine. Mesures pour le bois, le foin et la paille ; 117 Noms latins de plusieurs parties de la tête ; 118 Sentences latines accompagnées de la traduction en français ; 119 HENRICUS LORITUS GLAREANUS, in praefatione operum Boethii : Philosophia mutas vocat meretriculas... ». En latin ; 120 « Voyage ou navigation de JEAN VAN HUYGHEN DE LINSCHOT, imprimé à Amstelredam, 1596. Commencé l'an 1579, le 6e de decembre, depuis l'isle de Texel jusques en Seville, dans un navire qui alloit à S. Lucas de Barrameda... » ; 121 « Thema latinum ad charissimum patremmeum ». En latin ; 122 Lettre, en français, dudit écolier « JOANNES SANJACOBAEUS », adressée à son père. Il y parle de son précepteur, « Mr Greslet » ; 123 Récit de l'entrée de Marie de Médicis, reine de France, en Avignon, en novembre 1600 ; 124 Épitaphe de « Jehan Fourcade, dit Portet, natif de Paris », décédé à Blois, le 18 janvier 1602, apres avoir « servi S. M. et les defuncts rois ses predecesseurs, de pere en fils, l'espace de cent vingt ans » ; 125 Notes concernant don Juan d'Autriche, 1571 : ; 126 Mémoire sur la maison de Joyeuse, par « MARCEL VILTERS » ; 127 Notes ; « Medecins du Japon » ; « Croyance des sauvages, apprise du grand Sagamo des Algoulmequins, appellé Besouat, par le Sr Champlein, nonmé Samuel, tirée de l'Histoire de la Nouvelle France, livre III, chap. 2, page 294 » ; « Maladie estrange [jambes enflées, guéries par l'annedda], chap. 24 du livre III de l'Histoire de la Nouvelle France » ; « Maladies estranges » : scrofule, goître, scorbut. Histoire de la Nouvelle France, livre IV, chap. 6, page 468 ; « Marsoins, poissons » ; « Des devins. L'ESCARBOT, dans son Histoire de la Nouvelle France, livre VI, chap. 5, page 725 » ; 128 « Enfantement merveilleux. Marguerite, fille et heritiere de Florent, comte de Hollande, et de Mathilde,... de Brabant, accoucha, tout d'une ventrée, de 364 enfants, tant masles que femelles, l'an... 1276, le jour du jeudi absolut, à neuf heures du matin, estant âgée de 42 ans.... » ; Le même fait a été raconté en latin, par ERASME et par JEAN LOUIS VIVES, que notre ms. cite ; Le compilateur blâme Erasme d'avoir mis la vérité de ce fait en doute ; 129 « Fragment de quelques demandes catholiques aux prelats presens à la mort de M. de Guise, à Blois, faite par le commandement de Henri III, roi de France. 1588. Si ce sanglant homicide fut advenu par un premier et soudain mouvement de courroux... » ; 130 « Memoires propheticques. Si le plain de la lune est rouge à coulleur d'or, signifie vents... » ; 131 « Les quattre mariages de Philippe d'Austriche, roi des Espaignes » ; 132 Inscriptions, en latin, rappelant la prise de Calais sur les Anglais, en 1558, par le duc de Guise, François de Lorraine, et la libéralité de Henri II, accordant audit duc de Guise et à sa postérité une maison dans Calais, en mémoire de ce haut fait ; 133 Résumé de « la capitulation de la citadelle et chasteau de Montmelian » ; 134 « Genealogie et succession des rois à la couronne de France, et le nombre des ans qu'ils ont regné », depuis Pharamond jusqu'à Henri III inclusivement ; 135 Quatre vers latins composés par « M. PETRUS L'AFFILEUS » sur le symbole et la dévise adoptés par Henri III, roi de France ; 136 Note de trois lignes sur la reine Élisabeth d'Angleterre ; 137 « Des medecins et chirurgiens sauvages » ; 138 « Du mot de Saga » ; 139 Note tirée de « L'ESCARBOT, en son Histoire » de la Nouvelle France, « livre VI, chap. 6, pages 736 et 737 », touchant plusieurs « mots françois derivez du grec » ; 140 Note sur la mort de « Jacobus Picolominus,... cardinalis papiensis », décédé en septembre 1479. En latin ; 141 Note sur « le prieur de Mondidier » qui, en 1613, avala, pour se guérir d'une pituite, quatre balles de plomb ; 142 La valeur de l'écu à Paris en 1465, d'après un passage du IVe livre de « la Mer des histoires et chroniques de France, imprimez à Paris » en « 1518 » ; 143 « De nobilitate collectanea ». En latin ; 144 Récit concernant l'histoire de la Ligue à Paris, du 15 novembre au 8 décembre 1591 ; 145 Noms de « ceux qui ont escrit qu'il faloit tuer les tyrans » ; 146 Passage tiré de « L'ESCARBOT, en son Histoire, livre VI, chap. 7, page 787 », concernant les « philosophes et theologiens appellez Sarronides et beaucoup plus anciens que les Druides » ; 147 Autre passage tiré de « L'ESCARBOT, en son Histoire, livre VI, chap. 11, page 840 », concernant le « breuvage des Floridiens, casiné », et celui des Brésiliens, « caouin » ; 148 Récit des cérémonies observées pour l'abjuration et l'absolution du roi Henri IV à St-Denis, le 25 juillet 1593 ; 149 « Lettres closes envoyées par ledict HENRY [IV] à ses cours de parlement, touchant sa conversion... Escrit à S. Denis en France, ce dimenche 25 juillet 1593 » ; 150 Resumé de la sentence prononcée contre Pierre Barriere, accusé d'être venu de Lyon à Melun pour tuer le roi Henri IV. 1593 ; 151 « Escrit... affiché aux carrefours des rues de la ville de Paris, le 28e d'octobre 1593 », et adressé « au peuple de Paris », en faveur du roi Henri IV ; 152 « Sommaire du traité fait entre l'empereur Charles Ve et le roy de Tunes, nommé Muleassem, le VIe d'août mil VC; XXXV, etans en leurs personnes pres La Goullette dud. Tunes » ; 153 « Sommaire des lettres de l'empereur [Charles V], du 16 d'out [1535], écrites en la galere, au goulfe de La Goulette » ; 154 « Requete presentée par la noblesse » des « Pays-Bas à Mme de Parme, lors gouvernante e dis Pays Bas, pour le roy catholique, son frere, le IIIe d'avril 1566 » ; 155 « Les articles avec lad. requete presentés » ; 156 « Apostille de S. A., rendue le VIe d'avril, au Sr de Brederode, contes de Culenbourg, Ludovic de Nassau et Van den Berghe, accompagnés de la noblesse » ; 157 « Promesse faite aus gentishommes assemblés en la ville de Bruxelles, par les chevaliers de l'ordre, le VIe d'avril » 1566 ; 158 « Discours sur le fait de la religion ès Pays-Bas » ; 159 « Lettre envoyée à Mme de Parme par JAN DE LIGNE,... De Harlingen, ce 6e de may 1567 » ; 160 Note sur les personnages nommés dans la lettre indiquée ci-dessus ; 161 « Extrait de la lettre du lieutenant de Grueninge, escritte au comte d'Arenberghe, au lieu de Schermer, en date du 4 de may » ; 162 « Lettre d'ANNE DE LORRAINE à Mme de Parme,... De Nancy, ce premier d'aoust » ; 163 « Sentences » ; 164 « Rondeau fait par Mme D'ENTRAGUES » ; 165 « Enseignement d'auteur incertain » ; 166 Explication de quelques termes employés par « l'auteur des Eschets » ; 167 « Echo » ; 168 « Noms des vieux poëtes françois » ; 169 Anecdote sur « le roy Demetrius » ; 170 « Echo » sur les Gueux ; 171 « Epitaphium Joannis Hanard, baronis de Likerke » ; 172 Extraits de S. Bernard, S. Mathieu, S. Augustin, S. Grégoire, S. Jérome, Isidore de Séville, l'Ecclésiaste, S. J. Chrysostome, S. Paul, S. Ambroise, le livre des Proverbes. En latin ; 173 « Bona que proveniunt ex sumptione Eucharistiae ». En latin ; 174 « Septem peccata criminalia » et « virtutes contrariae ». En latin ; 175 « Douse degrés d'humilité » ; 176 « L'effet des cometes en leur signe », note ; 177 « Lettre de PONCE PILATE, envoyée à l'empereur Tybere, prise des ecris d'EGESIPPE et mise en françois par FRANÇOIS BOURGOING » ; 178 Notes sur « Hérodiade » et « Hérode,... Octavian Cesar Auguste,... Pilate » ; 179 Lettre de « PONCE PILATE à Claude Tybere » ; 180 Note sur « Theodoze,... prince des Juifs... au temps de Justinian, empereur, bon chrestien » ; 181 Notes sur S. Mathieu, S. Jacques, S. Justin, une erreur du pape Jean XXII, concernant la vision de Dieu, « Here, pamphilien », les opinions contraires de Protagore et d'Anaxagore sur l'existence de Dieu, Crésus, roi de Lydie, Cambyse et Otanès, fils de Sisanès, Heliogabale, Maximin, Socrate, déclaré vicieux par un « jongleur... Zeleuque, roi des Locres », qui se fit crever un oeil pour se punir de la fante commise par son fils ; 182 Six vers sur le bonheur qui attend apres la mort celui qui a bien vécu ; 183 « Nihil est in rebus humanis magnum, nisi animus magna despiciens » ; 184 Maximes et sentences ; 185 Anecdote concernant Alphonse, roi de Naples, lequel fut guéri par la lecture de Quinte-Curce d'une maladie qui avait résisté aux remèdes des médecins ; 186 Concordance chronologique de Philon et de Métasthène avec l'Ecriture, touchant les événements principaux de l'histoire des Babyloniens et de celle des Perses ; 187 « De militia ». Extraits tirés de « Frontinus,... Helinandus,... Valerius,... Aristoteles ». En latin ; 188 « De religione ». Extraits tirés de « Macrobius,... Tullius ». En latin ; 189 « Sententiae ex diversis authoribus ». En latin ; 190 « Quae sequuntur ex JOANNE COCHLAEO in Paraclisi ad semper victricem Germaniam decerpta sunt ». En latin ; 191 Anecdote concernant « Abrincus,... Guysoïnus,... Wapingo », princes de Neustrie, « au tems de Jule Cesar » ; 192 Maxime tirée d'« EPICTETE, philosophe stoïque grec, traduit par Rivaudeau, Poitevin. Tais-toy, la pluspart du tems... » ; 193 Organisation religieuse, judiciaire et militaire des Romains ; a ; « Des estas establiz à Rome pour le fait de la religion... Du grand pontife et ses collegiaux » ; « Des duumvires, decemvires et quindecimvires etabliz au fet de la religion » ; « Des augures » ; « Du roy des sacrifices » ; « Du flamine dial et autres » ; « Des confreres que les Latins appeloét sodales » ; « Des vierges vestales » ; « Des septemvires epulons » ; « Des feciales et victimaires » ; b ; « Des magistratz civilz ordinaires... Des consuls » ; « Des proconsuls » ; « Des lieutenans consulaires ; « Des preteurs » ; « Des tribuns du peuple » ; « Des censeurs » ; « Des questeurs » ; « Des ediles » ; c ; « Principaus... magistraz civilz... extraordinaires... Des dictateurs et mètre des chevaliers » ; « Du tribun des gendarmes » ; d « Maniere de fere mout notable, qu'observoet les Rommeins aus obseques de leurs mors, et memement come iz bruloét les cors des empereurs, et come les canonizoét » ; 194 « Certeines monnoyes des anciens reduites à la monnoye de France » ; 195 « Explication d'aucuns moz et passages contenuz en Suetone Tranquille » ; 196 « Sonnet sur la paix de l'an 1570 » ; 197 Sonnet adressé « à Mr Du Tronchet,... par DEMONGISON » ; 198 « Autre sonnet » du même ; 199 « Huitain » ; 200 Requete, en vers, adressée au « duc d'Albe » par son « musicien Theodore Ristel » ; 201 « Coq à l'ane d'un Parisien » ; 202 Recette « pour bien choisir un cheval » ; 203 « Propos cruel de Charles, duc de Bourgongne », après le massacre des habitants de Nesle, en Picardie ; 204 « Histoire du laurier » ; 205 Quatre lignes sur le Danube ; 206 « De la proportion de l'homme » ; 207 Érection du duché de Bohême en royaume ; 208 « Histoire merveilleuse d'un roy de Gracchovie... Popiel,... qui fut mangé des raz » ; 209 D' « un evesque de Mayence, nommé Hatto », qui fut mangé par les rats vers « l'an 914 » ; 210 Noms des inventeurs de l'imprimerie et de l'artillerie et dates de ces découvertes ; 211 « Petit discours de la vie de Martin Luther », jusqu'en 1520 ; 212 Vie et miracles des saintes « Maure et Brigide, vierges et martyres » ; 213 Lettre relative à la convocation des états en 1576 ; 214 Note datée du 9 mai 1571, concernant la valeur de plusieurs chapes ? En latin ; 215 Note du « 3e janvier 1611 », qui est le résumé, semble-t-il, d'un procès-verbal d'autopsie
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Anti-Black racism continues to be a widespread problem, and as such deserves investigation and elimination. As Jackson (2006) says; “There is a hyperawareness…of the negative inscriptions associated with the Black masculine body as criminal, angry and incapacitated.” (2) To continue the study of the changing face of racism, the researcher must be well equipped with a contemporary methodology which is adaptable and exploratory. Due to the malleability of racism, research into its elimination must make inroads to areas that have heretofore been neglected and overlooked by traditional academic study. This project achieves a unique perspective by undertaking a theoretical exploration of racist stereotypes and motifs in the world of mass produced superhero comic books, a genre of comics which has neither yet been thoroughly investigated for the use of racist stereotypes nor been the focus of anti-racist scholarship.
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The 19th Century Tombstone Database project was funded by the program Federal Summer Youth Employment scheme in the summer of 1982 and led by Dr. David W. Rupp, a Professor at the Classics Department, Brock University. The main goal of the project was to collect information related to various cemeteries in Niagara region and burials that took place from 1790-1890. Data was collected and presented in the form of data summary forms of persons, tombstone sketches, photographs of tombstones, maps, and computer printouts. The materials created as a result of a research completed for the 19th Century Tombstone Database project are important as a number of the tombstones have been damaged or gone missing since the research was finished. Before Dr. Rupp retired from Brock University, he donated project materials to the Brock University Special Collections and Archives.
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À la lumière de la théorie de l’identité narrative élaborée par Paul Ricœur, ce mémoire évoque la configuration identitaire des personnages dans les œuvres Cosmos et Les envoûtés de W. Gombrowicz, ainsi que To the Lighthouse et The Waves de V. Woolf. D’une part, nous analyserons l’obsession d’une mise en série aliénante dans le cas de Witold (Cosmos), suivi par un cas de dédoublement et de perte dans l’Autre chez Walczak (Les envoûtés). D’autre part, nous évoquerons le rapport à la famille (James Ramsay) en plus de l’inscription et de l’ancrage par le biais d’éléments prépondérants (The Waves). Il en résulte chez ces personnages, la conception d’une identité par l’entremise d’histoires et d’événements qui la façonnent en un parcours narratif singulier.
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Thèse dirigée sous la direction conjointe de Lise Lamarche et Jean Trudel.
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Ce mémoire s'inscrit dans la méthode de praxéologie pastorale. Il analyse en qua-tre temps la mise en œuvre d'une exposition picturale qui oppose une figure alié-nante (conventionnelle et doucereuse) de Jésus à une vision trash (c'est à dire sub-versive et provocante) qui se veut plus fidèle à l'évangile. Le premier temps (ob-servation), qui présente le premier projet d'exposition ainsi que ses sources d'inspi-ration (personnelle, culturelle et artistique), amène à cerner deux problématique : la question de la vérité et l'orientation subversive (trash) du Jésus des évangiles. Le deuxième temps (interprétation) creuse tout d'abord la question de la vérité avec Hans Georg Gadamer, ce qui pousse à dépasser l'affirmation violente de la vérité du premier projet d'exposition pour le réorienter dans une perspective de questionnement. Par ailleurs, un modèle de dynamique trash permet de fonder la figure subversive et provocante de Jésus dans une relecture des évangiles, d’où un troisième temps (intervention) : l’amendement du premier projet d'exposition. En guise de conclusion, le quatrième temps (prospective) exporte des pointes de ré-flexion au-delà de l'interprétation concrète, à savoir au plan des questions de l'art et du public, du deuil de la vérité, de la dynamique trash et de la foi.
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La présente recherche porte sur le dieu de la guerre des Grecs anciens, Arès. La communauté historienne s’entend pour affirmer qu’Arès était un dieu de second ordre et un dieu mal aimé par les Grecs de l’époque. Les investigations des historiens du XXe siècle sont axées sur les documents littéraires et elles ne font que reformuler, dans la majorité des cas, le contenu de ceux-ci. Alors, afin de bénéficier d’un regard nouveau sur le dieu, on a étudié Arès au travers les documents épigraphiques pour corroborer ou non nos présentes connaissances. Le dieu de la guerre tel que présenté dans les écrits littéraires est-il le même que celui qui est véhiculé dans l’épigraphie de l’époque? La réponse à cette question nous permettra d’établir si nos connaissances actuelles sont valables et elle les complètera. La recherche épigraphique s’effectue en cinq étapes. D’abord, on voit si le côté militaire d’Arès était également prédominant au sein des inscriptions. Ensuite, on porte une attention particulière aux documents épigraphiques pouvant démontrer un Arès mal aimé. Le tout se poursuit avec la mise en relation du dieu et des anciens serments. Enfin, on termine avec une approche plus géographique qui nous permet de définir deux foyers importants du dieu de la guerre, soit la cité de Métropolis et l’île de Crète. À la suite de ce parcours on a déterminé que l’appréciation et l’importance que les Grecs accordaient à ce dieu n’était pas unanime. Le ressentiment des Grecs variaient selon les individus et les lieux. On a aussi été capable d’établir des faits au sujet d’Arès : son domaine d’action prédominant restait le militaire dans les inscriptions; il était un réel dieu, présent, respecté et loué; il possédait d’importants lieux de culte à Lato et Métropolis. Compte tenu d’une redéfinition notable du profil d’Arès, une révision des sources littéraires propres à Arès s’impose ainsi qu’une évaluation complète de toutes les autres sources (iconographique, archéologique, numismatique, épigraphique, etc.).
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Cette thèse est organisée en trois chapitres. Les deux premiers s'intéressent à l'évaluation, par des méthodes d'estimations, de l'effet causal ou de l'effet d'un traitement, dans un environnement riche en données. Le dernier chapitre se rapporte à l'économie de l'éducation. Plus précisément dans ce chapitre j'évalue l'effet de la spécialisation au secondaire sur le choix de filière à l'université et la performance. Dans le premier chapitre, j'étudie l'estimation efficace d'un paramètre de dimension finie dans un modèle linéaire où le nombre d'instruments peut être très grand ou infini. L'utilisation d'un grand nombre de conditions de moments améliore l'efficacité asymptotique des estimateurs par variables instrumentales, mais accroit le biais. Je propose une version régularisée de l'estimateur LIML basée sur trois méthodes de régularisations différentes, Tikhonov, Landweber Fridman, et composantes principales, qui réduisent le biais. Le deuxième chapitre étend les travaux précédents, en permettant la présence d'un grand nombre d'instruments faibles. Le problème des instruments faibles est la consequence d'un très faible paramètre de concentration. Afin d'augmenter la taille du paramètre de concentration, je propose d'augmenter le nombre d'instruments. Je montre par la suite que les estimateurs 2SLS et LIML régularisés sont convergents et asymptotiquement normaux. Le troisième chapitre de cette thèse analyse l'effet de la spécialisation au secondaire sur le choix de filière à l'université. En utilisant des données américaines, j'évalue la relation entre la performance à l'université et les différents types de cours suivis pendant les études secondaires. Les résultats suggèrent que les étudiants choisissent les filières dans lesquelles ils ont acquis plus de compétences au secondaire. Cependant, on a une relation en U entre la diversification et la performance à l'université, suggérant une tension entre la spécialisation et la diversification. Le compromis sous-jacent est évalué par l'estimation d'un modèle structurel de l'acquisition du capital humain au secondaire et de choix de filière. Des analyses contrefactuelles impliquent qu'un cours de plus en matière quantitative augmente les inscriptions dans les filières scientifiques et technologiques de 4 points de pourcentage.
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L’époque actuelle se caractérise par un processus de sécularisation irrésolu. Les inconsistances de notre modernité relèvent à la fois d’une dissolution de l’hégémonie de la religion en occident et d’une diversification de régimes de valeurs, croyances et représentations ayant pour effet la persistance de différends idéologiques que le phénomène de globalisation à la fois accentue et résorbe sans les abolir. Cette thèse examine la pertinence de la traduction pour interroger les fondements littéraires des enjeux esthétiques et politiques de cette condition. En tant que procédé poïétique, modèle de subjectivité éthique et figure de pensée, la traduction constitue un dispositif littéraire intimement relié au problème de la sécularisation. Chacune des études qui composent la thèse cherche à approfondir, dans une perspective comparatiste, une intuition de base : le mode de dépossession inhérent au fait littéraire de traduire permet d’appréhender un certain ethos séculier dont le caractère historique ne serait pas totalement coupé d’un rapport à la transcendance dans le contexte de l’économie culturelle globale. Le problème de la traduction est abordé à partir de deux axes principaux : la distorsion de la tradition religieuse par la formation d’une religiosité d’ordre littéraire (un ethos séculier) et la distorsion d’un certain humanisme d’après l’expérience catastrophique et la manière dont cet ethos permet d’y survivre. Cette thèse vise à dégager de l’idée de traduction une capacité de régénérer un rapport éthique à autrui par la construction de liens inédits avec le passé et l’avenir ; une attention à la finitude humaine caractérisée par une disposition critique et affective face à ces artefacts humains que nous nommons littérature. Les écrits de la poète et traductrice Anne Carson jouent un rôle déterminant dans le cadre de cette recherche puisqu’ils exemplifient une capacité singulière de faire usage de la tradition qui permet d’envisager, ultimement, une régénération de la question du sens de l’humain, c’est-à-dire, d’une pensée sensible à l’inhumain entre nous.
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Les cultes isiaques se répandent autour du bassin méditerranéen entre le IVe s. av. et la fin du IVe s. apr. J.-C., arrivant à Rome au Ier siècle av. notre ère et y disparaissant conjointement aux cultes païens traditionnels avec ou peu après le coup porté par Théodose. Leur diffusion romaine s’étale donc sur une grande partie de l’histoire de l’Empire d’Occident, et ils vont ainsi se retrouver face à l’homme désormais considéré comme primus inter pares, grâce à l’accumulation de ses pouvoirs. L’empereur est pontifex maximus, c’est-à-dire maitre des cultes publics et du droit religieux, et il est ainsi l’agent du pouvoir qui a le potentiel religieux et législatif pour avoir un discours varié sur les autres traditions religieuses. Il semble donc inévitable que la sphère cultuelle isiaque rencontre et interagisse avec la sphère religieuse traditionnelle romaine, et que certains empereurs interfèrent, par renforcement ou au contraire par opposition, avec les cultes isiaques arrivés peu de temps avant l’avènement du pouvoir impérial. Cette thèse se propose non seulement d’étudier la dialectique entre institué romain (la force d’inertie) et instituant isiaque (la force de changements) dans la direction d’une potentielle altérité incluse (soit le dialogue évolutif du Nous par rapport à l’Autre), mais notamment par les liens publics romains et évolutifs entre l’empereur et les divinités isiaques. Nous effectuons cette recherche grâce à quatre types de sources antiques : la littérature pour le point de vue de l’élite littéraire gréco-romaine ; les inscriptions isiaques pour une définition surtout populaire de l’identité évolutive de l’instituant isiaque ; les monnaies et les oeuvres monumentales pour le point de vue public (et parfois plus personnel) impérial. Nous concentrons notre étude à partir de la dynastie sévérienne, qui laisse supposer que les cultes romano-orientaux profitent de la nouvelle configuration impériale avec des empereurs originaires d’Afrique et d’Orient, dans un phénomène d’« impérialisation » isiaque intensifié par un engagement tant impérial que populaire. En outre, nous nuancerons les conséquences sur la diffusion isiaque des troubles qui surviennent dans la deuxième moitié du IIIe siècle. Enfin, le IVe siècle, avec la christianisation de l’Empire et donc un christianisme devenant institué, ouvre sur une analyse des débats entre les défenseurs actifs du paganisme et les auteurs chrétiens, et de là, vers des interrogations sur l’intervention de la sphère isiaque dans ce face-à-face.
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La rumeur publique joue un rôle-clé dès les plus anciens textes français : elle motive les héros à la guerre et assure la renommée du saint auprès du bon peuple. Quand les auteurs vernaculaires délaissent les chansons de geste ou de saints (genres marqués par l’oralité) au profit d’une forme narrative bientôt appelée roman (genre défini d’abord par son rapport à l’écriture), la rumeur – qui fait et défait les héros – se voit concurrencée par l’écrit, auquel est attribuée une valeur de vérité supérieure. Le roman met ainsi en abyme sa propre quête de légitimité. Le statut ambigu de la narration médiévale, au carrefour de l’oralité et de l’écriture, se reflète dans la situation ambivalente de la rumeur, clairement associée au peuple et en position d’infériorité manifeste, mais demeurant néanmoins le véritable moteur de la narration. À ce titre, la rumeur, ou plus exactement la nouvelle « qui court et vole », devient un sujet autonome qui relance le récit, dans un apparent parallèle avec à la voix du narrateur. Au début du XIIIe siècle, l’opposition entre roman et chanson se double d’une séparation entre vers et prose. Le roman en vers prend ses distances avec la rumeur en adoptant des accents parodiques, mais la prose est le lieu où la rumeur est mise en cause de la manière la plus systématique. Le roman en prose élabore ainsi un système complexe où la lettre et la voix se répondent. Par exemple, le grand cycle du Lancelot-Graal se clôt avec un roman, La Mort du roi Arthur, où la vérité vient de la lettre (missives révélatrices, inscriptions funéraires), alors même que la rumeur se révèle mortifère, depuis la rumeur de la fausse mort, qui a poussé Lancelot et Guenièvre au bord du suicide, jusqu’à celle qui condamne injustement la reine du meurtre de Gaheris de Karaheu. Le roman oppose ainsi à la voix de Merlin, le prophète à l’origine de ce royaume déchu, la permanence de la lettre, seule capable d’assurer la pérennité du royaume dans la mémoire et dans les lettres. La rumeur qui traverse les premières entreprises romanesques porte avec elle la question fondamentale du roman : celle de la vérité et du statut de la fiction, dans un monde où la langue vulgaire quitte la sphère de l’oralité et cherche à s’imposer comme langue d’écriture.