934 resultados para Archaeological collection
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Melipona bicolor schencki occurs in southern Brazil and at high elevations in southeastern Brazil. It has potential for use in meliponiculture but this stingless bee species is vulnerable to extinction and we have little knowledge about its ecology. In order to gather essential information for species conservation and management, we made a study of seasonal flight activities in its natural environment. We sampled bees entering the nests with pollen, nectar/water and resin/mud, in five colonies during each season. In parallel, we analyzed the influence of hour of the day and meteorological factors on flight activity. Flights were most intense during spring and summer, with daily mean estimates of 2,100 and 2,333 flights respectively, while in fall and winter the daily flight estimate was reduced to 612 and 1,104 flights, respectively. Nectar and water were the most frequently-collected resources, followed by pollen and building materials. This preference occurred in all seasons, but with variations in intensity. During spring, daily flight activity lasted over 14 hours; this period was reduced in the other seasons, reaching eight hours in winter. Meteorological factors were associated with 40.2% of the variation in flight and resource collection activity. Apparently, other factors that we did not measure, such as colony needs and availability of floral resources, also strongly influence the intensity of resource collection.
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A multi-analytical study has been carried out on a collection of white and coloured Iberian marbles. A total of 135 marble specimens were collected in Spain and Portugal from the Betic chain (Alhaurin de la Torre, Mijas, Macael), Ossa Morena (Alconera, Almaden de la Plata and Viana do Alentejo), and the Estremoz Anticline (Bencatel, Borba and Estremoz) areas. X-ray diffractometry and carbon and oxygen stable isotope analysis were carried out on these samples; 38 samples were also investigated by optical and scanning electron microscopy. The results provide a set of diagnostic parameters that allow discriminating the sampled marble quarries. The carbonate minerals composition is distinctive for the Mijas and Alhaurin de la Torre marbles; the isotopic analysis allows discriminating also between these two dolomitic marble quarries. The Ossa Morena and Estremoz Anticline marbles share a similar stable isotope composition; the accessory mineral content, the maximum grain size (MGS) and the fabric are particularly useful in the distinction between them. In the framework of archaeometric provenance studies on Thamusida (Kenitra, Morocco) Roman marble artefacts, a specific comparison between this new Iberian database and archaeological findings has been carried out. The hypothesis of commercial exchanges between the Iberian regions and Roman Morocco is supported by the results of the provenance study, which suggested the Almaden de la Plata and Mijas quarries as possible sources of raw materials for the production of archaeological artefacts.
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A catalogue is provided with the type material of four superfamilies of "Acalyptrate" (Conopoidea, Diopsoidea, Nerioidea and Tephritoidea) held in the collection of the Museu de Zoologia da Universidade de São Paulo (MZUSP), São Paulo, Brazil. Concerning the taxa dealt with herein, the Diptera collection of MZUSP held 77 holotypes, 4 "allotypes" and 194 paratypes. In this paper, information about data labels, preservation and missing structures of the type specimens is given.
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[Vente (Art). 1779-03-15. Paris]
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Relevant globalement de l'analyse de discours, cette thèse se propose en deux temps (questions de méthode, puis analyses) d'étudier dans le détail et d'interpréter des lettres asilaires initialement gardées au sein d'archives médicales de différents hôpitaux psychiatriques de Suisse romande et désormais conservées à la Collection de l'Art Brut, à Lausanne. Ce transfert institutionnel noue le problème central posé par le corpus recueilli : quelle lecture accorder à ces productions qui, dans ces conditions, semblent échapper à toute catégorisation générique a priori ou, en reformulant l'interrogation, en quoi est-ce que les oeuvres d'art brut dépassent-elles leur statut de documents cliniques? Pour répondre à cette ample question, il faut une théorie du langage qui conceptualise des modalités de réception. En l'occurrence, les textes retenus sont abordés à partir de la théorie de Yénonciation, élaborée au moins depuis Emile Benveniste, qui implique de saisir le langage non à partir de la perspective de l'interprété mais depuis celle de l'interprétant.¦Une fois ce fondement énonciatif posé, de nombreux problèmes peuvent être posés et permettent d'architecturer le travail. L'énonciation installe en premier lieu l'univers du discours, qui implique de tenir globalement compte du primat de l'interdiscursivité, autant dans le geste raisonné de constitution du corpus que dans la conduite de son interprétation. En l'occurrence, la thématique de la folie est ici centrale : les production retenues ont en effet d'abord fait l'objet du diagnostic psychiatrique et y ont eu valeur de symptômes ; elles ont ensuite intégré les rangs de la Collection de l'Art Brut, dont les principaux artisans (Jean Dubuffet et Michel Thévoz en tête) ont beaucoup insisté sur le renouvellement du regard à apporter sur la folie, celle-ci y étant considérée pour ses vertus créatrices et contestatrices.¦Le cadrage (doublement) dialogique du corpus implique à grands traits de lier la folie et le langage ou, plus spécifiquement, de faire de la folie non plus une pathologie mais un problème de (théorie du) langage. Pour conceptualiser ce passage, les notions de manie et de manière (Dessons) sont primordiales. La première est dotée d'une mémoire psychiatrique et fait de la folie une maladie mentale dont souffre un individu doté de son empirie et d'une psycho-biologie. La seconde, en revanche, est énonciative et concerne la subjectivation d'un langage, si spécifique qu'il implique de sortir des catégories linguistiques conventionnelles pour le désigner et le décrire, inaptes à le rationaliser. La manière rejoint donc la folie parce qu'elle rend, littéralement, fou (elle déstabilise nos grilles préformatées de lecture). En ce sens, elle implique, dans le discours, de passer d'une énonciation qui n'est pas une simple interlocution (où le langage permet à un sujet de communiquer à propos de quelque chose à un autre sujet) à une énonciation dont la réception fait problème.¦Pour saisir cette énonciation dans le discours, il importe de se débarrasser d'une rhétorique des genres pour passer, radicalement, à une poétique de Γénonciation. La rhétorique ne peut appréhender la spécificité des textes retenus ou, autrement dit, leur mode propre de signifier, pour plusieurs raisons : elle se centre sur les effets provoqués par le discours sur un « auditoire » en vue de certaines visées préalables, elle instrumentalise le langage à des fins uniquement communicatives, elle repose sur un réalisme linguistique (le rapport presque naturel entre le signifiant et le concept qu'il est censé transcrire de façon transparente), elle n'a pas de théorie du sujet (sinon un bien trop flou « locuteur »).¦Une poétique de l'énonciation offre « au contraire » (l'opposition est caricaturale ici) l'avantage de traiter dans le discours d'une énonciation qui n'est pas pensée à partir de modèles collectifs (genres, signe linguistique, ...). Dans ce dernier cas, l'appréhension du discours ne peut considérer que des variations (quand ce n'est pas des « déviances » ou des symptômes) internes à tel ou tel modèle générique, pas remis en cause comme tel. En somme, une poétique renverse la pensée du langage : elle ne l'appréhende plus à partir de catégories qui lui sont externes, mais s'intéresse à des « procédés » indésignables a priori, ou, plus globalement, à un mode spécifique de signifier, c'est-à-dire qu'il ne « fait sens » que pour un seul langage - et pas un autre.¦Le langage est alors si subjectivé qu'il confond son statut d'objet avec celui de sujet. Pour preuve, on ne le désigne plus dans le discours à partir d'une catégorie sociale générique (« c'est une lettre »), mais à partir d'un « nom d'auteur » ou, plus spécifiquement, une manière (« c'est un Aloïse », par exemple pour le cas d'une oeuvre apparentée à l'art brut), sujet théorique de l'énonciation artistique. Cette forme-sujet, comme la nommait Henri Meschonnic dans sa théorie dite du poème, se reconnaît dans l'unité (sémantique) du texte et ouvre dans le discours à un système-sujet d'organisation identifiable à l'échelle élargie d'une oeuvre. Elle permet d'inscrire pleinement la démarche dans le cadre englobant non seulement de l'analyse du discours mais aussi d'une anthropologie linguistique.¦En somme, l'objet au centre de nos préoccupations fait de ce passage (d'une rhétorique à une poétique) un problème épistémologique. Les oeuvres d'art brut impliquent de passer d'une discursivité à une autre, d'une folie psychiatrique à une folie artistique, déplaçant la folie dans le champ social. Le langage dessine bel et bien la société. Ce travail permet finalement de comprendre la contribution du langage à la construction des réalités sociales, dans l'élaboration du sens qui s'y fabrique. Son orientation herméneutique aboutit à identifier une nouvelle figure de l'altérité, inscrite au sein même de la pensée linguistique.
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Male bees of the tribe Euglossini collect volatile chemicals secreted by orchids using dense patches of hair on the front tarsi. After collecting chemicals, the bee hovers while transferring these fragrances to invaginations on the hind tibiae. The fragrance collection and hovering behaviours are repeated multiple times. Here I report preliminary field observations on the length of fragrance collection and hovering phases in bees of the Eulaema meriana (Oliver, 1789) mimicry complex visiting the orchid Catasetum discolor in Kavanayén,Venezuela. I observed that in extended visits with many cycles of fragrance collection and hovering, the length of each collection phase gradually increased, while the length of hovering phase was static. This suggests either that chemicals secreted by orchids are in limited supply or that efficiency of fragrance collection drops.
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ABSTRACT Following a recommendation of the International Code of Zoological Nomenclature, this paper provides a catalogue of the type specimens of Anisopodidae (Diptera: Bibionomorpha) held in the collection of the Museu de Zoologia da Universidade de São Paulo, Brazil (MZUSP). Information on labels and type conditions, on 54 type specimens (including 21 primary types) of 24 Neotropical species are provided.
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[Vente. Art. 1856-11-19. Paris]
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[Vente. Art. 1858-03-18. Paris]
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[Vente. Art. 1859-12-12 - 1859-12-14. Paris]
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[Vente. Art. 1860-01-25. Paris]
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[Vente. Art. 1860-03-07. Paris]