886 resultados para infections périopératoires
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Background: Soil-transmitted helminth (STH) infections are endemic in Honduras but their impact on children’s health is not well studied. Objectives: To evaluate the prevalence and intensity of STH infections and their association with nutrition and growth in a sample of Honduran children. Methodology: A cross-sectional study was done among Honduran rural school-age children in 2011. Blood and stool samples and anthropometric measurements were obtained to determine nutritional status, STH infection and growth status, respectively. Results: The STH prevalence among 320 studied children was 72.5%. Prevalence by species was 30%, 67% and 16% for Ascaris, Trichuris and 16% hookworms, respectively. High intensity infections were associated with decreased growth scores but regardless of intensity, co-infections negatively affected growth indicators. Conclusions: The health burden of STH infections is related to high parasitic load but also to the presence of low-intensity concurrent infections. The synergistic effects of polyparasitism in underprivileged children warrants more attention.
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Background: Honduras is endemic for soil-transmitted helminth (STH) infections. However, knowledge gaps remain in terms of risk factors involved in STH transmission and infection intensity. Objectives: To determine the prevalence and intensity of STH infections in schoolchildren living in rural Honduras. Additionally, to investigate risk factors associated with STH infections. Methods: A cross-sectional study was done among Honduran rural schoolchildren, in 2011. Demographic and epidemiological data were obtained and STH infections were determined using Kato-Katz method. Results: A total of 320 children completed the study. Overall and specific prevalences for Ascaris lumbricoides, Trichuris trichiura and hookworms were 72.5%, 30%, 67% and 16%, respectively. Several risk factors associated with STH transmission and infection intensity were identified at the individual and familial level as well as at the schools. Conclusions: Improving hygienic conditions and providing semi-annual deworming treatment are feasible interventions that could enhance undergoing STH control activities.
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Background: Soil-transmitted helminth (STH) infections are endemic in Honduras and efforts are underway to decrease their transmission. However, current evidence is lacking in regards to their prevalence, intensity and their impact on children’s health. Objectives: To evaluate the prevalence and intensity of STH infections and their association with nutritional status in a sample of Honduran children. Methodology: A cross-sectional study was done among school-age children residing in rural communities in Honduras, in 2011. Demographic data was obtained, hemoglobin and protein concentrations were determined in blood samples and STH infections investigated in single-stool samples by Kato-Katz. Anthropometric measurements were taken to calculate heightfor- age (HAZ), BMI-for-age (BAZ) and weight-for-age (WAZ) to determine stunting, thinness and underweight, respectively. Results: Among 320 children studied (48% girls, aged 7–14 years, mean 9.7661.4) an overall STH prevalence of 72.5% was found. Children .10 years of age were generally more infected than 7–10 year-olds (p = 0.015). Prevalence was 30%, 67% and 16% for Ascaris, Trichuris and hookworms, respectively. Moderate-to-heavy infections as well as polyparasitism were common among the infected children (36% and 44%, respectively). Polyparasitism was four times more likely to occur in children attending schools with absent or annual deworming schedules than in pupils attending schools deworming twice a year (p,0.001). Stunting was observed in 5.6% of children and it was associated with increasing age. Also, 2.2% of studied children were thin, 1.3% underweight and 2.2% had anemia. Moderate-to-heavy infections and polyparasitism were significantly associated with decreased values in WAZ and marginally associated with decreased values in HAZ. Conclusions: STH infections remain a public health concern in Honduras and despite current efforts were highly prevalent in the studied community. The role of multiparasite STH infections in undermining children’s nutritional status warrants more research.
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Les infections nosocomiales sont causées par des germes opportunistes souvent résistants aux antibiotiques et persistants sur les surfaces, représentant une source constante de risque d’infection en milieu hospitalier. Dans ce contexte, l’isolement et la caractérisation de bactériophages s’attaquant spécifiquement aux bactéries nosocomiales telles que Staphylococcus aureus résistant (SARM), Enterococcus résistant (ERV), Pseudomonas aeruginosa et Acinetobacter baumanii, pourraient fournir une alternative bactéricide naturelle contre la transmission de ces infections. Des phages isolés des eaux usées, ont été sélectionnés selon leur capacité d’amplification, leur profil génomique et leur potentiel lytique envers différentes souches bactériennes cliniques. Les meilleurs ont été caractérisés en détail pour s’assurer de leur spécificité, sécurité, stabilité et efficacité préalablement à leur utilisation in vivo. Sept phages contre SARM et trois contre Acinetobacter baumanii ont été caractérisés. Quatre phages SARM s’avèrent être de bons candidats potentiels et pourraient être testés en milieu hospitalier comme agents désinfectants dans le but de lutter contre les infections nosocomiales.
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Problématique : Les femmes travailleuses du sexe (TS) constituent la population le plus à risque d’infection au VIH dans différents pays d’Afrique subsaharienne. Plusieurs interventions y ont ainsi été menées pour réduire le risque d’infection en influant sur les facteurs de risque. Parmi ces interventions, on peut citer la promotion de l’utilisation du préservatif de même que le dépistage et le traitement des infections sexuellement transmissibles (IST). Cependant, certaines composantes sont peu représentées dans ce panel d’interventions offertes aux femmes TS. Le conseil dépistage volontaire pourrait s’avérer une intervention utile de prévention primaire et secondaire pour cette population mais son acceptabilité est mal connue. Par ailleurs, en termes de surveillance de l’épidémie, l’évaluation de la validité de l’auto-rapport d’utilisation du préservatif, indicateur fréquemment utilisé lors d’enquêtes populationnelles serait souhaitable. Enfin, pour ce qui est de la prévention de l’infection dans cette population, l’effet du désir d’enfant sur l’utilisation non systématique du condom avec le principal partenaire régulier non payant est peu connu. Il en est de même pour la prévalence de certaines IST comme le VPH-16 et l’effet combiné de facteurs sociodémographiques, comportementaux et préventifs sur la présence de ces IST. Objectifs : Les objectifs de cette thèse sont 1) de mesurer l’acceptabilité et les conséquences du conseil dépistage volontaire du VIH chez les femmes TS de Conakry en Guinée; 2) d’évaluer la validité de l’auto-rapport de l’utilisation du préservatif dans cette population grâce à un indicateur biologique de présence de sperme, l’antigène spécifique de la prostate (PSA); 3) d’estimer la fréquence d’utilisation systématique du préservatif avec les partenaires clients et non-clients des femmes TS et d’étudier l’importance du désir d’enfant dans l’utilisation non systématique du préservatif avec le principal partenaire régulier non-client et 4) de mesurer la prévalence des IST et du VIH et d’étudier les facteurs sociodémographiques, comportementaux et préventifs qui y sont associés. Méthodologie : Nous avons mené une étude longitudinale dans la ville de Conakry en Guinée auprès de 421 femmes TS recrutées dans trois services de santé adaptés pour elles. Un devis mixte répété un an plus tard a permis de collecter des données quantitatives et qualitatives. Des analyses biologiques de dépistage des IST et du VIH ont été effectuées. Résultats : Le premier article de résultats présenté dans cette thèse montre que l’acceptabilité du conseil dépistage volontaire est élevée chez les femmes TS. En effet, les taux d’acceptation du test, de retour pour la prise de résultats et de notification du statut sérologique avoisinaient les 100%. Cette acceptabilité semblait être le fait d’une perception de risque d’infection élevé, mais aussi d’une pression sociale du milieu prostitutionnel pour effectuer le dépistage et révéler le statut sérologique. Les conséquences négatives au dépistage étaient rares. Le deuxième article montre que l’auto-rapport de l’usage récent du préservatif a une très faible sensibilité lorsque comparé à l’étalon d’or que constitue la PSA. Ainsi, la plupart des personnes chez qui la PSA était retrouvée ne rapportaient aucun rapport non protégé récent. La discordance entre l’auto-rapport d’utilisation récente du préservatif et la présence de PSA était associée à une perception de risque d’infection au VIH élevé. Enfin, la troisième section montre que si l’utilisation systématique du préservatif était très fréquente avec les clients, elle l’est beaucoup moins avec le principal partenaire régulier non-client. Le désir d’enfant de la femme TS contribue de manière significative à l’utilisation non systématique du condom avec ce type de partenaire. Des facteurs sociodémographiques, comportementaux et la coinfection par d’autres IST sont associés à la présence d’IST/VIH, ces dernières étant fréquentes dans la population des femmes TS malgré les nombreuses interventions qui y sont menées. Conclusion : En conclusion, l’on peut dire que la prévention du VIH chez les femmes TS constitue un défi nécessitant des interventions intégrées tenant compte du contexte commercial dans lequel ces interventions sont implantées et des aspirations des femmes TS en matière de reproduction.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Phénomène à haute prévalence dans le monde entier, les infections acquises au cours de la prestation de soins de santé constituent une menace importante pour la santé publique. Il s’agit d’une réalité inéluctable du système de santé qui touche de nombreuses victimes en les affectant de dommages variés. Fruit d’une interaction complexe entre divers facteurs, ces infections représentent un lourd fardeau pour les victimes comme pour la société, tant au plan physique, mental et financier. Bien que les infections nosocomiales semblent être au cœur des préoccupations des autorités sanitaires québécoises, l’indemnisation des victimes demeure problématique. Actuellement, l’indemnisation se fait via le régime traditionnel de responsabilité civile mais nombreux sont les obstacles auxquels font face les patients désirant obtenir compensation. Les règles classiques s’avèrent difficiles d’application dans un contexte où la source de l’infection est souvent inconnue et les facteurs ayant pu contribuer à son développement sont multiples. Face à cette problématique et à l’insatisfaction ressentie, certaines juridictions étrangères ont reconnu le caractère inadapté du régime traditionnel et ont implanté un régime d’indemnisation sans égard à la faute dans l’espoir d’améliorer le sort des victimes. Le Québec a opté pour la même solution dans divers domaines, tels que les accidents automobiles et la vaccination. Ce mémoire propose une étude approfondie de l’opportunité d’adopter, en droit québécois, un régime d’indemnisation sans égard à la faute bénéficiant aux victimes d’infections nosocomiales. L’objectif de ce projet est de faire une esquisse des caractéristiques assurant l’efficacité et la viabilité d’un tel régime.
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Travail dirigé présenté à la Faculté des sciences infirmières en vue de l’obtention de la maîtrise en sciences infirmières option expertise-conseil en soins infirmiers
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Des études antérieures démontrent que les descendants de peuples européens et africains présentent des différences de susceptibilité à certaines maladies infectieuses. Ces différences suggèrent des variations interpopulationnelles de la réponse immunitaire qui résultent probablement de l’adaptation de ces individus aux pathogènes de leur environnement. Nous avons caractérisé la réponse immunitaire chez des descendants de peuples européens et africains à des infections bactériennes. Nous avons infecté des macrophages dérivés de monocytes de 30 Américains d’origine africaine (Africains) et de 31 Américains d’origine européenne (Européens) avec les pathogènes intracellulaires Listeria monocytogenes et Salmonella typhimurium pendant 4 heures, puis nous avons mesuré le niveau d’expression pangénomique des cellules infectées et non infectées par séquençage de l’ARNm. Nous avons estimé le niveau de contrôle de l’infection par les macrophages à 2, 4 et 24 heures post-infection en évaluant le taux de survie des bactéries. Nous avons observé que les Africains présentent significativement moins de bactéries intracellulaires après 4 et 24 heures que les Européens, suggérant que les Africains contrôlent mieux les infections bactériennes. Nous avons identifié des différences interpopulationnelles dans le niveau de sécrétion des cytokines et dans le niveau d’expression de certains gènes, ce qui suggère que les Africains modulent une réponse inflammatoire plus forte que les Européens. Nous avons démontré que plusieurs de ces gènes ont subi des évènements de sélection positive récents seulement chez les Européens. Notre étude a identifié plusieurs gènes candidats susceptibles d’influencer le cours des infections bactériennes chez les humains. Nos résultats indiquent que les différences dans la progression des maladies infectieuses entre les populations européennes et africaines seraient le résultat de la sélection naturelle.
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Résumé Introduction: Les infections urinaires (IU) sont les infections bactériennes les plus fréquentes chez les patients hospitalisés. Cette étude décrit les tendances temporelles d'admission et de mortalité liées aux hospitalisations pour les IU, ainsi que le fardeau économique associé. Les prédicteurs de mauvaise évolution clinique et de mortalité sont examinés par la suite. Méthodes: Les données ont été extraites à partir de la base de données du NIS entre le 1er janvier 1998 et le 31 décembre 2010. 1,717,181 hospitalisations liées aux IU ont été retenues. L'incidence et la mortalité ont été calculées et stratifiées selon le sexe, l'âge et la présence de sepsis. Les frais médians et totaux pour les hospitalisations sont calculés et ajustés pour l'inflation. Finalement, les prédicteurs d'avoir un sepsis induit par les IU et de mortalité sont examinés avec une analyse par régression logistique multivariée. Résultats: L'incidence globale d'hospitalisation et la mortalité associées aux IU voit une croissance annuel estimé (EAPC) de +4.764 et +4.610 respectivement (p<0.0001). L'augmentation d'incidence est le plus marquée pour les patients âgés de 55 à 64 ans (EAPC = +7.805; p<0.0001). Les frais médians par hospitalisation ont augmenté de $10 313 en 1998 à $21 049 en 2010 (EAPC +9.405; p<0.0001). Les frais globaux pour les hospitalisations des IU ont augmenté de $8.9 milliard en 1998 à $33.7 milliard en 2010 (EAPC +0.251; p<0.0001). Les patients âgés, de sexe masculin, de race afro-américaine, ainsi que les patients assurés par Medicaid ou ceux sans assurance, et les patients soignés à des centres non-académiques sont à risque plus important de mortalité (p<0.0001). Conclusion: L'incidence et la mortalité associées aux IU ont augmenté au cours de la dernière décennie. Les frais médians ajustés pour l'inflation ainsi que les frais globaux ont augmenté progressivement au cours de la période d'étude. Dans la cohorte étudiée, les patients âgés, de sexe masculin, de race afro-américaine, ainsi que les patients assurés par Medicaid ou ceux sans assurance, et les patients soignés à des centres non-académiques sont à risque plus important de mortalité. Ces données représentent des indicateurs de qualité de soins qui pourraient permettre d'adapter certaines politiques de soins de santé aux besoins des sous-populations plus vulnérables.
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Deoxynivalenol (DON) is a mycotoxin produced by Fusarium spp and is a common contaminant of grains in North America. Among farm animals, swine are the most susceptible to DON because it markedly reduces feed intake and decreases weight gain. Porcine circovirus type 2 (PCV2) is the main causative agent of several syndromes in weaning piglets collectively known as porcine circovirus-associated disease (PCVAD). The objectives of this study were to investigate the impact of DON on PCV2 replication in NPTr permissive cell line, and to determine eventual potentiating effects of DON on PCV2 infection in pigs. Noninfected and infected cells with PCV2 were treated with increasing concentrations of DON (0, 70, 140, 280, 560, 1200 ng/mL) and cell survival and virus titer were evaluated 72 h postinfection. Thirty commercial piglets were randomly divided into 3 experimental groups of 10 animals based on DON content of served diets (0, 2.5 and 3.5 mg/kg DON). All groups were further divided into subgroups of 6 pigs and were inoculated with PCV2b virus. The remaining pigs (control) were sham-inoculated with PBS. In vitro results showed that low concentrations of DON could potentially increase PCV2 replication depending on virus genotype. In vivo results showed that even though viremia and lung viral load tend to be higher in animal ingesting DON contaminated diet at 2.5 mg/kg, DON had no significant effect on clinical manifestation of PCVAD in PCV2b infected animals. DON has neither in vitro nor in vivo clear potentiating effects in the development of porcine circovirus infection despite slight increases in viral replication.
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Aquaculture has developed to become one of the fastest growing food producing sectors in the world.Today India is one among the major shrimp producing countries in the world.There are extensive and intensive shrimp culture practices. In extensive shrimp culture, shrimps are stocked at low densities (< 25 PLs m'2)in large ponds or tidal enclosures in which little or no management is exercised or possible. Farmers depend almost entirely on natural conditions in extensive cultures. Intensive shrimp culture is carried out in high densities (>200 PLs m'2). Much of the world shrimp production still comes from extensive culture.There is a growing demand for fish and marine products for human and animal consumption. This demand has led to rapid growth of aquaculture, which some times has been accompanied by ecological impacts and economic loss due to diseases. The expansion of shrimp culture always accompanies local environmental degradation and occurrence of diseases.Disease out breaks is recognised as a significant constraint to aquaculture production. Environmental factors, water quality, pollution due to effluent discharge and pathogenic invasion due to vertical and horizontal transmission are the main causes of shrimp disease out breaks. Nutritional imbalance, toxicant and other pollutants also account for the onset of diseases. pathogens include viruses, bacteria, fungi and parasites.Viruses are the most economically significant pathogens of the cultured shrimps world wide. Disease control in shrimp aquaculture should focus first on preventive measures for eliminating disease promoting factors.ln order to design prophylactic and proactive measures against shrimp diseases, it is mandatory to understand the immune make up of the cultivable species, its optimum culture conditions and the physico chemical parameters of the rearing environment. It has been proven beyond doubt that disease is an end result of complex interaction of environment, pathogen and the host animal. The aquatic environment is abounded with infectious microbes.The transmission of disease in this environment is extremely easy, especially under dense, culture conditions. Therefore, a better understanding of the immune responses of the cultured animal in relation to its environmental alterations and microbial invasions is essential indevising strategic measures against aquaculture loss due to diseases. This study accentuate the importance of proper and regular health monitoring in shrimps employing the most appropriate haematological biomarkers for application of suitable prophylactic measures in order to avoid serious health hazards in shrimp culture systems.
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Background: Severe malarial anaemia is a major complication of malaria infection and is multifactorial resulting from loss of circulating red blood cells (RBCs) from parasite replication, as well as immune-mediated mechanisms. An understanding of the causes of severe malarial anaemia is necessary to develop and implement new therapeutic strategies to tackle this syndrome of malaria infection. Methods: Using analysis of variance, this work investigated whether parasite-destruction of RBCs always accounts for the severity of malarial anaemia during infections of the rodent malaria model Plasmodium chabaudi in mice of a BALB/c background. Differences in anaemia between two different clones of P. chabaudi were also examined. Results: Circulating parasite numbers were not correlated with the severity of anaemia in either BALB/c mice or under more severe conditions of anaemia in BALB/c RAG2 deficient mice (lacking T and B cells). Mice infected with P. chabaudi clone CB suffered more severe anaemia than mice infected with clone AS, but this was not correlated with the number of parasites in the circulation. Instead, the peak percentage of parasitized RBCs was higher in CB-infected animals than in AS-infected animals, and was correlated with the severity of anaemia, suggesting that the availability of uninfected RBCs was impaired in CB-infected animals. Conclusion: This work shows that parasite numbers are a more relevant measure of parasite levels in P. chabaudi infection than % parasitaemia, a measure that does not take anaemia into account. The lack of correlation between parasite numbers and the drop in circulating RBCs in this experimental model of malaria support a role for the host response in the impairment or destruction of uninfected RBC in P. chabaudi infections, and thus development of acute anaemia in this malaria model.