995 resultados para affectivité - troubles


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Les personnes en situation dâitinérance, principalement des hommes, représentent pour certains une culture au sein de laquelle on identifie des personnes atteintes de troubles concomitants de santé mentale et dâabus de substances. Déjà vulnérables de par leur statut domiciliaire précaire, les personnes atteintes de cette concomitance le sont davantage et tendent à être plus isolées de leur famille que celles ne rencontrant pas cette double problématique. Le soutien familial est toutefois reconnu comme un élément favorisant lâengagement de comportements de santé et réduisant lâitinérance. Le but de cette étude était alors de décrire, du point de vue des hommes en situation dâitinérance atteints de troubles concomitants de santé mentale et dâabus de substances, les relations quâils entretiennent avec leur famille. Pour ce faire, le devis choisi fût une ethnographie ciblée. Différents degrés dâobservation participante au sein de la Mission Old Brewery et des entrevues avec neuf informateurs-clés ont été les principales méthodes de collecte des données. Lâanalyse des données qualitative était soutenue par le guide proposé par Roper et Shapira (2000) ainsi que lâépistémologie constructiviste et lâapproche systémique familiale de Calgary (Wright & Leahey, 2013) qui furent les cadres de référence de cette étude. Les résultats font ressortir trois thèmes explicitant 1) lâinfluence du contexte de vie dans les relations familiales, 2) la teneur conflictuelle de ces relations ainsi que 3) le soutien familial perçu. Finalement, des recommandations pour la pratique infirmière ainsi que des pistes pour de futures recherches sont suggérées.

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Cette thèse a pour objectif lâinvestigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est dâidentifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin dâêtre en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen dâune tâche dâanticipation et dâobtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsquâils devaient éviter dâobtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi quâune meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant dâéviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de lâactivation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de lâanticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de lâactivation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de lâanticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de lâactivité du cortex orbitofrontal durant lâévitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de lâactivité du cortex orbitofrontal lors de lâobtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, lâintégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de lâépaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de lâépaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. Lâensemble de ces résultats démontre ainsi lâexistence de particularités comportementales et dâaltérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de lâhumeur, et ce, avant même lâémergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de lâhumeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de lâhumeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin dâéviter des trajectoires développementales psychopathologiques.

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Cette recherche porte sur les pratiques dâintervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes dâintervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but dâaméliorer lâaction policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même quâelles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans lâobjectif dâaméliorer leur capacité dâagir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. Lâapproche la plus répandue est lâéquipe dâintervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, câest-à-dire la formation avancée et la consolidation dâun partenariat avec le système de santé demeurent dans lâensemble de ces structures. Lâobjectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques dâintervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques dâintervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation dâaide. Ils mentionnent également que la communication, lâécoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsquâelle est nécessaire, câest-à-dire lorsque leur sécurité ou celle dâautrui est en péril ou lorsque la communication nâest pas possible. Puis, ils admettent que le recours à lâexpertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de lâétat mental de la personne visée par lâintervention. Dâautre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé quâil y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi quâune difficulté associée à lâévaluation de lâétat de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi quâune appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes dâendiguement. Ils font part également de lâimportance des rapports pour documenter lâévolution de lâétat mental dâune personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage lâimportance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement dâoutils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés dâintervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.

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Les personnes en situation dâitinérance, principalement des hommes, représentent pour certains une culture au sein de laquelle on identifie des personnes atteintes de troubles concomitants de santé mentale et dâabus de substances. Déjà vulnérables de par leur statut domiciliaire précaire, les personnes atteintes de cette concomitance le sont davantage et tendent à être plus isolées de leur famille que celles ne rencontrant pas cette double problématique. Le soutien familial est toutefois reconnu comme un élément favorisant lâengagement de comportements de santé et réduisant lâitinérance. Le but de cette étude était alors de décrire, du point de vue des hommes en situation dâitinérance atteints de troubles concomitants de santé mentale et dâabus de substances, les relations quâils entretiennent avec leur famille. Pour ce faire, le devis choisi fût une ethnographie ciblée. Différents degrés dâobservation participante au sein de la Mission Old Brewery et des entrevues avec neuf informateurs-clés ont été les principales méthodes de collecte des données. Lâanalyse des données qualitative était soutenue par le guide proposé par Roper et Shapira (2000) ainsi que lâépistémologie constructiviste et lâapproche systémique familiale de Calgary (Wright & Leahey, 2013) qui furent les cadres de référence de cette étude. Les résultats font ressortir trois thèmes explicitant 1) lâinfluence du contexte de vie dans les relations familiales, 2) la teneur conflictuelle de ces relations ainsi que 3) le soutien familial perçu. Finalement, des recommandations pour la pratique infirmière ainsi que des pistes pour de futures recherches sont suggérées.

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Cette thèse a pour objectif lâinvestigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est dâidentifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin dâêtre en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen dâune tâche dâanticipation et dâobtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsquâils devaient éviter dâobtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi quâune meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant dâéviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de lâactivation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de lâanticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de lâactivation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de lâanticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de lâactivité du cortex orbitofrontal durant lâévitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de lâactivité du cortex orbitofrontal lors de lâobtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, lâintégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de lâépaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de lâépaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. Lâensemble de ces résultats démontre ainsi lâexistence de particularités comportementales et dâaltérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de lâhumeur, et ce, avant même lâémergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de lâhumeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de lâhumeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin dâéviter des trajectoires développementales psychopathologiques.

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"Observations sur les ouvrages cités": t. 1, p. xix-lxxii.