686 resultados para adolescents, pelvic pain, dysmenorrhea, smoking, depression, anxiety.


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Problématique : Depuis bientôt deux décennies, la République Démocratique du Congo (RDC) est le territoire d’un conflit armé qui, selon l’International Rescue Commite, aurait occasionné plus de 3 millions de décès et autant de déplacés internes. Plusieurs rapports font également cas des nombreux actes de violence sexuelle (les viols, les mutilations, l’esclavage, l’exploitation sexuelle, etc.) commis envers les filles, les femmes et dans une moindre ampleur les hommes. S’il existe un consensus sur le côté barbare des actes de violence sexuelle liés aux conflits armés, rares sont les études qui ont évalué leurs conséquences sur la santé reproductive des survivantes surtout en termes d’issues telles que les fistules, les douleurs pelviennes chroniques (DPC), le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue de tels actes. Par ailleurs, même si la santé mentale des populations en zones de conflit représente un sujet d’intérêt, l’impact spécifique de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale des survivantes a été peu étudié. De plus, ces travaux s’intéressent aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale et sur la santé reproductive séparément et ce, sans évaluer les relations qui peuvent exister entre ces deux dimensions qui, pourtant, s’influencent mutuellement. Aussi, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit, ainsi que la contribution des normes socioculturelles aux difficultés que rencontrent les survivantes, a été peu étudié. Pourtant, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit peut permettre de mieux comprendre comment l’expérience d’un tel acte peut affecter la santé mentale. Enfin, aucune étude n’a évalué les effets de la violence sexuelle liée au conflit en la comparant à la violence sexuelle non liée au conflit (VSNLC). Pourtant, il est reconnu qu’à de nombreux égards, la violence sexuelle liée au conflit est bien différente de la VSNLC puisqu’elle est perpétrée avec l’intention de créer le maximum d’effets adverses pour la victime et sa communauté. Objectifs : Les objectifs poursuivis dans cette thèse visent à : 1) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé reproductive; 2) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale en termes de sévérité des symptômes de stress posttraumatique (PTSD), de sévérité des symptômes de détresse psychologique et de probabilité de souffrir de troubles mentaux communs (TMC); 3) évaluer la contribution des troubles physiques de santé reproductive, en particulier les fistules et les douleurs pelviennes chroniques (DPC), aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale; 4) évaluer la contribution de l’état de santé mentale aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur le désir de rapports sexuels et le désir d’enfant; et 5) étudier l’impact de la violence sexuelle liée au conflit sur le plan social ainsi que la contribution des normes socioculturelles à ses effets adverses et la façon dont ces effets pourraient à leur tour influencer la santé des femmes et leur relation avec l’enfant issu de l’acte de violence sexuelle subi. Méthodologie : Un devis mixte de nature convergente a permis de collecter des données quantitatives auprès de l’ensemble des participantes (étude transversale) et des données qualitatives sur un nombre plus restreint de femmes (étude phénoménologique). Une étude transversale populationnelle a été conduite entre juillet et août 2012 auprès de 320 femmes âgées de 15 à 45 ans habitant quatre (4) quartiers de la ville de Goma située dans la province du Nord-Kivu en RDC. Les femmes ont été recrutées à travers des annonces faites par les responsables des programmes d’alphabétisation et de résolution de conflits implantés dans les différents quartiers par le Collectif Alpha Ujuvi, une ONG locale. Les issues de santé reproductive évaluées sont : les fistules, les DPC, le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue d’un acte de violence sexuelle. Les variables de santé mentale d’intérêt sont : la sévérité des symptômes de détresse psychologique, la sévérité des symptômes de PTSD et la probabilité de souffrir de TMC. Pour les analyses, l’exposition a été définie en trois (3) catégories selon l’expérience passée de violence sexuelle : les femmes qui ont vécu des actes de violence sexuelle liée au conflit, celles qui ont vécu des actes de VSNLC et celles qui ont déclaré n’avoir jamais subi d’acte de violence sexuelle au cours de leur vie. Les variables de confusion potentielles mesurées sont : l’âge, le statut matrimonial, le nombre d’enfants, le niveau d’éducation le plus élevé atteint et l’occupation professionnelle. Les mesures d’associations ont été évaluées à l’aide de modèles de régressions logistiques et linéaires simples et multiples. Des tests d’interaction multiplicative et des analyses stratifiées ont été également conduits pour évaluer l’effet potentiellement modificateur de quelques variables (âge, statut matrimonial, nombre d’enfants) sur la relation entre la violence sexuelle et les variables de santé reproductive ou de santé mentale. Ces tests ont également été utilisés pour évaluer la contribution d’une variable de santé reproductive ou de santé mentale aux effets de la violence sexuelle sur l’autre dimension de la santé d’intérêt dans cette étude. Une étude phénoménologique a été conduite dans le même intervalle de temps auprès de 12 femmes ayant participé à la partie quantitative de l’étude qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit et ont eu un enfant issu d’une agression sexuelle. Les sujets explorés incluent : la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit vécu et de la vie quotidienne par les victimes; la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit par la famille et l’entourage et leurs réactions après l’agression; la perception de la grossesse issue de l’acte de violence sexuelle par la victime; la perception de l’enfant issu de la violence sexuelle liée au conflit par la victime ainsi que son entourage; les conséquences sociales de l’expérience de violence sexuelle liée au conflit et les besoins des victimes pour leur réhabilitation. Une analyse thématique avec un codage ouvert a permis de ressortir les thèmes clés des récits des participantes. Par la suite, l’approche de théorisation ancrée a été utilisée pour induire un cadre décrivant l’impact social de l’expérience de la violence sexuelle liée au conflit et les facteurs y contribuant. Résultats : Le premier article de cette thèse montre que, comparées aux femmes qui n’ont jamais vécu un acte de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=11.1, IC 95% [3.1-39.3]), des DPC (OR=5.1, IC 95% [2.4-10.9]), de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=3.5, IC 95% [1.7-6.9]) et une absence de désir d’enfant (OR=3.5, IC 95% [1.6-7.8]). Comparées aux mêmes femmes, celles qui ont vécu la VSNLC ont plus de probabilité de souffrir de DPC (OR=2.3, IC 95% [0.95-5.8]) et de rapporter une absence de désir d’enfant (OR=2.7, IC 95% [1.1-6.5]). Comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont également une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=9.5, IC 95% [1.6-56.4]), des DPC (OR=2.2, IC 95% [0.8-5.7]) et de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=2.5, IC 95% [1.1-6.1]). En ce qui concerne les grossesses issues des viols, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit sont plus nombreuses à souhaiter avorter (55% vs 25% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Elles sont également plus nombreuses à déclarer qu’elles auraient avorté si les soins appropriés étaient accessibles (39% vs 21% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Le second article montre qu’en comparaison aux femmes qui n’ont jamais subi de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 8.6 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (30% vs 76%, p<0.0001). De plus, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 10.1 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (48% vs 76%, p<0.001). Les valeurs minimales et maximales de score de sévérité de symptômes de détresse psychologique sont de 0/12 pour les femmes qui n’ont jamais vécu de violence sexuelle, 4/19 pour celles qui ont vécu la VSNLC et de 5/18 pour celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au confit. En ce qui concerne la sévérité des symptômes de PTSD, les scores minimal et maximal sont respectivement de 0.36/3.22, 0.41/3.41 et 0.95/3.45. Le fait d’avoir développé une fistule ou de souffrir de DPC après l’agression sexuelle augmente la force des associations entre la violence sexuelle et la santé mentale. Les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui ont souffert de fistules présentent des symptômes de détresse psychologique et de PTSD plus sévères comparées aux femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit mais n’ont pas de fistules. Les résultats sont similaires pour les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui souffrent de DPC. Des résultats complémentaires suggèrent que le statut matrimonial modifie l’effet de la violence sexuelle sur la sévérité des symptômes de détresse psychologique, les femmes divorcées/séparées et les veuves étant celles qui ont les moyennes de score les plus élevées (respectivement 11.3 et 12.1 vs 9.26 et 9.49 pour les célibataires et les mariées). Par ailleurs, la sévérité des symptômes de détresse psychologique modifie l’association entre la violence sexuelle liée au conflit et le désir d’enfant. Le troisième article montre que, sur le plan social, l’expérience de violence sexuelle liée au conflit entraine également de lourdes conséquences. Toutes celles qui ont vécu ce type d’acte décrivent leur vie de survivante et de mère d’un enfant issu d’une agression sexuelle comme difficile, oppressive, faite de peines et de soucis et sans valeur. Plusieurs facteurs influencent la description que les victimes de violence sexuelle liée au conflit font de leur vie quotidienne, et ils sont tous reliés aux normes socioculturelles qui font de la femme une citoyenne de seconde zone, ne font aucune différence entre un viol et un adultère, condamnent les victimes de violence sexuelle plutôt que leurs agresseurs, rejettent et stigmatisent les victimes de tels actes ainsi que l’enfant qui en est issu. En réponse au rejet et au manque de considération, les femmes victimes de violence sexuelle liée au conflit ont tendance à s’isoler pour éviter les insultes et à garder le silence sur leur agression. En plus, les réactions de leur entourage/communauté ont tendance à leur faire revivre l’agression sexuelle subie, autant d’éléments qui nuisent davantage à leur réhabilitation. D’autres résultats démontrent que les enfants issus d’actes de violence sexuelle liée au conflit sont également rejetés par leur communauté, leur famille adoptive ainsi que le conjoint de leur mère, ce qui affecte davantage les survivantes. Avec leurs mères, les relations développées varient entre le rejet, la résignation et l’affection. Néanmoins, ces relations sont plus souvent tendues probablement à cause de la stigmatisation de la communauté. Conclusion: La violence sexuelle liée au conflit a des effets adverses sur la santé reproductive, la santé mentale mais également sur le plan social. Ces trois dimensions sont loin d’être isolées puisque cette étude a permis de démontrer qu’elles s’influencent mutuellement. Ceci suggère que la prise en charge des victimes de violence sexuelle liée au conflit ne doit pas se concentrer sur un aspect ou un autre de la santé mais prendre en compte l’ensemble des dimensions de la femme pour offrir une aide holistique, plus adaptée et qui sera plus efficace à long terme.

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Characterization of cognitive and behavioral complaints is explored in Post-traumatic stress disorder (PTSD) and mild traumatic brain injury (MTBI) samples according to the severity of PTSD, depression and general anxiety conditions. Self-reported questionnaires on cognitive and behavioral changes are administered to PTSD, MTBI, MTBI/PTSD and control groups. Confounding variables are controlled. All groups report more complaints since the traumatic event. PTSD and MTBI/PTSD groups report more anxiety symptoms, depression and complaints compared to the MTBI group. Relatives of the PTSD group confirm most of the behavioral changes reported. Results suggest the utility of self-reported questionnaires to personalize cognitive and behavioral interventions in PTSD and MTBI to cope with the impacts of the traumatic event.

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Le trouble comportemental en sommeil paradoxal (TCSP) est caractérisé par des rêves intenses et une perte de l’atonie musculaire normalement présente au cours du sommeil paradoxal qui permet l’apparition de comportements oniriques isomorphiques au contenu des rêves. Quelques chercheurs ont étudié le contenu des rêves des patients atteints du TCSP, plusieurs ont trouvé une plus grande présence de thèmes menaçants et agressifs, d’autres ont obtenu des résultats plus mitigés. Ces études comportent des failles méthodologiques importantes, comme l’absence d’un groupe contrôle ou l’inclusion de patients consommant une médication psychoactive. La présence de rêves à caractère dysphorique a été associée, dans d’autres populations, à une psychopathologie marquée et à des difficultés émotionnelles, et cette association, quoiqu’inexplorée pourrait aussi être présente chez patients ayant un TCSP. La raison pour laquelle ces patients font des rêves plus dysphoriques est encore largement inconnue, de même qu’une partie des mécanismes qui génèrent les comportements oniriques. Le but du premier article de cette thèse était de mesurer l’alexithymie et la détresse des cauchemars chez les patients atteints du TCSP par rapport à des contrôles. Les résultats indiquent que les patients souffrent davantage d’alexithymie, et particulièrement d’une difficulté à identifier leurs émotions et qu’elle corrélait avec la détresse due aux cauchemars. Le second article estimait, à l'aide d'un questionnaire validé, la présence de rêves, la diversité des thèmes des rêves chez les patients et examinait leurs thèmes au cours de leur vie. Les patients rapportaient beaucoup plus de cauchemars et plus de thèmes à caractère menaçant, comme des agressions, des catastrophes, et des rêves où le rêveur a peu de contrôle. Le troisième article avait pour objectif de clarifier les écarts dans les résultats des études sur les rêves des patients, c'est-à-dire déterminer si l'agressivité rapportée par ces patients est vraiment une différence au niveau du contenu des rêves, ou s'il s'agit plutôt d'un problème dû à la détresse liée aux rêves. Un second objectif était de mesurer le degré de corrélation entre les comportements à l’éveil, comme les comportements miroirs, et les comportements oniriques chez les patients. L’article démontre que les patients ressentaient une plus grande détresse à l'éveil en lien avec leurs expériences oniriques et que leurs rêves étaient plus dysphoriques et contenaient plus d'anxiété. De plus, leurs résultats au questionnaire de comportements miroirs corrélaient avec la sévérité de leurs comportements oniriques, ce qui suggère que le système de neurones miroirs pourrait avoir une influence sur les manifestations de ces comportements chez les patients. Globalement, ces résultats suggèrent que des difficultés au niveau de la régulation émotionnelle pourraient expliquer à la fois les symptômes émotionnels à l’éveil et les difficultés nocturnes des patients. Nous suggérons qu'un déficit au niveau des régions régulatrices frontales pourrait être à la base des différentes difficultés éprouvées par les patients. De plus, il est possible que des anomalies au niveau du système de neurones miroirs aient à la fois un impact sur la capacité des patients à réguler leurs émotions, mais aussi sur les manifestations de comportements oniriques.

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Note de l'éditeur : This article may not exactly replicate the final version published in the journal. It is not the copy of record. / Cet article ne constitue pas la version officielle, et peut différer de la version publiée dans la revue.

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Introducción: El aborto espontáneo corresponde a la complicación más frecuente durante el embarazo, afectando entre el 12% al 24% de las gestaciones clínicamente identificables en Latinoamérica. Los abortos inducidos (legales o ilegales) suman al problema una importante cantidad de casos. El aborto representa un complejo evento biológico y psicológico con importantes repercusiones a nivel mental, principalmente de ansiedad y depresión. En Colombia no existen estudios que midan la prevalencia de estos síntomas en mujeres con pérdidas gestacionales. Objetivos: Determinar la prevalencia de síntomas depresivos y de ansiedad y factores asociados, en mujeres adultas atendidas por aborto inducido y espontáneo un mes posterior a su ocurrencia. . Resultados: El grupo de mujeres que cumplieron con los criterios de selección fueron 112. El promedio de edad fue de 30.4±6.1 años y estrato socioeconómico I (54.1%) y II (38.7%). La prevalencia de síntomas de depresión fue de 67.9% y de ansiedad de 12.5%. La prevalencia de síntomas depresivos disminuyó significativamente al aumentar el estrato, I (71.7%), II (67.4%) y III (16.7%), (p=0.035). La mediana de la edad del primer embarazo fue mayor significativamente en las mujeres con ansiedad (25 vs. 19, p=0.01). Cerca de mostrar diferencias entre antecedentes de aborto (p=0.084), menor número de años educativos aprobados (p=0.075) y mayor edad de la paciente con ansiedad (p=0.096). No hubo diferencias estadísticamente significativas entre los dos tipos de aborto en cuanto a síntomas depresivos o de ansiedad.

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El cáncer de mama es uno de los diagnósticos oncológicos más frecuentes y con altas tasas de mortalidad en mujeres a nivel mundial, en específico con mayor incidencia en países del este de Europa, Asia y Latinoamérica. Su impacto trasciende el aspecto físico y afectando igualmente el área social y psicológica de estas mujeres, generando estados afectivos disfuncionales (depresión, ansiedad, estrés postraumático, conductas suicidas) que afectan su calidad de vida. La literatura reporta que el suicidio en pacientes con cáncer es 2 veces mayor que en la población general, reconociendo dentro de los grupos vulnerables a los pacientes con cáncer de mama. Objetivo: realizar una revisión de la literatura científica producida entre 2002 – 2012, sobre los factores de riesgo de suicidio en mujeres con cáncer de mama. Método: se revisaron 121 artículos científicos obtenidos en bases de datos especializadas. Resultados: En efecto, estas mujeres tienen factores de riesgo para el suicidio (raza, comorbilidad médica y psiquiátrica, miedo a la recidiva, estadios avanzados de la enfermedad, alteraciones en la imagen corporal, cambios en el rol social y efectos secundarios de los tratamientos oncológicos). Conclusiones: durante el curso de la enfermedad se presentan diversos factores biopsicosociales que pueden conducir a la ideación o a la intención suicida. Por lo anterior, es necesario incorporar en la atención psicológica de las mujeres con cáncer de mama la evaluación y la intervención de la conducta suicida y continuar profundizando en el estudio de este fenómeno cuyos efectos son deletéreos para el bienestar del paciente oncológico.

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Comparar el resultado de la resonancia magnética en el diagnóstico de apendicitis aguda con el patrón de oro (estudio histopatológico o seguimiento clínico del paciente) con el fin de establecer la utilidad de ésta como prueba diagnóstica y poder incluirla dentro del algoritmo de estudio de esta patología cuando hay sospecha clínica y un resultado negativo o dudoso de la ecografía abdominal

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O presente estudo teve como objectivo principal comparar idosos institucionalizados e não institucionalizados em termos de depressão, ansiedade, dependência, actividades de lazer, estratégias de coping e ideação suicida. Foi utilizada uma amostra recolhida no Algarve, Alentejo e Grande Lisboa, de 156 idosos, 85 institucionalizados e 71 não institucionalizados, com proporção similar entre os géneros. Foram como instrumentos: Índice de Actividade e Lazer (IAL; Vaz, 2009); Geriatric Depression Scale (GDS; Yesavage, Brink, Rose, Lum, Huang, Adey, et al., 1983), Índice de Barthel (Mahoney & Barthel, 1965), Beck Scale for Suicide Ideation (BSI, Beck, Kovacs, & Weissman, 1979), Inventário de Ansiedade de Beck (BAI; Beck & Steer, 1993) e Brief COPE (Brief COPE; Carver, Scheier, & Weintraub (1989). Os resultados mostraram que os idosos institucionalizados apresentavam um maior índice de dependência, mas não apresentavam maior depressão, solidão, ideação suicida nem menor nível de actividade e lazer. Os idosos com ideação suicida mais elevada apresentavam mais depressão e ansiedade e menos estratégias de coping focadas no problema. Uma auto-percepção de pior saúde e de mais solidão relacionou-se com mais ansiedade e depressão. Uma maior actividade e lazer relacionou-se com mais estratégias de coping focadas no problema, menos ansiedade e menos ideação suicida.

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Os agentes de Policia, são elementos expostos a vários fatores de Vulnerabilidade ao Stress, sendo este vivenciado de diferentes formas. Neste estudo procurou-se conhecer a relação entre a vulnerabilidade ao Stress, a Depressão e a Agressividade nas forças policiais. Participaram 350 indivíduos, 34 do sexo feminino e 316 do sexo maculino com uma média de idades de 25.80 (DP=5.28) e com uma média de serviço na PSP de 1.99 anos (DP=.46), selecionados por conveniência. Todos os participantes trabalham há um ano no serviço operacional. As medidas utilizadas no presente estudo foram a Depression Anxiety Stress Scale (D.A.S.S), criada por Lovibond e Lovibond em (1995), tendo sida traduzida e validada para portugês por Ribeiro e colaboradores (2004), a Escala de Vulnerabilidade ao Stress (23QVS) - foi desenvolvida por Vaz Serra, (2000), com o objectivo de auto-avaliar a vulnerabilidade ao stress em relação com a psicopatologia e o questionário de Agressividade (Aggression Questionnaire) foi criado por Buss e Perry (1992) , tendo sido traduzida e validada para a população portuguesa por Simões (1993). Os resultados obtidos no presente estudo indicam, em termos gerais e quanto maior é a vulnerabilidade ao stress maior é a agressividade e a sintomatologia depressiva.

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Post Traumatic Stress Disorder (PTSD) is reported to be caused by traumatic events that are outside the range of usual human experience including (but not limited to) military combat, violent personal assault, being kidnapped or taken hostage and terrorist attacks. Initial data suggests that at least 1 out of 6 Iraq War veterans are exhibiting symptoms of depression, anxiety and PTSD. Virtual Reality (VR) delivered exposure therapy for PTSD has been used with reports of positive outcomes. The aim of the current paper is to present the rationale and brief description of a Virtual Iraq PTSD VR therapy application and present initial findings from its use with PTSD patients. Thus far, Virtual Iraq consists of a series of customizable virtual scenarios designed to represent relevant Middle Eastern VR contexts for exposure therapy, including a city and desert road convoy environment. User-centered design feedback needed to iteratively evolve the system was gathered from returning Iraq War veterans in the USA and from a system deployed in Iraq and tested by an Army Combat Stress Control Team. Results from an open clinical trial at San Diego Naval Medical Center of the first 18 treatment completers indicate that 14 no longer meet PTSD diagnostic criteria at post-treatment, with only one not maintaining treatment gains at 3 month follow-up. Clinical tests are also currently underway at Ft. Lewis, Emory University, Weill Cornell Medical College, Walter Reed Army Medical Center and 10 other sites. Other sites are preparing to use the application for a variety of PTSD and VR research purposes.

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Posttraumatic stress disorder (PTSD) is reported to be caused by exposure to traumatic events including (but not limited to) military combat, violent personal assault, being kidnapped or taken hostage and terrorist attacks. Initial data suggest that at least 1 out of 6 Iraq War veterans are exhibiting symptoms of depression, anxiety and PTSD. Virtual reality (VR) delivered exposure therapy for PTSD has been used with reports of positive outcomes. The aim of the current paper, is to present the rationale and brief description of a Virtual Iraq/Afghanistan PTSD VR therapy application and present initial findings from its use with PTSD patients. Thus far, Virtual Iraq/Afghanistan consists of a series of customizable virtual scenarios designed to represent relevant Middle Eastern VR contexts for exposure therapy, including a city and desert road convoy environment. User-centered design feedback, needed to iteratively evolve the system, was gathered from returning Iraq War veterans in the USA and from a system deployed in Iraq and tested by an Army Combat Stress Control Team. Results from an open clinical trial at San Diego Naval Medical Center of the first 20 treatment completers indicate that 16 no longer met PTSD screening criteria at post-treatment, with only one not maintaining treatment gains at 3 month follow-up.

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Low self-esteem is a common, disabling, and distressing problem that has been shown to be involved in the etiology and maintenance of range of Axis I disorders. Hence, it is a priority to develop effective treatments for low self-esteem. A cognitive-behavioral conceptualization of low self-esteem has been proposed and a cognitive-behavioral treatment (CBT) program described (Fennell, 1997, 1999). As yet there has been no systematic evaluation of this treatment with routine clinical populations. The current case report describes the assessment, formulation, and treatment of a patient with low self-esteem, depression, and anxiety symptoms. At the end of treatment (12 sessions over 6 months), and at 1-year follow-up, the treatment showed large effect sizes on measures of depression, anxiety, and self-esteem. The patient no longer met diagnostic criteria for any psychiatric disorder, and showed reliable and clinically significant change on all measures. As far as we are aware, there are no other published case studies of CBT for low self-esteem that report pre- and posttreatment evaluations, or follow-up data. Hence, this case provides an initial contribution to the evidence base for the efficacy of CBT for low self-esteem. However, further research is needed to confirm the efficacy of CBT for low self-esteem and to compare its efficacy and effectiveness to alternative treatments, including diagnosis-specific CBT protocols.

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Objectives. To investigate health self-assessment and to estimate the prevalence of chronic diseases and recent illnesses in people with and without physical disabilities (PD) in the state of Sao Paulo, southeastern Brazil. Study design. A Cross-sectional study comprising two population-based health surveys conducted in 2002 and 2003. Methods. A total of 8317 persons (165 with PD) were interviewed in the two studies. Variables concerning to health self-assessment; chronic disease and recent illness were compared in the people with and without PD. Negative binomial regression was used in the analysis. Results. Subjects with PD more often assessed their health as poor/very poor compared to non-disabled ones. They reported more illnesses in the 15 days prior to interview as well as more chronic diseases (skin conditions, anaemia, chronic kidney disease, stroke, depression/anxiety, migraine/headache, pulmonary diseases, hypertension, diabetes, arthritis/arthrosis/rheumatic conditions and heart disease). This higher disease prevalence can be either attributed to disability itself or be associated to gender, age and schooling. Conclusions. Subjects with PD had more recent illnesses and chronic diseases and poorer health self-assessment than non-disabled ones. Age, gender, schooling and disability have individual roles in disease development among disabled people.

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Objective.- To assess urinary 6-sulphatoxymelatonin levels in a large consecutive series of patients with migraine and several comorbidities (chronic fatigue, fibromyalgia, insomnia, anxiety, and depression) as compared with controls. Background.- Urine analysis is widely used as a measure of melatonin secretion, as it is correlated with the nocturnal profile of plasma melatonin secretion. Melatonin has critical functions in human physiology and substantial evidence points to its importance in the regulation of circadian rhythms, sleep, and headache disorders. Methods.- Urine samples were collected into a single plastic container over a 12-hour period from 8:00 pm to 8:00 am of the next day, and 6-sulphatoxymelatonin was measured by quantitative ELISA. All of the patients were given a detailed questionnaire about headaches and additionally answered the following questionnaires: Chalder fatigue questionnaire, Epworth somnolence questionnaire, State-Trait Anxiety Inventory, and the Beck Depression Inventory. Results.- A total of 220 subjects were evaluated - 73 (33%) had episodic migraine, 73 (33%) had chronic migraine, and 74 (34%) were enrolled as control subjects. There was a strong correlation between the concentration of 6-sulphatoxymelatonin detected and chronic migraine. Regarding the comorbidities, this study objectively demonstrates an inverse relationship between 6-sulphatoxymelatonin levels and depression, anxiety, and fatigue. Conclusions.- To our knowledge, this is the first study to evaluate the relationship between the urinary concentration of melatonin and migraine comorbidities. These results support hypothalamic involvement in migraine pathophysiology.

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The Prospective and Retrospective Memory Questionnaire (PRMQ) has been shown to have acceptable reliability and factorial, predictive, and concurrent validity. However, the PRMQ has never been administered to a probability sample survey representative of all ages in adulthood, nor have previous studies controlled for factors that are known to influence metamemory, such as affective status. Here, the PRMQ was applied in a survey adopting a probabilistic three-stage cluster sample representative of the population of Sao Paulo, Brazil, according to gender, age (20-80 years), and economic status (n=1042). After excluding participants who had conditions that impair memory (depression, anxiety, used psychotropics, and/or had neurological/psychiatric disorders), in the remaining 664 individuals we (a) used confirmatory factor analyses to test competing models of the latent structure of the PRMQ, and (b) studied effects of gender, age, schooling, and economic status on prospective and retrospective memory complaints. The model with the best fit confirmed the same tripartite structure (general memory factor and two orthogonal prospective and retrospective memory factors) previously reported. Women complained more of general memory slips, especially those in the first 5 years after menopause, and there were more complaints of prospective than retrospective memory, except in participants with lower family income.