971 resultados para Sallust, 86 B.C.-34 B.C.
Resumo:
Rôle du génotype 3 du virus de l'hépatite C dans la progression de la fibrose hépatique, une revue systématique avec méta-analyse. On estime à 170 millions le nombre de personnes atteintes d'hépatite C chronique dans le monde. La principale conséquence de cette maladie est la fibrose du foie, qui évolue plus ou moins rapidement, pour aboutir au développement d'une cirrhose et/ou d'un hépatocarcinome. Certains des facteurs accélérateurs de la fibrose, comme l'âge avancé au moment de l'infection, le sexe masculin, la consommation d'alcool, sont bien connus. On a longtemps considéré que les six différents génotypes viraux n'influençaient pas la progression de la fibrose. Des études récentes ont cependant suggéré que certains génotypes, en particulier ie génotype 3, pouvaient entraîner une fibrose plus rapide. Le but de ce travail de thèse était de déterminer à l'aide d'une méta-analyse le rôle du génotype viral dans la progression de la fibrose dans l'infection chronique au virus de l'hépatite C. Les études ont été sélectionnées dans la littérature médicale à partir d'une série de mots-clés. Le degré de fibrose a été estimé par biopsie, en utilisant le score Metavir. Deux types d'études ont décrits de manière différente la durée d'infection. Les premières ont calculé la progression de la fibrose depuis le moment estimée de l'infection (« études avec une biopsie »), les secondes ont exprimés cette durée comme étant l'intervalle entre deux biopsies (« études avec deux biopsies »). L'analyse a permis d'identifier 8 études avec une biopsie pour un collectif total de 3182 patients ainsi que 8 études avec deux biopsies pour un collectif de 896 patients. Dans une méta-analyse de type « random effect », le rapport de cote pour l'association du génotype 3 avec une fibrose accélérée est de 1.52 (95% IC 1.12-2.07, p=0.007) pour les études à une biopsie. Pour les études à deux biopsies, le rapport de cote pour cette association est de 1.37 (95% IC 0.87-2.17, P=0.17). Cette étude montre que les patients avec une hépatite C chronique due au génotype 3 ont une progression de fibrose plus rapide que ceux qui sont infectés par les autres génotypes. Alors que la méta-analyse des études avec une biopsie est clairement significative, celle des études avec deux biopsies est au-dessous du seuil de significativité. Les études à deux biopsies peuvent être limitées par plusieurs facteurs, comprenant un « biais d'indication » (seuls les patients évoluant rapidement vers la cirrhose ont plus de risque d'avoir une deuxième biopsie), une durée d'observation très courte (5 années comparée à 13 années pour les études à 2 biopsies), et un nombre de patient limité (896 pour le études à 2 biopsies comparé à 3182 pour les études à 1 biopsie). Impact d'un programme de vaccination sur l'immunité contre l'hépatite Β dans une clinique suisse du VIH Le virus de l'hépatite Β cause une infection aigûe dont la symptomatologie varie d'une présentation subclinique à une progression fulminante. Dans une minorité de cas, l'infection aigiie est suivie d'une infection chronique pouvant évoluer vers une cirrhose hépatique et/ou un hépatocarcinome. La prévalence de l'hépatite Β aiguë et chronique chez les personnes vivant avec le virus d'immunodéficience humaine (VIH) est supérieure à celle de la population générale. Par ailleurs la co-infection avec le virus du VIH entraine une progression plus rapide de l'hépatite B. Dès lors, l'immunité pour le virus de l'hépatite Β représente un facteur primordial de prévention dans la population infectée par le virus de l'HIV. Bien que l'administration d'un vaccin contre l'hépatite Β soit particulièrement recommandée chez tous les individus infectés par le VIH, la couverture vaccinale dans cette population est souvent insuffisante. Le but de cette étude était de déterminer l'état d'immunisation contre le virus de l'hépatite Β dans la population infectée par le VIH de la cohorte Suisse HIV et d'analyser l'efficacité d'un programme de vaccination administré par le personnel soignant. L'immunité avant et après intervention dans notre centre a été comparée aux autres centres de la cohorte HIV en Suisse. L'immunité pour le centre d'intervention a passé de 32% avant intervention à 76% après intervention alors que pour les autres centres, l'immunité n'a progressé que de 33% à 39% dans le même laps de temps (n=2712, P=0.001). Cette étude montre qu'un contrôle systématique de l'immunité par du personnel soignant augmente de manière significative l'immunité pour le vaccin de l'hépatite Β dans la population HIV.
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Infection with hepatitis C virus (HCV) is associated with lymphoproliferative disorders, represented by essential mixed cryoglobulinemia and B-cell non-Hodgkin's lymphoma, but the pathogenic mechanism remains obscure. HCV may infect B cells or interact with their cell surface receptors, and induce lymphoproliferation. The influence of HCV infection of B cells on the development of lymphoproliferative disorders was evaluated in 75 patients with persistent HCV infection. HCV infection was more prevalent (63% vs. 16%, 14%, or 17% P < 0.05 for each), and HCV RNA levels were higher (3.35 +/- 3.85 vs. 1.75 +/- 2.52, 2.15 +/- 2.94 or 2.10 +/- 2.90 log copies/100 ng, P < 0.01 for each) in B cells than CD4(+), CD8(+) T cells or other cells. Negative-strand HCV RNA, as a marker of viral replication, was detected in B cells from four of the 75 (5%) patients. Markers for lymphoproliferative disorders were more frequent in the 50 patients with chronic hepatitis C than the 32 with chronic hepatitis B, including cryoglobulinemia (26% vs. 0%, P < 0.001), low CH(50) levels (48% vs. 3%, P = 0.012), and the clonality of B cells (12% vs. 0%, P < 0.01). By multivariate analysis, HCV RNA in B cells was an independent factor associated with the presence of at least one marker for lymphoproliferation (odds ratio: 1.98 [95% confidence interval: 1.36-7.24], P = 0.027). Based on the results obtained, the infection of B cells with HCV would play an important role in the development of lymphoproliferative disorders.
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Fast track concrete has proven to be successful in obtaining high early strengths. This benefit does not come without cost. Type III cement and insulation blankets to accelerate the cure add to its expense when compared to conventional paving. This research was intended to determine the increase in time required to obtain opening strength when a fast track mix utilized conventional Type I cement and also used a conventional cure. Standard concrete mixes also were tested to determine the acceleration of strength gain when cured with insulation blankets. The goal was to determine mixes and procedures which would result in a range of opening times. This would allow the most economical design for a particular project and tailor it to that projects time restraint. Three mixes were tested: Class F, Class C, and Class B. Each mix was tested with one section being cured with insulation blankets and another section without. All used Type I cement. Iowa Department of Transportation specifications required 500 psi of flexural strength before a pavement can be opened to traffic. The Class F mix with Type I cement and using insulation blankets reached that strength in approximately 36 hours, the Class C mix using the blankets in approximately 48 hours, and the Class F mix without covers in about 60 hours. (Note: Class F concrete pavement is opened at 400 psi minimum and Class F bonded overlay pavement at 350 psi.) The results showed a significant improvement in early strength gain by the use of insulation blankets. The Type I cement could be used in mixes intended for early opening with sacrifices in time when compared to fast track but are still much sooner than conventional pavement. It appears a range of design alternatives is possible using Type I cement both with and without insulating blankets.
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BACKGROUND: Chronic liver disease in human immunodeficiency virus (HIV)-infected patients is mostly caused by hepatitis virus co-infection. Other reasons for chronic alanine aminotransferase (ALT) elevation are more difficult to diagnose. METHODS: We studied the incidence of and risk factors for chronic elevation of ALT levels (greater than the upper limit of normal at 2 consecutive semi-annual visits) in participants of the Swiss HIV Cohort Study without hepatitis B virus (HBV) or hepatitis C virus (HCV) infection who were seen during the period 2002-2008. Poisson regression analysis was used. RESULTS: A total of 2365 participants were followed up for 9972 person-years (median age, 38 years; male sex, 66%; median CD4+ cell count, 426/microL; receipt of antiretroviral therapy [ART], 56%). A total of 385 participants (16%) developed chronic elevated ALT levels, with an incidence of 3.9 cases per 100 person-years (95% confidence interval [CI], 3.5-4.3 cases per 100 person-years). In multivariable analysis, chronic elevated ALT levels were associated with HIV RNA level >100,000 copies/mL (incidence rate ratio [IRR], 2.23; 95% CI, 1.45-3.43), increased body mass index (BMI, defined as weight in kilograms divided by the square of height in meters) (BMI of 25-29.9 was associated with an IRR of 1.56 [95% CI, 1.24-1.96]; a BMI 30 was associated with an IRR of 1.70 [95% CI, 1.16-2.51]), severe alcohol use (1.83 [1.19-2.80]), exposure to stavudine (IRR per year exposure, 1.12 [95% CI, 1.07-1.17]) and zidovudine (IRR per years of exposure, 1.04 [95% CI, 1.00-1.08]). Associations with cumulative exposure to combination ART, nucleoside reverse-transcriptase inhibitors, and unboosted protease inhibitors did not remain statistically significant after adjustment for exposure to stavudine. Black ethnicity was inversely correlated (IRR, 0.52 [95% CI, 0.33-0.82]). Treatment outcome and mortality did not differ between groups with and groups without elevated ALT levels. CONCLUSIONS: Among patients without hepatitis virus co-infection, the incidence of chronic elevated ALT levels was 3.9 cases per 100 person-years, which was associated with high HIV RNA levels, increased BMI, severe alcohol use, and prolonged stavudine and zidovudine exposure. Long-term follow-up is needed to assess whether chronic elevation of ALT levels will result in increased morbidity or mortality.