941 resultados para Lymphocyte Transfusion
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Transfusion-associated graft-versus-host disease (TA-GVHD) is a rare complication of transfusion of nonirradiated blood components. It usually affects children in high-risk groups, including those who have primary immunodeficiencies (PIDs). It usually presents with skin, hepatic, digestive, and hematologic involvement and is normally fatal.
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International audience
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Background: Nowadays, there are very few studies about massive transfusion in our country. This situation generates the necessity to the elevation of possible new strategies to diminish mortality and its adverse effects. Material and methods: All massive transfusions were evaluated in a retrospective way from October 2010 to October 2012. All diagnosis groups were recorded and the patients were divided into three groups depending on the ratio between packed red blood cells (PRBC) and fresh frozen plasma (FFP) units (ratios ≤2, >2, and without FFP). Their mortality and/or survival were evaluated 30 days after as well as all the factors associated with the event. Results: A total of 69 patients were included (37 trauma patients, 28 gunshot wounds and 4 with lacerated wounds); the groups (ratios ≤2, >2, and no plasma at all) were distributed as follows: 30, 30 and 9 patients each, with an overall mortality rate of 60.8% within 30 days. A lower survival rate (12%) in the no plasma group (P=.015) was found and systolic blood pressure during transfusion had a mean of 67.7 mmHg (P=.012) in this group. Fresh frozen plasma units were 136 and 249 for >2 and ≤2 ratios respectively (P<.01); 85.5% of all patients developed metabolic acidosis during the transfusion, and the number of days in the hospital after the event had a mean of 24.5 days in all patients. Conclusions: High rates of massive transfusion mortality are still being reported in our ield. The use of transfusion strategies contribute to elevate the survival rate in patients with massive transfusion treatment
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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.
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Les accidents sont la cause la plus fréquente de décès chez l’enfant, la plupart du temps à cause d’un traumatisme cranio-cérébrale (TCC) sévère ou d’un choc hémorragique. Malgré cela, la prise en charge de ces patients est souvent basée sur la littérature adulte. Le mannitol et le salin hypertonique (3%) sont des traitements standards dans la gestion de l’hypertension intracrânienne, mais il existe très peu d’évidence sur leur utilité en pédiatrie. Nous avons entrepris une revue rétrospective des traumatismes crâniens sévères admis dans les sept dernières années, pour décrire l’utilisation de ces agents hyperosmolaires et leurs effets sur la pression intracrânienne. Nous avons établi que le salin hypertonique est plus fréquemment utilisé que le mannitol, qu’il ne semble pas y avoir de facteurs associés à l’utilisation de l’un ou l’autre, et que l’effet sur la pression intracrânienne est difficile à évaluer en raison de multiples co-interventions. Il faudra mettre en place un protocole de gestion du patient avec TCC sévère avant d’entreprendre des études prospectives. La transfusion sanguine est employée de façon courante dans la prise en charge du patient traumatisé. De nombreuses études soulignent les effets néfastes des transfusions sanguines suggérant des seuils transfusionnels plus restrictifs. Malgré cela, il n’y a pas de données sur les transfusions chez l’enfant atteint de traumatismes graves. Nous avons donc entrepris une analyse post-hoc d’une grosse étude prospective multicentrique sur les pratiques transfusionnelles des enfants traumatisés. Nous avons conclu que les enfants traumatisés sont transfusés de manière importante avant et après l’admission aux soins intensifs. Un jeune âge, un PELOD élevé et le recours à la ventilation mécanique sont des facteurs associés à recevoir une transfusion sanguine aux soins intensifs. Le facteur le plus prédicteur, demeure le fait de recevoir une transfusion avant l’admission aux soins, élément qui suggère probablement un saignement continu. Il demeure qu’une étude prospective spécifique des patients traumatisés doit être effectuée pour évaluer si une prise en charge basée sur un seuil transfusionnel restrictif serait sécuritaire dans cette population.
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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.
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Les accidents sont la cause la plus fréquente de décès chez l’enfant, la plupart du temps à cause d’un traumatisme cranio-cérébrale (TCC) sévère ou d’un choc hémorragique. Malgré cela, la prise en charge de ces patients est souvent basée sur la littérature adulte. Le mannitol et le salin hypertonique (3%) sont des traitements standards dans la gestion de l’hypertension intracrânienne, mais il existe très peu d’évidence sur leur utilité en pédiatrie. Nous avons entrepris une revue rétrospective des traumatismes crâniens sévères admis dans les sept dernières années, pour décrire l’utilisation de ces agents hyperosmolaires et leurs effets sur la pression intracrânienne. Nous avons établi que le salin hypertonique est plus fréquemment utilisé que le mannitol, qu’il ne semble pas y avoir de facteurs associés à l’utilisation de l’un ou l’autre, et que l’effet sur la pression intracrânienne est difficile à évaluer en raison de multiples co-interventions. Il faudra mettre en place un protocole de gestion du patient avec TCC sévère avant d’entreprendre des études prospectives. La transfusion sanguine est employée de façon courante dans la prise en charge du patient traumatisé. De nombreuses études soulignent les effets néfastes des transfusions sanguines suggérant des seuils transfusionnels plus restrictifs. Malgré cela, il n’y a pas de données sur les transfusions chez l’enfant atteint de traumatismes graves. Nous avons donc entrepris une analyse post-hoc d’une grosse étude prospective multicentrique sur les pratiques transfusionnelles des enfants traumatisés. Nous avons conclu que les enfants traumatisés sont transfusés de manière importante avant et après l’admission aux soins intensifs. Un jeune âge, un PELOD élevé et le recours à la ventilation mécanique sont des facteurs associés à recevoir une transfusion sanguine aux soins intensifs. Le facteur le plus prédicteur, demeure le fait de recevoir une transfusion avant l’admission aux soins, élément qui suggère probablement un saignement continu. Il demeure qu’une étude prospective spécifique des patients traumatisés doit être effectuée pour évaluer si une prise en charge basée sur un seuil transfusionnel restrictif serait sécuritaire dans cette population.
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When should a person who has a heart attack not be resuscitated? When should a patient no longer be kept alive on a ventilator, or be provided with food and water by a tube? When should a person not be given a blood transfusion they need to stay alive? The answers to these questions depend on a number of factors including the mental or physical condition of the patient and any wishes they have expressed prior to losing the ability to make this decision, as well as the requirements of good medical practice. This video is a record of a public lecture held on 7 July 2004 by the Faculty of Law at the Queensland University of Technology, in association with the Faculty of Health, the Centre for Palliative Care Research and Education, and Palliative Care Queensland.
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Leucodepletion, the removal of leucocytes from blood products improves the safety of blood transfusion by reducing adverse events associated with the incidental non-therapeutic transfusion of leucocytes. Leucodepletion has been shown to have clinical benefit for immuno-suppressed patients who require transfusion. The selective leucodepletion of blood products by bed side filtration for these patients has been widely practiced. This study investigated the economic consequences in Queensland of moving from a policy of selective leucodepletion to one of universal leucodepletion, that is providing all transfused patients with blood products leucodepleted during the manufacturing process. Using an analytic decision model a cost-effectiveness analysis was conducted. An ICER of $16.3M per life year gained was derived. Sensitivity analysis found this result to be robust to uncertainty in the parameters used in the model. This result argues against moving to a policy of universal leucodepletion. However during the course of the study the policy decision for universal leucodepletion was made and implemented in Queensland in October 2008. This study has concluded that cost-effectiveness is not an influential factor in policy decisions regarding quality and safety initiatives in the Australian blood sector.
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The CDKN2A gene encodes p16 (CDKN2A), a cell-cycle inhibitor protein which prevents inappropriate cell cycling and, hence, proliferation. Germ-line mutations in CDKN2A predispose to the familial atypical multiple-mole melanoma (FAMMM) syndrome but also have been seen in rare families in which only 1 or 2 individuals are affected by cutaneous malignant melanoma (CMM). We therefore sequenced exons 1alpha and 2 of CDKN2A using lymphocyte DNA isolated from index cases from 67 families with cancers at multiple sites, where the patterns of cancer did not resemble those attributable to known genes such as hMLH1, hMLH2, BRCA1, BRCA2, TP53 or other cancer susceptibility genes. We found one mutation, a mis-sense mutation resulting in a methionine to isoleucine change at codon 53 (M531) of exon 2. The individual tested had developed 2 CMMs but had no dysplastic nevi and lacked a family history of dysplastic nevi or CMM. Other family members had been diagnosed with oral cancer (2 persons), bladder cancer (1 person) and possibly gall-bladder cancer. While this mutation has been reported in Australian and North American melanoma kindreds, we did not observe it in 618 chromosomes from Scottish and Canadian controls. Functional studies revealed that the CDKN2A variant carrying the M531 change was unable to bind effectively to CDK4, showing that this mutation is of pathological significance. Our results have confirmed that CDKN2A mutations are not limited to FAMMM kindreds but also demonstrate that multi-site cancer families without melanoma are very unlikely to contain CDKN2A mutations.