937 resultados para Lung-cancer Mortality


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Cancer du poumon associé à l’exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium dans le milieu de travail utilisant deux études populationnelles cas-témoins à Montréal. Au début des années 1990, le nickel, le chrome VI et le cadmium ont été classés en tant qu’agents cancérigènes de classe 1 par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer). Cependant, les résultats des études ayant permis la classification de ces métaux n’ont pas toujours été reproduits, et d’importantes questions demeurent quant aux effets de ces métaux à de faibles niveaux d’exposition. Un plus grand nombre de recherches empiriques est donc nécessaire afin de réaffirmer la cancérogénicité de ces agents, et d’identifier les circonstances dans lesquelles ils peuvent être néfastes. L'objectif de cette étude était d'explorer la relation entre l’exposition à un des métaux (soit le nickel, le chrome VI, ou le cadmium) et les risques subséquents de développer un cancer du poumon chez des travailleurs provenant de différents milieux de travail qui sont exposés à ces métaux à de différents degrés. Deux études cas-témoins de base populationnelle menées à Montréal ont fourni les données nécessaires pour examiner la cancérogénicité de ces métaux. La première étude était menée entre 1979 et 1986 chez des hommes âgés de 35 à 70 ans ayant un cancer dans l’un de 19 sites anatomiques de cancer sélectionnés. La seconde étude était menée entre 1996 et 2001 chez des hommes et des femmes âgés de 35 à 75 ans, avec un diagnostic de tumeur maligne au poumon. Dans ces deux études, les cas ont été recensés dans tous les hôpitaux de l'île de Montréal, tandis que les contrôles populationnels appariés par âge et stratifiés par sexe, ont été sélectionnés des listes électorales. Une entrevue avec chaque sujet a permis d'obtenir un historique d'emploi détaillé ainsi que des informations précises sur les facteurs de risques socio-économiques et personnels. Les descriptions de poste ont été évaluées par une équipe d'experts chimistes et hygiénistes afin de déterminer si le sujet a été exposé à chaque agent, et pour mesurer à la fois la concentration et la durée de chaque exposition, ainsi que l’exposition cumulative tout au long de la vie de chaque participant. Pour déterminer si une exposition à l’un des trois métaux en cause était associée à une augmentation de l'incidence du cancer du poumon, des données ont été analysées par régression logistique : des ajustements ont été effectués pour des facteurs de confusion pertinents incluant un historique détaillé du tabagisme. Des mesures catégoriques d'exposition cumulée ont été également analysées, ainsi que la modification des effets par le tabagisme. Les deux études ont été analysées séparément, puis par la suite combinées afin d'augmenter la puissance statistique. Les niveaux d'exposition mesurés dans cette population ne semblaient pas poser un excès de risque de cancer du poumon pour les travailleurs exposés au chrome VI. Cependant, ceux qui ont été exposés au nickel ont subi une augmentation significative du risque, et ce, quel que soit leur niveau d'exposition. Le risque de développer un cancer du poumon suite à une exposition au cadmium était élevé, mais pas de manière significative. Pour chacun des trois métaux, le risque de cancer du poumon était très élevé parmi les non-fumeurs, mais pas parmi les fumeurs. L’effet combiné du tabagisme et de l’exposition aux métaux était compatible avec un excès de risque additif. Cependant, les intervalles de confiance dans cette étude tendaient à être larges, et une faiblesse de puissance statistique peut limiter l’interprétation de certains résultats. Cette étude est unique dans la mesure où elle a fourni des preuves empiriques sur les risques de développer le cancer du poumon liés aux faibles niveaux d’exposition au nickel, au chrome VI, ou au cadmium provenant de divers contextes de travail. Dans la plupart des autres études, la majorité des expositions pertinentes n’ont pas été bien contrôlées. À l'inverse, cette étude a bénéficié de la collecte et de la disponibilité d'information détaillée concernant le tabagisme et d’autres facteurs de risque. Les résultats de cette étude ont d'importantes conséquences pour la santé publique, tant au niveau de la détermination des risques pour les travailleurs actuellement exposés à ces métaux, qu'au niveau de l’évaluation des risques pour la population en général, elle-même exposée à ces métaux par le biais de la pollution et de la fumée de cigarette. Cette analyse contribuera fort probablement à une réévaluation par le CIRC de la cancérogénicité de ces métaux. L'exploration de la relation entre les risques de cancer du poumon et l'exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium est donc opportune et pertinente.

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Le cancer du poumon a une incidence et une létalité parmi les plus hautes de tous les cancers diagnostiqués au Canada. En considérant la gravité du pronostic et des symptômes de la maladie, l’accès au traitement dans les plus brefs de délais est essentiel. Malgré l’engagement du gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux de réduire les délais de temps d’attente, des balises pour les temps d’attente pour le traitement d’un cancer ne sont toujours pas établis. En outre, le compte-rendu des indicateurs des temps d’attente n’est pas uniforme à travers les provinces. Une des solutions proposées pour la réduction des temps d’attente pour le traitement du cancer est les équipes interdisciplinaires. J’ai complété un audit du programme interdisciplinaire traitant le cancer du poumon à l’Hôpital général juif (l’HGJ) de 2004 à 2007. Les objectifs primaires de l’étude étaient : (1) de faire un audit de la performance de l’équipe interdisciplinaire à l’HGJ en ce qui concerne les temps d’attente pour les intervalles critiques et les sous-groupes de patients ; (2) de comparer les temps d’attente dans la trajectoire clinique des patients traités à l’HGJ avec les balises qui existent ; (3) de déterminer les facteurs associés aux délais plus longs dans cette population. Un objectif secondaire de l’étude était de suggérer des mesures visant à réduire les temps d’attente. Le service clinique à l’HGJ a été évalué selon les balises proposées par le British Thoracic Society, Cancer Care Ontario, et la balise pan-canadienne pour la radiothérapie. Les patients de l’HGJ ont subi un délai médian de 9 jours pour l’intervalle «Ready to treat to first treatment», et un délai médian de 30 jours pour l’intervalle entre le premier contact avec l’hôpital et le premier traitement. Les patients âgés de plus de 65 ans, les patients avec une capacité physique diminuée, et les patients avec un stade de tumeur limité étaient plus à risque d’échouer les balises pour les temps d’attente.

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Le cancer occupe le premier rang parmi les causes de décès au Québec. Les taux de mortalité diffèrent cependant à travers les régions du Québec. En considérant les territoires des Centres de santé et de services sociaux (CSSS), ce mémoire propose dans un premier temps d’étudier la distribution des taux de mortalité pour les principaux sièges de cancer, d’identifier les régions où une différence significative du taux avec le reste du Québec est perceptible et d’approfondir des éléments impliqués dans la mortalité, soit l’incidence et la létalité. D’autre part, dans le but d’expliquer les variations des taux de mortalité, des variables socio-économiques liées aux territoires retenus serviront de variables explicatives au modèle de régression utilisé. Les résultats ont permis de constater que c’est pour le cancer du poumon que les écarts significatifs sont les plus nombreux. Quant au cancer colorectal, un seul territoire présentait un écart significatif. Pour ce qui est du cancer de la prostate et du sein, aucun écart n’est perceptible dans les taux de mortalité. Concernant la partie explicative de la mortalité, dans le cas du cancer du poumon, les taux d’incidence sont fortement corrélés aux taux de mortalité. On ne peut cependant faire le même constat pour les cancers colorectal, du sein et de la prostate. De plus, les variables socio-économiques considérées pour les territoires de CSSS ne permettaient pas d’arriver à un modèle explicatif convaincant. Ces résultats montrent la nécessité d’avoir des données longitudinales permettant de suivre les individus dès le moment où le diagnostic de cancer est établi afin d’être en mesure de mieux mesurer les liens entre l’incidence, la survie, le niveau socio-économique et la mortalité.

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Objectif: Étudier l’association entre la consommation de café, la consommation de thé noir et le risque de cancer du poumon. Méthodologie: Cette recherche utilise les données obtenues lors d’une étude cas-témoin effectuée à Montréal avec des résidents canadiens âgés entre 35 et 75 ans recrutés entre 1996 et 2001. Les cas étaient des individus atteints du cancer et diagnostiqués entre 1996 et 1997 dans l’un des 18 hôpitaux de la région du Grand-Montréal. Les contrôles on été sélectionnés à partir de la liste électorale et appariés selon la fréquence de distribution des cas par groupe d’âge de 5 ans, par sexe et par district électoral. Au total, 1130 cas et 1484 contrôles ont été inclus dans cette étude. Les rapports de cote (RC) et les intervalles de confiance de 95% (CI) des associations entre la consommation de thé noir, de café et le cancer du poumon ont été estimés à l’aide de la régression logistique non conditionnelle. Quatre aspects de la consommation ont été analysés dans des modèles multivariés distincts: la fréquence de consommation, la consommation journalière moyenne, la durée de consommation et la consommation cumulative. Les covariables potentielles considérées incluaient : l’âge, le sexe, l’historique de tabagisme, le statut du répondant, l’ethnicité, la consommation d’alcool, la consommation de fruit et de légume, l’apport énergétique journalier, l’exposition a des agents professionnelle et les variables socio-économiques . Des analyses secondaires par le sexe, le tabagisme et le type histologique de cancer on été effectuées. Résultats : Aucune association statistiquement significative n’a été observée entre la consommation de thé noir et le cancer du poumon. Nos résultats suggèrent qu’une consommation de ≥ 50 ans était associée avec une augmentation du risque d’adénocarcinome comparée à aucune consommation. Nous avons observé une association inverse statistiquement significative entre la consommation occasionnelle de café et le cancer du poumon (RC : 0.32, 95%CI : 0.17-0.59). La durée de consommation de café n’était pas associée avec le cancer du poumon. Conclusion : Nos résultats suggèrent que la consommation à long terme de thé noir pourrait augmenter le risque d’adénocarcinome. D’un autre côté, la consommation occasionnelle de café pourrait réduire le risque de cancer du poumon.

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Intra-urban inequalities in mortality have been infrequently analysed in European contexts. The aim of the present study was to analyse patterns of cancer mortality and their relationship with socioeconomic deprivation in small areas in 11 Spanish cities

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After publication of this work in 'International Journal of Health Geographics' on 13 january 2011 was wrong. The map of Barcelona in Figure two (figure 1 here) was reversed. The final correct Figure is presented here

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Objective: To determine the risk of lung cancer associated with exposure at home to the radioactive disintegration products of naturally Occurring radon gas. Design: Collaborative analysis of individual data from 13 case-control studies of residential radon and lung cancer. Setting Nine European countries. Subjects 7148 cases Of lung cancer and 14 208 controls. Main outcome measures: Relative risks of lung cancer and radon gas concentrations in homes inhabited during the previous 5-34 years measured in becquerels (radon disintegrations per second) per cubic incite (Bq/m(3)) Of household air. Results: The mean measured radon concentration in homes of people in tire control group was 97 Bq/m(3), with 11% measuring > 200 and 4% measuring > 400 Bq/m(3). For cases of lung cancer the mean concentration was 104 Bq/m(3). The risk of lung cancer increased by 8.4% (95% confidence interval 3.0% to 15.8%) per 100 Bq/m(3) increase in measured radon (P = 0.0007). This corresponds to an increase of 16% (5% to 31%) per 100 Bq/m(3) increase in usual radon-that is, after correction for the dilution caused by random uncertainties in measuring radon concentrations. The dose-response relation seemed to be linear with no threshold and remained significant (P=0.04) in analyses limited to individuals from homes with measured radon < 200 Bq/m(3). The proportionate excess risk did not differ significantly with study, age, sex, or smoking. In the absence of other causes of death, the absolute risks of lung cancer by age 75 years at usual radon concentrations of 0, 100, and 400 Bq/m(3) would be about 0.4%, 0.5%, and 0.7%, respectively, for lifelong non-smokers, and about 25 times greater (10%, 12%, and 16%) for cigarette smokers. Conclusions: Collectively, though not separately, these studies show appreciable hazards from residential radon, particularly for smokers and recent ex-smokers, and indicate that it is responsible for about 2% of all deaths from cancer in Europe.

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Factors influencing the use of chemotherapy for the initial (6 months) treatment of lung cancer in South East England were investigated. The variables explored as possibly influencing the use of chemotherapy were sex, age, the year of diagnosis, the type of lung cancer, the stage, the index of multiple deprivation and the cancer network of residence. Chi2 analysis and multivariate logistic regression models were used to examine the effect of each of the variables on the use of chemotherapy. The results showed a highly significant trend in use of chemotherapy over time; the adjusted proportion of patients receiving chemotherapy increasing from 13.6% in 1994 to 29.3% in 2003. However, age, cancer network and type of lung cancer had the strongest influence on the use of chemotherapy. This finding is important when we consider that the NHS Cancer Plan aims at improving inequalities in cancer care in the UK.

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The present paper shows, for the first time, the membrane expression of the dendritic cell maturation marker CD83 on tumor cells from lung cancer patients. CD83 was also detected on freshly cultured fibroblast-like cells from these tissues and on several adherent human tumor cell lines (lung adenocarcinomas P9, A459 and A549, melanomas A375 and C81-61, breast adenocarcinomas SKBR-3 and MCF-7 and colon carcinoma AR42-J), but not in the non-adherent MOT leukemia cell line. CD83 may have immunosuppressive properties and its expression by cancer cells could have a role in facilitating tumor growth.

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Introduction Antigen-presenting cells, like dendritic cells (DCs) and macrophages, play a significant role in the induction of an immune response and an imbalance in the proportion of macrophages, immature and mature DCs within the tumor could affect significantly the immune response to cancer. DCs and macrophages can differentiate from monocytes, depending on the milieu, where cytokines, like interleukin (IL)-4 and granulocyte-macrophage colony-stimulating factor (GM-CSF) induce DC differentiation and tumor necrosis factor (TNF)-alpha induce DC maturation. Thus, the aim of this work was to analyze by immunohistochemistry the presence of DCs (S100+ or CD1a+), macrophages (CD68+), IL-4 and TNF-alpha within the microenvironment of primary lung carcinomas. Results Higher frequencies of both immature DCs and macrophages were detected in the tumor-affected lung, when compared to the non-affected lung. Also, TNF-alpha-positive cells were more frequent, while IL-4-positive cells were less frequent in neoplastic tissues. This decreased frequency of mature DCs within the tumor was further confirmed by the lower frequency of CD14-CD80+ cells in cell suspensions obtained from the same lung tissues analyzed by flow cytometry. Conclusion These data are discussed and interpreted as the result of an environment that does not oppose monocyte differentiation into DCs, but that could impair DC maturation, thus affecting the induction of effective immune responses against the tumor.

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Oxidative damage to DNA is thought to play a role in carcinogenesis by causing Mutations, and indeed accumulation of oxidized DNA bases has been observed in samples obtained from tumors but not from surrounding tissue within the same patient. Base excision repair (BER) is the main pathway for the repair of oxidized modifications both in nuclear and mitochondrial, DNA. In order to ascertain whether diminished BER capacity might account for increased levels of oxidative DNA damage in cancer cells, the activities of BER enzymes in three different lung cancer cell lines and their non-cancerous counterparts were measured using oligonucleotide substrates with single DNA lesions to assess specific BER enzymes. The activities of four BER enzymes, OGG1, NTH1, UDG and APE1, were compared in mitochondrial and nuclear extracts. For each specific lesion, the repair activities were similar among the three cell lines used. However, the specific activities and cancer versus control comparison differed significantly between the nuclear and mitochondrial compartments. OGG1 activity, as measured by 8-oxodA incision, was upregulated in cancer cell mitochondria but down-regulated in the nucleus when compared to control cells. Similarly, NTH1 activity was also up-regulated in mitochondrial extracts from cancer cells but did not change significantly in the nucleus. Together, these results support the idea that alterations in BER capacity are associated with carcinogenesis.

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Little is known about relationships between quality of care (QoC) and use of complementary and alternative medicine (CAM) among patients with lung cancer (LC). Purpose: This study examines CAM-use among patients with LC in Sweden, associations between QoC and CAM-use among these patients, and reported aspects of LC-care perceived as particularly positive and negative by patients, as well as suggestions for improving QoC. Methods: Survey data from 94 patient members of the Swedish LC patient organization about CAM-use and QoC as measured by the instrument “Quality from the patient’s perspective” were analyzed. Results: Fifty (53%) LC-patients used CAM, with 40 of the CAM-users reporting that CAM helped them. The most common CAMs used were dietary supplements and natural remedies, followed by prayer. Significantly more patients reported using prayer and meditation for cure than was the case for other types of CAM used. Less than half the CAM-users reported having spoken with staff from the biomedical health care system about their CAM-use. Patients provided numerous suggestions for improving LC-care in a variety of areas, aiming at a more effective and cohesive care trajectory. No differences in QoC were found between CAM-users and non-CAM-users, but differences in CAM-use i.e. type of CAM, reasons for using CAM, and CAM-provider consulted could be associated with different experiences of care. Conclusions: It is important to recognize that CAM-users are not a homogeneous group but might seek different types of CAMs and CAM-providers in different situations depending on experiences of care.

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There have been few longitudinal studies of quality of life in patients with all stages of lung cancer, particularly those that have included measures of utility. The purpose of this study was to examine the psychometric properties of the Assessment of Quality of Life instrument (AQoL) in patients with lung cancer. The AQoL is a health-related quality of life questionnaire and provides a descriptive system for a multi-attribute utility instrument (MAU), so that scores can be used in cost-utility evaluations. In the present study the reliability (internal consistency) of the AQoL was examined and the concurrent validity was assessed using the Medical Outcomes 36-item Short Form Health Survey (SF-36) as the comparator instrument. The sensitivity to different health states of the AQoL and the responsiveness to change over time was also examined. A prospective, non-experimental cohort study was undertaken. Ninety-two participants with all stages of lung cancer were recruited from a tertiary multi-disciplinary lung cancer clinic. Ninety participants had non-small cell lung cancer (NSCLC) and two had limited stage small cell lung cancer. The AQOL and SF-36 surveys were administered concurrently at baseline. In patients with NSCLC the surveys were then repeated 3 and 6 months later. Correlations between the baseline AQoL summary scales and SF-36 summary scales support the divergent and convergent validity of the AQoL. Reliability was also found to be sufficient (Cronbach's Alpha = 0.76). In addition, in patients with inoperable NSCLC, baseline AQoL scores were found to be predictive of survival at 6 months in Cox proportional hazards multivariate analysis. However, the physical components summary score of the SF-36 was more sensitive to differences in health states between patients with different stages of NSCLC at 6 months of follow-up and more responsive to change over time in both operable and inoperable patients with NSCLC than the AQoL. The findings support the construct validity and reliability of the AQoL in this population. However, there remains some uncertainty about whether the AQoL has sufficient sensitivity to different health states in this population. Further studies using other MAU instruments may determine whether alternative instruments are more sensitive to different health states in individuals with lung cancer.