886 resultados para Ladder-resistance training
Resumo:
El objetivo de este estudio fue determinar el efecto de un programa de ejercicio aeróbico y un programa de circuito con pesas sobre la calidad de vida, disnea y resistencia cardiorrespiratoria en sujetos con Enfermedad Pulmonar Crónica (EPC). Metodología: el programa de rehabilitación se hizo durante ocho semanas, se realizó un pretest y un postest, se cumplió con una sesión semanal presencial, y las otras dos domiciliarias, se tuvo comunicación directa vía telefónica los días que realizaban el ejercicio en la casa. Instrumentos: el cuestionario St. George Respiratory Questonnaire para medir calidad de vida, la escala de Borg para medir la disnea y el test de caminata de los 6 min. para medir la resistencia cardiorrespiratoria. Sujetos: participaron 38 personas con diagnóstico previo de EPC, 18 hombres y 20 mujeres; 27 sujetos con patología obstructiva y 11 sujetos con restrictiva., con una edad promedio de 69.8 ± 9.34 años, divididos aleatoriamente en dos grupos, uno que realizó ejercicio aeróbico (22 sujetos) y otro que ejecutó ejercicio aeróbico y de contrarresistencia con pesas (16 sujetos). Análisis estadístico: ANOVA mixta de cuatro vías (2x2x2x2) para las variables mediciones, sexo, tratamiento y patología. Resultados: se encontraron diferencias significativas entre mediciones para la variable disnea (pre: 7.18 ± 0.69 puntos y post: 4.89 ± 0.68 puntos) (F = 228.770; p < 0,05), calidad de vida (pre: 59.68 ± 7.50 puntos y post 81.75 ± 7.33 puntos) (F = 228.770; p < 0,05), resistencia cardiorrespiratoria (pre 384,95 ± 51,02 mts. y post 432 ± 37,41 mts.) (F: 59.9; p<0.01), pero no se encontraron diferencias por sexo, actividad ni enfermedad (p>0,05), ni interacción entre las variable (p>0,05). Conclusión: la realización de ejercicio físico aeróbico y anaeróbico mejoran el grado de disnea, la calidad de vida y resistencia cardiorrespiratoria en pacientes con EPC.
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La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.
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La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.
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Introducción. Los conductores de transporte terrestre de pasajeros están expuestos a factores de riesgo inherentes a su labor, por lo que la intervención sobre estos factores es un aspecto relevante en las empresas de transporte público dado que dicha actividad afecta la calidad de vida de los mismos. Objetivo: Determinar la prevalencia de estrés en el lugar de trabajo y los factores de riesgo biomecánicos asociados en trabajadores de una empresa de transporte terrestre de pasajeros. Materiales y métodos: Estudio de corte transversal con datos secundarios procedentes de una población de 219 empleados, de los cuales 13 eran administrativos y 206 laboraban en la operación de una empresa de transporte terrestre de pasajeros. Las variables incluidas fueron socio demográficas, laborales, variables relacionadas con la medición de estrés y síntomas osteomusculares. El análisis estadístico incluyó medidas de tendencia central y dispersión y para identificar los factores asociados con el estrés se utilizaron pruebas de asociación Chi2 y prueba exacta de Fisher. Resultados: La edad promedio de los participantes fue de 43 años (DS 10 años), siendo en su mayoría trabajadores de sexo masculino (96,3%). Se presentaron síntomas y factores de riesgo biomecánicos en cuello y espalda en un 55.5%. Se encontró asociación significativa entre estrés con los síntomas en pies (p=0,009), con los factores de riesgo biomecánicos, se encontró relación significativa con el tiempo que permanece adoptando las posturas de inclinación hacia delante (p=0,000) y hacia atrás (p=0,001) de espalda/tronco y las posturas en muñecas, (p=0,000), y a la exposición de los conductores a superficies vibrantes (asientos de vehículo) (p=0,021). No se encontró asociación significativa entre estrés y la postura de sedente. Conclusiones: Con este estudio se encontró una prevalencia de estrés de 78% en el lugar de trabajo y de los factores de riesgo biomecánicos asociados a antigüedad, postura y repetitividad de movimientos, con repercusiones en cuello y espalda lumbar, por lo tanto, se requiere de un seguimiento a las condiciones de salud y trabajo para los empleados del sector transporte.
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El propósito del presente estudio era generar los valores normativos de salto largo para niños de 9-17.9 años, e investigar las diferencias de sexo y grupo de edad
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Obesity-induced endoplasmatic reticulum (ER) stress has been demonstrated to underlie the induction of obesity-induced JNK and NF-kappa B activation inflammatory responses, and generation of peripheral insulin resistance. On the other hand, exercise has been used as a crucial tool in obese and diabetic patients, and may reduce inflammatory pathway stimulation. However, the ability of exercise training to reverse endoplasmatic reticulum stress in adipose and hepatic tissue in obesity has not been investigated in the literature. Here, we demonstrate that exercise training ameliorates ER stress and insulin resistance in DIO-induced rats. Rats were fed with standard rodent chow (3,948 kcal kg(-1)) or high-fat diet (5,358 kcal kg(-1)) for 2 months. After that rats were submitted to swimming training (1 h per day, 5 days for week with 5% overload of the body weight for 8 weeks). Samples from epididymal fat and liver were obtained and western blot analysis was performed. Our results showed that swimming protocol reduces pro-inflammatory molecules (JNK, I kappa B and NF-kappa B) in adipose and hepatic tissues. In addition, exercise leads to reduction in ER stress, by reducing PERK and eIF2 alpha phosphorylation in these tissues. In parallel, an increase in insulin pathway signaling was observed, as confirmed by increases in IR, IRSs and Akt phosphorylation following exercise training in DIO rats. Thus, results suggest that exercise can reduce ER stress, improving insulin resistance in adipose and hepatic tissue.
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Background: The goal of this study was to determine if increasing strength in primary knee extensors and flexors would directly affect net knee joint moments during a common functional task in persons with knee osteoarthritis. Methods: An exploratory single sample clinical trial with pre-post treatment measures was used to study volunteers with clinical diagnosis of mild knee osteoarthritis (OA) in one knee. Subjects participated in an individually supervised training program 3 times a week for eight weeks consisting of progressive resistive exercises for knee extensors and knee flexors. Pre and post training outcome assessments included: 1. Net internal knee joint moments, 2. Electromyography of primary knee extensors and flexors, and 3. Self-report measures of knee pain and function. The distribution of lower extremity joint moments as a percent of the total support moment was also investigated. Findings: Pain, symptoms, activities of daily life, quality of life, stiffness, and function scores showed significant improvement following strength training. Knee internal valgus and hip internal rotation moments showed increasing but non-statistically significant changes post-training. There were no significant differences in muscle co-contraction activation of the Quadriceps and Hamstrings. Interpretation: While exercise continues to be an important element of OA management, the results of this study suggest improvements in function, pain, and other symptoms, as a result of strength training may not be causally related to specific biomechanical changes in net joint moments. (C) 2011 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Objective. Vibration training (VT) is a new exercise method, with good acceptance among sedentary subjects, due to its passive principle: the machine moves the subject, not the opposite. We hypothesize that untrained subjects can benefit from a greater cardiovascular and metabolic stimulation than trained athletes, resembling classical aerobic-type activity, in addition of eliciting strength gains shown in diverse studies. Methods. 3 group of male subjects, inactive (SED), endurance trained athletes (END) and strength trained athletes (STR) underwent fitness (VO2max) and lower-body strength tests (isokinetic). Subjects were submitted to a session of oscillating VT, composed of 3 exercises (isometric half-squat, dynamic squat, dynamic squat with added load), each of 3 minutes duration, and repeated at 3 frequencies. VO2, heart rate and Borg scale were monitored. Results. 27 healthy subjects (10 SED, 9 END and 8 STR), mean age 24.5 (SED), 25.0 (STR) and 29.8 (END) were included. VO2max was significantly different as expected (47.9 vs. 52.9 vs. 63.9 ml/kg/min, resp. for SED, STR and END). Isokinetic dominant leg extensors strength was higher in STR (3.32 Nm/kg vs. 2.60 and 2.74 in SED and END). During VT, peak oxygen consumption (% of VO2max) attained was 59.3 in SED, 50.8 in STR and 48.0 in END (P<0.001 between SED and other subjects). Peak heart rate (% of heart rate max) was 82.7 in SED, 80.4 in STR and 72.4 in END. In SED, dynamic exercises without extra load elicited 51.0% of VO2max and 72.1% of heart rate max, and perceived effort reached 15.1/20. Conclusions. VT is an unconventional type of exercise, which has been shown to enhance strength, bone density, balance and flexibility. Users are attracted by the relative passivity. In SED, we show that VT elicits sufficient cardiovascular response to benefit overall fitness in addition to the known strength effects. VT's higher acceptance as an exercise in sedentary people, compared to jogging or cycling for example, can lead to better adherence to physical activity. Although long-term effects of VT on health are not avalaible, we believe this type of combination of aerobic and resistance-type exercise can be beneficial on multiple health parameters, especially cardiovascular health.
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PURPOSE: We hypothesize that untrained subjects can benefit from a greater cardiovascular stimulation than trained athletes, resembling classical aerobic-type activity, in addition to eliciting strength gains.METHODS: 3 groups of male subjects, inactive (SED), endurance trained (END) and strength trained (STR) underwent fitness (VO2max) and lower-body strength tests (isokinetic). Subjects were submitted to a session of oscillating VT, composed of 3 exercises (isometric half-squat, dynamic squat, dynamic squat with added load), each of 3 minutes duration, and repeated at 3 vibration frequencies (20, 26 and 32 Hz). VO2, heart rate and Borg scale were monitored.RESULTS: 27 healthy subjects (10 SED, 9 END and 8 STR), mean age 24.5 (SED), 25.0 (STR) and 29.8 (END) were included. VO2max was significantly different as expected (47.9 vs. 52.9 vs. 63.9 mL?min-1?kg-1, resp. for SED, STR and END). Isokinetic dominant leg extensors strength was higher in STR (3.32 N?m?kg-1 vs. 2.60 and 2.74 in SED and END). During VT, peak oxygen consumption (% of VO2max) attained was 59.3 in SED, 50.8 in STR and 48.0 in END (P<0.001 between SED and other subjects). Peak heart rate (% of heart rate max) was 82.7 in SED, 80.4 in STR and 72.4 in END. In SED, dynamic exercises without extra load elicited 51.0 % of VO2max and 72.1 % of heart rate max, and perceived effort reached 15.1/20.CONCLUSIONS: VT is an unconventional type of exercise, known to enhance strength, bone density, balance and flexibility. Users are attracted by the relative passivity. In SED, VT elicits sufficient cardiovascular response to benefit overall fitness in addition to the strength effects. VT's higher acceptance as an exercise in sedentary people, compared to jogging or cycling, can lead to better adherence to physical activity. Although long-term effects of VT on health are not available, we believe this type of mixed aerobic and resistance-type exercise can be beneficial on multiple health parameters, especially cardiovascular health.
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C57BL/6 mice develop signs and symptoms comparable, in part, to the human metabolic syndrome. The objective of the present study was to evaluate the effects of exercise training on carbohydrate metabolism, lipid profile, visceral adiposity, pancreatic islet alterations, and nonalcoholic fatty liver disease in C57BL/6 mice. Animals were fed one of two diets during an 8-week period: standard (SC, N = 12) or very high-fat (HF, N = 24) chow. An exercise training protocol (treadmill) was then established and mice were divided into SC and HF sedentary (SC-Sed, HF-Sed), exercised groups (SC-Ex, HF-Ex), or switched from HF to SC (HF/SC-Sed and HF/SC-Ex). HF/HF-Sed mice had the greatest body mass (65% more than SC/SC-Sed; P < 0.0001), and exercise reduced it by 23% (P < 0.0001). Hepatic enzymes ALP (+80%), ALT (+100%) and AST (+70%) were higher in HF/HF mice than in matched SC/SC. Plasma insulin was higher in both the HF/HF-Sed and HF/SC-Sed groups than in the matched exercised groups (+85%; P < 0.001). Pancreatic islets, adipocytes and liver structure were greatly affected by HF, ultimately resulting in islet β-cell hypertrophy and severe liver steatosis. The HF group had larger islets than the SC/SC group (+220%; P < 0.0001), and exercise significantly reduced liver steatosis and islet size in HF. Exercise attenuated all the changes due to HF, and the effects were more pronounced in exercised mice switched from an HF to an SC diet. Exercise improved the lipid profile by reducing body weight gain, visceral adiposity, insulin resistance, islet alterations, and fatty liver, contributing to obesity and steatohepatitis control.
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Obesity and insulin resistance are rapidly expanding public health problems. These disturbances are related to many diseases, including heart pathology. Acting through the Akt/mTOR pathway, insulin has numerous and important physiological functions, such as the induction of growth and survival of many cell types and cardiac hypertrophy. However, obesity and insulin resistance can alter mTOR/p70S6k. Exercise training is known to induce this pathway, but never in the heart of diet-induced obesity subjects. To evaluate the effect of exercise training on mTOR/p70S6k in the heart of obese Wistar rats, we analyzed the effects of 12 weeks of swimming on obese rats, induced by a high-fat diet. Exercise training reduced epididymal fat, fasting serum insulin and plasma glucose disappearance. Western blot analyses showed that exercise training increased the ability of insulin to phosphorylate intracellular molecules such as Akt (2.3-fold) and Foxo1 (1.7-fold). Moreover, reduced activities and expressions of proteins, induced by the high-fat diet in rats, such as phospho-JNK (1.9-fold), NF-kB (1.6-fold) and PTP-1B (1.5-fold), were observed. Finally, exercise training increased the activities of the transduction pathways of insulin-dependent protein synthesis, as shown by increases in Raptor phosphorylation (1.7-fold), p70S6k phosphorylation (1.9-fold), and 4E-BP1 phosphorylation (1.4-fold) and a reduction in atrogin-1 expression (2.1-fold). Results demonstrate a pivotal regulatory role of exercise training on the Akt/ mTOR pathway, in turn, promoting protein synthesis and antagonizing protein degradation. J. Cell. Physiol. 226: 666-674, 2011. (C) 2010 Wiley-Liss, Inc.
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)