692 resultados para Intervention percutanée
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Objectives The relevance of the SYNTAX score for the particular case of patients with acute ST- segment elevation myocardial infarction (STEMI) undergoing primary percutaneous coronary intervention (PPCI) has previously only been studied in the setting of post hoc analysis of large prospective randomized clinical trials. A "real-life" population approach has never been explored before. The aim of this study was to evaluate the impact of the SYNTAX score for the prediction of the myocardial infarction size, estimated by the creatin-kinase (CK) peak value, using the SYNTAX score in patients treated with primary coronary intervention for acute ST-segment elevation myocardial infarction. Methods The primary endpoint of the study was myocardial infarction size as measured by the CK peak value. The SYNTAX score was calculated retrospectively in 253 consecutive patients with acute ST-segment elevation myocardial infarction (STEMI) undergoing primary percutaneous coronary intervention (PPCI) in a large tertiary referral center in Switzerland, between January 2009 and June 2010. Linear regression analysis was performed to compare myocardial infarction size with the SYNTAX score. This same endpoint was then stratified according to SYNTAX score tertiles: low <22 (n=178), intermediate [22-32] (n=60), and high >=33 (n=15). Results There were no significant differences in terms of clinical characteristics between the three groups. When stratified according to the SYNTAX score tertiles, average CK peak values of 1985 (low<22), 3336 (intermediate [22-32]) and 3684 (high>=33) were obtained with a p-value <0.0001. Bartlett's test for equal variances between the three groups was 9.999 (p-value <0.0067). A moderate Pearson product-moment correlation coefficient (r=0.4074) with a high statistical significance level (p-value <0.0001) was found. The coefficient of determination (R^2=0.1660) showed that approximately 17% of the variation of CK peak value (myocardial infarction size) could be explained by the SYNTAX score, i.e. by the coronary disease complexity. Conclusion In an all-comers population, the SYNTAX score is an additional tool in predicting myocardial infarction size in patients treated with primary percutaneous coronary intervention (PPCI). The stratification of patients in different risk groups according to SYNTAX enables to identify a high-risk population that may warrant particular patient care.
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Objectives: The aim of this study was to evaluate the efficacy of brief motivational intervention (BMI) in reducing alcohol use and related problems among binge drinkers randomly selected from a census of 20 year-old French speaking Swiss men and to test the hypothesis that BMI contributes to maintain low-risk drinking among non-bingers. Methods: Randomized controlled trial comparing the impact of BMI on weekly alcohol use, frequency of binge drinking and occurrence of alcohol-related problems. Setting: Army recruitment center. Participants: A random sample of 622 men were asked to participate, 178 either refused, or missed appointment, or had to follow military assessment procedures instead, resulting in 418 men randomized into BMI or control conditions, 88.7% completing the 6-month follow-up assessment. Intervention: A single face-to-face BMI session exploring alcohol use and related problems in order to stimulate behaviour change perspective in a non-judgmental, empathic manner based on the principles of motivational interviewing (MI). Main outcome measures: Weekly alcohol use, binge drinking frequency and the occurrence of 12 alcohol-related consequences. Results: Among binge drinkers, we observed a 20% change in drinking induced by BMI, with a reduction in weekly drinking of 1.5 drink in the BMI group, compared to an increase of 0.8 drink per week in the control group (incidence rate ratio 0.8, 95% confidence interval 0,66 to 0,98, p = 0.03). BMI did not influence the frequency of binge drinking and the occurrence of 12 possible alcohol-related consequences. However, BMI induced a reduction in the alcohol use of participants who, after drinking over the past 12 months, experienced alcohol-related consequences, i.e., hangover (-20%), missed a class (-53%), got behind at school (-54%), argued with friends (-38%), engaged in unplanned sex (-45%) or did not use protection when having sex (-64%). BMI did not reduce weekly drinking in those who experienced the six other problems screened. Among non-bingers, BMI did not contribute to maintain low-risk drinking. Conclusions: At army conscription, BMI reduced alcohol use in binge drinkers, particularly in those who recently experienced alcohol-related adverse consequences. No preventive effect of BMI was observed among non-bingers. BMI is an interesting preventive option in young binge drinkers, particularly in countries with mandatory army recruitment.
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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.
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This article describes an approach for working with individuals who have dementia, along with their spouses or partners. The 5-week intervention focuses on helping couples communicate, reminisce about the story of their relationship, find photographs and mementoes from their past, and develop a book that incorporates these mementoes. This clinical approach highlights the strengths and the resilience of couples and adds to the limited repertoire of dyadic interventions for dementia care which are currently available. Preliminary findings from 24 couples are presented, including the intervention's feasibility and acceptability.
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The purpose of this paper is to examine the relation between government measures, volunteer participation, climate variables and forest fires. A number of studies have related forest fires to causes of ignition, to fire history in one area, to the type of vegetation and weathercharacteristics or to community institutions, but there is little research on the relation between fire production and government prevention and extinction measures from a policy evaluation perspective.An observational approach is first applied to select forest fires in the north east of Spain. Taking a selection of fires with a certain size, a multiple regression analysis is conducted to find significant relations between policy instruments under the control of the government and the number of hectares burn in each case, controlling at the same time the effect of weather conditions and other context variables. The paper brings evidence on the effects of simultaneity and the relevance of recurring to army soldiers in specific days with extraordinary high simultaneity. The analysis also brings light on the effectiveness of twopreventive policies and of helicopters for extinction tasks.
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AIMS: A literature review of existing research on the prevalence of alcohol use disorders (AUDs) and availability of alcohol interventions in Europe was conducted. The review also explored what is known about the gap between need and provision of alcohol interventions in Europe. METHODS: The review search strategy included: (i) descriptive studies of alcohol intervention systems in Europe; (ii) studies of alcohol service provision in Europe; and (iii) studies of prevalence of AUD and alcohol needs assessment in Europe. RESULTS: Europe has a relatively high level of alcohol consumption and the resulting disabilities are the highest in the world. Most research on implementation of alcohol interventions in Europe has been restricted to screening and brief interventions. Alcohol needs assessment methodology has been developed but has not been applied in comparative studies across countries in Europe. CONCLUSIONS: This review points to key gaps in knowledge related to alcohol interventions in Europe. There is a lack of comparative data on variations in alcohol treatment systems across European countries and there is also a lack of comparative data on the prevalence of alcohol use disorders across European countries and the relative gap between need and access to treatment. The forthcoming Alcohol Measures for Public Health Research Alliance (AMPHORA) research project work package on 'Early identification and treatment' aims to address these gaps.
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AIM: In a survey conducted in the Lausanne catchment area in 2000, we could estimate on the basis of file assessment that first-episode psychosis (FEP) patients had psychotic symptoms for more than 2 years before treatment and that 50% did not attend any outpatient appointment after discharge from hospital. In this paper, we describe the implementation of a specialized programme aimed at improving engagement and quality of treatment for early psychosis patients in the Lausanne catchment area in Switzerland. METHOD: The Treatment and Early Intervention in Psychosis Program-Lausanne is a comprehensive 3-year programme composed of (i) an outpatient clinic based on assertive case management; (ii) a specialized inpatient unit; and (iii) an intensive mobile team, connected for research to the Center for Psychiatric Neuroscience. RESULTS: Eight years after implementation, the programme has included 350 patients with a disengagement rate of 9% over 3 years of treatment. All patients have been assessed prospectively and 90 participated in neurobiological research. Based on this experience, the Health Department funded the implementation of similar programmes in other parts of the state, covering a total population of 540 000 people. CONCLUSION: Programmes for early intervention in psychosis have a major impact on patients' engagement into treatment. While development of mobile teams and assertive case management with specific training are crucial, they do not necessitate massive financial support to be started. Inclusion of a research component is important as well, in terms of service planning and improvement of both quality of care and impact of early intervention strategies.
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Aim: This paper will describe the rationale for, and importance of, psychological interventions for young people early in the course of bipolar disorder. Methods: Emerging literature in this field will be discussed in addition to describing specific clinical challenges and opportunities with this population. Results: In order to be more developmentally appropriate for young people with bipolar disorder, eight aspects of clinical work which may require modification were identified. Conclusions: The evidence base for the effectiveness of psychological interventions for people diagnosed with bipolar disorder is growing. However, some aspects relating to working with adults with bipolar disorder require modification to be effective in working with young people early in the course of the disorder.
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PURPOSE: Anhedonia is a challenging symptom of schizophrenia and remains largely recalcitrant to current pharmacological treatments. The goal of this exploratory pilot study was to assess if a cognitive-sensory intervention could improve anticipatory pleasure. DESIGN AND METHODS: Five participants meeting the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (4th edition, Text Revision) criteria for schizophrenia, presenting severe anhedonia and stabilized on atypical antipsychotic medication, received between 10 hours and 25 hours of training. FINDINGS: Results show that the patients improved on the anticipatory scale of the Temporal Experience of Pleasure Scale. Daily activities of the patients were also increased. PRACTICE IMPLICATIONS: These preliminary data need to be interpreted with caution given the small sample of the study, but they offer promising paths to develop new interventions to alleviate anhedonia in schizophrenia.