548 resultados para Galaxy
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Marshall McLuhan's "global village", and his theories on communications and technology, in conjunction with Patrick McGoohan's television series The Prisoner (ATV, 1967-1968) are explored in this thesis. The Prisoner, brainchild of McGoohan, is about the abduction and confinement of a British government agent imprisoned within the impenetrable boundaries of a benign but totalitarian city -state called "The Village". The purpose of his abduction and imprisonment is for the extraction of information regarding his resignation as a government spy. Marshall McLuhan originally popularized the phrase "the global village" in The Gutenberg Galaxy: The Making o/the Topographic Man (1962), asserting that, "The new electronic interdependence recreates the world in the image of a global village" (p. 31). This thesis argues that valid parallels exist between McGoohan's conception of "village", as manifested in The Prisoner, and McLuhan's global village. The comprehensive methodological stratagem for this thesis includes Marshall McLuhan's "mosaic" approach, Mikhail Bakhtin's concept ofthe "chronotope", as well as a Foucauldian genealogicallhistorical discourse analysis. In the process of deconstructing McLuhan's texts and The Prisoner as products of the 1960s, an historical "constellation" (to use Walter Benjamin's concept) of the same present has been executed. By employing this synthesized methodology, conjunctions have been made between McLuhan's theories and the series' main themes of bureaucracy as dictatorship, the perversion of science and technology, freedom as illusion, and the individual in opposition to the collective. A thorough investigation of the global village and The Prisoner will determine whether or not Marshall McLuhan and/or Patrick McGoohan visualize the village as an enslaving technological reality.
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Formées lors de l’effondrement gravitationnel d’un nuage de gaz moléculaire, les étoiles naissantes auront différentes masses variant entre 0.08 et environ 100M . La majorité de la population stellaire de la Galaxie est constituée d’étoiles dont la masse est inférieure à environ 0.6 M . Le dernier évènement de formation stellaire dans le voisinage solaire s’est produit dans la bulle locale il y a au plus 100 millions d’années, vraisemblablement provoqué par le passage d’une onde de choc dans le bras local de la Galaxie. C’est ainsi que se formèrent de jeunes associations d’étoiles dont les membres se caractérisent en particulier par une vitesse spatiale et une position commune dans la Galaxie. Les associations jeunes étant peu densément peuplées et relativement proches du Soleil, leurs membres se font plutôt rares et dispersés sur toute la voûte céleste. Jusqu’à présent, surtout les étoiles les plus massives (brillantes) ont été répertoriées. Les étoiles jeunes de faible masse, constituant la majorité de la population, restent pour la plupart à être identifiées. Les étoiles jeunes de faible masse représentent une population clef pour contraindre les modèles évolutifs des étoiles M et des naines brunes. Elles sont également d’excellentes candidates pour chercher des exoplanètes via les techniques d’imagerie directe. Ce mémoire présente une nouvelle méthode utilisant un modèle cinématique enrichi d’une analyse statistique Bayesienne pour identifier des étoiles jeunes de faible masse dans les associations beta Pictoris, Tucana-Horologium et AB Doradus. À partir d’un échantillon de 1080 étoiles K et M, toutes comportant des indicateurs de jeunesse tels l’émission Halpha et une forte luminosité dans les rayons X, leurs propriétés cinématiques (mouvement propre) et photométriques sont analysées pour en extraire 98 candidates hautement probables membres d’une des trois associations. Une confirmation de leur statut comme membre nécessitera en particulier une mesure de leur vitesse radiale (prédit par notre analyse) et une mesure de la largeur équivalente du lithium à 6708 Å pour mieux contraindre leur âge.
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Un nouveau contrôleur de EMCCD (Electron multiplying Charge Coupled Device) est présenté. Il permet de diminuer significativement le bruit qui domine lorsque la puce EMCCD est utilisé pour du comptage de photons: le bruit d'injection de charge. À l'aide de ce contrôleur, une caméra EMCCD scientifique a été construite, caractérisée en laboratoire et testée à l'observatoire du mont Mégantic. Cette nouvelle caméra permet, entre autres, de réaliser des observations de la cinématique des galaxies par spectroscopie de champ intégral par interférométrie de Fabry-Perot en lumière Ha beaucoup plus rapidement, ou de galaxies de plus faible luminosité, que les caméras à comptage de photon basées sur des tubes amplificateurs. Le temps d'intégration nécessaire à l'obtention d'un rapport signal sur bruit donné est environ 4 fois moindre qu'avec les anciennes caméras. Les applications d'un tel appareil d'imagerie sont nombreuses: photométrie rapide et faible flux, spectroscopie à haute résolution spectrale et temporelle, imagerie limitée par la diffraction à partir de télescopes terrestres (lucky imaging), etc. D'un point de vue technique, la caméra est dominée par le bruit de Poisson pour les flux lumineux supérieurs à 0.002 photon/pixel/image. D'un autre côté, la raie d'hydrogène neutre (HI) à 21 cm a souvent été utilisée pour étudier la cinématique des galaxies. L'hydrogène neutre a l'avantage de se retrouver en quantité détectable au-delà du disque optique des galaxies. Cependant, la résolution spatiale de ces observations est moindre que leurs équivalents réalisés en lumière visible. Lors de la comparaison des données HI, avec des données à plus haute résolution, certaines différences étaient simplement attribuées à la faible résolution des observations HI. Le projet THINGS (The HI Nearby Galaxy Survey a observé plusieurs galaxies de l'échantillon SINGS (Spitzer Infrared Nearby Galaxies Survey). Les données cinématiques du projet THIGNS seront comparées aux données cinématiques obtenues en lumière Ha, afin de déterminer si la seule différence de résolution spatiale peut expliquer les différences observées. Les résultats montrent que des différences intrinsèques aux traceurs utilisées (hydrogène neutre ou ionisé), sont responsables de dissemblances importantes. La compréhension de ces particularités est importante: la distribution de la matière sombre, dérivée de la rotation des galaxies, est un test de certains modèles cosmologiques.
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La thèse qui suit est organisée en deux volets: un premier volet portant sur les modèles de masse de galaxies et un second volet sur la conception de revêtements optiques et le contrôle de leurs propriétés mécaniques. Les modèles de masse présentés dans cette thèse ont été réalisés sur un sous-échantillon de dix galaxies de l'étude SINGS comprenant neuf galaxies normales et une galaxie naine. Ce travail visait à fixer le rapport masse-luminosité du disque à tout rayon en utilisant les résultats de modèles d'évolution galactique chimio-spectrophotométriques ajustés spécifiquement à chaque galaxie grâce à son profil de photométrie multi-bandes. Les résultats montrent que les disques stellaires tels que normalisés par les rapports masse-luminosité issus des modèles ont des masses cohérentes dans toutes les bandes étudiées de l'ultra-violet, du visible ainsi que du proche infrarouge (bandes FUV à IRAC2). Ces disques peuvent être considérés comme maximaux par rapport aux données cinématiques des galaxies étudiées. Ceci est dû au fait que le rapport M/L est plus élevé au centre que sur les bords. Les disques étant maximaux et physiquement justifiés, on ne peut dès lors ignorer les effets de composants tels que les bulbes ou les barres et les corrections nécessaires doivent être apportées aux profils de luminosité et de vitesses de rotation de la galaxie. Dans les travaux de la seconde partie, le logiciel en développement libre OpenFilters a été modifié afin de tenir compte des contraintes mécaniques dans la conception numérique de revêtements optiques. Les contraintes mécaniques dans les couches minces ont un effet délétère sur leurs performances optiques. Un revêtement destiné à rendre réflectives les lames d'un étalon Fabry-Perot utilisé en astronomie a été conçu et fabriqué afin d'évaluer les performances réelles de la méthode. Ce cas a été choisi à cause de la diminution de la finesse d'un étalon Fabry-Perot apporté par la courbure des lames sous l'effet des contraintes. Les résultats montrent que les mesures concordent avec les modèles numériques et qu'il est donc possible à l'aide de ce logiciel d'optimiser les revêtements pour leur comportement mécanique autant que pour leurs propriétés optiques.
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L'outil développé dans le cadre de cette thèse est disponible à l'adresse suivante: www.astro.umontreal.ca/~malo/banyan.php
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Les étoiles naines blanches représentent la fin de l’évolution de 97% des étoiles de notre galaxie, dont notre Soleil. L’étude des propriétés globales de ces étoiles (distribution en température, distribution de masse, fonction de luminosité, etc.) requiert l’élaboration d’ensembles statistiquement complets et bien définis. Bien que plusieurs relevés d’étoiles naines blanches existent dans la littérature, la plupart de ceux-ci souffrent de biais statistiques importants pour ce genre d’analyse. L’échantillon le plus représentatif de la population d’étoiles naines blanches demeure à ce jour celui défini dans un volume complet, restreint à l’environnement immédiat du Soleil, soit à une distance de 20 pc (∼ 65 années-lumière) de celui-ci. Malheureusement, comme les naines blanches sont des étoiles intrinsèquement peu lumineuses, cet échantillon ne contient que ∼ 130 objets, compromettant ainsi toute étude statistique significative. Le but de notre étude est de recenser la population d’étoiles naines blanches dans le voisinage solaire a une distance de 40 pc, soit un volume huit fois plus grand. Nous avons ainsi entrepris de répertorier toutes les étoiles naines blanches à moins de 40 pc du Soleil à partir de SUPERBLINK, un vaste catalogue contenant le mouvement propre et les données photométriques de plus de 2 millions d’étoiles. Notre approche est basée sur la méthode des mouvements propres réduits qui permet d’isoler les étoiles naines blanches des autres populations stellaires. Les distances de toutes les candidates naines blanches sont estimées à l’aide de relations couleur-magnitude théoriques afin d’identifier les objets se situant à moins de 40 pc du Soleil, dans l’hémisphère nord. La confirmation spectroscopique du statut de naine blanche de nos ∼ 1100 candidates a ensuite requis 15 missions d’observations astronomiques sur trois grands télescopes à Kitt Peak en Arizona, ainsi qu’une soixantaine d’heures allouées sur les télescopes de 8 m des observatoires Gemini Nord et Sud. Nous avons ainsi découvert 322 nouvelles étoiles naines blanches de plusieurs types spectraux différents, dont 173 sont à moins de 40 pc, soit une augmentation de 40% du nombre de naines blanches connues à l’intérieur de ce volume. Parmi ces nouvelles naines blanches, 4 se trouvent probablement à moins de 20 pc du Soleil. De plus, nous démontrons que notre technique est très efficace pour identifier les étoiles naines blanches dans la région peuplée du plan de la Galaxie. Nous présentons ensuite une analyse spectroscopique et photométrique détaillée de notre échantillon à l’aide de modèles d’atmosphère afin de déterminer les propriétés physiques de ces étoiles, notamment la température, la gravité de surface et la composition chimique. Notre analyse statistique de ces propriétés, basée sur un échantillon presque trois fois plus grand que celui à 20 pc, révèle que nous avons identifié avec succès les étoiles les plus massives, et donc les moins lumineuses, de cette population qui sont souvent absentes de la plupart des relevés publiés. Nous avons également identifié plusieurs naines blanches très froides, et donc potentiellement très vieilles, qui nous permettent de mieux définir le côté froid de la fonction de luminosité, et éventuellement l’âge du disque de la Galaxie. Finalement, nous avons aussi découvert plusieurs objets d’intérêt astrophysique, dont deux nouvelles étoiles naines blanches variables de type ZZ Ceti, plusieurs naines blanches magnétiques, ainsi que de nombreux systèmes binaires non résolus.
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Latex a été utilisé pour la redaction de cette thèse.
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Determining the morphological parameters that describe galaxies has always been a challenging task. The studies on the correlations between different photometric as well as spectroscopic parameters of the galaxies help in understanding their structure, properties of the stars and gas which constitute the galaxy, the various physical and chemical processes which determine the properties, and galaxy formation and evolution. In the last few decades, the advent of Charge Coupled Devices (CCDs) and near infrared arrays ha\·e provided quick and reliable digitized data acquisition, in the optical and near infrared bands. This has provided an avalanche of data, which can be processed using sophisticated image analysis techniques to obtain information about the morphology of galaxies. The photometric analysis performed in this thesis involve the extraction of structural parameters of early type gala.xies imaged in the near infrared K (2.2ttm) band, obtaining correlations between these, parameters and using them to constrain the large scale properties of galaxi,~s.
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We present an analysis of Rapid Keck Spectroscopy of the CVs AM Her (polar) and SS Cyg (dwarf nova). We decompose the spectra into constant and variable components and identify different types of variability in AM Her with different characteristic timescales. The variable flickering component of the accretion disc flux and the observational characteristics of a small flare in SS Cyg are isolated.
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Mankind is facing an unprecedented health challenge in the current pandemic of obesity and diabetes. We propose that this is the inevitable (and predictable) consequence of the evolution of intelligence, which itself could be an expression of life being an information system driven by entropy. Because of its ability to make life more adaptable and robust, intelligence evolved as an efficient adaptive response to the stresses arising from an ever-changing environment. These adaptive responses are encapsulated by the epiphenomena of “hormesis”, a phenomenon we believe to be central to the evolution of intelligence and essential for the maintenance of optimal physiological function and health. Thus, as intelligence evolved, it would eventually reach a cognitive level with the ability to control its environment through technology and have the ability remove all stressors. In effect, it would act to remove the very hormetic factors that had driven its evolution. Mankind may have reached this point, creating an environmental utopia that has reduced the very stimuli necessary for optimal health and the evolution of intelligence – “the intelligence paradox”. One of the hallmarks of this paradox is of course the rising incidence in obesity, diabetes and the metabolic syndrome. This leads to the conclusion that wherever life evolves, here on earth or in another part of the galaxy, the “intelligence paradox’” would be the inevitable side-effect of the evolution of intelligence. ET may not need to just “phone home” but may also need to “phone the local gym”. This suggests another possible reason to explain Fermi’s paradox; Enrico Fermi, the famous physicist, suggested in the 1950s that if extra-terrestrial intelligence was so prevalent, which was a common belief at the time, then where was it? Our suggestion is that if advanced life has got going elsewhere in our galaxy, it can’t afford to explore the galaxy because it has to pay its healthcare costs.
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An understanding of how the heliosphere modulates galactic cosmic ray (GCR) fluxes and spectra is important, not only for studies of their origin, acceleration and propagation in our galaxy, but also for predicting their effects (on technology and on the Earth’s environment and organisms) and for interpreting abundances of cosmogenic isotopes in meteorites and terrestrial reservoirs. In contrast to the early interplanetary measurements, there is growing evidence for a dominant role in GCR shielding of the total open magnetic flux, which emerges from the solar atmosphere and enters the heliosphere. In this paper, we relate a strong 1.68- year oscillation in GCR fluxes to a corresponding oscillation in the open solar magnetic flux and infer cosmic-ray propagation paths confirming the predictions of theories in which drift is important in modulating the cosmic ray flux.
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We report the discovery of the first known symbiotic star in IC10, a starburst galaxy belonging to the Local Group, at a distance of similar to 750 kpc. The symbiotic star was identified during a survey of emission-line objects. It shines at V = 24.62 +/- 0.04, V - R(C) = 2.77 +/- 0.05 and R(C) - I(C) = 2.39 +/- 0.02, and suffers from E(B-V) = 0.85 +/- 0.05 reddening. The spectrum of the cool component well matches that of solar neighbourhood M8III giants. The observed emission lines belong to Balmer series, [S II], [N II] and [O III]. They suggest a low electronic density, negligible optical depth effects and 35 000 < T(eff) < 90 000 K for the ionizing source. The spectrum of the new symbiotic star in IC10 is an almost perfect copy of that of Hen 2-147, a well-known Galactic symbiotic star and Mira.
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We derive fundamental parameters of the embedded cluster DBSB 48 in the southern nebula Hoffleit 18 and the very young open cluster Trumpler 14, by means of deep JHK(s) infrared photometry. We build colour-magnitude and colour-colour diagrams to derive reddening and age, based on main sequence and pre-main sequence distributions. Radial stellar density profiles are used to study cluster structure and guide photometric diagram extractions. Field-star decontamination is applied to uncover the intrinsic cluster sequences in the diagrams. Ages are inferred from K-excess fractions. A prominent pre-main sequence population is present in DBSB 48, and the K-excess fraction f(K) = 55 +/- 6% gives an age of 1.1 +/- 0.5 Myr. A mean reddening of A(Ks) = 0.9 +/- 0.03 was found, corresponding to A(v) = 8.2 +/- 0.3. The cluster CMD is consistent with the far kinematic distance of 5 kpc for Hoffleit 18. For Trumpler 14 we derived similar parameters as in previous studies in the optical, in particular an age of 1.7 +/- 0.7 Myr. The fraction of stars with infrared excess in Trumpler 14 is f(K) = 28 +/- 4%. Despite the young ages, both clusters are described by a King profile with core radii R-core = 0.46 +/- 0.05 pc and R-core = 0.35 +/- 0.04 pc, respectively, for DBSB 48 and Trumpler 14. Such cores are smaller than those of typical open clusters. Small cores are probably related to the cluster formation and/or parent molecular cloud fragmentation. In DBSB 48, the magnitude extent of the upper main sequence is Delta K-s approximate to 2 mag, while in Trumpler 14 it is Delta K-s approximate to 5 mag, consistent with the estimated ages. (c) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.
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This continuing study of intragroup light in compact groups of galaxies aims to establish new constraints to models of formation and evolution of galaxy groups, specially of compact groups, which are a key part in the evolution of larger structures, such as clusters. In this paper we present three additional groups (HCG 15, 35 and 51) using deep wide-field B- and R-band images observed with the LAICA camera at the 3.5-m telescope at the Calar Alto observatory (CAHA). This instrument provides us with very stable flat-fielding, a mandatory condition for reliably measuring intragroup diffuse light. The images were analysed with the OV_WAV package, a wavelet technique that allows us to uncover the intragroup component in an unprecedented way. We have detected that 19, 15 and 26 per cent of the total light of HCG 15, 35 and 51, respectively, are in the diffuse component, with colours that are compatible with old stellar populations and with mean surface brightness that can be its low as 28.4 B mag arcsec(-2). Dynamical masses, crossing times and mass-to-light ratios were recalculated using the new group parameters. Also tidal features were analysed using the wavelet technique.
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The ejection of the gas out of the disc in late-type galaxies is related to star formation and is due mainly to Type II supernovae. In this paper, we studied in detail the development of the Galactic fountains in order to understand their dynamical evolution and their influence on the redistribution of the freshly delivered metals over the disc. To this aim, we performed a number of 3D hydrodynamical radiative cooling simulations of the gas in the Milky Way where the whole Galaxy structure, the Galactic differential rotation and the supernova explosions generated by a single OB association are considered. A typical fountain powered by 100 Type II supernovae may eject material up to similar to 2 kpc which than collapses back mostly in the form of dense, cold clouds and filaments. The majority of the gas lifted up by the fountains falls back on the disc remaining within a radial distance Delta R = 0.5 kpc from the place where the fountain originated. This localized circulation of disc gas does not influence the radial chemical gradients on large scale, as required by the chemical models of the Milky Way which reproduce the metallicity distribution without invoking large fluxes of metals. Simulations of multiple fountains fuelled by Type II supernovae of different OB associations will be presented in a companion paper.