992 resultados para Deval, Marguerite (1868-1955)
Resumo:
En el present treball analitzarem el pensament, actituds i valors del grup dominant liberal en la ciutat de Lleida durant l'època isabelina (1833-1868). El nostre propòsit serà el d’intentar superar les evidents diferències ideològiques que havia entre els seus membres (principalment les polítiques entre liberals moderats i progressistes) per trobar els valors bàsics acceptats en el comportament social dominant en la Lleida de mitjan segle XIX. D'aquesta manera, delimitant aquesta actitud col·lectiva intentarem arribar a la mentalitat de la comunitat al voltant de les seves costums.
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Lleida, una ciudad media de España en el XIX que tiene como particularidad ser una capital de provincia con una economía tradicional a medio camino entre las actividades del campo y las incipientes urbanas, es nuestro marco de estudio para analizar el comportamiento de los grupos sociales de su comunidad ante los cambios políticos operados en España durante el siglo XIX para consolidar el liberalismo como sistema de gobierno. Las fuentes consultadas fueron los archivos locales mediante el contraste de los censos de población, sus rentas y la lista de políticos y milicianos implicados en el proceso político para establecer pautas y analogías entre ellos según su filiación política. Con estas pautas nos acercamos a la sociología de su población y sus concreciones políticas durante este período. De esta manera, descubrimos los mecanismos de resistencia del grupo dominante del antiguo régimen para mantener el poder y las tácticas de los liberales para conseguir desbancarlos y conseguir mayor representación política en el municipio. La conclusión de este estudio es que mediante el acomodo de los grupos privilegiados del antiguo régimen al liberalismo moderado, estos consiguieron su espacio político en la comunidad para mantener la mayor parte del tiempo su cuota de poder, mientras que los liberales, mediante su identificación al progresismo, tenían enormes dificultades para conseguir el control y poner en práctica su proyecto político.
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La station valaisanne de Crans-Montana est richement représentée par la photographie, la peinture, les affiches et l'architecture. Cette thèse de doctorat s'emploie à réunir un large corpus de photographies et de représentations : peintures, affiches, cartes postales et reproductions de bâtiments emblématiques (voir le corpus illustré et documentaire annexé). Les questions liées à l'identité du territoire et son image sont les fils conducteurs de ce travail qui a débuté en 2008. Un premier ensemble visuel a été réuni par le Dr Théodore Stephani (1868-1951), un acteur fondamental pour l'histoire de la naissance de la station. Médecin, mais également photographe, il réalise une collection de plus de 1300 clichés, réunie en six albums, sur une période de trente-sept ans (1899-1936). Les photographies du médecin, originaire de Genève, fondateur de ce lieu désormais touristique sont le point de départ de cette recherche et son fil rouge. Celle-ci tentera d'articuler des représentations sur l'évolution du paysage et l'urbanisation de la station autour d'acteurs illustres, tels que les peintres Ferdinand Hodler (1853-1918) et Albert Muret (1874-1955), l'écrivain Charles-Ferdinand Ramuz (1878-1947) et les nombreux hôteliers ou médecins qui ont marqué l'histoire de la naissance du Haut-Plateau. Les représentations débutent en 1896 car c'est à ce moment-là que le Dr Stephani s'établit à Montana. Les architectes les plus connus de la première période sont François-Casimir Besson (1869-1944), Markus Burgener (1878-1953), suivi de la deuxième génération autour de Jean-Marie Ellenberger (1913-1988), André Perraudin (1915-2014) et André Gaillard (1921-2010). Parallèlement ou avant eux, les peintres déjà cités, Ferdinand Hodler et Albert Muret, - suivis de René Auberjonois (1872-1957), Henri-Edouard Bercher (1877-1970), Charles-Clos Olsommer (1883-1966), Oskar Kokoschka (1886-1980), Albert Chavaz (1907¬1990), Paul Monnier (1907-1982) et Hans Emi (1909-2015) - qui appartiennent tous à l'histoire culturelle de la région. Quant aux écrivains qui ont résidé dans la région, nous citons Elizabeth von Arnim (1866-1941), sa cousine Katherine Mansfield (1888-1923) alors que l'oeuvre de Charles-Ferdinand Ramuz est largement développée par une interprétation de son oeuvre Le Règne de l'esprit malin (1917) et un clin d'oeil pour Igor Stravinsky (1882¬1971). Nous présenterons aussi les films de trois cinéastes qui se sont inspirés des oeuvres écrites par Ramuz lors de son passage à Lens, à savoir Dimitri Kirsanoff (1899-1957), Claude Goretta (1929) et Francis Reusser (1942). Le concept du « village » est abordé depuis l'exposition nationale suisse (1896) jusqu'au projet des investisseurs russes, à Aminona. Ce « village » est le deuxième mégaprojet de Suisse, après celui d'Andermatt. Si le projet se réalise, l'image de la station s'en trouvera profondément transformée. En 1998, la publication de Au bord de la falaise. L'histoire entre certitudes et inquiétudes amène une grande visibilité aux propositions de Roger Chartier, qui lie l'étude des textes aux objets matériels et les usages qu'ils engendrent dans la société. Il définit l'histoire culturelle comme "une histoire culturelle du social" alors que pour Pascal Ory, une histoire culturelle est "comme une forme d'histoire sociale", ce qui revient presque au même, mais nous choisirons celle d'Ory pour une histoire sociale du paysage et de l'architecture. Ce travail adopte ainsi plusieurs points de vue : l'histoire sociale, basée sur les interviews de nombreux protagonistes de l'histoire locale, et l'histoire de l'art qui permet une sélection d'objets emblématiques ; l'histoire culturelle offre ainsi une méthode transversale pour lire et relier ces différents regards ou points de vue entre les paysages, les arts visuels, l'architecture, la littérature et le cinéma.
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[spa] El estudio de la presencia de ideas económicas en los debates parlamentarios se ha convertido recientemente en un objeto importante dentro de la investigación sobre el proceso de institucionalización de la economía política en Europa Occidental en la llamada era liberal. En este marco general, este artículo se centra en el análisis de un caso de particular interés: La relevancia del pensamiento económico y el papel jugado por los economistas en los debates parlamentarios que siguieron a la creación de un nuevo impuesto que trataba de captar la renta personal, que fue lanzado por el ministro de Hacienda Laureano Figuerola en 1868. El artículo intenta demostrar, en primer lugar, que las ideas económicas jugaron efectivamente un papel relevante en las discusiones sobre el impuesto sobre la renta y que la presencia e influencia de los economistas en el Legislativo en este tiempo fue notable. En segundo lugar, que este fue un intento serio de modernizar la estructura fiscal española llevado a cabo por el Gobierno Provisional, el cual trató de diseñar un sistema impositivo capaz de fomentar el crecimiento económico del país.