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Contient : I, livre 1三孝廉讓產立高名San xiao lian rang chan li gao ming.Les trois licenciés charitables qui acquièrent de la célébrité ; II, livre 2兩縣令競義婚孤女Liang xian ling jing yi hun gu nü.L'orpheline ; III, livre 3滕大尹鬼斷家私Teng da yin gui duan jia si.Le portrait de famille ; IV, livre 4裴晉公義還原配Pei jin gong yi huan yuan phei.Comment le mandarin Dan bi perdit et retrouva sa fiancée ; V, livre 5杜十娘怒沈百寶箱Du shi niang nu chen bai bao xiang.Du Shi niang, de colère, jette dans l'eau la cassette de bijoux ; VI, livre 6李謫仙醉草嚇蠻書Li zhe xian zui cao he man shu.Le poète Li Tai bai ; VII, livre 7賣油郎獨占花魁Mai you lang du zhan hua khoei.Le vendeur d'huile qui seul possède la reine de beauté ; VIII, livre 8灌園叟(alias 吏)晚逢仙女Guan yuan sou (alias li) wan feng xian nü.Les pivoines ; IX, livre 9轉運漢巧遇洞庭紅Zhuan yun han qiao yu dong ting hong.Le couli des transports, adroitement, reçoit la beauté du Dong ting ; X, livre 10看財奴刁買寃家主Kan cai nu diao mai yuan jia zhu.Richesse mal acquise (Comment le ciel donne et reprend les richesses) ; XI, livre 11吳保安棄家贖友Wu bao an qi jia shu you.Véritable amitié ; XII, livre 12羊角哀舍命全交Yang jue ai she ming quan jiao.Yang Jue ai fait le sacrifice do sa vie par dévouement pour un ami ; XIII, livre 13沈小霞相會出師表Shen xiao xia xiang hui chu shi biao.Shen Xiao xia rencontre et présente le modèle des maîtres ; XIV, livre 14宋金郎團圓破氊笠Song jin lang tuan yuan po zhan li.Les tendres époux ; XV, livre 15盧太學詩酒傲公侯Lu tai xue shi jiu ao gong hou.Lu tai xue, poète et ivre, brave les princes ; XVI, livre 16李汧公窮邸遇俠客Li qian gong qiong di yu xie ke.Li Qian gong, dans sa résidence misérable, traite un hôte magnanime ; XVII, livre 17蘇小妹三難新郎Su xiao mei san nan xin lang.La jeune Su trois fois maltraite un nouveau marié ; XVIII, livre 18劉元普雙生貴子Liu yuan pu shuang sheng gui zi.Liu Yuan pu obtient deux beaux enfants ; XIX, livre 19俞伯牙摔琴謝知音Yu bai ya choai qin xie zhi yin.Le luth brisé ; XX, livre 20莊子休鼓盆成大道Zhuang zi xiu gu phen cheng da dao.La matrone du pays de Song ; XXI, livre 21老門生三世報恩Lao men sheng san shi bao en.Le vieil élève montre sa reconnaissance à la troisième génération ; XXII, livre 22鈍秀才一朝交泰Dun xiu cai yi zhao jiao tai.Le bachelier obtus tout d'un coup exerce son influence formatrice ; XXIII, livre 23蔣興哥重會珍珠衫Jiang xing ge chong hui zheng zhu shan.Le négociant ruiné (La tunique de perles) ; XXIV, livre 24陳御史巧勘金釵鈿Chen yu shi qiao kan jin tchhai tian.Une cause célèbre ; XXV, livre 25徐老僕義憤成家Xu lao bu yi fen cheng jia.Un serviteur méritant ; XXVI, livre 26蔡小姐忍辱報讐Cai xiao jie ren ru bao chou .L'héroïsme de la piété filiale ; XXVII, livre 27錢秀才錯占鳳凰儔.Qian xiu cai tsho zhan feng huang chou .Mariage forcé ; XXVIII, livre 28喬太守亂㸃鴛鴦譜.Qiao tai shou luan dian yuan yang pu.Le préfet Qiao pointe à tort le registre des unions ; XXIX, livre 29懷私怨很僕告主Huai si yuan hen bu gao zhu.Le crime puni ; XXX, livre 30念親恩孝女藏兒Nian qin en xiao nü cang er.La calomnie démasquée ; XXXI, livre 31呂大郎還金完骨肉Lü da lang huan jin wan gu ru.Les trois frères ; XXXII, livre 32金玉奴棒打薄情郎.Jin yu nu bang da bai qing lang.Femme et mari ingrats ; XXXIII, livre 33唐解元玩世出奇.Tang jie yuan wan shi chu qi.Le mariage du licencié Tang (Tang le jie yuan) ; XXXIV, livre 34女秀才移花接木.Nü xiu cai yi hua jie mu.La bachelière du pays de Zhu ; XXXV, livre 35王喬鸞百年長恨.Wang qiao luan bai nian chang hen.Le ressentiment perpétuel de Wang Qiao luan ; XXXVI, livre 36十三郎五歲朝天.Shi san lang wu sui chao tian.Shi san lang pendant cinq ans se tourne vers le ciel ; XXXVII, livre 37崔俊臣巧合芙蓉屏.Cui jun chen qiao he fu yong ping.Paravent révélateur ; XXXVIII, livre 38趙縣君喬送黃柑子.Zhao xian jun qiao song huang gan zi.Chantage ; XXXIX, livre 39誇妙術丹容提金.Khoa miao shu dan yong ti jin.Les alchimistes ; XL, livre 40逞多財(alias 錢多) 白丁橫帶Cheng duo cai (qian duo) bai ding heng dai.Cupidité et dérèglement
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Contient : 1° « Miracles de Nostre. Dame », par « WAUTIER DE COINSI » ; Chansons en l'honneur de la Vierge, avec notation ; « Amours, ki set bien encanter... » ; « Ki ki fache rotruenge nouvele... » ; « Rome chelestre... » ; « Talens m'est pris orendroit... » ; « Reforchier m'estuet ma vois... » ; « Quant ches floretes florir voi... » ; « Pour conforter mon cuer et mon corage... » ; Miracles ; « [P]our chaus esbatre et deporter... » ; « Un bel miracle vous eschite... » ; « Un miracle truis d'un prevoire... » ; « A Chartres fu, che truis, uns clers... » ; « Uns moines fu d'une abeïe... » ; « Pour pluisors cuers plus enflamber... » ; « [U]n haut miracle mult pitex... » ; « Tout li miracle Nostre Dame... » ; « Une abeesse fu jadis... » ; « Entendes tout, faites silenche... » ; « [Tene]s silenche, [bele]s gens... » ; « Un brief miracle mult aoine... » ; « [Si com] mes livres [me] tesmogne... » ; « [Un] miracle vous [vo]el redire... » ; « Mes livres me dist et revele... » ; « En escrit truis k'en l'abeïe... » ; « A chaus ki aiment douchement... » ; « A la loenge de la Vierge... » ; « Ichi apres voel metre en brief... » ; [Se pres de moi vous voules traire...] ; «... De madame sainte Marie... ». — Manquent les cinq premiers vers ; « Quelke d'oïr aves talent... » ; « [Q]ueke talent aves d'oïr... » ; « En escrit truis ke pres d'Orliens... » ; « Entendes tuit, et clerc et lai... » ; « Quoike volentés me semonst... » ; « [Un] miracle [v]oel rechiter... » ; « Pour che qu'iseuse est mors à l'ame... » ; « [I]l fu.I. muit biax damoisiaus... » ; « Bien est ke nos le bien dions... » ; « Un archeveske ot à Tolete... » ; « [A B]oorges che [t]ruis lisant... » ; « Il fu, ce truis, uns chevaliers... » ; « Chele en cui prist humanité... » ; « A le loenge glorieuse... » ; « [Que] de memore ne decaie... » ; Prologue du second livre ; Chansons en l'honneur de la Vierge, avec notation ; « Pour la puchele en chantant me deport... » ; « Mere Diu, virge senée... » ; « L'amours dont sui espris... » ; « D'une amour coie et serie... » ; « Hui matin à l'ajournée... » ; Suite des miracles ; « Asses saves ke mult lo on... » ; « Or entendes ça en cest fuel... » ; « [As sa]ges dist [et f]ait savoir... » ; « [I]chi me prent, ichi m'aart... » ; « Vous, damoiseles, et vous, dames... » ; « Un miracle trop mervellex... » ; « [Au t]ans ke de la [ci]té noble... » ; « Tant truis escrit, foi ke doit m'ame... » ; « Ki bons livraires veut cherkier... » ; « [O]n doit mult volentiers oïr... » ; « Conter vos voel d'un home lai... » ; « La douce mere au creatour... » ; « Se Dix m'aït hui et demain... » ; « Ichi apres voel remauller... » ; « Sainte Escriture nous esclaire... » ; « Anchois ke hors du livre issons... » ; « Ki veut oïr vers moi se traie... » ; « Chele ki est de tel maniere... » ; « Mes livres me dit et narrat... » ; « Ki veut oïr, qui veut entendre... » ; « Vous ki ames de cuer entier... » ; « Quant issus sui et eschapés... » ; « Gautiers, ki est de cors et d'ame... » ; « Men chief m'a tout resvertué... » ; 2° « Les Salus à la tres glorieuse Virge Marie », par le même ; 3° Paraphrase du psaume Eructavit
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Contient : 1 « Definition d'amour », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 2 « Rondeau », par « S[AINT] G»[ELAIS] (fol. 2). Refrain : « Mal ou bien » ; 3 « Le Courtisant » [par BALTHASARD DE CASTIGLIONE] ; 4 « Epistre » ; 5 Épigramme contre le duc de Guise et le cardinal de Lorraine ; 6 « Epistre de J[ACQUES] C»[OLIN] ; 7 « Epistre du chevalier navré et prins devant Pavie à sa dame negligente de luy escribre » ; 8 « Epistre » ; 9 « Epistre » ; 10 « Compte d'amour fugitif, translaté de grec en latin par POLITIAN, et de latin en françois par CLEMENT MAROT » ; 11 « Six Dames de Paris à Clement Marot », épître, par « JANNE DEMONT » ; 12 « Epistre de CLEMENT MAROT à trois sortes de dames parisiennes » ; 13 « A six dames, Dieu sçait quelles, qui luy envoierent une epistre pleine de ce qu'elles sçavent dire », par le même ; 14 « A celles de qui ledict MAROT ne vouldroit perdre la grace » — Commençant (fol. 60) par: Et vous aultres bien saiges... » ; 15 « CLEMENT MAROT aux gentilz veaulx « Qui ont faict les adieux nouveaulx » ; 16 Huit rondeaux, par « C[LEMENT] M»[AROT]. Refrains ; 1 « Au temps passé » ; 2 « Avant mes jours » ; 3 « En la baisant » ; 4 « Toutes les nuictz » ; 5 « S'il est ainsy » ; 6 « D'avoir le pris » ; 7 « Tout à par soy » ; 8 « De nuict » ; 17 « Dixain », par « C[LEMENT] M»[AROT] ; 18 Cinq rondeaux, par « J[ACQUES] C»[OLIN]. Refrains ; 1 « Je le voy bien » ; 2 « Quand j'ay voulu » ; 3 « Taire ou cryer » ; 4 « En me taisant » ; 5 « Incontinent » ; 19 Sept rondeaux, par « J. G ». Refrains ; 1 « De m'acquiter » ; 2 « Sy ne revient » ; 3 « Si longuement » ; 4 « L'honesteté » ; 5 « Tout vient de Dieu » ; 6 « Oultre mon gré » ; 7 « De ton ennuyt » ; 20 Cinq rondeaux, par « J[EAN] MA»[ROT]. Refrains ; 1 « Contre le coup » ; 2 « Plus chault que feu » ; 3 « Dont vient cela » ; 4 « D'un seul regard » ; 5 « Pour le deduyt » ; 21 Quatorze rondeaux. Refrains ; 1 « Au feu d'amours » ; 2 « Aupres du vif » ; 3 « Comme ung phoenix » ; 4 « Mort ou mercy » ; 5 « Faict ou failly » ; 6 « Sy mieulx ne vient » ; 7 « De grise teste » ; 8 « D'estre amoureux » ; 9 « A ma requeste » ; 10 « Je n'en veuls point » ; 11 « Au tour de vous » ; 12 « Maulgré moy » ; 13 « Quand je vous voy » ; 14 « Ung jour » ; 22 « Dixain » ; 23 Trois stances amoureuses sur les mêmes rimes ; 24 « Dixain » ; 25 « Huittain » ; 26 Deux quatrains, par « L[A] M»[AISONNEUVE] ; 27 Huitain ; 28 Deux quatrains ; 29 Deux huitains ; 30 Deux huitains ; 31 « Epitaphe » ; 32 Deux huitains ; 33 Huitain ; 34 Deux huitains ; 35 Huitain ; 36 « La Royne de Navarre, du dieu Cupido » ; 37 « Dixain » ; 38 « Complaincte fort lugubre » ; 39 « In amorem furem », épigramme latine ; 40 Traduction de l'épigramme précédente, par « STROSIUS, poeta ferrariensis » ; 41 « AUSONIUS e greco », texte latin et « translat » de l'épigramme suivante ; 42 Trois quatrains amoureux, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] ; 43 « Dixain » ; 44 Pièce de vers de « CHAP»[UIS] ; 45 Epigramme sur « les Blancs Manteauls » ; 46 « Response » de « MAROT » à l'épigramme précédente ; 47 Deux huitains ; 48 « Response » aux huitains précédents ; 49 Rondeau, par « CHAP»[UIS]. Refrain : « Che foeu » ; 50 Deux rondeaux. Refrains ; 51 Rondeau, par [LA] « M[AISON] N»[EUVE]. Refrain ; 52 Rondeau (fol. 97). Refrain : « En bone foy » ; 53 Dixain « pour les dames de la rue S. Antoine », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 54 En envoyant un portrait, par « H. J. » ; 55 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 56 Vers sur l'«amour », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 57 Deux quatrains, par « COLIN » ; 58 Quatrain, par « CHAP»[UIS] ; 59 « Rondeau » (fol. 100). Refrain : « A Dieu » ; 60 Dixain ; 61 Huitain ; 62 Dixain, par [LA] « M[AISON] N»[EUVE] ; 63 Trois sixains, par « CHAP»[UIS] ; 64 Douzain, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] et « CHAP»[UIS] ; 65 Dixain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 66 Vers sur une « amitié... decousue », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 67 Deux quatrains, par « C[LAUDE] C»[OLLET] ; 68 Quatrain, par « CHAP»[UIS] ; 69 « Blason de couleurs », par « BRO»[DEAU] ; 70 Huitain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 71 « Enigme » ; 72 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 73 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 74 Plainte d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 75 ; 76 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 77 « Response d[e] MACAULT » ; 78 Dixain ; 79 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 80 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 81 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 82 Huitain, par « S»[AINT-GELAIS] ; 83 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 84 Sept vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 85 A une dame qui avait mêlé sa voix au son du luth de « SAINCT GELAIS » ; 86 Huitain, par « M. T. » ; 87 Huitain, par « M. T. » ; 88 Dixain, par « T. » ; 89 Huitain, par « T. » ; 90 Huitain, par « T. » ; 91 Dixain, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] ; 92 « Rithme françoise tirée d'un epigramme latin de JONI PONTAN » ; 93 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 94 Dixain ; 95 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 96 Dixain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 97 « Envoy » ; 98 Huitain, par « LA M»[AISONNEUVE] ; 99 Dixain, par « GHAP»[UIS] ; 100 Dixain ; 101 Neuf vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 102 Cinq quatrains d'amour ; 103 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 104 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 105 Sept vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 106 « Pour monsieur de S. », dixain ; 107 Huitain ; 108 « Response » ; 109 Dixain ; 110 Dixain « du roy » [FRANÇOIS Ier] ; 111 Unzain « d'une qui allumat le foeu de la S. Jehan » ; 112 Douzain « de monseigneur le cardinal DE TOURNON » ; 113 Quatrain, par « M. D. L. »
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Contient : 1 « Prothocolle journal... dressé par [PHILIPPE DE] LA HUGUERIE,... de toutes les actions, deliberations et conseils du dernier voyage de guerre fait en France pour le secours des eglises reformées dudit royaulme » par le baron Fabien de Donaw ; 2 Lettres écrites au baron de Donaw ou en sa faveur ; 1 à 8 Huit lettres de « HENRY » IV ; 1 à 6 au baron de Donaw ; 1 « De Castelgeloux, ce 17 febvrier 1586 ». Copie ; 2 « 25 janvier 1587 ». Copie ; 3 « 12 may 1587 » ; 4 « 3 juin 1587 » ; 5 « A Baugency, ce 21 may 1589 ». Copie ; 6 « Escrit au camp devant Noyon, ce 8 jour d'aoust 1591 ». Copie ; 7 « à Mr l'electeur palatin [Frédéric IV]... Escrit au camp de Marueil, le 12 jour de juillet 1591 ». Copie ; 8 « à Mr le marquis d'Anspach,... Escrit au camp de Marueil, 12 juillet 1591 ». Copie ; 9 Lettre de « HENRY DE BOURBON,... prince DE CONDE,... A S. Jean d'Angely, le 20 may 1587 ». Copie ; 10 « Copie de la « lettre de [FRANÇOIS DE COLIGNY, seigneur DE] CHASTILLON [gouverneur de Montpellier]... à Mgr le duc Casimir,... A Monpelier, ce 17 fevrier... 1588 » ; 3 Pièces concernant le baron de Donaw et sa famille ; 1 à 5 Recueil de pièces relatives au rôle joué par le baron de Donaw en France, durant l'année 1587 ; 1 Protestation du baron DE DONAW contre un libelle diffamatoire. En allemand et en latin ; 2 Explication de la conduite du duc Jean Casimir pendant la guerre de Cologne, en 1583, et pendant la guerre de France, en 1587. Cette pièce paraît avoir été placée ici principalement pour la justification du baron de Donaw, qui fut un des chefs de l'armée étrangère dans l'expédition de 1587. En latin. Copie ; 3 Autre justification de la conduite du baron de Donaw pendant l'expédition de 1587. Copie ; 4 Factum portant pour titre : « Reistres d'Auneau ». Ce factum est dirigé contre Philippe de La Huguerie et le baron de Donaw, accusés de la défaite d'Auneau. Copie ; 5 Lettre de JEAN DE CHAUMONT, seigneur DE « QUITRY,... à Mr de Higny, à Francfort... De Geneve, ce 26 decembre 1587 ». Cette lettre porte pour titre : « La deffaicte d'Auneau et aultres particularités » ; 6 « Fidele et sommaire Recit... pour representer aux yeux de tout le monde le commancement et progres de l'accusation dont on a voulucharger le Sr Henry... de Duna et le docteur Laurent Biderman, chancelier » des princes d'Anhalt, « à cause d'un coup d'harquebuze, qu'on dit avoir esté tiré apres Mr l'electeur de Saxe [Christian II], au [8] d'avril [1603], à Graven Heiniguen, bourg scitué gueres loing de la principaulté d'Anhalt ». Du 8 avril 1603 au mois d'avril 1604. Copie ; 7 et 8 « De familia burgraviorum et baronum a Dona... ex MATHAEI DRESSERI isagoge millenarii 6 ». En latin. Copie ; 8 « De Donaeis baronibus ». En latin. Copie ; 4 « Extrait de la capitulation de la lieutenance generale de Mgr le prince Christian d'Anhalt,... comte d'Ascanie, seigneur de Zerbst et Bernbourg », chef de l'armée de secours envoyée à Henri IV par les princes allemands. 24 avril 1591. Copie ; 5 Pièces concernant Élisabeth, reine d'Angleterre ; 1 « Extraict de la lectre de la roine d'Angleterre [ÉLISABETH] à son ambassadeur en France », en faveur du duc de Bouillon, accusé de complicité avec le duc de Biron ; 2 « In foelicem memoriam Elisabethae, Angliae reginae ». Éloge de la reine Élizabeth, attribué par une note du manuscrit à François Bacon. En latin. Copie ; 6 Pièces relatives aux négociations pour la paix entre l'Espagne et les Pays-Bas. 1607 et 1608 ; 1 « Substance de la declaration qui a esté faicte par le Sr audiancier VERREICKEN, en l'assemblée de messeigneurs les Estatz generaulx des provinces unyes des Pays Bas, apres que le sieur de Neyen, commissaire general, avoit faict sa harangue, le matin sur l'unze heures, en la mesme assemblée de mesd. seigneurs Estats, le XXXme jour d'octobre 1607 ». Traduction ; 2 Déclaration « presentée en l'assemblée de messeigneurs les Estats generaulx des provinces unyes du Pays Bas par B. I. NEIJEN, commissaire general, le [25e] octobre 1607 ». Traduction ; 3 Ratification par PHILIPPE III, roi d'Espagne, des ouvertures de paix ou trêve à long terme, faites par les archiducs Albert d'Autriche et Claire-Isabelle-Eugénie aux États généraux des Pays-Bas. Madrid, 18 septembre 1607. Traduction ; 4 Relation d'une conférence « touchant ce qui concerne la voye de paix », entre le prince Maurice de Nassau et un ambassadeur français. Copie ; 5 « Memoire des plus importantes raisons pour lesquelles les seigneurs Estatz ne doibvent aucunement quitter le trafficq et navigation des Indes ». Copie ; 6 Déclaration faite aux États généraux des Pays-Bas par les « deputtez des roys » de France et d'Angleterre, sur la « trefve à longues années », proposée par lesdits députés et rejetée par « plusieurs du costé des Estats ». Copie ; 7 et 8 Deux lettres de « MAURICE, prince D'ORANGE, comte DE NASSAU », aux États généraux des Pays-Bas, pour les détourner d'accepter les ouvertures de paix faites par les archiducs. La Haye, 21 septembre et 15 novembre 1608. Copies
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Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »
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The thesis assesses the impact of international factors on relations between Greek and Turkish Cypriots during and after the Cold War. Through an analysis of the Cyprus problem it explores both why external actors intervene in communal conflicts and how they influence relations between ethnic groups in plural societies. The analytical framework employed throughout the study draws on contributions of International Relations theorists and students of ethnic conflict. The thesis argues that, as in the global political system, relations between ethnic groups in unranked communal systems are anarchic; that is, actors within the system do not recognize a sovereign political authority. In bipolar communal systems dominated by two relatively equal groups, the struggle for security and power often leads to appeals for assistance from external actors. The framework notes that neighboring states and Great Powers may heed calls for assistance, or intervene without a prior request, if it is in their interest to do so. The convergence of regional and global interests in communal affairs exacerbates ethnic conflicts and precludes the development of effective political institutions. The impact of external intervention in ethnic conflicts has the potential to alter the basis of communal relations. The Cyprus problem is examined both during and after the Cold War in order to gauge how global and regional actors and the structure of their respective systems have affected relations between ethnic groups in Cyprus. The thesis argues that Cyprus's descent into civil war in 1963 was due in part to the entrenchment of external interests in the Republic's constitution. The study also notes that power politics involving the United States, Soviet Union, Greece and Turkey continued to affect the development of communal relations throughout the 1960s, 70s, and, 80s. External intervention culminated in July and August 1974, after a Greek sponsored coup was answered by Turkey's invasion and partition of Cyprus. The forced expulsion of Greek Cypriots from the island's northern territories led to the establishment of ethnically homogeneous zones, thus altering the context of communal relations dramatically. The study also examines the role of the United Nations in Cyprus, noting that its failure to settle the dispute was due in large part to a lack of cooperation from Turkey, and the United States' and Soviet Union's acceptance of the status quo following the 1974 invasion and partition of the island. The thesis argues that the deterioration of Greek-Turkish relations in the post-Cold War era has made a solution to the dispute unlikely for the time being. Barring any dramatic changes in relations between communal and regional antagonists, relations between Greek and Turkish Cypriots will continue to develop along the lines established in July/August 1974. The thesis concludes by affirming the validity of its core hypotheses through a brief survey of recent works touching on international politics and ethnic conflict. Questions requiring further research are noted as are elements of the study that require further refinement.
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L’introduction éventuelle, au Québec, de la force exécutoire pour les actes notariés soulève, du point de vue économique, deux questions. La première porte sur les effets prévisibles de cette mesure, notamment sur le marché des services juridiques de rédaction d’actes. Du côté de l’offre, il convient de distinguer selon que l’acte notarié est obligatoire ou facultatif. Du côté de la demande, le changement tendrait à diminuer le coût de réalisation d’un droit. Le gain qui en résulte peut profiter, en partie, aux notaires. L’ampleur de l’effet dépend de la probabilité qu’il faille recourir à l’exécution forcée. L’effet irait dans le sens de réduire le coût du crédit et d’augmenter sa disponibilité. Pour le débiteur, l’engagement deviendrait plus risqué, mais du même coup, lui permettrait de signaler sa « crédibilité ». Les chiffres fournis dans une étude réalisée par le groupe Secor en 1995 font voir une économie plutôt modeste de ces mesures. Pour évaluer l’ampleur du désengorgement prévisible des tribunaux, il faudrait connaître l’importance des procédures essentiellement engagées pour la perception de créances. Au-delà des effets immédiats, les enjeux de cette mesure sont de deux ordres. D’abord, ils soulèvent la question de la justification d’accorder l’avantage comparatif de la force exécutoire aux actes notariés et à eux seuls. Cette question nous conduit à celle du statut d’officier public des notaires, plus précisément aux caractéristiques qui doivent être jugées essentielles pour ce statut. Car si l’on ne peut prêter au notaire une aussi grande confiance qu’au juge, il convient de s’interroger, aux fins de l’exécution forcée, sur les limites à imposer au contenu des actes ayant force exécutoire. Les réponses à ces questions présupposent des données qu’on peut difficilement obtenir autrement que par l’expérience prudente. Les chiffres disponibles permettent de prévoir des économies modestes. L’introduction de la force exécutoire doit s’accompagner de mesures de stricte surveillance, notamment en matière de conflits d’intérêt potentiels.
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"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maître en droit (LL.M.)"
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Cette thèse examine le développement du langage des enfants sourds qui ont reçu un implant cochléaire (IC) en bas âge. Une première étude rapporte une revue systématique qui avait pour but d’évaluer les connaissances actuelles concernant le développement du vocabulaire et de la grammaire chez les enfants qui ont reçu un IC avant l’âge de trois ans. Vingt-huit études ont été sélectionnées; une analyse descriptive de même qu’une méta-analyse ont été effectuées séparément pour chaque aspect du langage évalué (vocabulaire et grammaire, aspect réceptif et expressif). Au résultat, en dépit de la variabilité observée dans les études, il appert que l’implant cochléaire influence positivement le développement langagier; toutefois, seule une minorité de participants aux études a atteint des niveaux de langage comparables à ceux d’enfants entendants de même âge chronologique. La majorité des enfants continuent de présenter divers degrés de retard de langage, tant au plan réceptif qu’expressif, et ce, après jusqu’à cinq années de port de l’appareil. Les résultats suggèrent aussi, malgré la variabilité observée dans les études, que les bénéfices langagiers sont influencés par le fait de recevoir l’implant à deux ans plutôt qu’à trois ans. À partir des tendances retrouvées dans la littérature, les habiletés de vocabulaire et de grammaire chez 27 enfants qui ont reçu l’implant cochléaire en bas âge (entre 8 et 28 mois) ont été comparées avec celles d’un groupe d’enfants entendants, en utilisant des outils d’évaluation standardisés. Alors que les résultats de groupe montrent que les enfants qui reçoivent un IC autour de l’âge de deux ans atteignent des niveaux de langage dans les limites de la normale, les résultats individuels d’un sous-groupe formé de enfants les plus âgés font état de quatre profils de développement, soit des niveaux de langage dans les limites de la normale pour l’ensemble des composantes, un retard généralisé à l’ensemble des composantes, des habiletés lexicales dans la norme assorti d’un retard morphosyntaxique et enfin un profil atypique montrant des disparités importantes à travers les composantes du langage. Dans trois des quatre profils, la compréhension des phrases était particulièrement faible. Ces résultats suggèrent que le fait de recevoir un implant cochléaire entre l’âge d’un et deux ans ne garantit pas l’atteinte de niveaux de langage dans les limites de la normale malgré une expérience de port de l’appareil d’une durée appréciable. Une étape antérieure du développement linguistique a été examinée de plus près dans la troisième étude. La taille et la composition du vocabulaire expressif de onze enfants ayant reçu un IC à un âge moyen de 15 mois ont été comparées à celles de l’échantillon d’enfants entendants ayant servi à établir les normes en français québécois pour le questionnaire Mots et énoncés des Inventaires MacArthur-Bates du développement de la communication (IMBDC). Les scores d’âge équivalent selon la taille totale du vocabulaire des enfants avec IC étaient supérieurs à l’âge auditif (correspondant à la durée de port de l’appareil) mais inférieurs à l’âge chronologique. La représentation grammaticale en fonction de la taille du vocabulaire des enfants avec IC suit la tendance observée dans la norme. Ces résultats suggèrent que le profil lexical des enfants avec implant est très similaire à celui des enfants entendants lorsque le nombre total de mots acquis est le même. Les résultats de cette thèse suggèrent que l’implant peut, de manière générale, avoir un effet « normalisant » sur le langage ; toutefois, il semble que l’amélioration de l’accès auditif ne suffise pas pour rattraper à coup sûr le niveau de langage des pairs entendants dans l’ensemble des composantes du langage. Alors que les habiletés lexicales se rapprochent du profil typique, les habiletés de compréhension morphosyntaxique sont fortement atteintes chez une majorité d’enfants, suggérant un profil apparenté à un trouble de langage.
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Avec le web, les moteurs de recherche, les blogues et les wikis, la relation à l’information s’est transformée au point où les repères habituels s’émoussent et doivent être redéfinis de fond en comble. Du coup, le travail des archivistes et des bibliothécaires doit l’être tout autant. Riches d’une solide tradition et conscientes des défis posés par la modernité la plus radicale, les sciences de l’information se sont élargies. Mais il ne s’agit plus seulement de conserver et de diffuser le savoir, il s’agit d’en repenser le traitement et l’accès. Conçu par l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information (EBSI) de l’Université de Montréal, cet ouvrage se situe au carrefour de deux grandes traditions, américaine et française, et a pour ambition de fournir les clés du monde des sciences de l’information en se fondant sur des savoirs pratiques et concrets. Les auteurs présentent ici un savoir à la fine pointe des sciences de l’information pour répondre à la complexité des enjeux actuels et futurs. Introduction, bibliographie, index et table des matières de l’ouvrage.
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Le 11 septembre 1973, un coup d’État orchestré par les Forces Armées chiliennes met fin à trois années de gouvernement socialiste dirigé par Salvador Allende. Augusto Pinochet, à la tête du putsch, installe au pouvoir une violente dictature militaire pour dix-sept ans. Événement synonyme de trauma et instigateur d’une période répressive, ou sauvetage national venant freiner la descente aux enfers socialistes? La mémoire de la société chilienne demeure fragmentée vis-à-vis de son passé récent. Cette étude cherche à définir la transmission intergénérationnelle de la mémoire du passé répressif. Menée sur deux fronts, soit à Santiago et à Montréal, la présente recherche s’applique à établir quelles sont les interprétations du passé récent de la génération « postmémoire », c’est-à-dire des personnes nées peu avant ou durant la dictature. Les représentations, les perceptions, ainsi que les canaux d’apprentissage seront mis en perspective selon le territoire, afin de dégager les discours communs et antagonistes. Prenant assise sur des sources orales, ce mémoire présentera les différentes versions du passé selon vingt-huit témoignages.
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Le 8 mars 1963, un coup d’État en Syrie permet à une secte minoritaire marginalisée au sein du parti Baas, à idéologie radicale et révolutionnaire, de s’emparer des rênes de l’État avec l’appui des militaires et de conserver le pouvoir depuis. Ainsi la Syrie, premier pays arabe à connaître le système pluraliste parlementaire dès 1919, sera soumise à un régime militaire et autoritaire pendant presque un demi siècle. Ce mémoire vise à expliquer comment cette faction, groupusculaire à l’origine, a su profiter des circonstances et des fenêtres d’opportunité politique ouvertes par les comportements de l’élite traditionnelle syrienne, au pouvoir depuis le Mandat français, s’étant trouvée affaiblie, isolée et illégitime aux yeux de la population. Cette fragmentation exprimée par des agitations internes, avait provoqué des décisions contradictoires, des conflits d’intérêts ainsi que des divisions de nature identitaire, générationnelle, sociale, économique, militaire et politique. La Syrie a de ce fait, depuis son indépendance en 1941, été victime du jeu de son élite, un jeu dont ce mémoire est consacré à étudier la dynamique. Cette étude, qui définit le concept de l’élite théoriquement, s’appuie sur l’état des liens entre élites, l’envergure et les modes de leur circulation, pour confirmer qu’une élite fragmentée s’affaibli, perd sa légitimité et mène la société à l’instabilité. Ceci soutien l’hypothèse centrale de l’étude que la fragmentation de l’élite syrienne traditionnelle a ouvert des fenêtres d’opportunité politique devant le parti Baas, minoritaire et radical, qui a su les saisir pour conquérir le pouvoir.
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Les chutes chez les personnes âgées représentent un problème majeur. Il n’est donc pas étonnant que l’identification des facteurs qui en accroissent le risque ait mobilisé autant d’attention. Les aînés plus fragiles ayant besoin de soutien pour vivre dans la communauté sont néanmoins demeurés le parent pauvre de la recherche, bien que, plus récemment, les autorités québécoises en aient fait une cible d’intervention prioritaire. Les études d’observation prospectives sont particulièrement indiquées pour étudier les facteurs de risque de chutes chez les personnes âgées. Leur identification optimale est cependant compliquée par le fait que l’exposition aux facteurs de risque peut varier au cours du suivi et qu’un même individu peut subir plus d’un événement. Il y a 20 ans, des chercheurs ont tenté de sensibiliser leurs homologues à cet égard, mais leurs efforts sont demeurés vains. On continue aujourd’hui à faire peu de cas de ces considérations, se concentrant sur la proportion des personnes ayant fait une chute ou sur le temps écoulé jusqu’à la première chute. On écarte du coup une quantité importante d’information pertinente. Dans cette thèse, nous examinons les méthodes en usage et nous proposons une extension du modèle de risques de Cox. Nous illustrons cette méthode par une étude des facteurs de risque susceptibles d’être associés à des chutes parmi un groupe de 959 personnes âgées ayant eu recours aux services publics de soutien à domicile. Nous comparons les résultats obtenus avec la méthode de Wei, Lin et Weissfeld à ceux obtenus avec d’autres méthodes, dont la régression logistique conventionnelle, la régression logistique groupée, la régression binomiale négative et la régression d’Andersen et Gill. L’investigation est caractérisée par des prises de mesures répétées des facteurs de risque au domicile des participants et par des relances téléphoniques mensuelles visant à documenter la survenue des chutes. Les facteurs d’exposition étudiés, qu’ils soient fixes ou variables dans le temps, comprennent les caractéristiques sociodémographiques, l’indice de masse corporelle, le risque nutritionnel, la consommation d’alcool, les dangers de l’environnement domiciliaire, la démarche et l’équilibre, et la consommation de médicaments. La quasi-totalité (99,6 %) des usagers présentaient au moins un facteur à haut risque. L’exposition à des risques multiples était répandue, avec une moyenne de 2,7 facteurs à haut risque distincts par participant. Les facteurs statistiquement associés au risque de chutes incluent le sexe masculin, les tranches d’âge inférieures, l’histoire de chutes antérieures, un bas score à l’échelle d’équilibre de Berg, un faible indice de masse corporelle, la consommation de médicaments de type benzodiazépine, le nombre de dangers présents au domicile et le fait de vivre dans une résidence privée pour personnes âgées. Nos résultats révèlent cependant que les méthodes courantes d’analyse des facteurs de risque de chutes – et, dans certains cas, de chutes nécessitant un recours médical – créent des biais appréciables. Les biais pour les mesures d’association considérées proviennent de la manière dont l’exposition et le résultat sont mesurés et définis de même que de la manière dont les méthodes statistiques d’analyse en tiennent compte. Une dernière partie, tout aussi innovante que distincte de par la nature des outils statistiques utilisés, complète l’ouvrage. Nous y identifions des profils d’aînés à risque de devenir des chuteurs récurrents, soit ceux chez qui au moins deux chutes sont survenues dans les six mois suivant leur évaluation initiale. Une analyse par arbre de régression et de classification couplée à une analyse de survie a révélé l’existence de cinq profils distinctifs, dont le risque relatif varie de 0,7 à 5,1. Vivre dans une résidence pour aînés, avoir des antécédents de chutes multiples ou des troubles de l’équilibre et consommer de l’alcool sont les principaux facteurs associés à une probabilité accrue de chuter précocement et de devenir un chuteur récurrent. Qu’il s’agisse d’activité de dépistage des facteurs de risque de chutes ou de la population ciblée, cette thèse s’inscrit dans une perspective de gain de connaissances sur un thème hautement d’actualité en santé publique. Nous encourageons les chercheurs intéressés par l’identification des facteurs de risque de chutes chez les personnes âgées à recourir à la méthode statistique de Wei, Lin et Weissfeld car elle tient compte des expositions variables dans le temps et des événements récurrents. Davantage de recherches seront par ailleurs nécessaires pour déterminer le choix du meilleur test de dépistage pour un facteur de risque donné chez cette clientèle.
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La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).
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Ce mémoire explore l’exil au cinéma et en littérature, en particulier à travers l’œuvre de Marilú Mallet, cinéaste et écrivaine québécoise d’origine chilienne. L’approche choisie emprunte à la fois au champ littéraire et au champ cinématographique, et fait intervenir à la fois théoriciens, écrivains et cinéastes. À travers plusieurs regards croisés entre cinéastes et écrivains, ce mémoire décrit comment les thèmes du dépaysement, de la mémoire, de l’identité, du territoire et de la langue reviennent sans cesse dans les œuvres des auteurs migrants. Il interroge également la place des auteurs migrants au sein de la littérature et du cinéma nationaux, leur apport à l’imaginaire collectif, et plus largement leur place dans le discours social ambiant. À travers son œuvre, Mallet raconte sa propre expérience d’exilée en même temps qu’elle témoigne de ce qui s’est passé après le coup d’État au Chili en 1973, laissant des traces pour contrer l’histoire officielle.