344 resultados para Bivalves límnicos
Resumo:
Os principais objetivos deste trabalho são: 1) estudar o material malacofaunístico de novos jazigos da região de Rio Claro - Piracicaba (SP) e de testemunhos de sondagem de Conchas (SP), referentes à porção basal da Formação Corumbataí, termo superior do Grupo Passa Dois de idade permiana e 2) determinar sua distribuição bioestratigráfica. Incluiu-se um exame parcial da provável correlação entre as faunas das bases das Formações Corumbataí (São Paulo) e Estrada Nova (Paraná) e considerações de ordem paleoecológica da malacofauna. A análise taxonômica dos bivalves da porção basal da Formação Corumbataí no Estado, forneceu apreciável diversidade genérica e específica. Duas secções colunares, uma de superfície e outra de subsuperfície são apresentadas, mostrando a distribuição bioestratigráfica dessa malacofauna. Os bivalves identificados e descritos nos diversos afloramentos foram: Angatubia cf. A. cowperesioides Mendes, Anthraconaia ? mezzalirai sp. n., Barbosaia cf. B. angulata Mendes, Barbosaia roxoi sp n., Casterella cf. C. camargoi Beurlen, Ferrazia simplicicarinata Mezzalira, Ferrazia sp., Holdhausiella elongata Mendes, Holdhausiella sp., Kidodia cf. K. stockleyi Cox, Mendesia piracicabensis gen. et sp. n., Plesiocyprinella sp., Rioclaroa cf. R. lefrevei Mezzalira. Com base na composição observada, sugeriu-se reunir as Zonas Leinzia froezi Mendes e Barbosaia angulata Mendes propostas por MEZZALIRA (1980) em uma única designada Zona Leinzia froezi - Barbosaia angulata. Os quatro níveis fossilíferos reconhecidos em subsuperfície (Poço 1-IG-Conchas) com as espécies: Casterella cf. C. gratiosa, Ferrazia cardinalis Reed e Pinzonella cf. P. illusa, a julgar pela distribuição vertical em relação à base da formação, situar-se-iam na Zona III de MEZZALIRA (1980) considerada quando definida como afossilífera. Dentre as principais conclusões, notou-se a predominância de bivalves com carenas simples e a duplas, provavelmente caráter adaptativo ao ambiente que seria provavelmente circunscrito, mixo-halino, de águas rasas, turvas e mal oxigenadas em certos intervalos.
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El presente trabajo muestra la caracterización en detalle de la secuencia estratigráfica de los depósitos miocenos de la isla de Nueva Tabarca, el empleo de estos materiales en el patrimonio arquitectónico de la isla y su comportamiento frente la degradación. En la serie miocena, a grandes rasgos, se definen tres tramos. El tramo inferior, rico en clastos dolomíticos, muestra una alternancia de arenitas y calcarenitas. El tramo intermedio corresponde a una sucesión de niveles de calcirruditas con laminación cruzada cuya parte superior está representada por un nivel de grandes bioclastos, rodolitos y arenitas de grano fino. El comienzo del último tramo está marcado por la presencia de varias superficies arenosas más litificadas sobre las que se sitúa un banco de arenitas de grano fino y laminación paralela. Si bien las canteras extraían sillares de todas estas litofacies, existe una mayor extracción de los últimos niveles de la serie. Estas rocas presentan una durabilidad moderada-baja, degradándose fácilmente mediante arenización, escamación y/o alveolización.
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Malgré que le contenu des génomes mitochondriaux animaux soit dit bien conservé, des nouveaux gènes mitochondriaux ont été identifiés chez plusieurs espèces, surtout des invertébrés. Par exemple, les bivalves exhibant la double transmission uniparentale de leurs génomes mitochondriaux possèdent des nouveaux gènes spécifiques au sexe (M-ORF dans l’ADN de type M, F-ORF dans l’ADN de type F) qui ont été caractérisés in silico chez trois espèces de l’ordre Mytiloida, une espèce de Veneroida et une espèce de Unionoida par une précédente étude. Même si les séquences varient beaucoup entre ces trois ordres, cette étude à montré que des hélices transmembranaires ainsi que des peptides signaux sont conservés pour toutes les séquences. L’étude a aussi montré que les nouveaux gènes pourraient avoir des rôles dans la signalisation cellulaire, le cycle cellulaire et la réponse immunitaire et qu’ils pourraient être le résultat de l’endogénisation de l’ADN viral. Le projet présenté ici a pour but de mieux caractériser ces nouveaux gènes et leur origine potentielle, en plus d’étudier le H-ORF particulier aux hermaphrodites, en ciblant les espèces des unionidés. Les résultats montrent que les hélices transmembranaires et peptides signaux sont conservés chez les unionidés, les protéines semblent être associées à la membrane et être capables de lier des acides nucléiques et protéines, et les fonctions potentielles sont conservées. Les M-ORFs semblent avoir un rôle dans le transport et des processus cellulaires tels que la signalisation, le cycle cellulaire et la division, et l’organisation du cytosquelette. Les F-ORFs semblent être impliqués dans le trafic et transport cellulaire et la réponse immunitaire. Finalement, les H-ORFs semblent être des glycoprotéines structurales avec des rôles dans la signalisation, le transport et la transcription. Les résultats de ce projet pourraient supporter une origine virale ou mitochondriale pour ces gènes.
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Malgré que le contenu des génomes mitochondriaux animaux soit dit bien conservé, des nouveaux gènes mitochondriaux ont été identifiés chez plusieurs espèces, surtout des invertébrés. Par exemple, les bivalves exhibant la double transmission uniparentale de leurs génomes mitochondriaux possèdent des nouveaux gènes spécifiques au sexe (M-ORF dans l’ADN de type M, F-ORF dans l’ADN de type F) qui ont été caractérisés in silico chez trois espèces de l’ordre Mytiloida, une espèce de Veneroida et une espèce de Unionoida par une précédente étude. Même si les séquences varient beaucoup entre ces trois ordres, cette étude à montré que des hélices transmembranaires ainsi que des peptides signaux sont conservés pour toutes les séquences. L’étude a aussi montré que les nouveaux gènes pourraient avoir des rôles dans la signalisation cellulaire, le cycle cellulaire et la réponse immunitaire et qu’ils pourraient être le résultat de l’endogénisation de l’ADN viral. Le projet présenté ici a pour but de mieux caractériser ces nouveaux gènes et leur origine potentielle, en plus d’étudier le H-ORF particulier aux hermaphrodites, en ciblant les espèces des unionidés. Les résultats montrent que les hélices transmembranaires et peptides signaux sont conservés chez les unionidés, les protéines semblent être associées à la membrane et être capables de lier des acides nucléiques et protéines, et les fonctions potentielles sont conservées. Les M-ORFs semblent avoir un rôle dans le transport et des processus cellulaires tels que la signalisation, le cycle cellulaire et la division, et l’organisation du cytosquelette. Les F-ORFs semblent être impliqués dans le trafic et transport cellulaire et la réponse immunitaire. Finalement, les H-ORFs semblent être des glycoprotéines structurales avec des rôles dans la signalisation, le transport et la transcription. Les résultats de ce projet pourraient supporter une origine virale ou mitochondriale pour ces gènes.
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A new chemical procedure for cleaning marine carbonates was applied to remove detritus as well as metaloxide contaminations of marine shells from Eemian deposits and adjoining succession of a sediment core from Dagebüll, Schleswig- Holstein. Hence, one can significantly reduce the contamination with detrital uranium and thorium. Thermal ionisation mass spectrometry was applied to determine the uranium and thorium activities used for 230Th/U dating of these shells. At least ten samples of marine bivalves of five different core sections were analysed. Samples located below a five meter thick clay layer at 19-24 m yielded an average age of 132±18 ka. Shells located above the clays at 15-20 m depth were strongly influenced by percolating groundwaters of an open system. Therefore, a reliable dating of these samples was not possible.
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A 0.25 m**2 United States Naval Electronics Laboratory box corer was used to take replicate samples from an oligotrophic bottom under the North Pacific Central Water Mass (~28°N, 155°W). The bottom is a red clay with manganese nodules at a depth of 5500-5800 m. Macrofaunal density ranges from 84 to 160 individuals per m**2 and is therefore much the same as in Northwest Atlantic Gyre waters. Of the macrofaunal taxa, polychaetes dominate (55 %), followed by tanaids (18 %), bivalves (7 %), and isopods (6 %). Meiofaunal taxa were only partially retained by the 297 µm screen used in washing. Even then, they are 1.5-3.9 times as abundant as the macrofaunal taxa, with nematodes being numerically dominant by far. Foraminifera seem to comprise an important portion of the community, but could not be assessed accurately because of the inability to discriminate living and dead tests. Remains of what are probably xenophyophoridans are also very important, but offer the same problem. Faunal diversity is extremely high, with deposit feeders comprising the overwhelming majority. Most species are rare, being encountered only once. The distributions of only three species show any significant deviation from randomness. The polychaete fauna from box cores collected from 90 miles to the north was not significantly different from that of the principal study locality. Concordance appeared at several taxonomic levels, from species through macrofaunal/meiofaunal relationships. As a result, the variation in total animal abundance shows aggregation among cores. We discuss Sokolova's concept of a deep-sea oligotrophic zone dominated by suspension feeders, and reconcile it with our present findings. The high diversity of the fauna combined with the low food level contradict theories that relate diversity directly with productivity.
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The presence of gas hydrates on the Blake Ridge diapir, northeastern Atlantic Ocean, offers an opportunity to study the impact of methane seepage on the ecology and geochemistry of benthic foraminifera in the late Holocene. Three push cores, covering a time span of ~ 1000 yrs, were retrieved from three distinct microhabitats at the top of the diapir at a water depth of ~ 2150 m: (i) sediments away from seepage (control core), (ii) sediments overlain by clusters of methanotrophic and thiotrophic bivalves, and (iii) chemoautotrophic microbial mats. The foraminiferal assemblages at the two seep sites are marked by a reduction in benthic foraminiferal species diversity, coupled with a near-absence of agglutinated species. However, an opportunistic population rise in CH4- or H2S-tolerant calcareous species (e.g., Globocassidulina subglobosa and Cassidulina laevigata) that utilize the abundant trophic resources at the seeps has led to an increase in the overall assemblage density there. The delta18O and delta13C values of three species of benthic foraminifera - Gyroidinoides laevigatus, Globocassidulina subglobosa, and Uvigerina peregrina - and the planktonic species Globorotalia menardii were acquired from all three cores. The benthic species from methane seeps yield delta13C values of 0.1 to - 4.2 (per mil VPDB), that are distinctly more 13C-depleted relative to the delta13C of 0.4 to - 1.0 (per mil VPDB) at the control (off seep) site. The species from a mussel-bed site exhibit more negative delta13C values than those from microbial mats, possibly reflecting different food sources and higher rate of anaerobic oxidation of methane. The positive delta13C values in the paired planktonic species suggest that authigenic carbonate precipitation did not overprint the observed 13C depletions. Hence the probable cause of negative delta13C of benthic foraminifera is primary calcification from Dissolved Inorganic Carbon (DIC) containing mixed carbon fractions from (a) highly 13C-depleted, microbially-oxidized methane and (b) a seawater source.
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The structure and distribution of the macrobenthic communities were studied in the southwestern Kara Sea. The material was collected in Baidaratskaya Bay in July 2007 and in a section running westward of the Yamal Peninsula in September 2007. The depths of the sampling stations ranged from 5 to 25 m in the Baidaratskaya Bay area and between 16 and 46 m in the Yamal section. A total of 212 benthic invertebrate species were recorded. In both areas, Bivalvia was the group with the highest biomass (54.88 g/m**2 in the Yamal section and 59.71 g/m**2 in the Baidaratskaya Bay area), while polychaetes were the group with the highest number of species (45 in the Yamal section and 64 the Baidaratskaya Bay area). Three major macrozoobenthic communities were recognized: the Astarte borealis community (20-46 m, the deepest sampling stations in both areas); the 'medium-depth' community (10-20 m, extremely mosaic, usually dominated by Serripes groenlandicus); and the Nephtys longosetosa community (depth smaller than 10 m, characterized by low biomass and the absence of large bivalves and echinoderms). The western Yamal shallow-water communities were shown to be generally similar to those of Baidaratskaya Bay. The comparison of these results with those of the benthos censuses performed in 1927-1945, 1975, and 1993 showed that the benthic communities in the southwestern Kara Sea remained relatively stable during the second half of the 20th century and the early 21st century.
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Described in Graesse, Tre̲sor de livres rares et pre̲cieux, t.2, p. 474-477, as being complete in "102 livraisons ou 337 parties, formant 166 vol. et demi de texte et 51 parties renfermant 6439 pl. in 4o."
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Mode of access: Internet.
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Issued in parts.