444 resultados para Sarcopenic Obesity


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

To examine the association between sleep disorders, obesity status, and the risk of diabetes in adults, a total of 3668 individuals aged 40+ years fromtheNHANES 2009-2010 withoutmissing information on sleep-related questions,measurements related to diabetes, and BMI were included in this analysis. Subjects were categorized into three sleep groups based on two sleep questions: (a) no sleep problems; (b) sleep disturbance; and (c) sleep disorder. Diabetes was defined as having one of a diagnosis from a physician; an overnight fasting glucose > 125 mg/dL; Glycohemoglobin > 6.4%; or an oral glucose tolerance test > 199mg/dL. Overall, 19% of subjects were diabetics, 37% were obese, and 32% had either sleep disturbance or sleep disorder. Using multiple logistic regression models adjusting for covariates without including BMI, the odds ratios (OR, (95% CI)) of diabetes were 1.40 (1.06, 1.84) and 2.04 (1.40, 2.95) for those with sleep disturbance and with sleep disorder, respectively. When further adjusting for BMI, the ORs were similar for those with sleep disturbance 1.36 (1.06, 1.73) but greatly attenuated for those with sleep disorders (1.38 [0.95, 2.00]). In conclusion, the impact of sleep disorders on diabetes may be explained through the individuals’ obesity status.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

The primary objective of this non-experimental study was to examine the differences based on obesity-related health risk in terms of physical activity, sedentary behaviour and well-being in adults. Participants (N = 50; Mage = 38.50, SDage = 14.21) were asked to wear a SenseWear Armband (SWA) across a seven day monitoring period followed by a questionnaire package. Using the National Institute of Health’s (1998) criteria, participants were classified as either least, increased, or high risk based on waist circumference and Body Mass Index scores. Differences between these classifications were found in the amount of time spent in active energy expenditure for bouts of ten minutes or more (p = .002); specifically between least and high risk (p < .05). No other differences (p > .05) emerged. Participants’ also perceived the SWA as a practical and worthwhile device. Overall, these findings provide practical applications and future directions for health promotional research.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé La prédominance de l'obésité qui touche les enfants et les adultes a augmenté dans le monde entier ces dernières décennies. Les différentes études épidémiologiques ont prouvé que l'obésité est devenue une préoccupation profonde de santé aux États-Unis et au Canada. Il a été montré que l'obésité a beaucoup d’effets sur la santé ainsi il serait important de trouver différentes causes pour le gain de poids. Il est clair que l'obésité soit la condition de multiples facteurs et implique des éléments génétiques et environnementaux. Nous nous concentrons sur les facteurs diététiques et particulièrement le fructose où sa consommation a parallèlement augmenté avec l'augmentation du taux d'obésité. La forme principale du fructose est le sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS) qui est employé en tant qu'édulcorant primordial dans la plupart des boissons et nourritures en Amérique du Nord. Il a été suggéré que la prise du fructose serait probablement un facteur qui contribue à l’augmentation de la prédominance de l'obésité. L'objectif de cette étude était d'évaluer s'il y a un rapport entre la consommation du fructose et le risque d'obésité. Nous avons travaillé sur deux bases de données des nations Cree et Inuit. Nous avons eu un groupe de 522 adultes Cree, (263 femmes et 259 hommes) dans deux groupes d'âge : les personnes entre 20 et 40 ans, et les personnes de 40 à 60 ans. Nous les avons classés par catégorie en quatre groupes d'indice de masse corporelle (IMC). L'outil de collecte de données était un rappel de 24 heures. En revanche, pour la base de données d'Inuit nous avons eu 550 adultes (301 femmes et 249 hommes) dans deux groupes d'âge semblables à ceux du Cree et avec 3 catégories d’indice de masse corporelle. Les données dans la base d'Inuit ont été recueillies au moyen de deux rappels de 24 heures. Nous avons extrait la quantité de fructose par 100 grammes de nourriture consommés par ces deux populations et nous avons créé des données de composition en nourriture pour les deux. Nous avons pu également déterminer les sources principales du fructose pour ces populations. Aucun rapport entre la consommation du fructose et l’augmentation de l’indice de masse corporelle parmi les adultes de Cree et d'Inuit n’a été détecté. Nous avons considéré l’apport énergétique comme facteur confondant potentiel et après ajustement, nous avons constaté que l'indice de masse corporelle a été associé à l’apport énergétique total et non pas à la consommation du fructose. Puisque dans les études qui ont trouvé une association entre la consommation de fructose et l’obésité, le niveau de la consommation de fructose était supérieure à 50 grammes par jour et comme dans cette étude ce niveau était inférieur à cette limite (entre 20.6 et 45.4 g/jour), nous proposons que des effets negatifs du fructose sur la masse corporelle pourraient être testés dans des populations à plus haute consommation. Les essais cliniques randomisés et éventuelles études cohortes avec différents niveaux de consommation de fructose suivis à long terme pourraient aussi être utiles. Mots clés : fructose, sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS), obésité et poids excessif

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Les habitudes de consommation de substances psychoactives, le stress, l’obésité et les traits cardiovasculaires associés seraient en partie reliés aux mêmes facteurs génétiques. Afin d’explorer cette hypothèse, nous avons effectué, chez 119 familles multi-générationnelles québécoises de la région du Saguenay-Lac-St-Jean, des études d’association et de liaison pangénomiques pour les composantes génétiques : de la consommation usuelle d’alcool, de tabac et de café, de la réponse au stress physique et psychologique, des traits anthropométriques reliés à l’obésité, ainsi que des mesures du rythme cardiaque (RC) et de la pression artérielle (PA). 58000 SNPs et 437 marqueurs microsatellites ont été utilisés et l’annotation fonctionnelle des gènes candidats identifiés a ensuite été réalisée. Nous avons détecté des corrélations phénotypiques significatives entre les substances psychoactives, le stress, l’obésité et les traits hémodynamiques. Par exemple, les consommateurs d’alcool et de tabac ont montré un RC significativement diminué en réponse au stress psychologique. De plus, les consommateurs de tabac avaient des PA plus basses que les non-consommateurs. Aussi, les hypertendus présentaient des RC et PA systoliques accrus en réponse au stress psychologique et un indice de masse corporelle (IMC) élevé, comparativement aux normotendus. D’autre part, l’utilisation de tabac augmenterait les taux corporels d’épinéphrine, et des niveaux élevés d’épinéphrine ont été associés à des IMC diminués. Ainsi, en accord avec les corrélations inter-phénotypiques, nous avons identifié plusieurs gènes associés/liés à la consommation de substances psychoactives, à la réponse au stress physique et psychologique, aux traits reliés à l’obésité et aux traits hémodynamiques incluant CAMK4, CNTN4, DLG2, DAG1, FHIT, GRID2, ITPR2, NOVA1, NRG3 et PRKCE. Ces gènes codent pour des protéines constituant un réseau d’interactions, impliquées dans la plasticité synaptique, et hautement exprimées dans le cerveau et ses tissus associés. De plus, l’analyse des sentiers de signalisation pour les gènes identifiés (P = 0,03) a révélé une induction de mécanismes de Potentialisation à Long Terme. Les variations des traits étudiés seraient en grande partie liées au sexe et au statut d’hypertension. Pour la consommation de tabac, nous avons noté que le degré et le sens des corrélations avec l’obésité, les traits hémodynamiques et le stress sont spécifiques au sexe et à la pression artérielle. Par exemple, si des variations ont été détectées entre les hommes fumeurs et non-fumeurs (anciens et jamais), aucune différence n’a été observée chez les femmes. Nous avons aussi identifié de nombreux traits reliés à l’obésité dont la corrélation avec la consommation de tabac apparaît essentiellement plus liée à des facteurs génétiques qu’au fait de fumer en lui-même. Pour le sexe et l’hypertension, des différences dans l’héritabilité de nombreux traits ont également été observées. En effet, des analyses génétiques sur des sous-groupes spécifiques ont révélé des gènes additionnels partageant des fonctions synaptiques : CAMK4, CNTN5, DNM3, KCNAB1 (spécifique à l’hypertension), CNTN4, DNM3, FHIT, ITPR1 and NRXN3 (spécifique au sexe). Ces gènes codent pour des protéines interagissant avec les protéines de gènes détectés dans l’analyse générale. De plus, pour les gènes des sous-groupes, les résultats des analyses des sentiers de signalisation et des profils d’expression des gènes ont montré des caractéristiques similaires à celles de l’analyse générale. La convergence substantielle entre les déterminants génétiques des substances psychoactives, du stress, de l’obésité et des traits hémodynamiques soutiennent la notion selon laquelle les variations génétiques des voies de plasticité synaptique constitueraient une interface commune avec les différences génétiques liées au sexe et à l’hypertension. Nous pensons, également, que la plasticité synaptique interviendrait dans de nombreux phénotypes complexes influencés par le mode de vie. En définitive, ces résultats indiquent que des approches basées sur des sous-groupes et des réseaux amélioreraient la compréhension de la nature polygénique des phénotypes complexes, et des processus moléculaires communs qui les définissent.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Contexte: L'obésité chez les jeunes représente aujourd’hui un problème de santé publique à l’échelle mondiale. Afin d’identifier des cibles potentielles pour des stratégies populationnelles de prévention, les liens entre les caractéristiques du voisinage, l’obésité chez les jeunes et les habitudes de vie font de plus en plus l’objet d’études. Cependant, la recherche à ce jour comporte plusieurs incohérences. But: L’objectif général de cette thèse est d’étudier la contribution de différentes caractéristiques du voisinage relativement à l’obésité chez les jeunes et les habitudes de vie qui y sont associées. Les objectifs spécifiques consistent à: 1) Examiner les associations entre la présence de différents commerces d’alimentation dans les voisinages résidentiels et scolaires des enfants et leurs habitudes alimentaires; 2) Examiner comment l’exposition à certaines caractéristiques du voisinage résidentiel détermine l’obésité au niveau familial (chez le jeune, la mère et le père), ainsi que l’obésité individuelle pour chaque membre de la famille; 3) Identifier des combinaisons de facteurs de risque individuels, familiaux et du voisinage résidentiel qui prédisent le mieux l’obésité chez les jeunes, et déterminer si ces profils de facteurs de risque prédisent aussi un changement dans l’obésité après un suivi de deux ans. Méthodes: Les données proviennent de l’étude QUALITY, une cohorte québécoise de 630 jeunes, âgés de 8-10 ans au temps 1, avec une histoire d’obésité parentale. Les voisinages de 512 participants habitant la Région métropolitaine de Montréal ont été caractérisés à l’aide de : 1) données spatiales provenant du recensement et de bases de données administratives, calculées pour des zones tampons à partir du réseau routier et centrées sur le lieu de la résidence et de l’école; et 2) des observations menées par des évaluateurs dans le voisinage résidentiel. Les mesures du voisinage étudiées se rapportent aux caractéristiques de l’environnement bâti, social et alimentaire. L’obésité a été estimée aux temps 1 et 2 à l’aide de l’indice de masse corporelle (IMC) calculé à partir du poids et de la taille mesurés. Les habitudes alimentaires ont été mesurées au temps 1 à l'aide de trois rappels alimentaires. Les analyses effectuées comprennent, entres autres, des équations d'estimation généralisées, des régressions multiniveaux et des analyses prédictives basées sur des arbres de décision. Résultats: Les résultats démontrent la présence d’associations avec l’obésité chez les jeunes et les habitudes alimentaires pour certaines caractéristiques du voisinage. En particulier, la présence de dépanneurs et de restaurants-minutes dans le voisinage résidentiel et scolaire est associée avec de moins bonnes habitudes alimentaires. La présence accrue de trafic routier, ainsi qu’un faible niveau de prestige et d’urbanisation dans le voisinage résidentiel sont associés à l’obésité familiale. Enfin, les résultats montrent qu’habiter un voisinage obésogène, caractérisé par une défavorisation socioéconomique, la présence de moins de parcs et de plus de dépanneurs, prédit l'obésité chez les jeunes lorsque combiné à la présence de facteurs de risque individuels et familiaux. Conclusion: Cette thèse contribue aux écrits sur les voisinages et l’obésité chez les jeunes en considérant à la fois l'influence potentielle du voisinage résidentiel et scolaire ainsi que l’influence de l’environnement familial, en utilisant des méthodes objectives pour caractériser le voisinage et en utilisant des méthodes statistiques novatrices. Les résultats appuient en outre la notion que les efforts de prévention de l'obésité doivent cibler les multiples facteurs de risque de l'obésité chez les jeunes dans les environnements bâtis, sociaux et familiaux de ces jeunes.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Obesity is sweeping the westernized world at a rate which far outstrips human genomic evolution, highlighting the importance of the obesogenic environment. Diet is an important component of this obesogenic environment, with certain diets (high fat, high refined carbohydrates and sugar) predisposing to overweight. On the other hand, there are also foods shown to protect against obesity and the diseases of obesity, including whole plant foods, dairy products, dietary fibre and functional foods like probiotics, prebiotics and phytochemicals. Interestingly, many of these foods mediate their health-promoting activities through the gut microbiota. The human gut microbiota itself has recently been identified as a contributory factor in this obesogenic environment, with differences observed between lean and obese. Evidence from human studies indicates that important groups of fermentative bacteria differ in abundance between lean and obese. Recently it has been suggested that anomalous microbiota composition in infancy can predispose to overweight in later life, highlighting the important role of optimal microbiota successional development, and that – as observed in laboratory animals – the gut microbiota may contribute to the aetiology of obesity. In this review we will introduce the gut microbiota, describe its interactions with major dietary components and the host, and then go on to discuss evidence indicating that the gut microbiota may contribute to the obesogenic environment. Finally, we will explore possible strategies for modulating the composition and activity of the human gut microbiota which may impact on obesity or the metabolic diseases associated with obesity. (Nutritional Therapy & Metabolism 2009; 27: 113-33)

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

The incidence of obesity has reached alarming levels worldwide, thus increasing the risk of development of metabolic disorders (e.g. type 2 diabetes, coronary heart disease (CHD) and cancer). Among the causes of obesity, diet and lifestyle play a central role. Although the treatment of obesity may appear quite straightforward, by simply re-addressing the balance between energy intake and energy expenditure, practically it has been very challenging. In the search for new therapeutic targets for treatment of obesity and related disorders, the gut microbiota and its activities have been investigated in relation to obesity. The human gut microbiota has already been shown to influence total energy intake and lipid metabolism, particularly through colonic fermentation of undigestible dietary constituents and production of short chain fatty acids (SCFA). Recent studies have highlighted the contribution of the gut microbiota to mammalian metabolism and energy harvested from the diet. A dietary modulation of the gut microbiota and its metabolic output could positively influence host metabolism and, therefore, constitute a potential coadjutant approach in the management of obesity and weight loss.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Diabetes and obesity are two metabolic diseases characterized by insulin resistance and a low-grade inflammation Seeking an inflammatory factor causative of the onset of insulin resistance, obesity, and diabetes, we have identified bacterial lipopolysaccharide (LPS) as a triggering factor. We found that normal endotoxemia increased or decreased during the fed or fasted state, respectively, on a nutritional basis and that a 4-week high-fat diet chronically increased plasma LPS concentration two to three times, a threshold that we have defined as metabolic endotoxemia. Importantly, a high-fat diet increased the proportion of an LPS-containing microbiota in the gut. When metabolic endotoxemia was induced for 4 weeks in mice through continuous subcutaneous infusion of LPS, fasted glycemia and insulinemia and whole-body, liver, and adipose tissue weight gain were increased to a similar extent as in highfat-fed mice. In addition, adipose tissue F4/80-positive cells and markers of inflammation, and liver triglyceride content, were increased. Furthermore, liver, but not wholebody, insulin resistance was detected in LPS-infused mice. CD14 mutant mice resisted most of the LPS and high-fat diet-induced features of metabolic diseases. This new finding demonstrates that metabolic endotoxemia dysregulates the inflammatory tone and triggers body weight gain and diabetes. We conclude that the LPS/CD14 system sets the tone of insulin sensitivity and the onset of diabetes and obesity. Lowering plasma LPS concentration could be a potent strategy for the control of metabolic diseases.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Background: Population monitoring has been introduced in UK primary schools in an effort to track the growing obesity epidemic. It has been argued that parents should be informed of their child's results, but is there evidence that moving from monitoring to screening would be effective? We describe what is known about the effectiveness of monitoring and screening for overweight and obesity in primary school children and highlight areas where evidence is lacking and research should be prioritised. Design: Systematic review with discussion of evidence gaps and future research. Data sources: Published and unpublished studies ( any language) from electronic databases ( inception to July 2005), clinical experts, Primary Care Trusts and Strategic Health Authorities, and reference lists of retrieved studies. Review methods: We included any study that evaluated measures of overweight and obesity as part of a population-level assessment and excluded studies whose primary outcome measure was prevalence. Results: There were no trials assessing the effectiveness of monitoring or screening for overweight and obesity. Studies focussed on the diagnostic accuracy of measurements. Information on the attitudes of children, parents and health professionals to monitoring was extremely sparse. Conclusions: Our review found a lack of data on the potential impact of population monitoring or screening for obesity and more research is indicated. Identification of effective weight reduction strategies for children and clarification of the role of preventative measures are priorities. It is difficult to see how screening to identify individual children can be justified without effective interventions.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Obesity has been described as a global epidemic. Its increasing prevalence is matched by growing costs, not only to the health of the individual, but also to the medical services required to treat a range of obesity-related diseases. In most instances, obesity is a product of progressively less energetic lifestyles and the over-consumption of readily available, palatable, and highly caloric foods. Past decades have seen massive investment in the search for effective anti-obesity therapies, so far with limited success. An important part of the process of developing new pharmacologic treatments for obesity lies in improving our understanding of the psychologic and physiologic processes that govern appetite and bodyweight regulation. Recent discoveries concerning the endogenous cannabinoids are beginning to give greater insight into these processes. Current research indicates that endocannabinoids may be key to the appetitive and consummatory aspects of eating motivation, possibly mediating the craving for and enjoyment of the most desired, most fattening foods. Additionally, endocannabinoids appear to modulate central and peripheral processes associated with fat and glucose metabolism. Selective cannabinoid receptor antagonists have been shown to suppress the motivation to eat, and preferentially reduce the consumption of palatable, energy-dense foods. Additionally, these agents act to reduce adiposity through metabolic mechanisms that are independent of changes in food intake. Given the current state of evidence, we conclude that the endocannabinoids represent an exciting target for new anti-obesity therapies.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Background: Preventing childhood overweight and obesity has become a major public health issue in developed and developing countries. Systematic reviews of this topic have not provided practice-relevant guidance because of the generally low quality of research and the heterogeneity of reported effectiveness. Aim: To present practice-relevant guidance on interventions to reduce at least one measure of adiposity in child populations that do or do not contain overweight or obese children. Design: Systematic review of eligible randomized, controlled trials or controlled trials using a novel approach to synthesizing the trial results through application of descriptive epidemiological and realistic evaluation concepts. Eligible trials involved at least 30 participants, lasted at least 12 weeks and involved non-clinical child populations. Results: Twenty-eight eligible trials were identified to 30 April 2006. Eleven trials were effective and 17 were ineffective in reducing adiposity. Blind to outcome, the main factor distinguishing effective from ineffective trials was the provision of moderate to vigorous aerobic physical activity in the former on a relatively 'compulsory' rather than 'voluntary' basis. Conclusions: By using a novel approach to synthesizing trials, a decisive role for the 'compulsory' provision of aerobic physical activity has been demonstrated. Further research is required to identify how such activity can be sustained and transformed into a personally chosen behaviour by children and over the life course. (C) 2007 The Royal Institute of Public Health. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Background: Obesity is increasing globally across all population groups. Limited data are available on how obesity patterns differ across countries. Objective: To document the prevalence of obesity and related health conditions for Europeans aged 50 years and older, and to estimate the association between obesity and health outcomes across 10 European countries. Methods: Data were obtained from the 2004 Survey of Health, Ageing and Retirement in Europe, a cross-national survey of 22 777 Continental Europeans over the age of 50 years. The health outcomes included self-reported health, disability, doctor-diagnosed chronic health conditions and depression. Multivariate regression analysis was used to predict health outcomes across weight classes (defined by body mass index [BMI] from self-reported weight and height) in the pooled sample and individually in each country. Results: The prevalence of obesity (BMI >= 30) ranged from 12.8% in Sweden to 20.2% in Spain for men and from 12.3% in Switzerland to 25.6% in Spain for women. Adjusting for compositional differences across countries changed little in the observed large heterogeneity in obesity rates throughout Europe. Compared with normal weight individuals, men and women with greater BMI had significantly higher risks for all chronic health conditions examined except heart disease in overweight men. Depression was linked to obesity in women only. Particularly pronounced risks of impaired health and chronic health conditions were found among severely obese people. The effects of obesity on health did not vary significantly across countries. Conclusions: Cross-country differences in the prevalence of obesity in older Europeans are substantial and exceed socio-demographic differentials in excessive body weight. Obesity is associated with significantly poorer health outcomes among Europeans aged 50 years and over, with effects similar across countries. Large heterogeneity in obesity throughout Europe should be investigated further to identify areas for effective public policy. (C) 2007 Published by Elsevier Ltd on behalf of The Royal Institute of Public Health.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Theoretical models suggest that decisions about diet, weight and health status are endogenous within a utility maximization framework. In this article, we model these behavioural relationships in a fixed-effect panel setting using a simultaneous equation system, with a view to determining whether economic variables can explain the trends in calorie consumption, obesity and health in Organization for Economic Cooperation and Development (OECD) countries and the large differences among the countries. The empirical model shows that progress in medical treatment and health expenditure mitigates mortality from diet-related diseases, despite rising obesity rates. While the model accounts for endogeneity and serial correlation, results are affected by data limitations.