985 resultados para Nietzsche, Friedrich


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UANL

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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L’objectif de la thèse est de montrer en quoi le roman ou la littérature incarne une forme de connaissance qui lui est propre, que Pierre Klossowski appelle la « connaissance pathétique ». Celle-ci fait appel aux passions plutôt qu’à la seule raison et repose sur des percepts et des affects bien davantage que sur des idées et sur des concepts. L’œuvre romanesque de Georges Bataille et de Pierre Klossowski me servira d’exemple et d’objet d’analyse, dans la mesure où l’écriture fictionnelle y est toujours au service d’une ‘’passion’’ philosophique, dans laquelle l’auteur entraîne ses personnages en même temps que le lecteur. Cette « connaissance pathétique » que le sujet est amené à vivre passe notamment par les mécanismes d’une écriture qui tente d’énoncer l’innommable. Cette orientation esthétique suit la voie tracée par Nietzsche, et les grandes thématiques associées à ce dernier constituent à la fois, au niveau de l’énoncé, un contenu thématique et diégétique récurrent (par exemple : dans Le Baphomet, nous sommes en présence du personnage de Friedrich l’Antéchrist) et, au niveau de l’énonciation, une stratégie narrative qui consiste à piéger le lecteur dans un système d’interprétations ambiguës, contradictoires et provocatrices qui déclenchent chez lui une activité cognitive effrénée, de nature passionnelle ou pathétique (par exemple : Le récit Les lois de l’hospitalité commence par un avertissement au lecteur, où on le met en garde contre « l’attrape concertée » que représente le récit). J’étudierai en détail, sur le plan de l’expression et du contenu, ces stratégies cognitives de la transgression et du simulacre grâce auxquelles l’auteur amène ses personnages et son lecteur à éprouver des pensées comme une forme de passion. L’analyse de la poétique pathique comme forme privilégiée de l’écriture narrative chez Pierre Klossowski et chez Georges Bataille nécessitera le recours à une analyse de l’œuvre de Nietzsche et de Sade dans un premier temps pour retracer ce qui est l’enjeu de la réception de ces œuvres par les deux auteurs français. Dans un deuxième temps, l’analyse des œuvres de Georges Bataille et de Pierre Klossowski me permettra de comprendre comment elles déclenchent chez le lecteur une expérience pathétique où la difficulté d’atteindre à une connaissance rationnelle univoque déclenche chez le destinataire du texte une activité cognitive complexe de nature proprement littéraire ou romanesque. Enfin, le corpus qui me servira d’exemple dans la description de ces phénomènes sera constitué des principales œuvres discursives de Bataille et de Klossowski (L’expérience intérieure, Nietzsche et le cercle vicieux) ainsi que de leurs œuvres romanesques (L’histoire de l’œil, Divinus Deus, L’abbé C., La vocation suspendue, Les lois de l’hospitalité et Le Baphomet).

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Ce mémoire a pour but d’élucider l’analyse et l’évaluation nietzschéennes du sens et de la portée de la figure de Socrate dans les cultures antique et moderne. Pour ce faire, nous nous pencherons d’abord sur la question de l’identité de Socrate, ce qui permettra d’introduire une distinction centrale à l’analyse de Nietzsche, soit celle entre la doctrine et la personnalité du célèbre Athénien. En effet, Nietzsche isole la personnalité de Socrate, qu’il circonscrit à partir des notions d’instinct, de pulsion et d’affect, de sa doctrine, qu’il appelle le socratisme et qu’il définit à partir de l’équation socratique raison = vertu = bonheur. Ensuite, nous développerons les trois éléments sur lesquels il s’appuie pour expliquer que Socrate ait pu séduire les Grecs, soit le fait qu’il fut un grand érotique, qu’il introduisit une nouvelle forme de joute à Athènes et qu’il apparut comme étant un médecin pour ses contemporains. Cette question des raisons permettant d’expliquer que Socrate ait pu séduire les Grecs est déterminante pour Nietzsche, puisque c’est de là qu’il est amené à se demander qui est ce Socrate et quel a été son véritable impact sur la culture, soit les deux questions qui sont au cœur de ce qu’il appelle « le problème de Socrate ». Enfin, nous nous pencherons sur le diagnostic que le philosophe allemand pose sur le célèbre Athénien ainsi que sur son évaluation de l’impact du socratisme sur les cultures antique et moderne, après quoi nous présenterons l’inversion des valeurs que Nietzsche tente d’opérer dans sa propre culture. Nous verrons alors qu’il cherche entre autres par cette inversion des valeurs à nous libérer du socratisme, car il est d’avis que cette doctrine dévalorise toute forme d’agir puisant ses motifs dans ce qui relève de l’inconscient et survalorise une morale luttant contre les pulsions dominantes en nous.

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La notion de l'absurde a pris dans la pensée et le langage courant un très grand nombre de significations, parfois très éloignées les unes par rapport aux autres. Il est arrivé à au moins deux reprises que le terme « absurde » soit entendu dans le sens d'un courant : dans la philosophie absurde théorisée par Albert Camus en 1942, et dans le Théâtre de l'absurde (Beckett, Ionesco, etc.), qui lui a connu son apogée dans les années cinquante. Ces deux mouvements pourraient être envisagés comme l'expression d'un seul et même courant, l'absurde, qui prend ses racines dans une Europe ébranlée par les horreurs de la guerre et l'affaissement de la religion chrétienne. Pour les contemporains, l'hostilité et le désordre de l'univers, de même que la solitude irrémédiable de l'individu apparaissent comme des vérités à la fois douloureuses et difficile à ignorer. Roman Polanski (1933-), cinéaste à la fois prolifique et éclectique, ouvre à l'absurde de nouveaux horizons, ceux du septième art. L'analyse de son oeuvre (et des éléments autobiographiques qui la sous-tendent parfois) met à jour d'indéniables parentés avec les figures-clés de l'absurde que sont Camus, Kafka, Nietzsche et les dramaturges européens de l'après-guerre. Ces parentés se repèrent tout autant dans les thématiques récurrentes de ses films que dans leurs obsessions formelles.

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La pensée de Nietzsche a joué un rôle déterminant et récurrent dans les discours et les débats qui ont formé et continuent de façonner le domaine de l’histoire de l’art, mais aucune analyse systématique de cette question n’a encore vu le jour. L’influence de Nietzsche a été médiée par divers interlocuteurs, historiens de l’art et philosophes, qui ont encadré ces discussions, en utilisant les écrits du philosophe comme toile de fond de leurs propres idées. Ce mémoire souhaite démontrer que l’impact de Nietzsche dans le champ de l’histoire de l’art existe mais qu’il fut toujours immergé ou éclipsé, particulièrement dans le contexte anglo-américain, l’emphase étant placée sur les médiateurs de ses idées en n’avouant que très peu d’engagement direct avec son œuvre. En conséquence, son importance généalogique pour certains fondateurs de la discipline reste méconnue; sa présence réellement féconde se traduit plutôt comme une absence ou une présence masquée. En vue de démontrer ce propos, nous regardons donc le contexte nietzschéen qui travaille les écrits de certains historiens de l’art, comme Jacob Burckhardt et Aby Warburg, ou des philosophes et d’écrivains ayant marqué la discipline de l’histoire de l’art (plus particulièrement dans le cadre de l’influence de la « French Theory » sur l’histoire de l’art anglo-américaine depuis la fin des années 1970) : Martin Heidegger, Michel Foucault, Jacques Derrida, Gilles Deleuze et Georges Bataille. Nous examinons certaines voies par lesquelles ses idées ont acquis une pertinence pour l’histoire de l’art avant de proposer les raisons potentielles de leur occlusion ultérieure. Nous étudions donc l’évolution des discours multiples de l’histoire comme domaine d’étude afin de situer la contribution du philosophe et de cerner où et comment ses réflexions ont croisé celles des historiens de l’art qui ont soit élargi ou redéfini les méthodes et les structures d’analyse de leur discipline. Ensuite nous regardons « l’art » de Nietzsche en le comparant avec « l’art de l’histoire de l’art » (Preziosi 2009) afin d’évaluer si ces deux expressions peuvent se rejoindre ou s’il y a fondamentalement une incompatibilité entre les deux, laquelle pourrait justifier ou éclairer la distance entre la pensée nietzschéenne sur l’art et la discipline de l’histoire de l’art telle qu’elle s’institutionnalise au moment où le philosophe rédige son œuvre.

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Se trata de un análisis de las influencias nihilistas en la filosofía de Nietzsche, tanto en las obras del propio autor como en la recepción que del mismo tienen otros autores. Se tratan las obras menos conocidas del autor en busca de elementos propios del nihilismo. Se concluye con la necesidad de realizar un estudio desde un punto de vista más interdisciplinar de la obra de Nietzsche .