1000 resultados para Muscles de la main
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Contient : Colb. 1548 [lat. 3858 B] : collection de canons ; Colb. 1562 [lat. 4172] : formulaire de lettres pontificales, XIVe-XVe siècle ; Colb. 1701 [lat. 4863] : catalogue en vers des archevêques de Rouen ; Colb. 1713 [lat. 937] : formulaire de la chancellerie des papes d'Avignon ; Colb. 1995 [lat. 4667] : catalogue des rois goths ; Colb. 2052 [lat. 2259] : bulles et diplômes du XIIIe siècle ; Colb. 2089 [lat. 4241] : traité de Jean Schadlant sur les cardinaux ; Colb. 2104 [lat. 5990] : bulles en faveur des rois de France ; Colb. 2262. [lat. 5244] : martyrologe de l'église du Puy ; Colb. 2275 [lat. 9996] : registre de la sénéchaussée de Carcassonne ; Colb. 2446 [lat. 8567] : Etienne de Saint-Georges ; Colb. 2479 [lat. 1772] : « planctus in obitum Constantii Luxoviensis » ; Colb. 2509 [lat. 5294] : miracles de saint Mansuy ; Colb. 2546 [lat. 5373 A] : procès de canonisation de Philippe, archevêque de Bourges ; Colb. 2576 [lat. 1458] : « Gesta Romanorum pontificum » ; Colb. 2578 [lat. 4955] : catalogues épiscopaux ; Colb. 2607 [lat. 673] : extrait de Guibert de Nogent ; Colb. 2835 [lat. 4991 A] : Aimeri de Peyrat ; Colb. 2958 [lat. 5302] : lettre de Jésus-Christ tombée du ciel ; Colb. 3126 [lat. 5954] : traités entre les rois de France et d'Angleterre ; Colb. 3280 [lat. 1745] : « Herberti, De hereticis » ; Colb. 3352 [lat. 8121 A] : satire de Garnier de Rouen ; Colb. 3969 [lat. 6042] : catalogues épiscopaux de la province de Reims ; Colb. 4001 [lat. 7185] : « Arithmomachia » ; Colb. 4047 [lat. 3881] : recueil de canons ; Colb. 4064 [lat. 1682] : recueil de décrétales ; Colb. 4085 [lat. 2731 A] : lettre d'Alcuin ; Colb. 4305 et 4309 [lat. 4280 AA et 2240] : traité contre les hérétiques ; Colb. 4374 [lat. 4889] : chronique d'Ekkehard ; Colb. 4467 [lat. 4350] : lettres de Boniface VIII ; Colb. 4799 [lat. 3555] : recueil d'Exempla ; Colb. 4822 [lat. 8654] : formulaire de Boncompagni ; Colb. 4967 [fr. 5909] : pièces relatives au règne de Charles III ; Colb. 5016 [lat. 2498] : vie de sainte Hélène ; Colb. 5080 [lat. 11015] : chartes de Narbonne ; Colb. 5222 [lat. 2858] : pièces concernant la marche d'Espagne ; Notes écrites par François Bohier, évêque de Saint-Malo [1535-1569] sur les feuillets blancs d'un pontifical ; Chartes de Philippe-Auguste pour Baudouin, comte de Flandre, 1195 et 1200 [Delisle, nos 447 et 579], d'après les originaux ; Bulle de Jean XXII, 7 juillet 1316, relative à la division du diocèse de Toulouse ; Fragment de synode sénonais de la fin du Xe siècle, d'après l'original ; Lettre d'Alcuin, feuillet mutilé d'un ms. du IXe siècle, avec transcription (cf. Bibl. de l'Ecole des chartes, t. XLII, p. 8-10)
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Contient : Cartulaire de Saint-Just-en-Beauvaisis[Stein, n° 3463], avec cette note de Baluze : « J'ay copié cecy sur une copie, n'ayant pas veu l'original. » ; Cartulaire [A] de l'église de Grenoble [Stein, n° 1619] ; Cartulaire de l'abbaye de Fécamp [ibid., n° 1309] ; Cartulaire de Saint-Flour, table et extraits [ibid., n° 3412], et pièces (1362-1368) concernant la même église (f. 73-79) ; Cartulaire de Saint-Cybard d'Angoulême [Stein, p. 20] ; Cartulaire de l'église d'Angoulême [ibid., n° 150] ; Cartulaire de l'abbaye d'Yères [ibid., n° 4153] ; Cartulaire de Saint-Etienne de Dreux [ibid, n° 1231], extraits faits en 1683 ; Cartulaire du prieuré de Domène [ibid., n° 1212] ; Cartulaire de la Chapelle-Aude [ibid., n° 1789] ; en tête copie de l'acte de fondation, de la main d'André Duchesne ; Cartulaire de Saint-Denis [ms. lat. 5415 ; Stein, n° 3362] ; Cartulaire de Saint-Crépin-en-Chaye [ibid., n° 3350] ; Cartulaire de Conques [ibid., n° 1043] ; Echange entre la dite abbaye et un nommé Autbertus (947), d'après l'original ; Extraits d'une chronique manuscrite du même monastère ; « Ex tabulario Compendiensi. »
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Métier de service, féminin, dévalorisé, peu qualifié et mal payé, voici le registre le plus fréquent sur lequel est évoqué le travail de service en restauration. Sans aucun doute, ces éléments caractérisent en partie l'activité professionnelle des serveuses et des serveurs de restaurant, mais ils ne suffisent pas à en cerner la spécificité et ne rendent que partiellement compte des différentes facettes du métier et du travail réalisé. La présente étude s'applique à repérer les ressorts de cette « entreprise humaine organisée » (Freidson, 1986) qu'est le métier de serveur/serveuse en restauration traditionnelle, mais dont l'organisation n'apparaît pas d'emblée, tant elle est peu formelle et formalisée. À partir d'une démarche empirique, et en croisant différentes approches - sociologie du travail, sociologie des groupes professionnels, sociologie des services et études genre -, elle donne à comprendre ce qui fait le métier de serveur et de serveuse en restauration commerciale traditionnelle et la spécificité du travail effectué par ces petites mains du service. La première partie de l'analyse cerne les multiples facettes du contenu du travail des serveuses et des serveurs en restauration et la particularité des relations de service entre la clientèle et le personnel. La seconde traite plus spécifiquement des relations sociales dans l'entreprise, tant horizontales - avec les collègues -, que verticales - avec le patron. Enfin la troisième partie met en évidence les principaux mécanismes de différenciation de la main-d'oeuvre, par l'analyse de la répartition des horaires de travail et l'examen des parcours professionnels des personnes interviewées. Au final, cette thèse dresse le profil sociologique d'un métier qui a, jusqu'ici, peu retenu l'attention des chercheur?e?s. Elle cerne finement la profonde ambivalence qui caractérise le métier de serveur/serveuse, tant au plan du travail effectué, des relations de travail, du rapport au client, des parcours professionnels et du rapport subjectif que les personnes entretiennent à l'égard de leur travail. Service marchand marqué par la combinaison d'une domesticité ancillaire et d'une forme de domesticité familiale ; activité manuelle et relationnelle, individuelle et collective, physique et psychique ; combinaison de routine et d'événement ; travail dont il faut effacer le caractère laborieux ; personnalisation de relations entre anonymes, sont un aperçu des résultats qui concourent à montrer que le métier de serveur/serveuse recouvre des réalités contrastées et combine des logiques qui peuvent apparaître comme fort éloignées, voire contradictoires. En réalité, ce métier est à l'interface entre l'univers salarial, artisanal et domestique et présente simultanément des caractéristiques propres aux différentes formes de mise au travail que sont le salariat, l'artisanat et le travail domestique. En étayant ce résultat, ma recherche plaide pour la nécessité d'une approche transversale et globalisante qui ne fonctionne pas sur des catégories d'analyse figées et hermétiques, définies a priori en fonction de l'objet étudié, mais reste ouverte pour permettre de saisir la complexité et l'hybridation des logiques à l'oeuvre dans toute activité professionnelle. Ainsi, outre la contribution qu'apporte cette recherche aux connaissances existantes sur un segment professionnel peu investigué jusqu'ici, elle contribue aussi à enrichir les analyses contemporaines du travail en suscitant une réflexion de plus large portée sur les approches et les conceptualisations possibles pour appréhender les activités de service.
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BACKGROUND: The rotator cuff muscles are the main stabilizer of the glenohumeral joint. After total shoulder arthroplasty using anterior approaches, a dysfunction of the subscapularis muscle has been reported. In the present paper we tested the hypothesis that a deficient subscapularis following total shoulder arthroplasty can induce joint instability. METHODS: To test this hypothesis we have developed an EMG-driven musculoskeletal model of the glenohumeral joint. The model was based on an algorithm that minimizes the difference between measured and predicted muscular activities, while satisfying the mechanical equilibrium of the glenohumeral joint. A movement of abduction in the scapular plane was simulated. We compared a normal and deficient subscapularis. Muscle forces, joint force, contact pattern and humeral head translation were evaluated. FINDINGS: To satisfy the mechanical equilibrium, a deficient subscapularis induced a decrease of the force of the infraspinatus muscle. This force decrease was balanced by an increase of the supraspinatus and middle deltoid. As a consequence, the deficient subscapularis induced an upward migration of the humeral head, an eccentric contact pattern and higher stress within the cement. INTERPRETATION: These results confirm the importance of the suscapularis for the long-term stability of total shoulder arthroplasty.
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Comprend : [ Folios A1v ° et A2r °. Vue des deux cartes en couleur de l'hémisphère Européen-Africain et de l'hémisphère Américain. XVIè siècle.] [ Cote : BNF RCB 8010. ]
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Comprend : Tome 1. Frontispice copié d'après le frontispice réalisé par Magdeleine Horthemels de l'édition originale de 1707 :Le Diable boiteux.] El Diablo Coivelo. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.1 Pag. 25 : Dans quel endroit le Diable Boiteux transporta l'Ecolier et des premières choses qu'il lui fit voir. [Le Diable boiteux, en compagnie de l'Ecolier Zambullo, jette un sort sur la ville de Madrid et fait disparaître les toits d ; [Pl.] Tom.1 Pag. 52 : Histoire des amours du Comte de Belflor et de Léonor de Cespedes. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.1 Pag. 164 : Des Prisonniers. [Cote : microfilm R.61628] ; [Tome 1. Pl. en reg p. 244 :] Des foux enfermez. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.1 Pag. 311 : [Querelle de rue opposant des musiciens et quatre hommes armés.] [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.1 Pag. 316 : De l'Incendie, et de ce que fit Asmodée en cette occasion par amitiépour Don Cléofas. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.2 Pag. 3 : Des Tombeaux, des Ombres et de la Mort. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.2 Pag. 29 : La force de l'amitié. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.2 Pag. 91 : Du Démêlé d'un Poëte Tragique avec un Auteur Comique. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.2 Pag. 181 : Des Songes. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.2 Pag. 220 : Ce que le Diable fit encore remarquer à Don Cléofas. [Cote : microfilm R.61628] ; [Pl.] Tom.2 Pag. 291 : De ce que fit Don Cléofas après que le Diable Boiteux se fut éloigné de lui; et de quelle façon l'Auteur de cet Ouvrage a jugé à propos de le finir. [Don Cléofas donne la main de sa fille Séraphine au cavalier Léandr
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Destinataire non identifié. - Comprend aussi 2 lignes de la main de Joséphine Verdi
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Après la compression du nerf médian au niveau du tunnel carpien, la compression du nerf ulnaire au niveau du coude est le deuxième syndrome compressif le plus fréquent des nerfs périphériques. La chirurgie des nerfs périphériques consiste dans une décompression nerveuse et est caractérisée par un suivi post¬opératoire parfois très douloureux avec des douleurs qui peuvent chroniciser si insuffisamment traitées. Le traitement chirurgical de décompression nerveuse se fait traditionnellement sous anesthésie générale ou régionale. Une analgésie post-opératoire plus efficace et durable avec moindre risque de chronicisation avait justifié ce choix jusqu'à ce jour. Grâce au développement de la chirurgie ambulatoire ces dernières années, un grand nombre d'interventions chirurgicales au niveau de la main sont effectués sous anesthésie locale. Au vu d'une meilleure connaissance de cette technique d'anesthésie, son rôle dans la chirurgie des nerfs périphériques a été remis en question. Alors que plusieurs études ont démontré que l'anesthésie locale est aussi efficace que l'anesthésie générale et régionale au sujet de la chirurgie du tunnel carpien, son utilisation pour la chirurgie du nerf ulnaire reste peu connue. La raison de l'hésitation à l'utilisation de l'anesthésie locale pour le traitement du tunnel ulnaire est due au fait que dans plus de la moitié des cas, une simple décompression n'est pas suffisante et qu'il est souvent nécessaire de transposer le nerf ulnaire devant l'épicondyle ulnaire. La seule publication disponible au sujet de l'utilisation de l'anesthésie locale dans le traitement du tunnel ulnaire considère comme irréalisable d'utiliser cette méthode dans le cas d'une transposition. Malgré cette mise en garde, nous avons, depuis plusieurs années, des excellents résultats avec la transposition du nerf ulnaire sous anesthésie locale. Avec le but d'objectiver notre expérience dans ce domaine nous avons souhaité analyser nos résultats de façon rétrospective avec particulière attention aux douleurs post-opératoires et à la satisfaction des patients. Les dossiers de cinquante patients Consécutifs (26F, 24M) opérés par le même chirurgien dans notre service de 2002 à 2012 ont été analysés rétrospectivement. Les critères suivants ont été récoltés: l'âge du patient, la profession, la main dominante, les détails des techniques opératoires utilisées, le type d'anesthésie, l'intensité du suivi ainsi que les complications, le niveau de douleur dans l'immédiat post-opératorie ainsi que à une année de l'intervention. Les patients ont été divisés en 4 groupes: les opérés sous anesthésie générale avec transposition du nerf (n=17) ou sans transposition (n=10) et les opérés sous anesthésie locale avec transposition (n=12) ou sans transposition (n=11). Au premier jour la douleur était comparable dans tous les groupes. A une semaine, elle était deux fois plus importante lorsque la transposition avait été réalisée sous anesthésie générale par rapport à si une anesthésie locale avait été effectuée (p=0.03). La satisfaction s'est révélée plus élevée mais non significative chez les patients opérés sous anesthésie locale. Ces derniers étaient significativement plus enclins à répéter la chirurgie comparé a ceux opérés sous anesthésie générale (p=0.04). En conclusion, les résultats de cette étude suggèrent que l'anesthésie locale est au moins autant efficace que l'anesthésie générale en termes de complications et de douleurs post-opératoires indépendamment du fait qu'une transposition nerveuse soit effectuée ou pas. Un meilleur contrôle des douleurs à une semaine post-opératoire a contribué à une haute satisfaction des patients de notre étude.
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Zola, Émile. Oeuvres diverses, manuscrit(s) autographe(s)
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Rapport de synthèse : But de l'étude : Les accidents domestiques représentent un problème significatif en médecine pédiatrique. Le but de cette étude est de mieux comprendre les mécanismes et causes des brûlures afin de pouvoir cibler la prévention. Méthode : Il s'agit d'une étude prospective d'une durée d'une année, d'Août 2004 à Août 2005. Les patients ayant consulté pour des brûlures à l'Hôpital de l'Enfance de Lausanne (HEL) ou au CHUV ont été répertoriés. Le mécanisme et les circonstances des brûlures ont été analysées, de même que l'environnement et les données psycho-sociales. Résultats : huitante-neuf patients ont été inclus dans l'étude, âgés de 2 mois à 15 ans. Septante-huit pour cent des patients avaient moins de 5 ans. Plus de la moitié étaient des garçons. Les brûlures par échaudement prédominaient. Nous n'avons pas pu mettre en évidence d'incidence augmentée de brûlures chez des patients de familles immigrées ou de niveau social bas. Dans la majorité des cas, un adulte était présent au moment de l'accident. Conclusion : Si l'on devait établir un profil type de l'enfant à risque de se brûler dans notre région, il s'agirait d'un garçon âgé de 15 mois-5ans, se brûlant en se versant une tasse de liquide chaud sur la main, à son domicile, en présence de l'un ou de ses deux parents. Le message de prévention devrait donc s'adresser directement aux parents, toutes nationalités et niveau social confondus afin de leur expliquer les dangers de brûlures présents au quotidien à leur domicile. A chaque contrôle, les pédiatres devraient parler des accidents domestiques aux parents. En insistant sur les dangers que représentent les tasses de café, la porte du four et la plaque de la cuisinière, qui sont des éléments du quotidien et qui méritent une attention à chaque utilisation. Les brûlures chez le petit enfant pourraient ainsi être fortement réduites.
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Donné par Châtre de Cangé en 1733, après la vente de ses manuscrits à la Bibliothèque du roi; cf. Catalogue des livres du Cabinet de M..., Paris, 1733, description à la main ajoutée sur les derniers feuillets de garde de plusieurs exemplaires de ce catalogue "Notice de quelques manuscrits d'elite qui n'étoient pas compris dans le catalogue et que M. du Cangé a donnés au roi... Histoire du monastère de Selby, ordre de St Benoît, dans la province d'Yorc. Ce vol. étoit sans inscription et sans n° et vient pourtant du fond de du Cangé"; Delisle, Cab. des mss., I, 411-412; n° 143 de la liste des manuscrits de Cangé établie par Méon; — ex-libris (XVIIe s.)"Monasterii S. Germain Autisiodorensis" de l'abbaye de Saint-Germain d'Auxerre (1), cf. Delisle, Cab. des mss., II, 405.
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Les monographies consacrées à Jean-Baptiste Perronneau (ca 1715-1783) à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle traduisaient l'engouement pour l'art du XVIIIesiècle qui se déployait dans le Tout Paris de la Belle Époque. Elles rendaient justice au peintre de l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris, et à l'un des peintres favoris des contemporains des Impressionnistes qu'elles présentaient comme un artiste éclipsé de son vivant par son prestigieux aîné, Maurice Quentin Delatour (1704-1788). La première partie de la thèse étudie la carrière parisienne du peintre, ses appuis artistiques et sociaux, ses pratiques au pastel et à l'huile, de l'agrément en 1746 à la réception en 1753 et avant le début de la période des voyages en 1756. La rivalité avec Delatour, mise en scène dans un esprit d'émulation au Salon du Louvre pendant plus de vingt ans, y est largement évoquée. Un même nombre de portraits exposés fait comprendre que Perronneau avait de son vivant la faveur des artistes et du public. Il permet de mesurer les effets de la rivalité avec le peintre de Cour sur sa carrière. Delatour faisait exposer en 1750 son autoportrait à côté de son portrait demandé à Perronneau. Les qualités des deux peintres étaient comparées par la nouvelle critique. Notre étude s'attache à ce qui les rapproche comme à ce qui les sépare. Dans la deuxième partie, les peintres des milieux artistiques qu'il fréquente, Louis Tocqué, Jean-Baptiste Oudry, Charles Nicolas Cochin, pour citer les principaux, sont convoqués pour évaluer l'art de Perronneau dans ce que Cochin appelle la « ressemblance savante ». Les peintres les plus ambitieux s'attachent à son interprétation malgré les difficultés dues aux réactions de leur clientèle. La façon dont procède Perronneau est ici envisagée suivant deux aspects : d'une part, la composition du portrait selon une idée du naturel qui détermine l'attitude et une certaine imitation des défauts ; d'autre part, l'imitation de la nature qui réside dans les qualités de l'art, et donc picturales, appréciées des amateurs avertis. La façon qui lui est propre est de composer un naturel selon des poses variées, fondé sur la noblesse de l'attitude conjuguée à la simplicité, conformément à l'idéal courtois en vigueur depuis le XVIe siècle ; elle reste immuable au long de sa carrière. Dans l'imitation de la nature, sont mis en évidence des aspects cachés du faire lors de la mise en place du relief de la figure, les références aux maîtres anciens, Rembrandt, Van Dyck, la conscience de la distance à laquelle le tableau doit être vu, qui atténue la vigueur de la touche, comme le fait le verre qui sert aussi de vernis au pastel. L'idée de sprezzatura qui régit la distinction légère de la pose se décèle à la surface de ses portraits à travers l'apparence de facilité qu'il s'attache à leur donner, et jusque dans l'inimitable retouche finale. Grâce à la qualité de sa retouche, Perronneau accroît sensiblement dans certaines oeuvres à partir de 1768 l'expression savante et inventive de son sentiment. Afin de peindre comme il l'entend tout en gagnant sa vie et celle de sa famille, le peintre prend le parti de voyager comme l'y autorisait la libéralité de son statut. Dans la troisième partie est étudiée la trame de ses voyages que constituent les recommandations dont il bénéficie. Les identités des quatre cent dix modèles peints en France et en Europe de 1740 à 1782 sont systématiquement étudiées dans le catalogue ainsi que les conditions de leur rencontre avec le peintre. Elles décrivent une clientèle variée représentative de la mobilité des statuts dans l'Europe d'ancien Régime dont la composante nouvelle est la clientèle du monde de la banque internationale et du grand commerce. Leurs portraits peints à l'étranger ou dans les villes de Province que Perronneau présente au Salon irritent et inquiètent l'élite parisienne et donne lieu à de nouvelles tensions avec l'éternel rival, Delatour, au Salon de 1767. Perronneau se sent à juste titre évincé de Paris. Alors que l'on avait pu penser qu'il avait peu souffert des critiques du philosophe qui ne furent publiées qu'après sa mort, il apparaît que sa réputation pâtit de ses jugements diffusés par les nouvelles à la main au-delà des frontières et jusqu'auprès de la prestigieuse clientèle qui lui était acquise. Le travail sur son la carrière et l'oeuvre de Perronneau permet surtout une compréhension nouvelle de l'art du portrait au milieu du siècle, au moment où la représentation individuelle n'a jamais encore touché un aussi large public et où l'Académie ambitionne d'élever cet art au plus haut degré.
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F. 1v Noms des évêques ; F. 2 Epistola capitulorum ; F. 3 Capitula ; F. 31 Gesta collationis inter Catholicos et Donatistas ; F. 87 Gesta secundae cognitionis ; F. 96 Gesta tertiae cognitionis, c. I-CCLXXXI. (Mansi, IV, 19-246).