The Interaction Between Monetary and Fiscal Policies (Working Paper 30)

One can view the period since 1970 as one in which the authorities struggled to establish appropriate medium-term anchors for both monetary and fiscal policies. During this time, they learned about the appropriate interaction between those two policies in the context of economic stabilization and growth under a flexible exchange rate regime. This lecture deals with four interrelated topics: the appropriate goals for fiscal and monetary policy, building policy credibility, the appropriate stabilization role for the two policies, and policy cooperation. The transparent medium term frameworks that have been established by the authorities will be extremely helpful in meeting the challenges that the future is sure to bring. These frameworks mean that the required adjustments in the economy will take place against a relatively stable background. Thank you for the invitation to give the Gow Lecture for 2002. Donald Gow had a great interest in public administration and in budgetary reform in the federal government (Gow 1973). He was one in a long line of

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

Credibilidade não linear para as metas de inflação no Brasil

O objetivo deste artigo é analisar a credibilidade do regime de metas de inflação no Brasil e propor um novo método de mensurá-la. Para tanto revisamos alguns índices de credibilidade anteriormente propostos para o país. Uma limitação comum a esses índices é o pressuposto de uma relação linear da credibilidade com os desvios da meta central de inflação. Neste sentido, é proposto um novo índice no qual a credibilidade depende de forma não linear dos afastamentos da meta e calculado o índice para o período de 2001 a 2012. Em um estudo comparativo, utilizando variáveis relacionadas à credibilidade, encontramos coeficientes de correlação maiores para o novo índice. Também se identificou uma alta credibilidade da política monetá- ria para o Brasil nos últimos anos.

Fragilidad financiera en Colombia y las decisiones de política monetaria del Banco de la República, 1996-2012

Este artículo evalúa cuál ha sido el papel de las decisiones de política monetaria del Banco de la República dentro de los procesos de inestabilidad financiera acaecidos en Colombia en el período 1996-2012. Según la revisión de hechos, la crisis de 1999 puso en duda el papel estabilizador del banco central, lo cual reflejó una postura contra-cíclica demasiado débil para la recuperación, y la crisis de 2008 encontró un banco más preparado, aunque con respuesta tardía a los procesos emergentes de fragilidad financiera. A través de estimaciones econométricas se evidencia que una política monetaria contractiva puede inducir una crisis financiera cuando la reacción se da en momentos de mayor estrés financiero.

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

An evaluation of the transmission of the policy interest rate to the financial system’s interest rates in Colombia

This paper studies monetary policy transmission using several statistical tools -- We find that the relationships between the policy interest rate and the financial system’s interest rates are positive and statistically significant, and transmission is complete eight months after policy shocks occur -- The speed of transmission varies according to the type of interest rates -- Transmission is faster for interest rates on loans provided to households, and is particularly rapid and complete for rates on preferential commercial loans -- Transmission is slower for credit card and mortgage rates, due to regulatory issues (interest rate ceilings)

INFLACIÓN E INCERTIDUMBRE INFLACIONARIA: EVIDENCIA PARA COSTA RICA

En este documento se estima una medida de la incertidumbre inflacionaria. Un modelo de inflación señala incertidumbre cuando los errores de pronóstico son heteroscedásticos. Por medio de la especificación de una ecuación GARCH (Generalized Autoregressive Conditional Heteroscedasticity), para la varianza del término de error de un modelo de inflación, es posible estimar una proxy de incertidumbre inflacionaria. La estimación simultánea del modelo de inflación y de la ecuación GARCH, produce un nuevo modelo de inflación en el cual los errores de pronóstico son homocedásticos. Existe consenso en la literatura económica en que hay una correlación positiva entre incertidumbre inflacionaria y la magnitud de la tasa de inflación, lo cual, como lo señaló Friedman (1977), representa uno de los costos asociados con la persistencia inflacionaria. Esto es porque tal incertidumbre dificulta la toma de decisiones óptimas por parte de los agentes económicos.La evidencia empírica, para el periodo 1954:01-2002:08, apoya la hipótesis de que para el caso de Costa Rica mientras mayor es la inflación mayor es la incertidumbre respecto a esta variable. En los últimos siete años (1997-2002) la incertidumbre presenta la variación media más baja de todo el periodo. Además, se identifica un efecto asimétrico de la inflación sobre la incertidumbre inflacionaria, es decir, la incertidumbre inflacionaria tiende a incrementarse más para el siguiente periodo cuando la inflación pronosticada está por debajo de la inflación actual, que cuando la inflación pronosticada está por arriba de la tasa observada de inflación. Estos resultados tienen una clara implicación para la política monetaria. Para minimizar la dificultad que la inflación causa en la toma óptima de decisiones de los agentes económicos es necesario perseguir no solamente un nivel bajo de inflación sino que también sea estable.AbstractThis paper estimates a measure of inflationary uncertainty. An inflation model signals uncertainty when the forecast errors are heteroskedastic. By the specification of a GARCH (Generalized Autoregressive Conditional Heteroscedasticity) equation, for the variance of the error term of the inflation model, it is possible to estimate a proxy for inflationary uncertainty. By the simultaneous estimation of the inflation model and the GARCH equation, a new inflation model is obtained in which the forecast errors are homocedastic. Most economists agree that there is a positive correlation between inflationary uncertainty and the magnitude of the inflation rate, which, as was pointed out by Friedman (1977), represents one of costs associated with the persistence of inflation. This is because such uncertainty clouds the decision-making process of consumers and investors.The empirical evidence for the period 1954:01-2002:08 confirms that in the case of Costa Rica inflationary uncertainty increases as inflation rises. In the last seven years(1997-2002) the uncertainty present the mean variation most small of the period. In addition, inflation has an asymmetric effect on inflationary uncertainty. That is, when the inflation forecast is below the actual inflation, inflationary uncertainty increases for the next period. The opposite happens when the inflation forecast is above the observed rate of inflation. Besides, the absolute value of the change on uncertainty is greater in the first case than the second. These results have a clear implication for monetary policy. To minimize the disruptions that inflation causes to the economic decision-making process, it is necessary to pursue, not only a low level of inflation, but a stable one as well.

MEDIDAS DE NÚCLEO INFLACIONARIO PARA COSTA RICA

En este documento se elaboran y evalúan medidas alternativas de núcleo inflacionario para Costa Rica. La idea fundamental contempla al núcleo inflacionario como un indicador de la tendencia subyacente de la inflación capaz de capturar el componente del cambio total de precios común a todos los bienes y servicios, cuya persistencia se mantendría en el mediano y largo plazo y que excluye los cambios en los precios relativos de estos. La medida de núcleo inflacionario seleccionada se contrasta con el Índice de Núcleo Inflacionario (INI), indicador de inflación subyacente actualmente utilizado por el Banco Central de Costa Rica (BCCR).El Índice Subyacente de Inflación (ISI), definido como una medida de núcleo inflacionario que excluye un 30,7% del peso total del Índice de Precios al Consumidor (IPC), refleja más fielmente la tendencia subyacente de la inflación y logra capturar el movimiento más permanente del nivel general de precios, aislando las variaciones en precios relativos. Además, el ISI es fácil de calcular e interpretar lo cual ayuda a incrementar la transparencia y credibilidad de la política monetaria. También es un indicador oportuno, aumentando su valor para los que formulan la política monetaria. Por último, el ISI supera algunas de las limitaciones del INI, como son la falta de un criterio estadístico para definir el punto de corte de los bienes y servicios a excluir y el alto porcentaje del peso total del IPC eliminado. AbstractThis paper builds and evaluates several alternative measures of core inflation for Costa Rica. The chosen measure of core inflation is contrasted with the core inflation index (INI), which is the indicator of underlying inflation used today by the Central Bank of Costa Rica (BCCR). The main idea is that core inflation is a good indicator of the underlying inflation and catches the part of overall price change common to all the goods and services that is expected to persist in the medium-term and long-term, and excludes changes in the relative prices of goods and services.The Underlying Inflation Index (ISI) is defined as a measure of core inflation which excludes 30,7% of the total weight of the Consumer Price Index (IPC), it is the most closely related with inflation´s underlying trend and catches the component of overall price change that is expected to persist in the general level of prices. Furthermore, the ISI is easy to compute and to follow, increasing the transparency and credibility of monetary policy and moreover is an timely indicator increasing its value for the monetary policy makers. Finally, the ISI exceed some limitations of INI, as the absence of statistic criterion to define the cutting point of goods and services to exclude and the high percent of total weight eliminated of IPC.

Nation & internation practices in decision support tools in road asset management

This document provides a review of international and national practices in investment decision support tools in road asset management. Efforts were concentrated on identifying analytic frameworks, evaluation methodologies and criteria adopted by current tools. Emphasis was also given to how current approaches support Triple Bottom Line decision-making. Benefit Cost Analysis and Multiple Criteria Analysis are principle methodologies in supporting decision-making in Road Asset Management. The complexity of the applications shows significant differences in international practices. There is continuing discussion amongst practitioners and researchers regarding to which one is more appropriate in supporting decision-making. It is suggested that the two approaches should be regarded as complementary instead of competitive means. Multiple Criteria Analysis may be particularly helpful in early stages of project development, say strategic planning. Benefit Cost Analysis is used most widely for project prioritisation and selecting the final project from amongst a set of alternatives. Benefit Cost Analysis approach is useful tool for investment decision-making from an economic perspective. An extension of the approach, which includes social and environmental externalities, is currently used in supporting Triple Bottom Line decision-making in the road sector. However, efforts should be given to several issues in the applications. First of all, there is a need to reach a degree of commonality on considering social and environmental externalities, which may be achieved by aggregating the best practices. At different decision-making level, the detail of consideration of the externalities should be different. It is intended to develop a generic framework to coordinate the range of existing practices. The standard framework will also be helpful in reducing double counting, which appears in some current practices. Cautions should also be given to the methods of determining the value of social and environmental externalities. A number of methods, such as market price, resource costs and Willingness to Pay, are found in the review. The use of unreasonable monetisation methods in some cases has discredited Benefit Cost Analysis in the eyes of decision makers and the public. Some social externalities, such as employment and regional economic impacts, are generally omitted in current practices. This is due to the lack of information and credible models. It may be appropriate to consider these externalities in qualitative forms in a Multiple Criteria Analysis. Consensus has been reached in considering noise and air pollution in international practices. However, Australia practices generally omitted these externalities. Equity is an important consideration in Road Asset Management. The considerations are either between regions, or social groups, such as income, age, gender, disable, etc. In current practice, there is not a well developed quantitative measure for equity issues. More research is needed to target this issue. Although Multiple Criteria Analysis has been used for decades, there is not a generally accepted framework in the choice of modelling methods and various externalities. The result is that different analysts are unlikely to reach consistent conclusions about a policy measure. In current practices, some favour using methods which are able to prioritise alternatives, such as Goal Programming, Goal Achievement Matrix, Analytic Hierarchy Process. The others just present various impacts to decision-makers to characterise the projects. Weighting and scoring system are critical in most Multiple Criteria Analysis. However, the processes of assessing weights and scores were criticised as highly arbitrary and subjective. It is essential that the process should be as transparent as possible. Obtaining weights and scores by consulting local communities is a common practice, but is likely to result in bias towards local interests. Interactive approach has the advantage in helping decision-makers elaborating their preferences. However, computation burden may result in lose of interests of decision-makers during the solution process of a large-scale problem, say a large state road network. Current practices tend to use cardinal or ordinal scales in measure in non-monetised externalities. Distorted valuations can occur where variables measured in physical units, are converted to scales. For example, decibels of noise converts to a scale of -4 to +4 with a linear transformation, the difference between 3 and 4 represents a far greater increase in discomfort to people than the increase from 0 to 1. It is suggested to assign different weights to individual score. Due to overlapped goals, the problem of double counting also appears in some of Multiple Criteria Analysis. The situation can be improved by carefully selecting and defining investment goals and criteria. Other issues, such as the treatment of time effect, incorporating risk and uncertainty, have been given scant attention in current practices. This report suggested establishing a common analytic framework to deal with these issues.

Three essays on banks trading activities

With a fair share of the blame for the subprime crisis pointing to banks' extensive involvement in trading, this thesis examines three closely related issues. The first essay shows that regulatory capital arbitrage, insolvency risk, and non-interest income are all important motivations for banks to become involved in trading. The second essay support the widely held perception that trading activities such as off-balance sheet derivatives, securitization, and assets sales all are making banks more opaque. With banks' business model changing from ''originate and hold'' to ''originate, repackage, and sell'', the last essay show that trading channel exist and it has weakened the effectiveness of monetary policy transmission through banks' capital and lending channel.

It's safe to say there is no safe level of air pollution

Outdoor air pollution is a killer. A recent report from the World Health Organization estimated that 3.7 million deaths per year are due to outdoor air pollution. Most of these deaths are in low and middle income countries, with China being the country that often springs to mind. However, Australia still has a relatively big air pollution problem with an estimated 3,000 deaths per year. Traffic pollution is the major contributor to urban air pollution in Australia. Extreme events, such dust storms, bushfires and the recent coal fire in Morwell, dramatically increase pollution levels (for days or weeks) and are also very hazardous to health. Australian governments in the last 30 years have committed to improving air quality, and policies have been discussed and implemented with the aim of creating cleaner air. One key policy measure is the National Environment Protection Measures for air quality. These set standards for six important outdoor pollutants. Their key goal is to create “ambient air quality that allows for the adequate protection of human health and wellbeing”.

The dilemma of international capital tax competition in the presence of public capital and endogenous growth

Using an OLG-model with endogenous growth and public capital we show, that an international capital tax competition leads to inefficiently low tax rates, and as a consequence to lower welfare levels and growth rates. Each national government has an incentive to reduce the capital income tax rates in its effort to ensure that this policy measure increases the domestic private capital stock, domestic income and domestic economic growth. This effort is justified as long as only one country applies this policy. However, if all countries follow this path then all of them will be made worse off in the long run.

Dynamics of inflation expectations in the euro area

The present study examines empirically the inflation dynamics of the euro area. The focus of the analysis is on the role of expectations in the inflation process. In six articles we relax rationality assumption and proxy expectations directly using OECD forecasts or Consensus Economics survey data. In the first four articles we estimate alternative Phillips curve specifications and find evidence that inflation cannot instantaneously adjust to changes in expectations. A possible departure of expectations from rationality seems not to be powerful enough to totally explain the persistence of euro area inflation in the New Keynesian framework. When expectations are measured directly, the purely forward-looking New Keynesian Phillips curve is outperformed by the hybrid Phillips curve with an additional lagged inflation term and the New Classical Phillips curve with a lagged expectations term. The results suggest that the euro area inflation process has become more forward-looking in the recent years of low and stable inflation. Moreover, in low inflation countries, the inflation dynamics have been more forward-looking already since the late 1970s. We find evidence of substantial heterogeneity of inflation dynamics across the euro area countries. Real time data analysis suggests that in the euro area real time information matters most in the expectations term in the Phillips curve and that the balance of expectations formation is more forward- than backward-looking. Vector autoregressive (VAR) models of actual inflation, inflation expectations and the output gap are estimated in the last two articles.The VAR analysis indicates that inflation expectations, which are relatively persistent, have a significant effect on output. However,expectations seem to react to changes in both output and actual inflation, especially in the medium term. Overall, this study suggests that expectations play a central role in inflation dynamics, which should be taken into account in conducting monetary policy.

Price Inflation, Unemployment and Devaluations: The Finnish Experience of the 1990s

In this paper I provide some empirical answers to important questions such as the determinants of price inflation and the role of inflation polices. The results indicate that monetary policy is surprisingly impotent as a device for controlling inflation and there is little support that it influences the real variables. The low inflation after the Finnish devaluations in the beginning of 90s is foremost due to a previous imbalance in the labor markets and depressed aggregate demand.

“Queremos los medios en manos de empresarios nacionales” : un análisis del discurso de Néstor Kirchner en la prensa escrita

Resumen: El objetivo de este trabajo es analizar comparativamente el modo en que la prensa gráfica de circulación nacional construyó en noticia el discurso pronunciado por el ex presidente Néstor Kirchner en ocasión de la promulgación de una medida de política de comunicación. Se trata del decreto firmado por el ex primer mandatario el 20 de mayo de 2005, que dispuso la suspensión del cómputo de todas las licencias de radio y televisión del país por un plazo de diez años. El estudio de las noticias se aborda desde una perspectiva interdisciplinaria que combina el análisis del discurso con herramientas metodológicas propias de las teorías sobre el periodismo.