929 resultados para LABOUR POLICY
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The Olivia framework is a set of concepts and measures that, when mature, will allow users to describe, in a consistent and integrated manner, everything about individuals and institutions that is of potential interest to social policy. The present paper summarizes the current stage of development in achieving this highly ambitious goal. The current version of the framework supports analysis of social trends and policy responses from many perspectives: • The point-in-time, resource-flow perspectives that underlie most traditional, economics-based policy analysis. • Life-course perspectives, including both transitions/trajectories analysis and asset-based analysis. • Spatial perspectives that anchor people in space and history and that provide a link to macro-analysis. • The perspective of the purposes/goals of individuals and institutions, including the objectives of different types of government programming. The concepts of the framework, which are all potentially measurable, provide a language that can support integrated analysis in all these areas at a much finer level of description than is customary. It provides a language that is especially well suited for analysis of the incremental policy changes that are typical of a mature welfare state. It supports both qualitative and quantitative analysis, enabling some integration between the two. It supports citizen-centric as well as a government-centric view of social policy. In its current version, the concepts are most highly developed as they related to social policies as they related to labour markets, equality and social integration, care-giving, immigration, income security, sustainability, and social and economic well-being more generally. However the paper points to likely extensions in the areas of health, justice and safety.
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This paper considers how far Anglo-Saxon conceptions of have influenced European Union vocational education and training policy, especially given the disparate approaches to VET across Europe. Two dominant approaches can be identified: the dual system (exemplified by Germany); and output based models (exemplified by the NVQ ‘English style’). Within the EU itself, the design philosophy of the English output-based model proved in the first instance influential in attempts to develop tools to establish equivalence between vocational qualifications across Europe, resulting in the learning outcomes approach of the European Qualifications Framework, the credit-based model of European VET Credit System and the task-based construction of occupation profiles exemplified by European Skills, Competences and Occupations. The governance model for the English system is, however, predicated on employer demand for ‘skills’ and this does not fit well with the social partnership model encompassing knowledge, skills and competences that is dominant in northern Europe. These contrasting approaches have led to continual modifications to the tools, as these sought to harmonise and reconcile national VET requirements with the original design. A tension is evident in particular between national and regional approaches to vocational education and training, on the one hand, and the policy tools adopted to align European vocational education and training better with the demands of the labour market, including at sectoral level, on the other. This paper explores these tensions and considers the prospects for the successful operation of these tools, paying particular attention to the European Qualifications Framework, European VET Credit System and European Skills, Competences and Occupations tool and the relationships between them and drawing on studies of the construction and furniture industries.
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Ma thèse s’intéresse aux politiques de santé conçues pour encourager l’offre de services de santé. L’accessibilité aux services de santé est un problème majeur qui mine le système de santé de la plupart des pays industrialisés. Au Québec, le temps médian d’attente entre une recommandation du médecin généraliste et un rendez-vous avec un médecin spécialiste était de 7,3 semaines en 2012, contre 2,9 semaines en 1993, et ceci malgré l’augmentation du nombre de médecins sur cette même période. Pour les décideurs politiques observant l’augmentation du temps d’attente pour des soins de santé, il est important de comprendre la structure de l’offre de travail des médecins et comment celle-ci affecte l’offre des services de santé. Dans ce contexte, je considère deux principales politiques. En premier lieu, j’estime comment les médecins réagissent aux incitatifs monétaires et j’utilise les paramètres estimés pour examiner comment les politiques de compensation peuvent être utilisées pour déterminer l’offre de services de santé de court terme. En second lieu, j’examine comment la productivité des médecins est affectée par leur expérience, à travers le mécanisme du "learning-by-doing", et j’utilise les paramètres estimés pour trouver le nombre de médecins inexpérimentés que l’on doit recruter pour remplacer un médecin expérimenté qui va à la retraite afin de garder l’offre des services de santé constant. Ma thèse développe et applique des méthodes économique et statistique afin de mesurer la réaction des médecins face aux incitatifs monétaires et estimer leur profil de productivité (en mesurant la variation de la productivité des médecins tout le long de leur carrière) en utilisant à la fois des données de panel sur les médecins québécois, provenant d’enquêtes et de l’administration. Les données contiennent des informations sur l’offre de travail de chaque médecin, les différents types de services offerts ainsi que leurs prix. Ces données couvrent une période pendant laquelle le gouvernement du Québec a changé les prix relatifs des services de santé. J’ai utilisé une approche basée sur la modélisation pour développer et estimer un modèle structurel d’offre de travail en permettant au médecin d’être multitâche. Dans mon modèle les médecins choisissent le nombre d’heures travaillées ainsi que l’allocation de ces heures à travers les différents services offerts, de plus les prix des services leurs sont imposés par le gouvernement. Le modèle génère une équation de revenu qui dépend des heures travaillées et d’un indice de prix représentant le rendement marginal des heures travaillées lorsque celles-ci sont allouées de façon optimale à travers les différents services. L’indice de prix dépend des prix des services offerts et des paramètres de la technologie de production des services qui déterminent comment les médecins réagissent aux changements des prix relatifs. J’ai appliqué le modèle aux données de panel sur la rémunération des médecins au Québec fusionnées à celles sur l’utilisation du temps de ces mêmes médecins. J’utilise le modèle pour examiner deux dimensions de l’offre des services de santé. En premierlieu, j’analyse l’utilisation des incitatifs monétaires pour amener les médecins à modifier leur production des différents services. Bien que les études antérieures ont souvent cherché à comparer le comportement des médecins à travers les différents systèmes de compensation,il y a relativement peu d’informations sur comment les médecins réagissent aux changementsdes prix des services de santé. Des débats actuels dans les milieux de politiques de santé au Canada se sont intéressés à l’importance des effets de revenu dans la détermination de la réponse des médecins face à l’augmentation des prix des services de santé. Mon travail contribue à alimenter ce débat en identifiant et en estimant les effets de substitution et de revenu résultant des changements des prix relatifs des services de santé. En second lieu, j’analyse comment l’expérience affecte la productivité des médecins. Cela a une importante implication sur le recrutement des médecins afin de satisfaire la demande croissante due à une population vieillissante, en particulier lorsque les médecins les plus expérimentés (les plus productifs) vont à la retraite. Dans le premier essai, j’ai estimé la fonction de revenu conditionnellement aux heures travaillées, en utilisant la méthode des variables instrumentales afin de contrôler pour une éventuelle endogeneité des heures travaillées. Comme instruments j’ai utilisé les variables indicatrices des âges des médecins, le taux marginal de taxation, le rendement sur le marché boursier, le carré et le cube de ce rendement. Je montre que cela donne la borne inférieure de l’élasticité-prix direct, permettant ainsi de tester si les médecins réagissent aux incitatifs monétaires. Les résultats montrent que les bornes inférieures des élasticités-prix de l’offre de services sont significativement positives, suggérant que les médecins répondent aux incitatifs. Un changement des prix relatifs conduit les médecins à allouer plus d’heures de travail au service dont le prix a augmenté. Dans le deuxième essai, j’estime le modèle en entier, de façon inconditionnelle aux heures travaillées, en analysant les variations des heures travaillées par les médecins, le volume des services offerts et le revenu des médecins. Pour ce faire, j’ai utilisé l’estimateur de la méthode des moments simulés. Les résultats montrent que les élasticités-prix direct de substitution sont élevées et significativement positives, représentant une tendance des médecins à accroitre le volume du service dont le prix a connu la plus forte augmentation. Les élasticitésprix croisées de substitution sont également élevées mais négatives. Par ailleurs, il existe un effet de revenu associé à l’augmentation des tarifs. J’ai utilisé les paramètres estimés du modèle structurel pour simuler une hausse générale de prix des services de 32%. Les résultats montrent que les médecins devraient réduire le nombre total d’heures travaillées (élasticité moyenne de -0,02) ainsi que les heures cliniques travaillées (élasticité moyenne de -0.07). Ils devraient aussi réduire le volume de services offerts (élasticité moyenne de -0.05). Troisièmement, j’ai exploité le lien naturel existant entre le revenu d’un médecin payé à l’acte et sa productivité afin d’établir le profil de productivité des médecins. Pour ce faire, j’ai modifié la spécification du modèle pour prendre en compte la relation entre la productivité d’un médecin et son expérience. J’estime l’équation de revenu en utilisant des données de panel asymétrique et en corrigeant le caractère non-aléatoire des observations manquantes à l’aide d’un modèle de sélection. Les résultats suggèrent que le profil de productivité est une fonction croissante et concave de l’expérience. Par ailleurs, ce profil est robuste à l’utilisation de l’expérience effective (la quantité de service produit) comme variable de contrôle et aussi à la suppression d’hypothèse paramétrique. De plus, si l’expérience du médecin augmente d’une année, il augmente la production de services de 1003 dollar CAN. J’ai utilisé les paramètres estimés du modèle pour calculer le ratio de remplacement : le nombre de médecins inexpérimentés qu’il faut pour remplacer un médecin expérimenté. Ce ratio de remplacement est de 1,2.
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The discussions about social justice date from ancient times, but despite the enduring interest in the topic and the progress made, we are still witnessing injustices throughout the world. Thus, the search for social justice, under some form, is an inseparable part of our lives. In general, social justice may be considered as a critical idea that challenges us to reform our institutions and practices in the name of greater fairness (Miller 1999, p. x). In political and policy debates, social justice is often related to fair access (Brown, 2013) but at the same time its meanings seem to vary when we consider different definitions, perspectives and social theories (Zajda, Majhanovich, & Rust, 2006). When seen in the context of higher education, social justice appears in relevant literature as a buzzword (Patton, Shahjahan, Riyad, & Osei-Kofi, 2010). Within the recent studies of higher education and public debates related to the development of higher education, more emphasis is placed on the link between higher education and the economic growth and how higher education could be more responsive to the labour market demands, and little emphasis has been put on social justice. Given this, the present study attempts to at least partially fill the gap with regard to this apparently very topical issue, especially in the context of the unprecedented worldwide expansion of higher education in the last century (Schofer & Meyer, 2005), an expansion that is expected to continue in the next decades. More specifically, the expansion of higher education intensified in the second part of the 20th century, especially after World War II. It was seen as a result of the intertwined dynamics related to demographic, economic and political pressures (Goastellec, 2008a). This trend undoubtedly contributed to the increase of the size of the student body. To illustrate this trend, we may point out that in the period between 2000 and 2007, the number of tertiary students in the world increased from 98,303,539 to 150,656,459 (UNESCO, 2009, p. 205). This growth occurred in all regions of the world, including Central and Eastern Europe, North America and Western Europe, and contributed to raising the number of tertiary graduates. Thus, in the period between 2000 and 2008, the total number of tertiary graduates in the European Union (EU) 27 increased by a total of 35 percent (or 4.5 percent per year). However, this growth was very uneven, ranging from 21.1 percent in Romania to 0.7 percent in Hungary (European Commission working staff document, 2011). The increase of the number of students and graduates was seen as enhancing the social justice in higher education, since it is assumed that expansion “extends a valued good to a broader spectrum of the population” (Arum, Gamoran, & Shavit, 2007, p. 29). However, concerns for a deep contradiction for 21st-century higher education also emerged with regard to its expansion.
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Small and medium-sized (SMEs) enterprises in Hungary account for 99.9% of all enterprises and for more than two thirds of employment. Since transformation started in 1989 they have been the only net makers of employment. In spite of such remarkable importance, results have been modest compared to the amount of Hungarian and foreign, mostly EU resources poured into the sector. Less than a sixth of SMEs are fast-growing and only a tiny minority of SMEs make use of bank credit. According to various indicators and in spite of bright spots, the SMEs context is problematic and SMEs features are often unfavourable and hardly competitive. In recent years the goal of upgrading SMEs and strengthening their contribution to the economy has acquired central position among policy goals and activity. Although progress has been made, the results are weak and in some cases drawbacks have happened. The paper starts from analysing the SMEs situation, reviews the main features of the recently implemented policy strategies, assesses whether these strategies are appropriate to address the situation, including the effects of the domestic and international crises, and considers whether the targets pursued are realistic and important, and the instruments considered in line with the targets
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The link between work and welfare is a key pathway of modern welfare state development in Western Europe. National governments face a constant balancing act between the welfare expectations of the labour forces and the labour market liberalisation demands of the business communities. Facilitating the transit from welfare into employment has therefore become an important tool for the British, German and Swedish governments, providing labour as and when needed while keeping welfare expenditure in check. However, the approaches to organising active labour market policies are quite different, notably with regard to the territorial dimension. Although labour markets are quite diverse in all three cases, the role of local authorities, local agencies and local labour market actors from the private and voluntary sector are generally under-developed and apparently under-appreciated, but in different ways and for different reasons. The article compares current employment-related welfare provisions and approaches to develop active labour market policies in the three countries, and concludes that while certain structural and procedural similarities exist, the basic political priorities and actual support and services provided remain very far apart.
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An employee's inability to balance work and family responsibilities has resulted in an increase in stress related illnesses. Historically, research into the nexus between work and family has primarily focused on the work/family conflict relationship, predominately investigating the impact of this conflict on parents, usually mothers. To date research has not sufficiently examined the human resource management practices that enable all parents to achieve a balance between their work and family lives. This paper explores the relationship between contemporary family friendly HRM policies and employed parents perceptions of work/family enhancement, work/family satisfaction, propensity to turnover, and work/family conflict. Self-report questionnaire data from 326 men and women is analysed and discussed to enable organisations to consider the use of family friendly policies and thus create a convergence between the well-being of employees and the effectiveness of the organisation.