364 resultados para Forêts
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La gestion durable des ressources naturelles est actuellement perçue comme une condition essentielle pour le développement durable, et surtout pour les pays en développement comme Madagascar. Face à la dégradation continue des ressources naturelles et surtout forestières, diverses stratégies sont adoptées par l’état malgache, dont l’extension des aires protégées qui veut allier la protection intégrale de certaines parties des ressources, et la satisfaction des besoins des populations riveraines. Le Code des Aires Protégées constitue un outil destiné à la gestion de ces aires de conservation. Toutefois, l’élaboration du plan d’aménagement ne prend pas souvent en compte des paramètres tels que l’augmentation de la population et les besoins qui s’en suivent, ou bien la participation de ces populations au processus d’élaboration et de mise en oeuvre du plan. Le défi est d’arriver à intégrer ces deux logiques de protection et de satisfaction des besoins de la population locale en réalisant des plans d’aménagement et de gestion concertés. Le cas du fokontany Ambohibary Sokafana dans le Corridor Anjozorobe Angavo est étudié pour identifier les paramètres à considérer si on veut atteindre cet objectif : paramètres écologiques et socio-économiques influençant la gestion des ressources forestières, critères permettant de définir la participation des acteurs dans cette gestion. Une revue des ouvrages spécifiques traitant du sujet ainsi que des observations et rencontres avec les divers acteurs sur terrain ont été menées afin de pouvoir identifier ces divers paramètres. Les analyses ont permis d’avancer deux scénarii qui traduisent l’intégration de la protection des forêts et la satisfaction des besoins en bois et en produits vivriers des populations riveraines, en tenant compte des motivations de ces dernières à participer au processus d’appropriation du plan d’aménagement et de gestion.
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La forêt primaire de la région de Mandraka a été classée par le gouvernement en station forestière pour être conservée et restaurée. Suite à cette décision, tous prélèvements y sont interdits. Pourtant, aucune étude n’a évalué sa viabilité depuis cette restriction. Ce mémoire a ainsi comme objectif l’estimation de cette viabilité par le suivi permanent de l’état actuel de la forêt comprenant la végétation, la biodiversité et les pressions. La collecte de données y afférentes a eu recours à une étude bibliographique, à des enquêtes socio-économiques, à un inventaire des pressions, à un inventaire forestier et à une distance sampling. L’état a été évalué par l’analyse de ces composants. Cette recherche a fait ressortir que la forêt est soumise à des pressions anthropiques et biologiques : coupes illicites, collecte de Dioscorea sp., feux de forêt, envahissement des lianes. Ces pressions ont réduit la superficie de la forêt, modifié sa structure et celle de la faune : les régénérations naturelles sont abondantes, les arbres émergents et de diamètre supérieur à 40 cm sont rares, certaines essences floristiques et les lémuriens risquent de disparaître. Puis, les lianes remplacent successivement la forêt. Malgré ces pressions, la forêt a pu conserver certaines caractéristiques de son état originel : l’abondance élevée des tiges et la réduction de leur taille sur les crêtes, l’allure exponentielle de la structure totale, la présence des genres Tambourissa et Weinmannia. En outre, la forêt est encore riche en avifaune. Après analyse de viabilité, elle est classée comme un écosystème viable. Mais ces potentialités sont insuffisantes : il faut réduire les pressions et reconstituer la forêt pour une meilleure conservation de l’écosystème. A cet effet, la présente étude suggère l’aménagement, en premier lieu de la forêt par des interventions sylvicoles favorisant les régénérations comme l’enrichissement en placeaux, le délianage et en second lieu, celui de ses environs par des vulgarisations d’activités génératrices de revenu autres que l’exploitation des forêts naturelles telles l’agroforesterie, le reboisement, l’apiculture. Des patrouilles fréquentes et une délimitation de la station forestière s’avèrent aussi nécessaires.
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Mandraka possède de nombreux écosystèmes, dominés surtout par les forêts. Cette zone est située sur la première falaise orientale malgache et affiche des reliefs accidentés (pentes supérieures à 60%). Elle est exposée à un régime climatique à forte influence orientale se traduisant par une humidité permanente et un régime cyclonique fréquent. Les paramètres stationnels sont ainsi rudes, or ils sont écologiquement très importants car plusieurs caractéristiques physionomiques et comportementales des espèces forestières en dépendent. Cette étude s'intéresse à la station forestière de Mandraka, particulièrement à l'arboretum. Ce dernier fût créé dans les années cinquante et est actuellement géré par le Département des Eaux et Forêts. Ce site est actuellement à vocation pédagogique et écotouristique. Son état écologique est inconnu jusqu'à maintenant, et depuis sa création, aucun système n'a été mis en place pour mesurer et suivre sa viabilité. D'où, l'intitulé de ce travail de mémoire : « Définition d'un état zéro et mise en place d'un système de suivi écologique permanent de l'arboretum de la station forestière de Mandraka ». Les objectifs étant de collecter des données concernant l'état écologique actuel du site, d'identifier des indicateurs de suivi pour mesurer sa viabilité, et d'inclure un système de suivi écologique permanent dans une proposition de plan d'aménagement pour l'arboretum. Le suivi est en effet un outil très important pour l'analyse des ressources forestières. Il permet de cadrer toutes les interventions. Les diverses analyses menées lors de cette étude ont révélé une viabilité moyenne de l'arboretum. Cela est induit par une qualité de peuplement moyennement stable, une mortalité élevée (plus de 14%), et un potentiel d'avenir très faible, voire inexistant (taux de régénération à 0%). L'envahissement de la forêt artificielle par les espèces autochtones constitue la pression la plus importante de cet arboretum vu qu'il se trouve au milieu des forêts naturelles. L'analyse sylvicole effectuée sur les deux types dendrologiques révèle que les peuplements de conifères présentent des caractéristiques sylvicoles plus favorables que les feuillus. Ce niveau moyen de viabilité de l'arboretum implique ainsi la proposition d'un plan d'aménagement pour l'améliorer; le suivi est une activité primordiale, d'où la proposition d'un plan de suivi permanent pour l'arboretum. A noter que malgré la considération du critère de représentativité pour l'échantillonnage, toutes les questions ne pourront être répondues du fait que plusieurs mosaïques de peuplements artificiels de différentes espèces constituent l'arboretum, et que chacune de ces espèces plantées ont leurs propres caractéristiques. La mise en place des plots permanents d'observation ne servira ainsi que de référence (Etat zéro), mais on propose de prévoir un suivi intégral ainsi que diverses interventions pour l'arboretum en général. Ce travail constitue ainsi une base de données pour l'arboretum et pour la station forestière de Mandraka, mais il ne représente qu'une des facettes à prendre en considération dans une finalité d'amélioration de la viabilité. L'élaboration de cartes thématiques et d'évolution spatio-temporelle à l'issue de SIG (Système d'Information Géographique) permettra d'enrichir les informations établies et admettra un suivi plus précis.
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Afin d'étudier l'histoire de la végétation de l'Alpe d'Essertse, des sondages ont été effectués dans le Gouillé Rion, un étang situé à 2343 m d'altitude. Les grains de pollen contenus dans le sédiment lacustre ont été analysés palynologiquement. Le diagramme pollinique montre qu'après le retrait des glaciers vers 13000 BP (Before Present), l'Alpe d'Essertse fut colonisée par une végétation alpine et une végétation d'éboulis. Entre 9500 et 3600 BP le mélèze (Larix decidua) et l'arole (Pinus cembra) formaient une forêt qui atteignait au moins 2343 m. A partir de 5000 BP la forêt s'ouvrit et la limite de la forêt commença à s'abaisser. Des buissons d'aune vert (Alnus viridis) remplacèrent peut à peu la forêt. Entre 1700 et 900 BP seulement, cette végétation apparentée aux forêts fit place aux prés et pâturages. Seul l'utilisation d'autres méthodes permet d'estimer la limite d'altitude maximale atteinte par la forêt au cours de l'holocène: pour l'Alpe d'Essertse des charbons trouvés dans le sol, ainsi que des bioséquences pédologiques suggèrent une limite de la forêt maximale entre 2400 et 2450 m d'altitude.
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In diesem Benutzerhandbuch ist das Vorgehen für die Untersuchung der Bodenschadverdichtung sowohl in technischer als auch wissenschaftlicher Hinsicht beschrieben. Das Material und seine Anwendung wird detailliert erklärt.
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von A. Loewenthal
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En este trabajo nos proponemos analizar la formación del mercado de tierras durante la expansión de la frontera de la provincia de Buenos Aires entre 1860 y 1890, a partir de un enfoque local comparado, enfocando la investigación en dos partidos: Chascomús y Junín. Postulamos que la constitución del mercado de tierras en la campaña bonaerense fue un proceso gradual, que se inició apenas comenzaron a poblarse las tierras defendidas por los fuertes de la frontera interior y se establecían ciertas garantías de seguridad para la propiedad privada
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Aunque el desarrollo urbano en América no fue privativo de la colonización europea, la fundación de pueblos y ciudades constituyó una política específica de conquista y dominación colonial. Durante la segunda mitad del siglo XVIII y bajo el gobierno de los Borbones, las políticas establecidas parecieron acompañar el aumento y crecimiento de las ciudades y los pueblos en Hispanoamérica, e incentivar la urbanización de las zonas de frontera de su Imperio. Dos interrogantes articulan este trabajo. ¿Pueden ubicarse las propuestas formuladas por las autoridades coloniales para Buenos Aires dentro de la política de urbanización propuesta por los Borbones para zonas de frontera en Hispanoamérica? Si esto fue así, ¿qué nivel de concreción ha tenido dicha política durante las últimas décadas de vínculo colonial? Se estudiará el establecimiento de pueblos para el caso de Buenos Aires durante las últimas décadas del siglo XVIII.
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En este trabajo nos proponemos analizar la formación del mercado de tierras durante la expansión de la frontera de la provincia de Buenos Aires a partir de un enfoque local comparado, estudiando los partidos de Chascomús y Junín. Postulamos que la constitución del mercado de tierras en la campaña bonaerense fue un proceso gradual, que se inició apenas comenzaron a poblarse las tierras defendidas por los fuertes de la frontera interior y se establecieron ciertas garantías de seguridad para la propiedad privada.
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En este trabajo nos proponemos analizar la formación del mercado de tierras durante la expansión de la frontera de la provincia de Buenos Aires entre 1860 y 1890, a partir de un enfoque local comparado, enfocando la investigación en dos partidos: Chascomús y Junín. Postulamos que la constitución del mercado de tierras en la campaña bonaerense fue un proceso gradual, que se inició apenas comenzaron a poblarse las tierras defendidas por los fuertes de la frontera interior y se establecían ciertas garantías de seguridad para la propiedad privada
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Aunque el desarrollo urbano en América no fue privativo de la colonización europea, la fundación de pueblos y ciudades constituyó una política específica de conquista y dominación colonial. Durante la segunda mitad del siglo XVIII y bajo el gobierno de los Borbones, las políticas establecidas parecieron acompañar el aumento y crecimiento de las ciudades y los pueblos en Hispanoamérica, e incentivar la urbanización de las zonas de frontera de su Imperio. Dos interrogantes articulan este trabajo. ¿Pueden ubicarse las propuestas formuladas por las autoridades coloniales para Buenos Aires dentro de la política de urbanización propuesta por los Borbones para zonas de frontera en Hispanoamérica? Si esto fue así, ¿qué nivel de concreción ha tenido dicha política durante las últimas décadas de vínculo colonial? Se estudiará el establecimiento de pueblos para el caso de Buenos Aires durante las últimas décadas del siglo XVIII.
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En este trabajo nos proponemos analizar la formación del mercado de tierras durante la expansión de la frontera de la provincia de Buenos Aires a partir de un enfoque local comparado, estudiando los partidos de Chascomús y Junín. Postulamos que la constitución del mercado de tierras en la campaña bonaerense fue un proceso gradual, que se inició apenas comenzaron a poblarse las tierras defendidas por los fuertes de la frontera interior y se establecieron ciertas garantías de seguridad para la propiedad privada.
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Aunque el desarrollo urbano en América no fue privativo de la colonización europea, la fundación de pueblos y ciudades constituyó una política específica de conquista y dominación colonial. Durante la segunda mitad del siglo XVIII y bajo el gobierno de los Borbones, las políticas establecidas parecieron acompañar el aumento y crecimiento de las ciudades y los pueblos en Hispanoamérica, e incentivar la urbanización de las zonas de frontera de su Imperio. Dos interrogantes articulan este trabajo. ¿Pueden ubicarse las propuestas formuladas por las autoridades coloniales para Buenos Aires dentro de la política de urbanización propuesta por los Borbones para zonas de frontera en Hispanoamérica? Si esto fue así, ¿qué nivel de concreción ha tenido dicha política durante las últimas décadas de vínculo colonial? Se estudiará el establecimiento de pueblos para el caso de Buenos Aires durante las últimas décadas del siglo XVIII.
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En este trabajo nos proponemos analizar la formación del mercado de tierras durante la expansión de la frontera de la provincia de Buenos Aires a partir de un enfoque local comparado, estudiando los partidos de Chascomús y Junín. Postulamos que la constitución del mercado de tierras en la campaña bonaerense fue un proceso gradual, que se inició apenas comenzaron a poblarse las tierras defendidas por los fuertes de la frontera interior y se establecieron ciertas garantías de seguridad para la propiedad privada.
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En este trabajo nos proponemos analizar la formación del mercado de tierras durante la expansión de la frontera de la provincia de Buenos Aires entre 1860 y 1890, a partir de un enfoque local comparado, enfocando la investigación en dos partidos: Chascomús y Junín. Postulamos que la constitución del mercado de tierras en la campaña bonaerense fue un proceso gradual, que se inició apenas comenzaron a poblarse las tierras defendidas por los fuertes de la frontera interior y se establecían ciertas garantías de seguridad para la propiedad privada