938 resultados para Familial hyperaldosteronism type II
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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We present optical imaging and spectroscopy of supernova (SN) LSQ13fn, a type II supernova with several hitherto-unseen properties. Although it initially showed strong symmetric spectral emission features attributable to He ii, N iii, and C iii, reminiscent of some interacting SNe, it transitioned into an object that would fall more naturally under a type II-Plateau (IIP) classification. However, its spectral evolution revealed several unusual properties: metal lines appeared later than expected, were weak, and some species were conspicuous by their absence. Furthermore, the line velocities were found to be lower than expected given the plateau brightness, breaking the SN IIP standardised candle method for distance estimates. We found that, in combination with a short phase of early-time ejecta-circumstellar material interaction, metal-poor ejecta, and a large progenitor radius could reasonably account for the observed behaviour. Comparisons with synthetic model spectra of SNe IIP of a given progenitor mass would imply a progenitor star metallicity as low as 0.1 Z⊙. LSQ13fn highlights the diversity of SNe II and the many competing physical effects that come into play towards the final stages of massive star evolution immediately preceding core-collapse.
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Based on optical imaging and spectroscopy of the Type II-Plateau SN 2013eq, we present a comparative study of commonly used distance determination methods based on Type II supernovae. The occurrence of SN 2013eq in the Hubble flow (z = 0.041 ± 0.001) prompted us to investigate the implications of the difference between "angular" and "luminosity" distances within the framework of the expanding photosphere method (EPM) that relies upon a relation between flux and angular size to yield a distance. Following a re-derivation of the basic equations of the EPM for SNe at non-negligible redshifts, we conclude that the EPM results in an angular distance. The observed flux should be converted into the SN rest frame and the angular size, θ, has to be corrected by a factor of (1 + z)2. Alternatively, the EPM angular distance can be converted to a luminosity distance by implementing a modification of the angular size. For SN 2013eq, we find EPM luminosity distances of DL = 151 ± 18 Mpc and DL = 164 ± 20 Mpc by making use of different sets of dilution factors taken from the literature. Application of the standardized candle method for Type II-P SNe results in an independent luminosity distance estimate (DL = 168 ± 16 Mpc) that is consistent with the EPM estimate. Spectra of SN 2013eq are available in the Weizmann Interactive Supernova data REPository (WISeREP): http://wiserep.weizmann.ac.il
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Les antimoniures sont des semi-conducteurs III-V prometteurs pour le développement de dispositifs optoélectroniques puisqu'ils ont une grande mobilité d'électrons, une large gamme spectrale d'émission ou de détection et offrent la possibilité de former des hétérostructures confinées dont la recombinaison est de type I, II ou III. Bien qu'il existe plusieurs publications sur la fabrication de dispositifs utilisant un alliage d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) qui émet ou détecte à une certaine longueur d'onde, les détails, à savoir comment sont déterminés les compositions et surtout les alignements de bande, sont rarement explicites. Très peu d'études fondamentales sur l'incorporation d'indium et d'arsenic sous forme de tétramères lors de l'épitaxie par jets moléculaires existent, et les méthodes afin de déterminer l'alignement des bandes des binaires qui composent ces alliages donnent des résultats variables. Un modèle a été construit et a permis de prédire l'alignement des bandes énergétiques des alliages d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) avec celles du GaSb pour l'ensemble des compositions possibles. Ce modèle tient compte des effets thermiques, des contraintes élastiques et peut aussi inclure le confinement pour des puits quantiques. De cette manière, il est possible de prédire la transition de type de recombinaison en fonction de la composition. Il est aussi montré que l'indium ségrègue en surface lors de la croissance par épitaxie par jets moléculaires d'In(x)Ga(1-x)Sb sur GaSb, ce qui avait déjà été observé pour ce type de matériau. Il est possible d'éliminer le gradient de composition à cette interface en mouillant la surface d'indium avant la croissance de l'alliage. L'épaisseur d'indium en surface dépend de la température et peut être évaluée par un modèle simple simulant la ségrégation. Dans le cas d'un puits quantique, il y aura une seconde interface GaSb sur In(x)Ga(1-x)Sb où l'indium de surface ira s'incorporer. La croissance de quelques monocouches de GaSb à basse température immédiatement après la croissance de l'alliage permet d'incorporer rapidement ces atomes d'indium et de garder la seconde interface abrupte. Lorsque la composition d'indium ne change plus dans la couche, cette composition correspond au rapport de flux d'atomes d'indium sur celui des éléments III. L'arsenic, dont la source fournit principalement des tétramères, ne s'incorpore pas de la même manière. Les tétramères occupent deux sites en surface et doivent interagir par paire afin de créer des dimères d'arsenic. Ces derniers pourront alors être incorporés dans l'alliage. Un modèle de cinétique de surface a été élaboré afin de rendre compte de la diminution d'incorporation d'arsenic en augmentant le rapport V/III pour une composition nominale d'arsenic fixe dans l'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y). Ce résultat s'explique par le fait que les réactions de deuxième ordre dans la décomposition des tétramères d'arsenic ralentissent considérablement la réaction d'incorporation et permettent à l'antimoine d'occuper majoritairement la surface. Cette observation montre qu'il est préférable d'utiliser une source de dimères d'arsenic, plutôt que de tétramères, afin de mieux contrôler la composition d'arsenic dans la couche. Des puits quantiques d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) sur GaSb ont été fabriqués et caractérisés optiquement afin d'observer le passage de recombinaison de type I à type II. Cependant, celui-ci n'a pas pu être observé puisque les spectres étaient dominés par un niveau énergétique dans le GaSb dont la source n'a pu être identifiée. Un problème dans la source de gallium pourrait être à l'origine de ce défaut et la résolution de ce problème est essentielle à la continuité de ces travaux.
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Numerous applications within the mid- and long-wavelength infrared are driving the search for efficient and cost effective detection technologies in this regime. Theoretical calculations have predicted high performance for InAs/GaSb type-II superlattice structures, which rely on mature growth of III-V semiconductors and offer many levels of freedom in design due to band structure engineering. This work focuses on the fabrication and characterization of type-II superlattice infrared detectors. Standard UV-based photolithography was used combined with chemical wet or dry etching techniques in order to fabricate antinomy-based type-II superlattice infrared detectors. Subsequently, Fourier transform infrared spectroscopy and radiometric techniques were applied for optical characterization in order to obtain a detector's spectrum and response, as well as the overall detectivity in combination with electrical characterization. Temperature dependent electrical characterization was used to extract information about the limiting dark current processes. This work resulted in the first demonstration of an InAs/GaSb type-II superlattice infrared photodetector grown by metalorganic chemical vapor deposition. A peak detectivity of 1.6x10^9 Jones at 78 K was achieved for this device with a 11 micrometer zero cutoff wavelength. Furthermore the interband tunneling detector designed for the mid-wavelength infrared regime was studied. Similar results to those previously published were obtained.
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Les antimoniures sont des semi-conducteurs III-V prometteurs pour le développement de dispositifs optoélectroniques puisqu'ils ont une grande mobilité d'électrons, une large gamme spectrale d'émission ou de détection et offrent la possibilité de former des hétérostructures confinées dont la recombinaison est de type I, II ou III. Bien qu'il existe plusieurs publications sur la fabrication de dispositifs utilisant un alliage d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) qui émet ou détecte à une certaine longueur d'onde, les détails, à savoir comment sont déterminés les compositions et surtout les alignements de bande, sont rarement explicites. Très peu d'études fondamentales sur l'incorporation d'indium et d'arsenic sous forme de tétramères lors de l'épitaxie par jets moléculaires existent, et les méthodes afin de déterminer l'alignement des bandes des binaires qui composent ces alliages donnent des résultats variables. Un modèle a été construit et a permis de prédire l'alignement des bandes énergétiques des alliages d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) avec celles du GaSb pour l'ensemble des compositions possibles. Ce modèle tient compte des effets thermiques, des contraintes élastiques et peut aussi inclure le confinement pour des puits quantiques. De cette manière, il est possible de prédire la transition de type de recombinaison en fonction de la composition. Il est aussi montré que l'indium ségrègue en surface lors de la croissance par épitaxie par jets moléculaires d'In(x)Ga(1-x)Sb sur GaSb, ce qui avait déjà été observé pour ce type de matériau. Il est possible d'éliminer le gradient de composition à cette interface en mouillant la surface d'indium avant la croissance de l'alliage. L'épaisseur d'indium en surface dépend de la température et peut être évaluée par un modèle simple simulant la ségrégation. Dans le cas d'un puits quantique, il y aura une seconde interface GaSb sur In(x)Ga(1-x)Sb où l'indium de surface ira s'incorporer. La croissance de quelques monocouches de GaSb à basse température immédiatement après la croissance de l'alliage permet d'incorporer rapidement ces atomes d'indium et de garder la seconde interface abrupte. Lorsque la composition d'indium ne change plus dans la couche, cette composition correspond au rapport de flux d'atomes d'indium sur celui des éléments III. L'arsenic, dont la source fournit principalement des tétramères, ne s'incorpore pas de la même manière. Les tétramères occupent deux sites en surface et doivent interagir par paire afin de créer des dimères d'arsenic. Ces derniers pourront alors être incorporés dans l'alliage. Un modèle de cinétique de surface a été élaboré afin de rendre compte de la diminution d'incorporation d'arsenic en augmentant le rapport V/III pour une composition nominale d'arsenic fixe dans l'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y). Ce résultat s'explique par le fait que les réactions de deuxième ordre dans la décomposition des tétramères d'arsenic ralentissent considérablement la réaction d'incorporation et permettent à l'antimoine d'occuper majoritairement la surface. Cette observation montre qu'il est préférable d'utiliser une source de dimères d'arsenic, plutôt que de tétramères, afin de mieux contrôler la composition d'arsenic dans la couche. Des puits quantiques d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) sur GaSb ont été fabriqués et caractérisés optiquement afin d'observer le passage de recombinaison de type I à type II. Cependant, celui-ci n'a pas pu être observé puisque les spectres étaient dominés par un niveau énergétique dans le GaSb dont la source n'a pu être identifiée. Un problème dans la source de gallium pourrait être à l'origine de ce défaut et la résolution de ce problème est essentielle à la continuité de ces travaux.
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Purpose: To study the prevalence of diabetic retinopathy in known diabetic patients attending the diabetes outpatient department (OPD) of Sind Government Hospital (SGH), New Karachi Township (NKT), Pakistan. Methods: A cross-sectional observational study was carried out at the diabetic OPD of SGH, NKT over the period of 17 months from March 2013 to August 2014. The selected patients were interviewed based on a questionnaire; laboratory investigations were performed and examination of the eye was conducted by a specialist ophthalmologist. One hundred and fifty four (154) subjects out of 305 patients contacted fully completed the study. Stratification of the data on gender basis was done, after which one-way ANOVA, χ2 test of correlation, binary logistic regression and relative risk analyses were carried out using SPSS-20. Results: It was found that 66 % men of normal weight (χ2 = 4.667, p < 0.05) and 60.7 % overweight women (χ2 = 5.143, p < 0.05) were more likely to present with diabetic retinopathy (DR). Prevalence of DR in this target population was 42.86 % (N = 66). Background DR (56 %) and maculopathy (23 %) were more prevalent than advanced conditions of the disease. There was no gender-based preponderance for the presentation of DR (χ2 = 0.663; p > 0.05), nor was this seen in different ethnic groups. Conclusion: DR is prevalent in the target population and, therefore, emphasis should be on the education of the local population of New Karachi Township on how to attain euglycemic state with regular medication, diet and exercise to avoid development and progress of DR.
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Monogenic mutations leading to excessive activation of the mineralocorticoid pathway result, almost always, in suppressed renin and hypertension in adult life and sometimes in hypokalaemia and alkalosis, which can be severe. In most of these syndromes, precise molecular changes in specific steroidogenic or effector genes have been identified, permitting appreciation of (1) pathophysiology, (2) great diversity of phenotype and (3) possibility of genetic methods of diagnosis. Yet to be achieved elucidation of the genetic basis of familial hyperaldosteronism type 11, the most common and clinically significant of them, will enhance detection of primary aldosteronism, currently the commonest specifically treatable and potentially curable form of hypertension. While classic, complete-phenotype presentations of monogenic forms of mineralocorticoid hypertension are rarely recognised, more subtle genetic expression causing less florid manifestations could represent a significant proportion of so-called 'essential hypertension.'
The death of massive stars - II. Observational constraints on the progenitors of Type Ibc supernovae
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The progenitors of many Type II core-collapse supernovae (SNe) have now been identified directly on pre-discovery imaging. Here, we present an extensive search for the progenitors of Type Ibc SNe in all available pre-discovery imaging since 1998. There are 12 Type Ibc SNe with no detections of progenitors in either deep ground-based or Hubble Space Telescope archival imaging. The deepest absolute BVR magnitude limits are between -4 and - 5 mag. We compare these limits with the observed Wolf-Rayet population in the Large Magellanic Cloud and estimate a 16 per cent probability that we have failed to detect such a progenitor by chance. Alternatively, the progenitors evolve significantly before core-collapse or we have underestimated the extinction towards the progenitors. Reviewing the relative rates and ejecta mass estimates from light-curve modelling of Ibc SNe, we find both incompatible with Wolf-Rayet stars with initial masses >25 M⊙ being the only progenitors. We present binary evolution models that fit these observational constraints. Stars in binaries with initial masses ≲ 20 M⊙ lose their hydrogen envelopes in binary interactions to become low-mass helium stars. They retain a low-mass hydrogen envelope until ≈104 yr before core-collapse; hence, it is not surprising that Galactic analogues have been difficult to identify.
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Familial amyloidosis–Finnish type (FAF) results from a single mutation at residue 187 (D187N or D187Y) within domain 2 of the actin-regulating protein gelsolin. The mutation somehow allows a masked cleavage site to be exposed, leading to the first step in the formation of an amyloidogenic fragment. We have performed NMR experiments investigating structural and dynamic changes between wild-type (WT) and D187N gelsolin domain 2 (D2). On mutation, no significant structural or dynamic changes occur at or near the cleavage site. Areas in conformational exchange are observed between β-strand 4 and α-helix 1 and within the loop region following β-strand 5. Chemical shift differences are noted along the face of α-helix 1 that packs onto the β-sheet, suggesting an altered conformation. Conformational changes within these areas can have an effect on actin binding and may explain why D187N gelsolin is inactive. {1H-15N} nuclear Overhauser effect and chemical shift data suggest that the C-terminal tail of D187N gelsolin D2 is less structured than WT by up to six residues. In the crystal structure of equine gelsolin, the C-terminal tail of D2 lies across a large cleft between domains 1 and 2 where the masked cleavage site sits. We propose that the D187N mutation destabilizes the C-terminal tail of D2 resulting in a more exposed cleavage site leading to the first proteolysis step in the formation of the amyloidogenic fragment.