689 resultados para Emotional Well-being
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En utilisant des approches qualitative and quantitative cette thèse démontre que les aspects intangibles des espaces architecturaux influencent le bien-être humain. Le but est de faire savoir que les espaces intérieurs ont un impact sur le bien-être et que l’architecture peut être considérée comme une solution pour satisfaire les besoins des usagers. Dans la première étude, l’approche qualitative est explorée en utilisant la narration pour identifier les aspects intangibles des espaces intérieurs qui affectent le bien-être. Une discussion s’articule autour du Modèle de Réponses Expérientielles des Humains (Model of Human Experiential Responses to Space) et de son importance comme outil pour déterrer les caractéristiques environnementales qui influencent le bien-être et qui peut être utile pour les professionnels du design. Les résultats démontrent que 43 catégories sont interprétées comme étant des aspects intangibles et servent de canevas pour trois autres études. Les résultats démontrent que certaines caractéristiques environnementales similaires dans les résidences et les bureaux augmentent le sentiment de satisfaction et de bien-être. Dans la deuxième étude, une approche quantitative est explorée en utilisant les neurosciences et l’architecture afin de mesurer comment les espaces architecturaux affectent le bien-être. Le concept de neuroscience / environnement / comportement est utilisé où huit corrélats neuroscientifiques (Zeisel 2006) sont investigués afin de mesurer les effets du cerveau sur les espaces architecturaux. Les résultats démontrent que l’environnement peut affecter l’humeur, le niveau d’attention et le niveau de stress chez les humains et peut également augmenter leur performance. Les deux études contribuent aux connaissances que les caractéristiques environnementales affectent l’humeur et le niveau de satisfaction de la même façon dans les espaces résidentiels et dans les espaces de bureaux. Un bon environnement qui énergise les employés peut affecter leur performance au travail de façon positive (Vischer 2005).
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Dans les dernières décennies, les changements morphologiques des maisons iraniennes, l’arrivage de l'éclairage artificiel et le manque de connaissance suffisante de la valeur de la lumière du jour pour le bien-être des occupants ont résulté une diminution de l'utilisation de la lumière du jour dans les habitations iraniennes contemporaines. En conséquence, le niveau du bien-être des occupants a décru ce qui peut être corrélée avec la diminution de l'utilisation de la lumière du jour. Considérant l'architecture traditionnelle iranienne et l'importance de la lumière du jour dans les habitations traditionnelles, cette recherche étudie l’utilisation de la lumière du jour dans les habitations traditionnelles et explore comment extrapoler ces techniques dans les maisons contemporaines pourrait augmenter l'utilisation de la lumière du jour et par conséquence améliorer le bien-être des occupants. Une revue de littérature, une enquête des experts iraniens et une étude de cas des maisons à cour traditionnelles à la ville de Kashan ont permis de recueillir les données nécessaires pour cette recherche. De par le contexte de recherche, la ville de Kashan a été choisie particulièrement grâce à sa texture historique intacte. L’analyse de la lumière du jour a été faite par un logiciel de simulation pour trois maisons à cour de la ville de Kashan ayant les mêmes caractéristiques de salon d’hiver. Cette étude se concentre sur l’analyse de la lumière du jour dans les salons d'hiver du fait de la priorité obtenue de l'enquête des experts et de la revue de littérature. Les résultats de cette recherche montrent que l’extrapolation des techniques traditionnelles de l'utilisation de lumière du jour dans les habitations modernes peut être considéré comme une option de conception alternative. Cette dernière peut optimiser l'utilisation de lumière du jour et par conséquence améliorer le bien-être des occupants. L'approche utilisée dans cette recherche a fourni une occasion d’étudier l'architecture du passé et d’évaluer plus précisément son importance. Cette recherche contribue ainsi à définir un modèle en tirant les leçons du passé pour résoudre les problèmes actuels.
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La culture organisationnelle influence la manière dont les organismes relèvent les défis externes auxquels elle fait face et façonnent les comportements normatifs de leurs membres. Des études portant sur le degré d’acceptation et d’adoption d’une culture organisationnelle indiquent une grande variance en fonction de multiples facteurs (p. ex. : l’âge, l’occupation, la hiérarchie, etc.) et leurs liens aux résultats subséquents. Différentes évaluations culturelles considèrent les sondages d’auto-évalulation comme étant des moyens acceptables de créer des liens entre les perceptions et les résultats. En effet, ces instruments mesurent les croyances, les suppositions et les valeurs d’une personne, mais l’un des facteurs pouvant compromettre les réponses est le manque de cadre de référence. Un des objectifs de l’étude est de déterminer la manière dont la mesure des perceptions culturelles est reliée à la contextualisation des questions du sondage. À l’aide de deux orientations, nous tentons de déterminer si les perceptions de la culture en lien avec l’organisation entière sont différentes de celles en lien avec le groupe de travail immédiat. De plus, l’étude explore la manière dont les différences algébriques entre les perceptions des deux référents sont simultanément reliées au bien-être psychologique au travail, à l’engagement et aux comportements de citoyenneté organisationnelle. Comme objectif final, nous déterminons lequel des deux référents prédit le mieux ces résultats. Les cent quatre-vingt-neuf participants de l’étude faisaient partie d’un établissement d’enseignement postsecondaire de langue anglaise du Québec. En premier lieu, les participants recevaient, de façon aléatoire, l’un des deux questionnaires - soit celui orienté sur l’organisation entière, soit celui orienté sur le groupe de travail immédiat -, puis, en deuxième lieu, son référent opposé correspondant. Les résultats indiquent que les perceptions de culture en lien avec l’organisation entière sont significativement différentes de celle en lien avec le groupe de travail immédiat. L’étude démontre que les similitudes entre les perceptions sont directement proportionnelles au bien-être ainsi qu’aux engagements organisationnels et de groupe de travail. De plus grandes différences perceptuelles sont associées à des niveaux plus élevés de bien-être et d’engagement organisationnel normatif. Ces associations sont plus fortes lorsque les perceptions de la culture organisationnelle sont plus positives que les perceptions de la culture du groupe de travail. Les différences algébriques opposées sont liées à des niveaux plus élevés de comportements de citoyenneté organisationnelle ainsi que d’engagements affectifs et de continuité envers le groupe de travail. Les résultats de l’étude suggèrent aussi que les perceptions de la culture du groupe de travail sont plus liées aux résultats pertinents que les perceptions de la culture organisationnelle. Les implications théoriques et pratiques des mesures de perceptions de culture sont examinées.
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Resumen tomado de la publicaci??n
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Resumen tomado de la publicaci??n
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Using functional magnetic resonance imaging, we examined whether individual differences in amygdala activation in response to negative relative to neutral information are related to differences in the speed with which such information is evaluated, the extent to which such differences are associated with medial prefrontal cortex function, and their relationship with measures of trait anxiety and psychological well-being (PWB). Results indicated that faster judgments of negative relative to neutral information were associated with increased left and right amygdala activation. In the prefrontal cortex, faster judgment time was associated with relative decreased activation in a cluster in the ventral anterior cingulate cortex (ACC, BA 24). Furthermore, people who were slower to evaluate negative versus neutral information reported higher PWB. Importantly, higher PWB was strongly associated with increased activation in the ventral ACC for negative relative to neutral information. Individual differences in trait anxiety did not predict variation in judgment time or in amygdala or ventral ACC activity. These findings suggest that people high in PWB effectively recruit the ventral ACC when confronted with potentially aversive stimuli, manifest reduced activity in subcortical regions such as the amygdala, and appraise such information as less salient as reflected in slower evaluative speed.
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This article presents a prototype model based on a wireless sensor actuator network (WSAN) aimed at optimizing both energy consumption of environmental systems and well-being of occupants in buildings. The model is a system consisting of the following components: a wireless sensor network, `sense diaries', environmental systems such as heating, ventilation and air-conditioning systems, and a central computer. A multi-agent system (MAS) is used to derive and act on the preferences of the occupants. Each occupant is represented by a personal agent in the MAS. The sense diary is a new device designed to elicit feedback from occupants about their satisfaction with the environment. The roles of the components are: the WSAN collects data about physical parameters such as temperature and humidity from an indoor environment; the central computer processes the collected data; the sense diaries leverage trade-offs between energy consumption and well-being, in conjunction with the agent system; and the environmental systems control the indoor environment.
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This paper revisits the debate over the importance of absolute vs. relative income as a correlate of subjective well-being using data from Bangladesh, one of the poorest countries in the world with high levels of corruption and poor governance. We do so by combining household data with population census and village survey records. Our results show that conditional on own household income, respondents report higher satisfaction levels when they experience an increase in their income over the past years. More importantly, individuals who report their income to be lower than their neighbours in the village also report less satisfaction with life. At the same time, our evidence suggests that relative wealth effect is stronger for the rich. Similarly, in villages with higher inequality, individuals report less satisfaction with life. However, when compared to the effect of absolute income, these effects (i.e. relative income and local inequality) are modest. Amongst other factors, we study the influence of institutional quality. Institutional quality, measured in terms of confidence in police, matters for well-being: it enters with a positive and significant coefficient in the well-being function.
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There has been an increasing interest in the impact of individual well-being on the attitudes and actions of people receiving services designed to offer support. If well-being factors are important in the uptake and success of service programmes it is important that the nature of the relationships involved is understood by service designers and implementers. As a contribution to understanding, this paper examines the impact of well-being on the uptake of intervention programmes for homeless people. From the literature on well-being a number of factors are identified that contribute towards overall well-being, which include personal efficacy and identity, but also more directly well-being can be viewed as personal or group/collective esteem. The impact of these factors on service use is assessed by means of two studies of homelessness service users, comparing the implementation of two research tools: a shortened and a fuller one. The conclusions are that the factors identified are related to service use. The higher the collective esteem – esteem drawn from identification with services and their users and providers – and the less that they feel isolated, the more benefits that homeless people will perceive with service use, and in turn the more likely they are to be motivated to use services. However, the most important factors in explaining service use are a real sense that it is appropriate to accept social support from others, a rejection of the social identity as homeless but a cultivation of being valued as part of a non-homeless community, and a positive perception of the impact of the service.
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The literature on the meaning of home emphasises the security, positive meaning and self-esteem that home generates. However, housing policy has traditionally viewed houses as units of accommodation rather than homes. This article tackles the question of whether it is possible to devise a housing policy that aims at improving the self-esteem and positive identity of residents. The article reviews the growing literature stressing the importance of seeking to promote happiness or well-being as the primary objective of government policy and concludes with an evaluation of the potential for the application of these ideas to housing policy.
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This paper builds on previous work applying the concept of well-being to the field of housing. It uses the concepts of self-esteem, efficacy and social identity to explore the situations of a group of young homeless mothers. In particular, it focuses on the impact of well-being factors, among others, in understanding the uptake of education and training services. The paper concludes by arguing that well-being issues are crucial for housing agencies and others who want to engage with young homeless people.