992 resultados para Dairy Cattle
Resumo:
Huit cent trente et un troupeaux de vaches laitières répartis dans 5 états américains ont été enrôlés dans une étude de cohorte prospective. Un modèle d’équations d'estimation généralisées a été utilisé pour étudier l'association entre les signes cliniques et la détection de salmonelles dans les fèces des animaux soupçonnés de salmonellose clinique. La sensibilité et la spécificité de la culture bactériologique ont été estimées à l’aide d’un modèle de classes latentes. Dix-huit pour cent des 874 échantillons provenant de veaux et 29% des 1479 échantillons de vaches adultes étaient positifs pour Salmonella spp. Il n’a pas été possible d’établir une association claire entre les différents signes cliniques observés et la détection de salmonelles. Les 2 sérotypes les plus fréquemment isolés étaient Typhimurium et Newport. La probabilité de détecter des salmonelles était plus élevée chez les veaux où un autre agent entéropathogène était également détecté. La proportion d’échantillons positifs était plus élevée parmi les vaches ayant reçu des antibiotiques dans les jours précédant l’échantillonnage. La sensibilité de la culture a été estimée à 0,48 (intervalle de crédibilité à 95% [ICr95%]: 0,22-0,95) pour les veaux et 0,78 (ICr95%: 0,55-0,99) pour les vaches. La spécificité de la culture était de 0,94 (ICr95%: 0,87-1,00) pour les veaux et de 0,96 (ICr95%: 0,90-1,00) pour les vaches. Malgré une sensibilité imparfaite, la culture bactériologique demeure utile pour obtenir une meilleure estimation de la probabilité post-test de salmonellose clinique chez un bovin laitier, par rapport à la probabilité estimée suite au seul examen clinique.
Resumo:
En Amérique du Nord, Mycoplasma bovis est le plus pathogène des mycoplasmes retrouvés chez les bovins. Les principales maladies qu’on lui associe (maladies respiratoires, mammites, arthrites septiques et otites moyennes et/ou internes) constituent un défi à l’industrie laitière à cause de la difficulté à les traiter et à les prévenir par une vaccination. L’objectif principal de ce projet était d’étudier l’excrétion nasale et la réponse sérologique à M. bovis chez les génisses de remplacement, entre la naissance et 7 mois d’âge, dans 4 troupeaux laitiers au Québec. Quatre-vingt-trois paires mère/génisse provenant de 4 cohortes de bovins laitiers étaient prélevées mensuellement (génisses : 0 à 7 mois ; mères : 0, 1 et 5 mois après vêlage). Écouvillons nasaux et échantillons de lait étaient analysés par culture bactériologique et par immunofluorescence indirecte. Les anticorps circulants étaient détectés par le test ELISA. À la naissance, la prévalence sérologique des génisses était supérieure à celle des mères (P = 0,01). La transmission de M. bovis aux génisses par le lait et par l’excrétion nasale des mères était faible. L’âge moyen (jour) d’une génisse à sa 1ère excrétion nasale et sa 1ère séroconversion à M. bovis était loin de la période néonatale: 77,5 ± 11,2 (n = 22) et 96,8 ± 7,4 (n = 36) respectivement. Conclusion, les vaches adultes n’ont constitué qu’une voie mineure de transmission de M. bovis aux génisses, la principale voie de transmission était fort probablement le contact direct ou indirect avec d’autres génisses excrétrices nasales de M. bovis.
Resumo:
Les récentes recherches suggèrent que la superovulation de vaches laitières sous une concentration élevée de progestérone permet de meilleurs résultats que la superovulation sous une basse progestéronémie pendant la première vague folliculaire. Nous émettions donc l’hypothèse qu’une basse progestéronémie pendant la phase lutéale, une problématique connue chez la vache laitière haute productrice, compromet le rendement en embryons suite à la superovulation de la deuxième vague folliculaire. Afin de tester cette hypothèse, 18 vaches laitières ont été superovulées à deux reprises avec deux protocoles distincts, dont un atteignant un niveau lutéal de progestérone (>2.5 ng/mL, le corps jaune comme source de progestérone) et l’autre un niveau sublutéal (<2.5 ng/mL, l’implant intravaginal comme unique source de progestérone). Le nombre d’embryons transférables était similaire entre les protocoles. Curieusement, nous avons obtenu un développement accéléré des follicules dans le protocole sublutéal (p = 0,002), un développement embryonnaire plus avancé (p = 0,01) et une qualité améliorée des embryons (p = 0,02) par rapport au protocole lutéal. Ces résultats suggèrent que des facteurs autres qu’une basse progestéronémie peuvent affecter le rendement en embryons. Une pulsatilité augmentée de la LH grâce à une basse progestéronémie pendant la deuxième vague folliculaire pourrait être responsable du développement folliculaire accru ainsi que du développement et de la qualité augmentés des embryons. Ces résultats indiquent que des niveaux sublutéaux de progestérone pendant la phase lutéale ne compromettent pas le résultat d’un traitement de superovulation mais, au contraire, peuvent améliorer certains aspects du rendement en embryons.
Resumo:
Mycobacterium avium subsp. paratuberculosis (MAP) cause la maladie de Johne, une maladie chronique et incurable affectant les ruminants partout dans le monde. Plusieurs pays ont mis en place des programmes de contrôle afin de prévenir la transmission entre et au sein des troupeaux. Afin d’arriver à prévenir et contrôler cette maladie, une bonne compréhension des facteurs de risque impliqués dans la transmission est essentielle. Des tests diagnostiques performants et à coût abordable sont aussi nécessaires afin de détecter la présence du MAP et/ou les animaux infectés. L’objectif de la première étude était de réviser systématiquement la littérature scientifique concernant les facteurs de risque associés à la transmission du MAP aux génisses laitières. La présence d’une association significative entre les facteurs de risque concernant l’environnement néonatal, le colostrum, le lait, le logement des veaux et le contact des veaux avec le fumier de vaches adultes et la transmission du MAP a été compilée de 23 articles. Le contact des veaux avec le fumier de vaches adultes est le facteur de risque le plus important dans la transmission du MAP. L’objectif de la seconde étude était d’évaluer la relation entre le nombre d’échantillons de l’environnement positifs pour le MAP et la prévalence individuelle d’excrétion fécale dans les troupeaux laitiers entravés du Québec. Le nombre de cultures positives d’échantillons de l’environnement s’est avéré associé à la prévalence individuelle d’excrétion fécale du MAP. Une association significative a été trouvée entre la présence d’une forte charge bactérienne dans un échantillon de fumier individuel et la détection du MAP dans l’environnement.
Resumo:
Les objectifs de cette étude ont été de : (1) déterminer s’il existe une association entre la présence intra-utérine d'Escherichia coli dans la 1 ère semaine postpartum et le développement de la métrite postpartum, (2) déterminer s’il y a une association entre les gènes de virulence d'E. coli et la métrite postpartum, et (3) d'évaluer si les analyses bactériologiques (bactéries et gènes de virulence d'E. coli) pourraient prédire la métrite postpartum chez la vache laitière. Des écouvillons utérins ont été prélevés dans la première semaine postpartum sur 486 vaches de race Holstein et soumis au laboratoire pour détection de E. coli. Les gènes de virulence d'E. coli ont été identifiés par la technique d'hybridation des sondes radioactives. Un total de 252 vaches (52%) ont été positives à E. coli et 67 vaches positives à la métrite postpartum (13,7%). Les vaches positives à E. coli intra-utérin dès la première semaine postpartum avaient un risque 2,6 fois plus élevé de développer la métrite postpartum que les vaches sans E. coli. La plupart des E. coli possédaient un ou plusieurs gènes des E. coli d'origine extra-intestinale (ExPEC) dont fimH (89%), HlyE (87%) et iss (70%). Parmi les autres gènes ExPEC, on a retrouvé sitA (23%), fepC (20%) hra1 (20%) malX (14%) tsh (11%) et bien d'autres. Les gènes de virulence kpsMTII et hra1 ont été associés à la métrite postpartum avec un rapport de cote de 4,3 chacun. La présence d'E. coli dans l'utérus avait une valeur prédictive positive de 18% tandis que la présence des gènes kpsMTII et hra1 avait une valeur prédictive positive de 36% et 31% respectivement. La détection de certains gènes de virulence d'E. coli dans les prélèvements utérins pourrait renseigner sur le risque de développement de la métrite postpartum chez la vache laitière. Les études ultérieures pourraient tester encore plus de gènes et viser à développer des tests de dépistage simple, facilement et rapidement applicable à la ferme.
Resumo:
Coxiella burnetii est une bactérie zoonotique affectant un grand nombre d’espèces animales. Chez les ruminants domestiques, l’infection est généralement asymptomatique, mais parfois associée à des problèmes reproducteurs. Néanmoins, le cycle de transmission de l’infection chez ceux-ci demeure peu connu. Dans ce contexte, nous avons réalisé une étude auprès de fermes bovines, ovines et caprines dans deux régions administratives du Québec afin d’estimer les prévalences de cette infection et d’identifier les facteurs de risque, aux niveaux individuel et troupeau, associés à la positivité. Nous avons estimé une prévalence de positivité au niveau troupeau de 44.6 % (IC95%=33.0-56.6) chez les bovins, de 70.8 % (IC95% =48.9-87.4) chez les ovins et de 66.7 % (IC95% =22.3-95.7) chez les caprins. Une association a été observée chez les troupeaux bovins entre leur positivité et la densité de petits ruminants par kilomètre carré dans un rayon de cinq kilomètres entourant la ferme. Chez les petits ruminants, une association avec la positivité des troupeaux a été observée avec la taille des troupeaux et la présence d’un chien sur la ferme. Au niveau individuel, le nombre de jours en lait ainsi que l’âge des petits ruminants étaient associés à la positivité, et ce dernier facteur était modulé par l’accès des animaux au pâturage. Aucun agrégat spatial de fermes positives n’a été détecté chez aucune des trois espèces. L’infection par Coxiella burnetii est donc fréquente dans les troupeaux de ruminants domestiques québécois et semble associée à certaines pratiques de régie et à la présence, ou proximité, d’autres animaux domestiques.
Resumo:
Au cours des dernières années, une sélection génétique importante a été faite pour améliorer la production de lait des bovins, ceci au détriment des performances reproductives. Cette diminution de performance n’a cependant pas été rapportée chez la génisse présentant un même potentiel génétique. Cette immense production de lait et les changements métaboliques qui l’accompagnent ont donc un impact négatif sur l’efficacité reproductive des vaches laitières qui subissent un stress métabolique supérieur à celui des génisses. Le but de l’étude était d’acquérir une meilleure connaissance des différences moléculaires et métaboliques entre ces deux groupes d’animaux pour amener à une meilleure compréhension de la pathogenèse de l’infertilité chez la vache laitière. Pour ce faire, les vagues folliculaires de vaches en lactation (30-50 jours en lait; N = 12) et de génisses (N = 10) ont été synchronisées par ablation écho guidée des follicules et par traitement hormonal avec injection de prostaglandine et insertion d’un implant de progestérone. L’aspiration du liquide folliculaire et des cellules de la granulosa du follicule dominant a été faite au jour 6. Les paramètres métaboliques mesurés chez les animaux à partir de prises de sang, faites au jour 6, confirment un plus grand stress métabolique chez la vache, les niveaux de BHBA, acides biliaires et cholestérol étant plus élevés et le niveau de glucose plus bas chez celles-ci. Un total de six échantillons a été utilisé pour le séquençage d’ARN et des analyses bio-informatiques ont été effectuées. Plusieurs gènes et voies de signalisation ont présenté des différences entre les deux groupes d’animaux incluant le cycle cellulaire et la production d’hormones. Une confirmation des résultats par PCR en temps réel a été faite, mais la grande variation intragroupe a nui à l’obtention de résultats significatifs. Conjointement, une culture primaire de cellules de la granulosa a été réalisée pour évaluer l’effet des acides biliaires sur la stéroïdogenèse suite à la détection d’une plus grande quantité de ceux-ci chez la vache laitière. La présence d’acide biliaire dans la culture cellulaire cause une diminution de l’accumulation d’estradiol ainsi que de l’expression des gènes CYP19A1 et CYP11A1. Les résultats présentés dans ce mémoire indiquent une différence potentielle au niveau métabolique et moléculaire des follicules dominants entre la vache laitière et la génisse pouvant avoir une responsabilité dans la diminution de l’efficacité reproductive observée chez la vache laitière.
Resumo:
Livestock keeping is increasingly becoming more popular in Kampala, the capital city of Uganda. However, lack of feed is a real challenge. Inadequate feed supply in urban areas is due to many interacting factors, which include among others land shortage, high cost of feeds, climate risks and poor quality of feeds. The objective of this study was to identify and examine the effectiveness of the strategies adopted by livestock farmers in urban and peri-urban areas of Kampala, Uganda to cope with feed scarcity. A total of 120 livestock farmers from Kampala were interviewed using a structured questionnaire. Dairy cattle (48.3%) and chickens (37.5%) were the most common species, followed by pigs (34.2%), goats (26.7%) and sheep (3.3%). Farm size was generally small both in terms of herd size and total landholding. Cattle and pig farmers in urban and peri-urban areas of Kampala ranked feed scarcity as their first major constraint, while chicken farmers had high cost of feeds. These farmers have adopted several strategies for coping with feed scarcity. Among the major coping strategies adopted were: changing of feed resources based on availability and cost (37.5%), purchasing of feed ingredients in bulk (29.7%), using crop/food wastes (26.6%), harvesting of forages growing naturally in open access lands (23.4%) and reducing herd size (17.2%). However, most of the coping strategies adopted were largely aimed at dealing with the perennial challenge of feed scarcity on a day-by-day basis rather than dealing with it using sustainable and long-term strategies.
Resumo:
Avaluació de l’efecte del tipus de tràfic imposat a les vaques lleteres en sistemes de munyida automàtica sobre la freqüència de munyida, les necessitats d’alimentació, el comportament alimentari i la producció i composició de la llet
Resumo:
L’ objectiu principal d’ aquest projecte és el de dissenyar una nova explotació de boví de llet a la granja “Mas Masdevall”, a Olot, comarca de la Garrotxa, província de Girona, per tal de traslladar l’explotació existent a una ubicació més allunyada; a més d’aquest canvi d’ubicació, també s’augmentarà el nombre de vaques de la granja de les 80 originals a una capacitat total de 120 vaques en producció. Aquest projecte planteja la construcció d’una nau per a l’allotjament de les vaques en producció, una sala de munyir-lleteria, un femer i una fossa de purins. La nau de producció tindrà una capacitat per a 120 vaques en producció en llotges individuals, 7 places d’infermeria, 7 per maternitat, 12 vaques eixutes totes en jaç de palla, a més de 51 places per vedelles en jaç i un lot de 22 vedelles d’entre 16 i 22 mesos en llotges individuals per facilitar la posterior estabulació durant la producció. També s’ubicaran 14 boxes individuals per els vedells i la recria al costat de la nau. La sala de munyir serà de 2x10 places paral·leles a més de la sala d’espera i l’oficina lleteria
Resumo:
As tetraciclinas são compostos antibacterianos utilizados em bovinos de leite para tratamento de doenças infecciosas, como a mastite, mas também como aditivos em ração animal. O uso das tetraciclinas pode conduzir à presença de resíduos destes fármacos no leite, principalmente se não forem utilizados de acordo com as indicações, nem respeitado o período mínimo de eliminação dos antibióticos pelo leite. A presença de resíduos de antibióticos no leite interfere no processo industrial dos seus derivados, podendo inviabilizar a produção destes e, consequentemente, causar igualmente prejuízos económicos, como por exemplo, pela inibição de fermentos lácticos que são culturas de microorganismos utilizados na produção de iogurtes, queijos e outros produtos lácteos. Os resíduos de antibióticos no leite de consumo podem representar riscos à saúde humana, podendo causar reacções alérgicas em indivíduos sensíveis ou ter um efeito adverso na flora intestinal humana, prejudicando a sua acção protectora local, além de propiciar a selecção de populações bacterianas resistentes.(Denobile & Nascimento, 2004)
Resumo:
The objective of the study was to determine if there were adverse effects on animal health and performance when a range of ruminant animals species were fed at least 10 times the maximum permitted European Union (EU) selenium (Se) dietary inclusion rate (0.568 mg Se/kg DM) in the form of selenium enriched yeast (SY) derived from a specific strain of Saccharomyces cerevisiae CNCM I-3060. In a series of studies, dairy cows, beef cattle, calves and lambs were offered either a control diet which contained no Se supplement or a treatment diet which contained the same basal feed ingredients plus a SY supplement which increased total dietary Se from 0.15 to 6.25, 0.20 to 6.74, 0.15 to 5.86 and 0.14 to 6.63 mg Se/kg DM, respectively. The inclusion of the SY supplement (P < 0.001) increased whole blood Se concentrations, reaching maximum mean values of 716, 1,505, 1,377, and 724 ng Se/mL for dairy cattle, beef cattle, calves and lambs, respectively. Selenomethionine accounted for 10% of total whole blood Se in control animals whereas the proportion in SY animals ranged between 40 and 75%. Glutathione peroxidase (EC 1.11.1.9) activity was higher (P < 0.05) in SY animals when compared with controls. A range of other biochemical and hematological parameters were assessed, but few differences of biological significance were established between treatments groups. There were no differences between treatment groups within each species with regard to animal physical performance or overall animal health. It was concluded that there were no adverse effects on animal health, performance and voluntary feed intake to the administration of at least ten times the EU maximum, or approximately twenty times the US FDA permitted concentration of dietary Se in the form of SY derived from a specific strain of Saccharomyces cerevisiae CNCM I-3060.
Resumo:
Current feed evaluation systems for dairy cattle aim to match nutrient requirements with nutrient intake at pre-defined production levels. These systems were not developed to address, and are not suitable to predict, the responses to dietary changes in terms of production level and product composition, excretion of nutrients to the environment, and nutrition related disorders. The change from a requirement to a response system to meet the needs of various stakeholders requires prediction of the profile of absorbed nutrients and its subsequent utilisation for various purposes. This contribution examines the challenges to predicting the profile of nutrients available for absorption in dairy cattle and provides guidelines for further improved prediction with regard to animal production responses and environmental pollution. The profile of nutrients available for absorption comprises volatile fatty acids, long-chain fatty acids, amino acids and glucose. Thus the importance of processes in the reticulo-rumen is obvious. Much research into rumen fermentation is aimed at determination of substrate degradation rates. Quantitative knowledge on rates of passage of nutrients out of the rumen is rather limited compared with that on degradation rates, and thus should be an important theme in future research. Current systems largely ignore microbial metabolic variation, and extant mechanistic models of rumen fermentation give only limited attention to explicit representation of microbial metabolic activity. Recent molecular techniques indicate that knowledge on the presence and activity of various microbial species is far from complete. Such techniques may give a wealth of information, but to include such findings in systems predicting the nutrient profile requires close collaboration between molecular scientists and mathematical modellers on interpreting and evaluating quantitative data. Protozoal metabolism is of particular interest here given the paucity of quantitative data. Empirical models lack the biological basis necessary to evaluate mitigation strategies to reduce excretion of waste, including nitrogen, phosphorus and methane. Such models may have little predictive value when comparing various feeding strategies. Examples include the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) Tier II models to quantify methane emissions and current protein evaluation systems to evaluate low protein diets to reduce nitrogen losses to the environment. Nutrient based mechanistic models can address such issues. Since environmental issues generally attract more funding from governmental offices, further development of nutrient based models may well take place within an environmental framework.
Resumo:
A commercial blend of essential oil (EO) compounds was added to a grass, maize silage, and concentrate diet fed to dairy cattle in order to determine their influence on protein metabolism by ruminal microorganisms. EO inhibited (P < 0.05) the rate of deamination of amino acids. Pure-culture studies indicated that the species most sensitive to EO were ammonia-hyperproducing bacteria and anaerobic fungi.
Resumo:
Feed samples received by commercial analytical laboratories are often undefined or mixed varieties of forages, originate from various agronomic or geographical areas of the world, are mixtures (e.g., total mixed rations) and are often described incompletely or not at all. Six unified single equation approaches to predict the metabolizable energy (ME) value of feeds determined in sheep fed at maintenance ME intake were evaluated utilizing 78 individual feeds representing 17 different forages, grains, protein meals and by-product feedstuffs. The predictive approaches evaluated were two each from National Research Council [National Research Council (NRC), Nutrient Requirements of Dairy Cattle, seventh revised ed. National Academy Press, Washington, DC, USA, 2001], University of California at Davis (UC Davis) and ADAS (Stratford, UK). Slopes and intercepts for the two ADAS approaches that utilized in vitro digestibility of organic matter and either measured gross energy (GE), or a prediction of GE from component assays, and one UC Davis approach, based upon in vitro gas production and some component assays, differed from both unity and zero, respectively, while this was not the case for the two NRC and one UC Davis approach. However, within these latter three approaches, the goodness of fit (r(2)) increased from the NRC approach utilizing lignin (0.61) to the NRC approach utilizing 48 h in vitro digestion of neutral detergent fibre (NDF:0.72) and to the UC Davis approach utilizing a 30 h in vitro digestion of NDF (0.84). The reason for the difference between the precision of the NRC procedures was the failure of assayed lignin values to accurately predict 48 h in vitro digestion of NDF. However, differences among the six predictive approaches in the number of supporting assays, and their costs, as well as that the NRC approach is actually three related equations requiring categorical description of feeds (making them unsuitable for mixed feeds) while the ADAS and UC Davis approaches are single equations, suggests that the procedure of choice will vary dependent Upon local conditions, specific objectives and the feedstuffs to be evaluated. In contrast to the evaluation of the procedures among feedstuffs, no procedure was able to consistently discriminate the ME values of individual feeds within feedstuffs determined in vivo, suggesting that the quest for an accurate and precise ME predictive approach among and within feeds, may remain to be identified. (C) 2004 Elsevier B.V. All rights reserved.