Solitary fibrous tumor of the lateral ventricle: CT appearances and pathologic correlation with follow-up.

Intracranial solitary fibrous tumors are rare, and intraventricular fibrous tumors are even more unusual. We report a case of solitary fibrous tumor in the region of trigone and body of the left lateral ventricle and discuss the clinical presentation, CT characteristics, and histopathologic features with 1-year follow-up. We speculate that the tumor arose from the perivascular connective tissue of the choroid plexus.

Use of combined suspension laryngoscopy, flexible bronchoscopy and high frequency jet ventilation for Y-shaped airway stents delivery

La trachée et les bronches proximales sont de fins conduits subtils, ingénieusement structurés par une partie cartilagineuse antérieure résistante aux variations de pression et une partie membraneuse postérieure souple. Par leurs faibles volumes (espace mort) ils délivrent un grand pourcentage de l'air inspiré aux voies distales, puis au parenchyme pulmonaire, permettant les échanges de gaz. Cette belle harmonie respiratoire peut être rapidement mise à mal dès qu'un processus atteint ces voies respiratoires proximales, soit en les comprimant, processus sténosant, soit en affaiblissant leur structure, trachéo-bronchomalacie, soit en ouvrant leur paroi sur les structures médiastinales, fistule trachéo/broncho-médiastinales, pleurales ou autres. Le pronostic vital est alors rapidement engagé au vu de l'absolue nécessité du bon fonctionnement de ces fins conduits, une petite diminution du calibre de leurs fines lumières provoquant une baisse importante de leurs surfaces. Dans ces situations à haut potentiel de complication majeure les interventions endoscopiques pour restaurer l'intégrité de ces conduits sont alors fort risquées, et il est primordial de pouvoir les effectuer dans un cadre sécurisé au maximum. La réalisation de ces gestes par la technique décrite dans notre article « Use of combined suspension laryngoscopy, flexible bronchoscopy and high frequency jet ventilation forY-shaped airway stents delivery" permet la sécurité nécessaire à ces situations instable, en effet -la laryngoscopie en suspension expose les voies proximales en offrant un accès le plus large possible à l'arbre trachéobronchique ce qui permet l insertion de multiples instruments parfois volumineux, -la Jet ventilation assure une oxygénation et une ventilation adéquate par un fin cathéter placé soit dans le poumon sain, soit en distalité de la lésion -la bronchoscopie souple, passant au travers d'endroits exigus et courbes permet le déploiement sous vision direct, au millimètre près, de divers dispositifs. Cette association remplace avantageusement la technique traditionnelle qui insère les stents à l'aveugle, et en apnée, ce qui représente de haut risque de mauvais positionnement des stents avec des conséquences immédiates sur l'oxygénation et la ventilation souvent déjà bien altérées. Perspective et conclusion : cette technique est utile pour l'insertion des stents en Y, centraux, comme décrit dans notre article, et les indications peuvent être étendues aux stents distaux pour lesquels l'accès n'est parfois pas aisé avec le bronchoscope rigide, et pour d'autres interventions endoscopiques, laser, cryothérapie, radiofréquence ou l'insertion de nouveaux dispositifs.

Benign Intrapulmonary Schwannoma: Aspect on F-18 Fluorodeoxyglucose PET/CT.

A 75-year-old man, with no significant symptoms, was referred after the incidental finding of a left hilar pulmonary mass of 30 × 30 × 50 mm on a chest CT. F-18 fluorodeoxyglucose (FDG) PET/CT demonstrated a heterogeneous, moderate radiotracer uptake in the mass (SUV 3.5 g/mL). Bronchoscopy revealed a discrete extrinsic compression of the superior bronchus without endobronchial lesion. Endobronchial fine-needle biopsies could not deliver a final diagnosis. The patient underwent upper lobectomy by thoracotomy. Histopathology revealed a benign intrapulmonary schwannoma. Although rare, intermediate FDG uptake in the settings of a pulmonary mass should include schwannoma in the differential diagnosis.

Etude pilote par PET/CT de la réponse à l'ipilimumab dans le traitement du mélanome métastatique.

0 Abstract L'incidence du mélanome est en nette augmentation en Europe et aux Etats-Unis. La Chirurgie peut être curative au stade précoce de la maladie,la radiothérapie se pratique À visée palliative, les chimiothérapies n'ont montré que peu d'effet. Les progress actuels se font via l'immunothérapie. Des traitements par l'interleukine-2 et l'interféron-α se sont montrés efficaces chez certains patients, mais leur utilisation est limitée par leur forte toxicité. Depuis 2011, en Suisse, une nouvelle molécule a été mise sur le marché, l'ipilimumab (Yervoy®). Il s'agit d'un anticorps! monoclonal humain dirigé contre le CTLA4. Il en résulte une activation non spécifique du système immunitaire. Une étude randomisée de phase IIIa été conduite au Etats-Unis. Elle démontre une augmentation de la survie chez les patients atteints de melanoma métastatique traits par ipilimumab, sans traitement préalable des métastases. Le but de cette etude est de determiner s'il est possible, par le biais de l'imagerie PET-CTau 18F-FDG, de prédire la réponse individuelle au traitement par ipilimumab, afin d'optimiser la prise en charge de ces patients. 0.1 Méthode Les patients atteints de mélanome métastatique sont exposés au traitement d'ipilimumab selon les recommandations de Bristol-Myers Squibb. Puis ils effectuent des PET-CT au F-18-FDG selon! le! protocole (CER 400/11, annexé) de l'étude. Les images sont!analysées selon les critères PERCIST (PETResponse Criterias In Solid Tumors) et le TLG (Total Lesion Glycolysis) est calculé. Parallèlement, des prises de sang sont effectuées et les échantillons sont analysés à l'institut Ludwig (LICR, Unil) selon les critères imRC qui determinant la réponse immunologique au traitement. 0.2 Résultats Nous notons une discrépance dans les résultats. Lorsque nous observons une maladie stable avec les critères immunologiques imRC, nous observons une maladie progressive avec lescritères PERCIST. 0.3 Discussion - Conclusion Nous n'avons pu faire entrer que cinq patients dans l'étude, dont trois étaient vivants à trois mois, ce qui a restreint le nombre de données analysables. Les discrépances que nous observons dans nos résultats pourraient être dues au fait que le PET-CT au 18FDG ne nous permet pas de différencier l'activité tumorale de l'activité inflammatoire péri-tumorale. Ce biais pourrait être à l'avenir prévenu en utilisant du 18FLT, un marqueur plus sélectif des cellules tumorales.L'analyse desimages avec les critères de total-lesion glycolysis a été impossible au vu du nombre de lésions que présentaient certains patients. Les critères PERCIST exigent un protocole d'acquisition très strict. La corrélation entre les images, les données immunologiques et la clinique mérite d'être suivie sur le long terme, car il pourrait y avoir une réponse positive plus tardive du traitement par ipilimumab.

Relation between intraoperative EMG values and final pedicle screw position as seen on CT images

Introduction: Intraoperative EMG based neurophysiological monitoring is increasingly used to assist pedicle screw insertion. We carried out a study comparing the final screw position in the pedicle measured on CT images in relation to its corresponding intraoperative muscle compound action potential (CMAP) values. Material and methods: A total of 189 screws were inserted in thoracolumbar spines of 31 patients during instrumented fusion under EMG control. An observer, blinded to the CMAP value, assessed the horizontal and vertical 'screw edge to pedicle edge' distance perpendicular to the longitudinal axis of the screw on reformatted CT reconstructions using OsiriX software. These distances were analysed with their corresponding CMAP values. Data from 62 thoracic and 127 lumbar screws were processed separately. Interobserver reliability of distance measurements was assessed. Results: No patient suffered neurological injury secondary to screw insertion. Distance measurements were reliable (paired t-test, P = 0.13/0.98 horizontal/vertical). Two screws had their position altered due to low CMAP values suggesting close proximity of nerve tissue. Seventy five percent of screws had CMAP results above 10mA and had an average distance of 0.35cm (SD 0.23) horizontally and 0.46cm (SD 0.26) vertically from the pedicle edge. Additional 12% had a distance from the edge of the pedicle less than 0mm indicating cortical breach but had CMAP values above 10mA. A poor correlation between CMAP values and screw position was found. Discussion: In this study CMAP values above 10mA indicated correct screw position in the majority of cases. The zone of 10-20mA CMAP carries highest risk of a misplaced screw despite high CMAP value (17% of screws this CMAP range). In order to improve accuracy of EMG predictive value further research is warranted including improvement of probing techniques.

High tidal volume ventilation affects neuronal activation in mechanically ventilated rats

Els malalts crítics presenten sovint seqüeles cognitives a llarg termini, l’aplicació de ventilació mecànica (VM) pot contribuir al seu desenvolupament. El principal objectiu del nostre estudi fou investigar l’efecte de dos patrons de ventilació (volum corrent elevat/baix) en l’activació neuronal (expressió de c-fos) en determinades àrees cerebrals en un model en rates. Després de 3 hores sota VM, es va trobar activació neuronal; la seva intensitat va ser superior al grup de volum corrent elevat, suggerint un efecte iatrogènic de la VM al cervell. Aquests resultats suggereixen que cal aprofundir en l’estudi del crosstalk cervell-pulmó en malalts crítics sota VM.

Is PaCO2 management optimal under controlled mechanical ventilation (CMV) during neuro-resuscitation?

INTRODUCTION. Both hypocapnia and hypercapnia can be deleterious to brain injured patients. Strict PaCO2 control is difficult to achieve because of patient's instability and unpredictable effects of ventilator settings changes. OBJECTIVE. The aim of this study was to evaluate our ability to comply with a protocol of controlled mechanical ventilation (CMV) aiming at a PaCO2 between 35 and 40 mmHg in patients requiring neuro-resuscitation. METHODS. Retrospective analysis of consecutive patients (2005-2011) requiring intracranial pressure (ICP) monitoring for traumatic brain injury (TBI), subarachnoid haemorrhage (SAH), intracranial haemorrhage (ICH) or ischemic stroke (IS). Demographic data, GCS, SAPS II, hospital mortality, PaCO2 and ICP values were recorded. During CMV in the first 48 h after admission, we analyzed the time spent within the PaCO2 target in relation to the presence or absence of intracranial hypertension (ICP[20 mmHg, by periods of 30 min) (Table 1). We also compared the fraction of time (determined by linear interpolation) spent with normal, low or high PaCO2 in hospital survivors and non-survivors (Wilcoxon, Bonferroni correction, p\0.05) (Table 2). PaCO2 samples collected during and after apnoea tests were excluded. Results given as median [IQR]. RESULTS. 436 patients were included (TBI: 51.2 %, SAH: 20.6 %, ICH: 23.2 %, IS: 5.0 %), age: 54 [39-64], SAPS II score: 52 [41-62], GCS: 5 [3-8]. 8744 PaCO2 samples were collected during 150611 h of CMV. CONCLUSIONS. Despite a high number of PaCO2 samples collected (in average one sample every 107 min), our results show that patients undergoing CMV for neuro- resuscitation spent less than half of the time within the pre-defined PaCO2 range. During documented intracranial hypertension, hypercapnia was observed in 17.4 % of the time. Since non-survivors spent more time with hypocapnia, further analysis is required to determine whether hypocapnia was detrimental per se, or merely reflects increased severity of brain insult.

Perfusion-CT guided intravenous thrombolysis in patients with unknown-onset stroke: a randomized, double-blind, placebo-controlled, pilot feasibility trial.

INTRODUCTION: Patients with unknown stroke onset are generally excluded from acute recanalisation treatments. We designed a pilot study to assess feasibility of a trial of perfusion computed tomography (PCT)-guided thrombolysis in patients with ischemic tissue at risk of infarction and unknown stroke onset. METHODS: Patients with a supratentorial stroke of unknown onset in the middle cerebral artery territory and significant volume of at-risk tissue on PCT were randomized to intravenous thrombolysis with alteplase (0.9 mg/kg) or placebo. Feasibility endpoints were randomization and blinded treatment of patients within 2 h after hospital arrival, and the correct application (estimation) of the perfusion imaging criteria. RESULTS: At baseline, there was a trend towards older age [69.5 (57-78) vs. 49 (44-78) years] in the thrombolysis group (n = 6) compared to placebo (n = 6). Regarding feasibility, hospital arrival to treatment delay was above the allowed 2 h in three patients (25%). There were two protocol violations (17%) regarding PCT, both underestimating the predicted infarct in patients randomized in the placebo group. No symptomatic hemorrhage or death occurred during the first 7 days. Three of the four (75%) and one of the five (20%) patients were recanalized in the thrombolysis and placebo group respectively. The volume of non-infarcted at-risk tissue was 84 (44-206) cm(3) in the treatment arm and 29 (8-105) cm(3) in the placebo arm. CONCLUSIONS: This pilot study shows that a randomized PCT-guided thrombolysis trial in patients with stroke of unknown onset may be feasible if issues such as treatment delays and reliable identification of tissue at risk of infarction tissue are resolved. Safety and efficiency of such an approach need to be established.

Neurally adjusted ventilatory assist (NAVA) improves patient-ventilator interaction during non-invasive ventilation delivered by face mask.

PURPOSE: To determine if, compared to pressure support (PS), neurally adjusted ventilatory assist (NAVA) reduces patient-ventilator asynchrony in intensive care patients undergoing noninvasive ventilation with an oronasal face mask. METHODS: In this prospective interventional study we compared patient-ventilator synchrony between PS (with ventilator settings determined by the clinician) and NAVA (with the level set so as to obtain the same maximal airway pressure as in PS). Two 20-min recordings of airway pressure, flow and electrical activity of the diaphragm during PS and NAVA were acquired in a randomized order. Trigger delay (T(d)), the patient's neural inspiratory time (T(in)), ventilator pressurization duration (T(iv)), inspiratory time in excess (T(iex)), number of asynchrony events per minute and asynchrony index (AI) were determined. RESULTS: The study included 13 patients, six with COPD, and two with mixed pulmonary disease. T(d) was reduced with NAVA: median 35 ms (IQR 31-53 ms) versus 181 ms (122-208 ms); p = 0.0002. NAVA reduced both premature and delayed cyclings in the majority of patients, but not the median T(iex) value. The total number of asynchrony events tended to be reduced with NAVA: 1.0 events/min (0.5-3.1 events/min) versus 4.4 events/min (0.9-12.1 events/min); p = 0.08. AI was lower with NAVA: 4.9 % (2.5-10.5 %) versus 15.8 % (5.5-49.6 %); p = 0.03. During NAVA, there were no ineffective efforts, or late or premature cyclings. PaO(2) and PaCO(2) were not different between ventilatory modes. CONCLUSION: Compared to PS, NAVA improved patient ventilator synchrony during noninvasive ventilation by reducing T(d) and AI. Moreover, with NAVA, ineffective efforts, and late and premature cyclings were absent.