536 resultados para Cólon transverso


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Channel activating proteases (CAP) are membrane-bound serine proteases that have been identified as in vitro activators of the epithelial sodium channel (ENaC). Two of them are mainly studied in the laboratory. CAP1/Prss8 was previously shown implicated in colonic sodium homeostasis in vivo. In the first part of this thesis, we generated and characterized mice deficient for CAP2/Tmprss4. The mice are healthy and viable, and they do not show any obvious phenotype. We investigated ENaC activity and expression under regular and sodium- deficient diet, and we could demonstrate that CAP2 is not a major regulator of sodium homeostasis in vivo. We next studied whether CAP2 is implicated in potassium homeostasis. We detected a strong gender-dependency when CAP2 knock-out mice were put under a potassium-deficient diet. We showed in male mice an implication of CAP2 in the regulation of the colonic H+, K+- ATPase, and we propose an implication of membrane-associated progesterone receptors and their binding partners, as well as a possible cleavage-mediated glucocorticoid receptor signalling. We studied the possible interaction between CAPI and CAP2 by generating and characterizing two different mouse study groups, displaying different hypomorphic mutations in the CAPI gene, and deficient for CAP2. We demonstrate that balanced expression of CAPI and CAP2 is required for maintainance of skin integrity and for normal placental development. As CAPI knock-out embryos die due to a placental failure, the additional combined deletion of CAP2 resulted in survival until birth. We could evidence that CAPI and CAP2 are implicated in the same signalling pathway as proposed in cancer studies at the level of the placenta, implicating integrin a5, ERK, AKT, E- and N-cadherin. Furthermore, we investigated whether CAPI is implicated in the pathogenesis and susceptibility to experimental chronic colitis in a mutant rat model. By giving CAPI mutant rats Dextran sodium sulfate, we induced chronic inflammation of the colon, and we highlighted the protective role of CAPI at the histopathological and clinical levels. In conclusion, we showed that CAP2 is not a major regulator of ENaC-mediated sodium homeostasis in vivo, but rather a regulator of potassium homeostasis in a gender-dependent manner implicating the colonic H+, K+-ATPase, membrane progesterone receptors, and the glucocorticoid receptor. We have investigated whether CAPI and CAP2 interact at the functional level, and we show that a balanced expression of CAPI and CAP2 is required in the skin, but also in the placenta. Imbalanced expression of CAPI and CAP2 leads to impaired EMT-associated signalling. We have studied whether CAPI is implicated in the pathogenesis and susceptibility to chronic colitis, and we demonstrated the protective role of CAPI in distal colon. -- Les protéases activatrices de canal (CAP) sont des protéases à serine attachées à la membrane qui ont été identifiées comme activateurs in vitro du canal sodique épithélial (ENaC). Deux de ces protéases sont principalement étudiées dans le laboratoire. CAP1/Prss8 a été identifié préalablement comme impliqué dans l'homéostasie du sodium in vivo au niveau du côlon. Dans la première partie de cette thèse, nous avons généré et caractérisé des souris déficientes pour CAP2/Tmprss4. Les souris sont en bonne santé et viables, et elles ne présentent pas de phénotype visible. Nous avons étudié l'activité et l'expression d'ENaC sous diète normale et déficiente en sodium, et nous avons démontré que CAP2 n'est pas un régulateur essentiel de l'homéostasie sodique in vivo. Nous avons ensuite étudié si CAP2 est impliqué dans l'homéostasie du potassium. Nous avons détecté une forte dépendance du sexe lorsque les souris knock-out pour CAP2 étaient placées sous diète déficiente en potassium. Nous avons démontré dans les souris mâles une implication de CAP2 dans la régulation de la H+, K+- ATPase colonique, des récepteurs membranaires à la progestérone et de leur partenaires de liaison, ainsi que dans la possible signalisation médiée par le clivage du récepteur aux glucocorticoïdes. Nous avons étudié l'interaction possible entre CAPI et CAP2 en générant et en caractérisant deux groupes d'étude de souris différents, porteurs de différentes mutations hypomorphiques dans le gène de CAPI, et déficients pour CAP2. Nous avons pu montrer qu'une expression équilibrée de CAPI et CAP2 est requise pour le maintien de l'intégrité de la peau et pour le développement normal du placenta. Les embryons knock-out pour CAPI meurent suite à une défaillance placentaire, et la délétion additionnelle et combinée de CAP2 permet la survie jusqu'à la naissance. Nous supposons que CAPI et CAP2 sont impliqués dans la même voie de signalisation au niveau du placenta que celle proposée dans les études de cancer, impliquant l'intégrine a5, ERK, AKT, E- et N-cadhérine. De plus, nous avons étudié si CAPI est impliqué dans la pathogenèse et la susceptibilité de colite chronique expérimentale dans un modèle de rat mutant. En administrant aux rats mutants pour CAPI du Dextran sodium sulfate, nous avons induit une inflammation chronique du côlon, et nous avons pu mettre en évidence le rôle protecteur de CAPI au niveau histopathologique et au niveau clinique. En conclusion, nous avons démontré que CAP2 n'est pas un régulateur essentiel de l'homéostasie sodique médiée par ENaC in vivo, mais plutôt de l'homéostasie potassique d'une manière dépendante du sexe et impliquant la H+, K+-ATPase colonique, les récepteurs membranaires à la progestérone et le récepteur aux glucocorticoïdes. Nous avons étudié si CAPI et CAP2 interagissent au niveau fonctionnel, et nous avons montré qu'une expression équilibrée entre CAPI et CAP2 est requise dans la peau et le placenta. L'expression déséquilibrée de CAPI et CAP2 mène à une altération de la signalisation associée à l'EMT. Nous avons étudié si CAPI est impliqué dans la pathogenèse et la susceptibilité de colite chronique expérimentale, et nous avons démontré le rôle protecteur de CAPI dans le côlon distal.

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Contexte : Après les maladies cardiovasculaires, le cancer est la deuxième cause de mortalité en Suisse. Les cancers de la prostate, du sein, du côlon-rectum, du col utérin et le mélanome cutané représentent, en termes d'incidence et de mortalité, la moitié du fardeau du cancer en Suisse. Des moyens de prévention primaire et/ou secondaire contribuent à réduire la fréquence et la mortalité due à ces cinq cancers. Cependant, l'attitude face à la prévention diffère selon les individus et dépend de multiples facteurs socio-économiques, environnementaux, culturels et comportementaux. Objectif : Évaluer la fréquence et identifier les déterminants des pratiques de dépistage des cancers de la prostate, du sein, du côlon-rectum, du col utérin et du mélanome cutané en Suisse. Matériel et méthode : Les données utilisées sont issues de l'Enquête suisse sur la santé 2007. Une pondération statistique permet d'extrapoler les résultats à la population générale. Des modèles de régression logistique multivariée ont été construits afin de décrire l'association entre pratique du dépistage et facteurs sociodémographiques, style de vie, état de santé, recours aux prestations de santé et soutien social. Résultats : En 2007, selon les méthodes et fréquences recommandées en Suisse et dans les tranches d'âge concernées, 49% des hommes ont effectué un dépistage du cancer prostatique, 13% du cancer colorectal et 33,7% du mélanome cutané. Chez les femmes, 17,9% ont réalisé un dépistage du cancer du sein, 8,7% du cancer colorectal, 36,8% du mélanome cutané et 50,2% du cancer du col utérin. Globalement et pour les deux sexes, l'âge, le lieu de résidence, le niveau de formation, la classe socioprofessionnelle, le revenu d'équivalence du ménage, la pratique d'autres dépistages des cancers, le nombre de visites médicales et de jours d'hospitalisation au cours des 12 mois précédents déterminent le recours au dépistage des cancers d'intérêt. Chez les hommes, la présence d'un médecin de famille et, chez les femmes, la franchise annuelle, influencent aussi la pratique du dépistage. Conclusion : Les prévalences du dépistage varient notablement selon le type de cancer. Le recours aux dépistages des cancers dépend de facteurs sociodémographiques, de l'utilisation des services de santé et de la pratique d'autres dépistages, mais peu, voire pas, du style de vie, de l'état de santé et de la sécurité et du soutien sociaux. Les facteurs identifiés sont souvent communs aux différents types de cancer et rendent possible l'établissement d'un profil général d'utilisateurs du dépistage des cancers. Les stratégies visant à améliorer la compliance aux examens de dépistage devraient considérer les facteurs qui en déterminent le recours et mieux cibler les segments de la population qui les sous-utilisent.

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Colorectal cancer (CRC) is the third most common cancer and the fourth leading cause of cancer death worldwide. About 85% of the cases of CRC are known to have chromosomal instability, an allelic imbalance at several chromosomal loci, and chromosome amplification and translocation. The aim of this study is to determine the recurrent copy number variant (CNV) regions present in stage II of CRC through whole exome sequencing, a rapidly developing targeted next-generation sequencing (NGS) technology that provides an accurate alternative approach for accessing genomic variations. 42 normal-tumor paired samples were sequenced by Illumina Genome Analyzer. Data was analyzed with Varscan2 and segmentation was performed with R package R-GADA. Summary of the segments across all samples was performed and the result was overlapped with DEG data of the same samples from a previous study in the group1. Major and more recurrent segments of CNV were: gain of chromosome 7pq(13%), 13q(31%) and 20q(75%) and loss of 8p(25%), 17p(23%), and 18pq(27%). This results are coincident with the known literature of CNV in CRC or other cancers, but our methodology should be validated by array comparative genomic hybridisation (aCGH) profiling, which is currently the gold standard for genetic diagnosis of CNV.

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Cyclin-dependent kinases CDK4 and CDK6 are essential for the control of the cell cycle through the G1 phase. Aberrant expression of CDK4 and CDK6 is a hall- mark of cancer, which would suggest that CDK4 and CDK6 are attractive targets for cancer therapy. Herein, we report that calcein AM is a potent specific inhibitor of CDK4 and CDK6 in HCT116 human colon adenocarcinoma cells, inhibiting retinoblastoma protein (pRb) phosphorylation and inducing cell cycle arrest in the G1 phase. The metabolic effects of calcein AM (the calcein acetoxymethyl-ester) on HCT116 cells were also evaluated and the flux between the oxidative and non-oxidative branches of the pentose phos-phate pathway was significantly altered. To elucidate whe-ther these metabolic changes were due to the inhibition of CDK4 and CDK6, we also characterized the metabolic profile of a CDK4, CDK6 and CDK2 triple knockout of mouse embryonic fibroblasts. The results show that the metabolic profile associated with the depletion of CDK4, CDK6 and CDK2 coincides with the metabolic changes induced by calcein AM on HCT116 cells, thus confirming that the inhibition of CDK4 and CDK6 disrupts the balance between the oxidative and non-oxidative branches of the pentose phosphate pathway. Taken together, these results indicate that low doses of calcein can halt cell division and kill tumor cells. Thus, selective inhibition of CDK4 and CDK6 may be of greater pharmacological interest, since inhibitors of these kinases affect both cell cycle progression and the robust metabolic profile of tumors.

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Background: Colorectal cancer is a major health problem worldwide and many efforts have been done to delineate risk factors and develop screening strategies to reduce its incidence and mortality. Colorectal adenomas have been clearly considered preneoplastic lesions due to their potential malignant transformation via the adenoma-carcinoma sequence. Over the last years, intestinal microbiota has been studied in several diseases and it has been hypothesized that colonic microbiota could influence colorectal cancer pathogenesisObjective: The goal of this study is to analyse whether there is an association between the fecal microbiota profiling and the presence and progression of colorectal adenomas, detected in population undergoing colonoscopy, to better understand the role of intestinal microbiota in colorectal carcinogenesisDesign: A cross-sectional study in the Gastroenterology Department at Hospital Universitari Doctor Josep Trueta in Girona, in a period of time of two yearsParticipants: General population undergoing screening or diagnostic colonoscopy in the Digestive Endoscopy UnitOutcomes: Identification and characterization of intestinal microbiota in stool samples from healthy patients and patients with low and high risk colorectal adenomas

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O estudo prospectivo de oitenta pacientes com hérnia inguinal indireta primária teve como objetivo determinar as possíveis vantagens e desvantagens do uso do saco herniário próprio como um reforço adicional da fáscia transversal e do anel interno, no reparo cirúrgico da hérnia inguinal indireta, num período de acompanhamento de 24 meses após a operação. Todos os pacientes eram do sexo masculino, na faixa etária de 18 a 65 anos, com o diâmetro do anel inguinal variando de 1,0cm a 3,5cm, correspondente ao tipo 2 da classificação de Nyhus para hérnias ínguino-femorais. Foram divididos em dois grupos de quarenta cada e operados pelo mesmo cirurgião, de março de 1993 a março de 1995. No grupo A, o reforço parietal posterior foi feito pela sutura do arco do transverso ao ligamento iliopúbico. No grupo B, acrescentou-se o saco herniário próprio, aberto e livre, fixado sobre o citado reforço às estruturas músculo-aponeuróticas do triângulo inguinal. A preparação e sutura do saco herniário foi de fácil execução, acrescentando um tempo médio de nove minutos à operação. Na comparação entre os grupos A e B, os testes estatísticos demonstraram não haver diferença significativa entre as médias de idade, peso, altura e de diâmetro do anel inguinal interno. As complicações pós-operatórias foram semelhantes nos dois grupos, sendo estas de fácil resolução. A diferença na recidiva precoce de dois casos (5%) no grupo A para um caso (2,5%) no grupo B não é estatisticamente significativa. No exame histopatológico dos sacos herniários, verificou-se que suas paredes constituem-se de tecido conjuntivo, vasos sangüíneos, células adiposas e, em 25% dos casos, de fibras musculares lisas. Na reoperação do paciente número 12, do grupo B, observou-se que o saco herniário suturado, há 19 meses na região inguinal, apresentava-se como uma camada espessa e resistente, firmemente aderida à fáscia transversal. A proposta de utilização do saco herniário, como um reforço da hérnia inguinal, mostrou-se um recurso de fácil e rápida execução, com custo operacional baixo, não expondo o paciente ao aumento do número de complicações.

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Cerca de 4% a 15% dos tumores colorretais são hereditários e divididos em dois grupos: polipose adenomatosa familiar (FAP) e câncer colorretal hereditário sem polipose (HNPCC). Ambas são doenças autossômicas dominantes, com transmissão vertical, geração após geração, sem preferência por sexo. A FAP tem penetrância praticamente completa, caracterizada por mais de cem pólipos adenomatosos no intestino grosso, que aparecem em geral após a puberdade e se transformam em câncer em todos os casos não tratados, levando o paciente ao óbito em tomo dos 45 anos de idade. Manifestações extracolônicas são comuns, tais como: pólipos em estômago e duodeno, sarcomas abdominais, pigmentação de retina, osteomas, entre outras. A FAP é causada por mutação no gene APC, que está localizado no cromossomo 5q. Seu tratamento é basicamente cirúrgico, com retirada do intestino grosso, podendo-se preservar o reto, se este não apresentar muitos pólipos. O HNPCC tem penetrância em torno de 80% e não apresenta os pólipos benignos como na FAP, que permitem identificar pacientes com o fenótipo da doença. Geralmente, o diagnóstico da lesão colônica é realizado já na fase maligna, em torno dos 45 anos de idade, com preferência para o lado direito do cólon. Pode haver associação com tumores de endométrio na mulher, estômago, pâncreas, entre outros. É causada por mutação em genes de reparo do DNA (hMSH2, hMLH1, hPMS1, hPMS2, hMSH6/GTBP). A colectomia total deve ser realizada em pacientes com câncer de cólon e HNPCC. Se o tumor estiver localizado no reto, a proctocolectomia total pode ser uma opção. Em indivíduos portadores do defeito genético predisponente ao HNPCC, porém, assintomáticos, a indicação de cirurgias profiláticas é controversa. Atualmente, podem-se identificar indivíduos portadores de defeito genético herdado tanto na FAP como no HNPCC. Esses testes baseiam-se no estudo direto dos genes responsáveis pela respectiva doença ou pela proteína produto dos mesmos. É de suma importância uma abordagem multidisciplinar de pacientes portadores de FAP ou HNPCC, pois existe uma preocupação ética muito grande na realização dos testes genéticos de predisposição, considerando suas conseqüências psicológicas e sociais.

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A conduta no tratamento cirúrgico do câncer do reto médio é ainda controversa. Vários procedimentos cirúrgicos foram avaliados, retrospectivamente, em noventa doentes operados durante o período de fevereiro de 1990 a junho de 1997. Deste total, 43 (47,7%) doentes eram do sexo feminino e 47 (52,3%) do masculino. A idade variou entre 20 e 90 anos, com média de 60,2 anos. Os principais sintomas e sinais foram puxo e tenesmo, hematoquesia e emagrecimento. O tempo decorrido desde o início dos sintomas até o diagnóstico variou de dois a 24 meses, com média de 7,5 meses. A amputação abdômino-perineal do reto foi realizada em 17 doentes (18,8%) e a complicação mais freqüente foi a deiscência da ferida perineal, em 47% dos casos. Um doente (1,1 %) foi submetido a proctocolectomia total, evoluindo sem intercorrências. A operação de Hartmann foi feita em 26 doentes (28,8%), ocorrendo 7,6% de morbidade e 7,6% de mortalidade, em virtude de complicações clínicas. Em 26 doentes (28,8%), foi realizada ressecção anterior seguida de anastomose. Em dez (11,1%), foi realizada anastomose manual e não houve complicações. Nos outros 16 (17,7%) foi feita anastomose mecânica, havendo três deiscências e um óbito, relacionado a complicações clínicas. Em oito doentes (8,8%), foi realizada ressecção com abaixamento coloanal, ocorrendo 50% de complicações, devido à necrose e à retração do cólon abaixado. Houve apenas um óbito relacionado à complicação cirúrgica. Em 12 doentes (13,3%) não foi efetuada a ressecção do tumor, em decorrência de precárias condições clínicas dos mesmos e falta de critérios de ressecabilidade da lesão. Concluímos que o procedimento cirúrgico adequado no tratamento do câncer do reto médio depende de estadiamento criterioso, considerando o grau de diferenciação celular, a presença de metástase, a condição local do tumor, a situação clínica do doente e a experiência da equipe cirúrgica.

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Os autores analisaram retrospectivamente as reconstruções após faringolaringectomias totais e faringolaringo-esofagectomias totais realizadas num período de 18 anos, com o objetivo de comparar os resultados imediatos e tardios das diversas técnicas empregadas. Foram revistos 69 casos submetidos a reconstruções totais de faringe realizadas no Hospital A.C.Camargo, de 1980 a 1997. Hipofaringe e laringe eram os locais da neoplasia em 57 pacientes (82,6%), o esôfago cervical, em sete (10,1 %), e outras localizações em cinco (7,2%). Em 62,4% dos casos, o tumor encontrava-se em estádio avançado, e em 18,8% os pacientes apresentavam recidivas de tumores previamente tratados. As cirurgias consistiram em faringolaringoesofagectomia total e transposição de tubo gástrico (gastric pull-up) em 14 pacientes (20,3%), e com interposição de cólon em cinco (7,3%); e de faringolaringectomia total com reconstrução a partir da rotação de retalho do músculo peitoral maior tubulizado em 16 pacientes (23,2%), com retalho do músculo peitoral maior suturado à fáscia pre-vertebralis em 29 (42,0%) e com outras reconstruções em cinco (7,2%). Das técnicas de reconstrução em faringolaringoesofagectomia, o gastric pull-up apresentou índices menores de complicações e mortalidade pós-operatória. Quando comparamos as reconstruções em faringolaringectomia total, os casos reconstruídos com retalho miocutâneo suturado à fáscia pre-vertebralis apresentaram índices menores de fístula e estenose. No entanto, essas diferenças não foram estatisticamente significativas. Diante destes resultados, nossa conduta em faringolaringectomias totais, quando não é possível a reconstrução da faringe com sutura primária, é realizar a rotação do retalho do músculo peitoral maior suturado à fáscia pre-vertebralis. Quando é necessária a faringolaringoesofagectomia, realizamos reconstrução com gastric pull-up.

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Com o objetivo de analisar, na amostra, fatores que influenciaram a morbidade pós-operatória após trauma hepático penetrante, realizou-se um estudo prospectivo com 61 pacientes submetidos a cirurgia por trauma hepático penetrante no Hospital de Pronto Socorro (HPS) durante 12 meses. Foram excluídos os óbitos ocorridos nas primeiras 24 horas após o trauma. As seguintes variáveis foram estudadas: idade, mecanismo de trauma, choque, grau de lesão hepática, lesões intra- abdominais associadas, técnica cirúrgica e drenagem peri-hepática. Utilizou-se um modelo de regressão logística múltipla para avaliar a correlação entre esses fatores e a ocorrência de complicações pós-operatórias. A média de idade foi de 26± 3,49 anos, variando entre 17 e 63 anos. Trauma por arma de fogo ocorreu em 34 casos (55,7%) e por arma branca em 27 (44,3%). O choque esteve presente em 37 casos (60,7%). As lesões hepáticas de grau II e III (42,6% e 41 %) foram as mais comuns, e as lesões intra-abdominais associadas mais freqüentes foram de estômago (18 casos - 29,5% ) e cólon (nove casos - 14,7% ). O ATI médio foi 20,5 ±17. As complicações pós-operatórias mais comuns foram broncopneumonia (dez casos - 25%) e abscesso intra-abdominal (seis casos - 9,8%). Houve dois óbitos na série. Foram fatores preditivos de complicações, nessa amostra, o choque, os ferimentos por projetis de arma de fogo e a complexidade da cirurgia hepática.

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A colite de derivação fecal (CD) é um processo inflamatório que ocorre no segmento colorretal desfuncionalizado, após uma cirurgia de desvio do trânsito intestinal. As principais características dessa entidade clínica são: apresenta-se na desfuncionalização do cólon ou reto; não há doença inflamatória intestinal preexistente; nunca acomete o sítio proximal à colostomia e ocorre resolução do processo após a restauração do trânsito intestinal. Diversas são as hipóteses postuladas para explicar o seu aparecimento; todavia, a deficiência nutricional do epitélio colônico, pela ausência dos ácidos graxos de cadeia curta (AGCC), no segmento desfuncionalizado, é a mais aceita na atualidade. Os autores fazem uma revisão da literatura enfocando os aspectos clínicos, histopatológicos e terapêuticos desta doença.

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O objetivo deste trabalho foi evidenciar as repercussões histopatológicas da colostomia no segmento desfuncionalizado e, dessa forma, criar um modelo experimental da colite de derivação fecal (CO). Foram utilizados 65 ratos, adultos, da raça Wistar, com peso variando de 220 a 300 g. Os animais foram divididos em 13 grupos, contendo cinco ratos. Do grupo 1 ao grupo 12, os animais foram submetidos a laparotomia mediana, sendo realizada uma colostomia terminal tipo boca única, e observados, por períodos variados de tempo, com o máximo de cem dias. Os animais, após serem mortos, foram necropsiados e retirado o segmento co1ônico desfuncionalizado para a avaliação histopatológica. Essa avaliação consistia de uma análise quantitativa, através da medida da espessura da mucosa colônica, e de uma análise qualitativa, mediante avaliação subjetiva: da presença de infiltrado inflamatório agudo ou crônico na lâmina própria; das alterações na arquitetura das criptas colônicas; da presença de hiperplasia folicular linfóide e de linfócitos na luz dos vasos da submucosa; e da presença de eosinófilos na luz intestinal. No grupo 12, após o 100° dia de pós-operatório (OPO), foi realizada a reconstrução do trânsito intestinal, e, após trinta dias, o cólon descendente foi retirado para a análise histopatológica. O método de Tukey e o teste "t" de Student foram utilizados como parte da análise dos resultados. Verificou-se uma redução estatisticamente significante da espessura da mucosa colônica a partir do 4000PO. Concluiu-se que a colostomia desfuncionalizante realizada em ratos reproduziu alterações histopatológicas compatíveis com a colite de derivação, e que estas mostraram-se reversíveis após a reconstrução do trânsito intestinal.

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A cirurgia laparoscópica tem determinado reavaliações de muitos dogmas cirúrgicos. Dentre esses dogmas, está a aparente ausência de íleo paralítico na cirurgia laparoscópica. O objetivo do autor foi avaliar, de maneira experimental, em cães , as diferenças de recuperação da motilidade do cólon após uma colectomia tradicional e uma colectomia videolaparoscópica assistida, determinando ainda as características do íleo paralítico pós-operatório, em cães, após uma cirurgia laparoscópica. Foram utilizados dez cães mestiços, sadios, pesando de 20 a 30 kg, com idade entre 4 e 5 anos. Após uma noite de jejum, os eletrodos foram implantados, através de uma laparotomia, sob condições assépticas e anestesia geral. Cada animal teve implantado oito eletrodos bipolares. Quatro desses eletrodos foram implantados no intestino delgado, e os quatro eletrodos restantes, localizados no cólon, estando o mais distal a 20 cm da reflexão peritoneal do reto. Foi estabelecido um período de dez dias para a total recuperação do íleo paralítico pós-operatório. Após a aquisição de traçados controles, os animais foram randomizados para a realização de uma colectomia laparoscópica ou uma colectomia através de laparotomia. Após uma noite de jejum, a colectomia foi realizada sob condições assépticas e anestesia geral. Após a extubação iniciou-se a aquisição dos dados. A aquisição foi realizada até a completa recuperação do íleo paralítico, de maneira ininterrupta. Nenhum dos animais recebeu analgésicos no período pós-operatório. Não houve diferença entre o final da colectomia e o surgimento do primeiro complexo motor migrante (CMM), no intestino delgado. Com relação ao final das colectomias e o retorno à fase 11, também não houve diferença estatisticamente significativa entre os dois grupos. Os intervalos de tempo entre as ressecções colônicas e o aparecimento da primeira contração colônica migrante (CCM) não foram estatisticamente diferentes, assim como não foram os intervalos entre o final da colectomia e o surgimento da primeira contração migratória gigante do cólon. Quando relacionamos o final da cirurgia e a primeira evacuação, não houve diferença entre os grupos. O autor concluiu que a colectomia laparoscópica cursa com íleo paralítico, e que não houve diferenças entre os grupos, com relação ao período de recuperação do íleo paralítico pós-operatório, nos cães estudados.

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O objetivo é apresentar a padronização da técnica operatória e os resultados obtidos com a utilização do acesso videolaparoscópico na reconstituição do trânsito intestinal em pacientes previamente submetidos à operação de Hartmann por causas diversas. Foram analisados prospectivamente 32 pacientes, no período de dezembro de 1991 a junho de 1997, com distribuição semelhante com relação ao sexo e com idade média de 42,4 anos. Todos os pacientes foram submetidos ao mesmo preparo pré-operatório e à mesma técnica cirúrgica. Ocorreram três (9,3%) complicações transoperatórias. Uma (3,1 %) anastomose mecânica incompleta, necessitando de endossutura manual, uma (3,1 %) laceração do reto com o grampeador mecânico e uma (3,1 %) lesão da artéria epigástrica direita. Ocorreram ainda três (9,3%) conversões, sendo uma (3,1 %) devido à laceração do reto com o grampeador mecânico, outra (3.1 %) pela invasão tumoral na pelve e outra (3,1 %) pela presença de excessivas aderências intraperitoneais. O tempo operatório variou de 30 a 240 minutos, na média de 126,2 minutos (2,1 horas). A evolução clínica pós-operatória foi satisfatória. Nove (31,0%) pacientes não referiram dor, enquanto 13 (44,8%) a referiram em pequena intensidade, e apenas sete (24,0%) queixaram-se de dor com maior intensidade. A dieta líquida via oral foi instituída no período médio de 1,6 dias, e a primeira evacuação ocorreu na média de 3,2 dias de pós-operatório. O período médio de hospitalização foi de 4,7 dias. Ocorreram complicações pós-operatórias em oito (27,5%) pacientes. Duas (6,8%) infecções da ferida do estoma, dois pacientes (6,8%) com dor no ombro direito, uma (3,4%) deiscência de anastomose, um (3,4%) caso de peritonite por provável contaminação do material cirúrgico, uma coleção líquida pélvica e uma hérnia incisional. Em conclusão, a reconstituição do trânsito intestinal por videolaparoscopia apresentou-se segura e eficaz, podendo constituir-se no método cirúrgico de escolha, pois foi utilizada com sucesso em 90,6% dos pacientes.

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Ruptura dos órgãos que constituem o tubo digestório pode ocorrer em presença de aumento tensórico intraluminar ou quando sua parede estiver enfraquecida. É possível que as diferenças histológicas entre as diversas partes desse tubo interfiram na pressão necessária para que ocorra sua ruptura. Acredita-se que o uso prolongado de corticosteróides possa diminuir a resistência da parede digestória. Com o objetivo de se avaliarem as pressões de ruptura dos órgãos pertencentes ao tubo digestório, realizou-se o presente trabalho. Foram utilizados 20 camundongos de ambos os sexos, com peso variando entre 38 e 52 g, divididos aleatoriamente em dois grupos (n=10): grupo sem corticóide e grupo com administração subcutânea de hidrocortisona (1mg/kg/dia) durante 28 dias. Após esse período, os camundongos foram mortos e, em seguida, foram retirados os diversos segmentos do tubo digestório correspondentes a seus órgãos para avaliação da tensão de ruptura. Não houve diferença significativa entre os grupos com e sem corticóide. As tensões de ruptura do esôfago e do cólon foram maiores do que a do estômago, duodeno, jejuno e íleo (p<0,05). Concluindo, a administração de corticosteróide durante 28 dias não altera a resistência à ruptura do tubo digestório íntegro. O esôfago e o cólon apresentaram maior resistência à ruptura que os demais segmentos digestórios. A resistência do esôfago é significativamente maior que a do cólon.