313 resultados para dancing
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This article aims chiefly to discuss the status quaestionis regarding the etymology of Dionysus. The main theories thereon are analyzed and a new connection is put forward between the name of the god and one of his characteristic activities -dancing. In view of this, some passages of the Rig Veda are pointed out which might strengthen the bond already suggested between Dionysus and the god Indra within the Indo-European tradition
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El cine ha sido pionero del gusto artístico, de la moda y, en ocasiones, de nuevas imágenes arquitectónicas. Piénsese, por ejemplo, en la ciudad futurista de Fritz Lang para Metrópolis (1926), o en la arquitectura aerodinámica del film Things to Come (1936). Sin embargo, la traslación de esas imágenes al mundo real no siempre fue inmediata. Una de las pocas excepciones son las películas musicales americanas de los años treinta, que dejaron su huella en la arquitectura d los dancing o salas de fiesta. Tal es el caso del Casablanca Dancing-Salón de té, una obra de Gutiérrez Soto hoy desaparecida.
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The objective of the present study was to compare the effects of dance participation on physical and psychological functioning as perceived by two distinct groups of dancers: dancers with Parkinson's disease (PD) and healthy amateur (HA) dancers. Dancers in the Parkinson's sample group were gathered from participants in the Dance for PD® program, while healthy amateur dancers were recruited from university dance departments and through social media. Both groups were administered measures related to affect, self-efficacy, quality of life, and which aspects of dance classes were most helpful and/or challenging. Several open-ended questions for both groups were included, along with questions specific to each group. Results of the study indicated that there was no difference between the two groups on positive affect experienced while dancing, but that HA dancers experienced higher levels of negative affect than PD dancers. HA dancers exhibited higher levels of self-efficacy, but there was no difference between the groups on perceived quality of life. Additionally, both groups identified the same two components of dance classes as the most helpful: "moving and getting some exercise" and "doing something fun." Thematic analysis of responses to open-ended questions found that, in general, HA and PD dancers identified similar factors which made dance unique from other forms of exercise. The primary differences were that HA dancers more strongly emphasized artistic and spiritual components of dance, whereas PD dancers focused on the importance of the dance instructors and tailoring movements to individuals with PD. More differences were found between the two groups with respect to the negative aspects of dance classes. Notably, PD dancers identified almost no negative aspects, while HA dancers described internal and external pressure, criticism, and competition as problematic. Future research could benefit from ensuring that both groups are administered the same standardized measures to allow for additional comparisons between groups and with normative samples.
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In Port Louis, Mauritius, a young woman in search of her identity interacts with friends and family in a carefree manner until a stranger, a photographer, sees her dancing in front of the cathedral.
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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.
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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.
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Cover title.
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Illustrated t.p.
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Vols. IV-V have imprint: London, Novello and company, limited New York, The H. W. Gray co.
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For piano, 2 hands.
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Macaulay, T. B. William Wycherley.--Love in a wood; or, St. James's Park.--The Gentleman dancing master.---The country wife.--The plain dealer.
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v. 1. Prefatory note. Note as to the text. Introduction. Love in a wood. The gentleman dancing-master.--v. 2. The country wife. The plain dealer. Letters. Epistles in verse.--v. 3. Miscellany poems.--v. 4. Miscellany poems concluded. Miscellaneous poems published from more correct copies. Hero and Leander in burlesque. The posthumous works.
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In the eighties and nineties: Winter in the country-house (from a schoolroom window) The heyday of Rotten row.--The age of Morris-dancing.--The old hall.--The country-town: A poor choice. A back-yard. High street. Those in authority. The rectory. The county families. Market day.--The passing of the old order.