970 resultados para Socio-ecological crisis
Resumo:
An abundance of comparative survey research argues the presence of economic voting as an individual force in European elections, thereby refuting a possible ecological fallacy. But the hypothesis of economic voting at the aggregate level, with macroeconomics influencing overall electoral outcomes, seems less sure. Indeed, there might be a micrological fallacy at work, with the supposed individual economic vote effect not adding up to a national electoral effect after all. Certainly that would account for the spotty evidence linking macroeconomics and national election outcomes. We examine the possibility of a micrological fallacy through rigorous analysis of a large time-series cross-sectional dataset of European nations. From these results, it becomes clear that the macroeconomy strongly moves national election outcomes, with hard times punishing governing parties, and good times rewarding them. Further, this economy-election connection appears asymmetric, altering under economic crisis. Indeed, we show that economic crisis, defined as negative growth, has much greater electoral effects than positive economic growth. Hard times clearly make governments more accountable to their electorates.
Resumo:
Alors que les activités anthropiques font basculer de nombreux écosystèmes vers des régimes fonctionnels différents, la résilience des systèmes socio-écologiques devient un problème pressant. Des acteurs locaux, impliqués dans une grande diversité de groupes — allant d’initiatives locales et indépendantes à de grandes institutions formelles — peuvent agir sur ces questions en collaborant au développement, à la promotion ou à l’implantation de pratiques plus en accord avec ce que l’environnement peut fournir. De ces collaborations répétées émergent des réseaux complexes, et il a été montré que la topologie de ces réseaux peut améliorer la résilience des systèmes socio-écologiques (SSÉ) auxquels ils participent. La topologie des réseaux d’acteurs favorisant la résilience de leur SSÉ est caractérisée par une combinaison de plusieurs facteurs : la structure doit être modulaire afin d’aider les différents groupes à développer et proposer des solutions à la fois plus innovantes (en réduisant l’homogénéisation du réseau), et plus proches de leurs intérêts propres ; elle doit être bien connectée et facilement synchronisable afin de faciliter les consensus, d’augmenter le capital social, ainsi que la capacité d’apprentissage ; enfin, elle doit être robuste, afin d’éviter que les deux premières caractéristiques ne souffrent du retrait volontaire ou de la mise à l’écart de certains acteurs. Ces caractéristiques, qui sont relativement intuitives à la fois conceptuellement et dans leur application mathématique, sont souvent employées séparément pour analyser les qualités structurales de réseaux d’acteurs empiriques. Cependant, certaines sont, par nature, incompatibles entre elles. Par exemple, le degré de modularité d’un réseau ne peut pas augmenter au même rythme que sa connectivité, et cette dernière ne peut pas être améliorée tout en améliorant sa robustesse. Cet obstacle rend difficile la création d’une mesure globale, car le niveau auquel le réseau des acteurs contribue à améliorer la résilience du SSÉ ne peut pas être la simple addition des caractéristiques citées, mais plutôt le résultat d’un compromis subtil entre celles-ci. Le travail présenté ici a pour objectifs (1), d’explorer les compromis entre ces caractéristiques ; (2) de proposer une mesure du degré auquel un réseau empirique d’acteurs contribue à la résilience de son SSÉ ; et (3) d’analyser un réseau empirique à la lumière, entre autres, de ces qualités structurales. Cette thèse s’articule autour d’une introduction et de quatre chapitres numérotés de 2 à 5. Le chapitre 2 est une revue de la littérature sur la résilience des SSÉ. Il identifie une série de caractéristiques structurales (ainsi que les mesures de réseaux qui leur correspondent) liées à l’amélioration de la résilience dans les SSÉ. Le chapitre 3 est une étude de cas sur la péninsule d’Eyre, une région rurale d’Australie-Méridionale où l’occupation du sol, ainsi que les changements climatiques, contribuent à l’érosion de la biodiversité. Pour cette étude de cas, des travaux de terrain ont été effectués en 2010 et 2011 durant lesquels une série d’entrevues a permis de créer une liste des acteurs de la cogestion de la biodiversité sur la péninsule. Les données collectées ont été utilisées pour le développement d’un questionnaire en ligne permettant de documenter les interactions entre ces acteurs. Ces deux étapes ont permis la reconstitution d’un réseau pondéré et dirigé de 129 acteurs individuels et 1180 relations. Le chapitre 4 décrit une méthodologie pour mesurer le degré auquel un réseau d’acteurs participe à la résilience du SSÉ dans lequel il est inclus. La méthode s’articule en deux étapes : premièrement, un algorithme d’optimisation (recuit simulé) est utilisé pour fabriquer un archétype semi-aléatoire correspondant à un compromis entre des niveaux élevés de modularité, de connectivité et de robustesse. Deuxièmement, un réseau empirique (comme celui de la péninsule d’Eyre) est comparé au réseau archétypique par le biais d’une mesure de distance structurelle. Plus la distance est courte, et plus le réseau empirique est proche de sa configuration optimale. La cinquième et dernier chapitre est une amélioration de l’algorithme de recuit simulé utilisé dans le chapitre 4. Comme il est d’usage pour ce genre d’algorithmes, le recuit simulé utilisé projetait les dimensions du problème multiobjectif dans une seule dimension (sous la forme d’une moyenne pondérée). Si cette technique donne de très bons résultats ponctuellement, elle n’autorise la production que d’une seule solution parmi la multitude de compromis possibles entre les différents objectifs. Afin de mieux explorer ces compromis, nous proposons un algorithme de recuit simulé multiobjectifs qui, plutôt que d’optimiser une seule solution, optimise une surface multidimensionnelle de solutions. Cette étude, qui se concentre sur la partie sociale des systèmes socio-écologiques, améliore notre compréhension des structures actorielles qui contribuent à la résilience des SSÉ. Elle montre que si certaines caractéristiques profitables à la résilience sont incompatibles (modularité et connectivité, ou — dans une moindre mesure — connectivité et robustesse), d’autres sont plus facilement conciliables (connectivité et synchronisabilité, ou — dans une moindre mesure — modularité et robustesse). Elle fournit également une méthode intuitive pour mesurer quantitativement des réseaux d’acteurs empiriques, et ouvre ainsi la voie vers, par exemple, des comparaisons d’études de cas, ou des suivis — dans le temps — de réseaux d’acteurs. De plus, cette thèse inclut une étude de cas qui fait la lumière sur l’importance de certains groupes institutionnels pour la coordination des collaborations et des échanges de connaissances entre des acteurs aux intérêts potentiellement divergents.
Resumo:
Fil: Martínez, María Elena. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
Resumo:
En este artículo se presenta el diseño de un proyecto de investigación -actualmente en desarrollo- en el que se aborda la problemática de la relación tecnología-esclavitud desde una perspectiva socio- técnica. Revisitar ese objeto de análisis desde esta perspectiva analítica supone la posibilidad de identificar nuevas relaciones, de re-construir nuevos procesos, de generar nuevas explicaciones. Asimismo, el artículo constituye una propuesta de abordaje teórico-metodológico todavía no aplicado en el campo de los estudios histórico-sociales. En este sentido, puede leerse como una tentativa de ampliación de los posibles abordajes analíticos utilizados por las ciencias históricas
Resumo:
Es una afirmación de sentido común considerar que en los países subdesarrollados como la Argentina lo usual es la producción de bienes con poco valor agregado y la existencia de una relación escasa entre investigación y producción. No obstante esto, es posible relevar información empírica sobre el desarrollo de tecnologías conocimiento-intensivas (de producto y de proceso) en empresas consideradas "exitosas" en cuanto a la capacidad adquirida para la generación de conocimientos tecnológicos y acumulación de destrezas técnicas necesarios para competir en el mercado internacional. Este trabajo analiza cómo ha sido posible el desarrollo de una empresa que basa sus ventajas competitivas en el uso intensivo de conocimientos en un país subdesarrollado. Para ello se analiza la trayectoria socio-técnica de una firma biotecnológica argentina, poniendo especial énfasis en la identificación del desarrollo de procesos de innovación.La empresa seleccionada constituye un caso excepcional de desarrollo tecnológico en América Latina en el área de la biotecnología de la salud ya que ha logrado la producción y exportación de varias proteínas recombinantes humanas. Ante las limitaciones de los abordajes teórico-metodológicos disponibles en la literatura acerca del cambio tecnológico, en esta investigación se desarrolla y aplica un enfoque ?socio-técnico? que integra las dimensiones tecno-científicas, económicas, sociales, políticas e ideológicas. En este sentido es fundamental comprender las estrategias desplegadas por los diferentes actores (biólogos, químicos, abogados, investigadores, técnicos, empresarios, clientes, proveedores, funcionarios etc.) involucrados en los procesos de producción de la firma. La metodología de trabajo es centralmente cualitativa y prevé tanto el análisis de fuentes primarias como secundarias. El análisis de esta trayectoria socio-técnica es significativo en tanto permite comprender, por un lado, las condiciones, particularidades, limitaciones y posibilidades de innovación en biotecnología en América Latina. Por otro lado, permite observar el alcance de los procesos de innovación y las estrategias desplegadas vinculadas a la creación de condiciones de producción competitivas a escala internacional
Resumo:
Fil: Martínez, María Elena. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
Resumo:
En este artículo se presenta el diseño de un proyecto de investigación -actualmente en desarrollo- en el que se aborda la problemática de la relación tecnología-esclavitud desde una perspectiva socio- técnica. Revisitar ese objeto de análisis desde esta perspectiva analítica supone la posibilidad de identificar nuevas relaciones, de re-construir nuevos procesos, de generar nuevas explicaciones. Asimismo, el artículo constituye una propuesta de abordaje teórico-metodológico todavía no aplicado en el campo de los estudios histórico-sociales. En este sentido, puede leerse como una tentativa de ampliación de los posibles abordajes analíticos utilizados por las ciencias históricas
Resumo:
Es una afirmación de sentido común considerar que en los países subdesarrollados como la Argentina lo usual es la producción de bienes con poco valor agregado y la existencia de una relación escasa entre investigación y producción. No obstante esto, es posible relevar información empírica sobre el desarrollo de tecnologías conocimiento-intensivas (de producto y de proceso) en empresas consideradas "exitosas" en cuanto a la capacidad adquirida para la generación de conocimientos tecnológicos y acumulación de destrezas técnicas necesarios para competir en el mercado internacional. Este trabajo analiza cómo ha sido posible el desarrollo de una empresa que basa sus ventajas competitivas en el uso intensivo de conocimientos en un país subdesarrollado. Para ello se analiza la trayectoria socio-técnica de una firma biotecnológica argentina, poniendo especial énfasis en la identificación del desarrollo de procesos de innovación.La empresa seleccionada constituye un caso excepcional de desarrollo tecnológico en América Latina en el área de la biotecnología de la salud ya que ha logrado la producción y exportación de varias proteínas recombinantes humanas. Ante las limitaciones de los abordajes teórico-metodológicos disponibles en la literatura acerca del cambio tecnológico, en esta investigación se desarrolla y aplica un enfoque ?socio-técnico? que integra las dimensiones tecno-científicas, económicas, sociales, políticas e ideológicas. En este sentido es fundamental comprender las estrategias desplegadas por los diferentes actores (biólogos, químicos, abogados, investigadores, técnicos, empresarios, clientes, proveedores, funcionarios etc.) involucrados en los procesos de producción de la firma. La metodología de trabajo es centralmente cualitativa y prevé tanto el análisis de fuentes primarias como secundarias. El análisis de esta trayectoria socio-técnica es significativo en tanto permite comprender, por un lado, las condiciones, particularidades, limitaciones y posibilidades de innovación en biotecnología en América Latina. Por otro lado, permite observar el alcance de los procesos de innovación y las estrategias desplegadas vinculadas a la creación de condiciones de producción competitivas a escala internacional
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Es una afirmación de sentido común considerar que en los países subdesarrollados como la Argentina lo usual es la producción de bienes con poco valor agregado y la existencia de una relación escasa entre investigación y producción. No obstante esto, es posible relevar información empírica sobre el desarrollo de tecnologías conocimiento-intensivas (de producto y de proceso) en empresas consideradas "exitosas" en cuanto a la capacidad adquirida para la generación de conocimientos tecnológicos y acumulación de destrezas técnicas necesarios para competir en el mercado internacional. Este trabajo analiza cómo ha sido posible el desarrollo de una empresa que basa sus ventajas competitivas en el uso intensivo de conocimientos en un país subdesarrollado. Para ello se analiza la trayectoria socio-técnica de una firma biotecnológica argentina, poniendo especial énfasis en la identificación del desarrollo de procesos de innovación.La empresa seleccionada constituye un caso excepcional de desarrollo tecnológico en América Latina en el área de la biotecnología de la salud ya que ha logrado la producción y exportación de varias proteínas recombinantes humanas. Ante las limitaciones de los abordajes teórico-metodológicos disponibles en la literatura acerca del cambio tecnológico, en esta investigación se desarrolla y aplica un enfoque ?socio-técnico? que integra las dimensiones tecno-científicas, económicas, sociales, políticas e ideológicas. En este sentido es fundamental comprender las estrategias desplegadas por los diferentes actores (biólogos, químicos, abogados, investigadores, técnicos, empresarios, clientes, proveedores, funcionarios etc.) involucrados en los procesos de producción de la firma. La metodología de trabajo es centralmente cualitativa y prevé tanto el análisis de fuentes primarias como secundarias. El análisis de esta trayectoria socio-técnica es significativo en tanto permite comprender, por un lado, las condiciones, particularidades, limitaciones y posibilidades de innovación en biotecnología en América Latina. Por otro lado, permite observar el alcance de los procesos de innovación y las estrategias desplegadas vinculadas a la creación de condiciones de producción competitivas a escala internacional
Resumo:
Fil: Martínez, María Elena. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
Resumo:
En este artículo se presenta el diseño de un proyecto de investigación -actualmente en desarrollo- en el que se aborda la problemática de la relación tecnología-esclavitud desde una perspectiva socio- técnica. Revisitar ese objeto de análisis desde esta perspectiva analítica supone la posibilidad de identificar nuevas relaciones, de re-construir nuevos procesos, de generar nuevas explicaciones. Asimismo, el artículo constituye una propuesta de abordaje teórico-metodológico todavía no aplicado en el campo de los estudios histórico-sociales. En este sentido, puede leerse como una tentativa de ampliación de los posibles abordajes analíticos utilizados por las ciencias históricas
Resumo:
This paper examines the moving body as a vehicle for raising ecological consciousness. Due to the modern over-preoccupation with the pursuit of rational aims, human interactions with the surrounding environment increasingly lack conscious awareness. Consequently, in the modern world people tend to lack an ecological consciousness. Nevertheless, the human body is a rich reservoir of ecological significance. From birth, humans are woven into tremendous interconnection with the world. However, humans thrive when their sensitivity to the physical world exists in harmony with their ability to pursue their rational aims. It is the combination of these characteristics that enables humans to survive in capricious surroundings and prosper in a wide array of contexts. Today, the human species faces an unprecedented crisis that threatens to collapse the reciprocality of the ecological bonds bolstering the prosperity of all worldly beings. This paper proposes that it is no longer a rational strategy for people to remain inattentive to their embodied ecological resonance, and that the moving body is an adequate pedagogical site for raising ecological consciousness. Ritualized body movements derived from Chinese traditional cultivation systems such as Taijiquan could orient practitioners to reestablish a perceptual intimacy with the larger cosmic world, thereby raising their ecological consciousness.