991 resultados para Phytothérapie -- 17e siècle -- Ouvrages avant 1800
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Armorial book-plate: Ex libris Jos. Nève.
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"Notes historiques sur les exhumations faites on 1793, dans l'Abbaye de Saint-Denis": v. 2, p. [cvi]-cxxxii.
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"Quai Voltaire, 3."
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Notes, p. [235]-258 typesigned at end, M. de Stendhall [sic.].
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Added t.p.: engraved.
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t. 1. Les origines, 395-1095.--t. 2. L'Europe féodale, les croisades, 1095-1270.--t. 3. Formation des grands états, 1270-1492.--t. 4. Rénaissance et réforme, les nouveaux mondes, 1492-1559.--t. 5. Les guerres de religion, 1559-1648.--t. 6. Louis XIV, 1643-1715.--t. 7. Le XVIIIe siècle, 1715-1788.--t. 8. La révolution francaise, 1789-1799.--t. 9. Napoléon, 1800-1815.--t. 10. Les monarchies constitutionnelles, 1815-1847.--t. 11. Révolutions et guerres nationales, 1848-1870.--t. 12. Le monde contemporain, 1870-1900.
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Avant-propos.--Linguet.--Mercier.--Dorat-Cubières. --Olympe de Gouges.--Le Cousin Jacques.--Le Chevalier de la Morlière.--Le Chevalier de Mouhy.--Gorjy. --Dorvigny.--La Morency.--Plancher-Valcour.--Baculard d'Arnaud.--Grimod de la Reynière.
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Collection : Dont actes ; no 14
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While Italian art of the twentieth century is usually associated with either the avant-garde practices of Futurism or the classicism of Fascist visual culture, the Italian modernists' complex engagement with concepts of the ‘Baroque’ has yet to be explored. Through an extensive analysis of paintings, sculptures, publications, collecting practices, and exhibitions, my dissertation addresses this lacuna by investigating how the Baroque was discursively constructed and visually represented in Italian modernist artistic and cultural debates between 1880 and 1945. I study how artists and critics such as Umberto Boccioni, Giorgio De Chirico, Adolfo Wildt, Lucio Fontana, and Roberto Longhi championed or disparaged the Baroque in the context of heated debates over the import of Italy’s rich cultural heritage, its status in modern Europe, and the potential role of avant-garde art as a catalyst for national regeneration. In contrast to previous scholars I argue that the development of modern art in Italy was actively shaped by cultural perceptions about the Baroque. My dissertation therefore sheds new light on the role of style in the cultural politics of Italy, which in turn will transform our understanding of visual culture in modern Italy, and of twentieth-century representations of the Baroque in art, literature, and aesthetics.
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Cette thèse a comme objectif de démontrer combien Alaric et ses Goths étaient Romains dans pratiquement toutes les catégories connues sur leur compte. Pour ce faire, l’auteur a puisé dans les sciences sociales et a emprunté le champ conceptuel de l’éminent sociologue Pierre Bourdieu. À l’aide du concept d’habitus, entre autres choses, l’auteur a tenté de faire valoir à quel point les actions d’Alaric s’apparentaient à celles des généraux romains de son époque. Naturellement, il a fallu étaler le raisonnement au long de plusieurs chapitres et sur de nombreux niveaux. C’est-à-dire qu’il a fallu d’abord définir les concepts populaires en ce moment pour « faire » l’histoire des barbares durant l’Antiquité tardive. Pensons ici à des termes tels que l’ethnicité et l’ethnogenèse. L’auteur s’est distancé de ces concepts qu’il croyait mal adaptés à la réalité des Goths et d’Alaric. C’est qu’il fallait comprendre ces hommes dans une structure romaine, au lieu de leur octroyer une histoire et des traditions barbares. Il a ensuite fallu montrer que la thèse explorait des avenues restées peu empruntées jusqu’à aujourd’hui. Il a été question de remonter jusqu’à Gibbon pour ensuite promouvoir le fait que quelques érudits avaient autrefois effleuré la question d’Alaric comme étant un homme beaucoup moins barbare que ce que la tradition véhiculait à son sujet, tel que Fustel de Coulanges, Amédée Thierry ou encore Marcel Brion. Il s’agissait donc de valider l’angle de recherche en prenant appui d’abord sur ces anciens luminaires de la discipline. Vint ensuite l’apport majeur de cette thèse, c’est-à-dire essentiellement les sections B, C et D. La section B a analysé la logistique durant la carrière d’Alaric. Cette section a permis avant tout de démontrer clairement qu’on n’a pas affaire à une troupe de brigands révoltés; le voyage de 401-402 en Italie prouve à lui seul ce fait. L’analyse approfondie de l’itinéraire d’Alaric durant ses nombreux voyages a démontré que cette armée n’aurait pas pu effectuer tous ces déplacements sans l’appui de la cour orientale. En l’occurrence, Alaric et son armée étaient véritablement des soldats romains à ce moment précis, et non pas simplement les fédérés barbares de la tradition. La section C s’est concentrée sur les Goths d’Alaric, où on peut trouver deux chapitres qui analysent deux sujets distincts : origine/migration et comparaison. C’est dans cette section que l’auteur tente de valider l’hypothèse que les Goths d’Alaric n’étaient pas vraiment Goths, d’abord, et qu’ils étaient plutôt Romains, ensuite. Le chapitre sur la migration n’a comme but que de faire tomber les nombreuses présomptions sur la tradition gothe que des érudits comme Wolfram et Heather s’efforcent de défendre encore aujourd’hui. L’auteur argumente pour voir les Goths d’Alaric comme un groupe formé à partir d’éléments romains; qu’ils eurent été d’une origine barbare quelconque dans les faits n’a aucun impact sur le résultat final : ces hommes avaient vécu dans l’Empire durant toute leur vie (Alaric inclus) et leurs habitus ne pouvaient pas être autre chose que romain. Le dernier chapitre de la section C a aussi démontré que le groupe d’Alaric était d’abord profondément différent des Goths de 376-382, puis d’autres groupes que l’on dit barbares au tournant du 5e siècle, comme l’étaient les Vandales et les Alamans par exemple. Ensemble, ces trois chapitres couvrent la totalité de ce que l’on connait du groupe d’Alaric et en offre une nouvelle interprétation à la lumière des dernières tendances sociologiques. La section D analyse quant à elle en profondeur Alaric et sa place dans l’Empire romain. L’auteur a avant tout lancé l’idée, en s’appuyant sur les sources, qu’Alaric n’était pas un Goth ni un roi. Il a ensuite analysé le rôle d’Alaric dans la structure du pouvoir de l’Empire et en est venu à la conclusion qu’il était l’un des plus importants personnages de l’Empire d’Orient entre 397 et 408, tout en étant soumis irrémédiablement à cette structure. Sa carrière militaire était des plus normale et s’inscrivait dans l’habitus militaire romain de l’époque. Il a d’ailleurs montré que, par ses actions, Alaric était tout aussi Romain qu’un Stilicon. À dire le vrai, mis à part Claudien, rien ne pourrait nous indiquer qu’Alaric était un barbare et qu’il essayait d’anéantir l’Empire. La mauvaise image d’Alaric n’est en effet redevable qu’à Claudien : aucun auteur contemporain n’en a dressé un portrait aussi sombre. En découle que les auteurs subséquents qui firent d’Alaric le roi des Goths et le ravageur de la Grèce avaient sans doute été fortement influencés eux aussi par les textes de Claudien.