999 resultados para Maladie de Johne


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Cet article présente les caractéristiques de l'écriture d'une personne atteinte de la maladie de Parkinson, ainsi que l'influence des traitements de la maladie sur ces caractéristiques. L'expert est ainsi amené à mieux connaître cette source de variation de l'écriture, et vise à l'aider à évaluer les résultats de ses observations lorsqu'il fait face à un cas impliquant des écritures de parkinsoniens. Puisque les écritures imitées peuvent présenter des caractéristiques similaires à celles des écritures pathologiques, il est important de connaître les signes qui permettent de les distinguer. L'écriture des parkinsoniens peut notamment présenter une diminution de la taille des lettres, connue sous le nom de "micrographie", des tremblements ainsi que des formes indistinctes des lettres, et un alignement ondulatoire des mots. Les parkinsoniens écrivent moins vite et avec une accélération et une fluidité réduites. Ils ont tendance à augmenter la durée de l'exécution de leurs traits. Le traitement au moyen de médicaments ou par Deep Brain Stimulation (DBS) peut permettre aux parkinsoniens d'améliorer leur performance et d'atteindre une restauration partielle de l'exécution des mouvements séquentiels.

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The different Bartonella species can cause various human infections such as cat scratch disease, chronic bacteremia (homeless patient with nonspecific symptom), endocarditis, bacillary angiomatosis, peliosis, and Carrion's disease. Diagnostic approaches include serology, culture and molecular approaches. PCR is especially useful on lymph nodes biopsies from patients with cat-scratch disease and on valvular samples taken from culture-negative endocarditis. Serology exhibits a very high sensitivity in the latter situation. The treatment should be chosen according to the clinical presentation.

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Problématique : Les proches aidants fournissent un soutien considérable aux patients atteints de schizophrénie et peuvent dans ce contexte éprouver des sentiments pénibles conduisant à une augmentation de leur détresse qui peut elle-même accroître le risque de rechutes des patients. Des chercheurs préconisent de mieux connaître les sentiments pénibles des proches pour mieux cibler les interventions psychoéducatives comme le programme Profamille. Selon Leventhal, Leventhal et Schaefer (1991), ces sentiments pénibles font partie du concept de représentations émotionnelles. But : Examiner les représentations émotionnelles formées suite à l'apparition de la maladie chez les proches aidants de personnes atteintes de schizophrénie et explorer les relations entre ces représentations émotionnelles, les caractéristiques des proches aidants et les caractéristiques de ceux ou celles dont ils s'occupent. Méthode : Selon une méthode d'échantillonnage non probabiliste par convenance, cette étude descriptive exploratoire a inclus 45 proches aidants membres de trois associations du Réseau Profamille en Suisse romande ayant plus d'une heure de contact par mois avec le proche atteint de schizophrénie dont ils ou elles s'occupent. Les deux instruments auto-administrés étaient un questionnaire sociodémographique et une sous-échelle du Illness Perception Questionnaire for Schizophrenia: Relatives' Version. Résultats : Les participants, âgés en moyenne de 57 ans et tous membres de la famille du patient, étaient le plus fréquemment des femmes et des parents ayant effectué le programme Profamille. Les proches atteints de schizophrénie, âgés en moyenne de 35 ans et utilisant en moyenne deux services professionnels de la communauté, étaient le plus souvent des hommes vivant en dehors du foyer familial. Les dimensions des représentations émotionnelles remportant le plus haut niveau d'accord des proches aidants étaient les inquiétudes, le sentiment d'être bouleversé, l'anxiété, le sentiment de perte et le sentiment d'être déprimé. Les dimensions remportant moins d'accords étaient la peur, la frustration et la colère, tandis que la dimension de la dévalorisation remportait le plus souvent aucun accord. Les résultats indiquent également que : plus les proches aidants sont âgés, plus ils rapportent vivre de l'anxiété ; plus le nombre de personnes dans leur foyer est élevé, moins les proches aidants rapportent vivre les sentiments d'être bouleversés et anxieux ; plus le nombre de services de la communauté utilisés par le proche atteint de schizophrénie est élevé, plus les participants rapportent vivre une inquiétude. En outre, les participants présentaient des scores significativement moins élevés à la sous-échelle représentations émotionnelles et à sa dimension sentiment d'être déprimé, si leur proche malade était suivi par un généraliste. D'un autre côté, les participants étaient significativement plus bouleversés, si leur proche atteint de maladie avait un suivi infirmier. Conclusion : Ces résultats ne peuvent être généralisés qu'à des proches aidants présentant les mêmes caractéristiques que ceux inclus dans cette étude et vivant dans des contextes similaires. Les dispositifs professionnels, comme le programme Profamille, pourraient renforcer leurs capacités à explorer les émotions pénibles des proches aidants, en premier lieu leurs inquiétudes, et leurs habiletés à trouver, en collaboration avec ces derniers, des moyens permettant de les diminuer.

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La maladie de Kawasaki (KD) est une vasculite aiguë qui touche principalement les enfants de moins de 5 ans. Les manifestations cardio-vasculaires sont la cause principale de morbidité et mortalité à long terme. Bien qu'étant autolimitée dans le temps et souvent spontanément résolutive, KD peut avoir des conséquences sérieuses liées notamment à l'apparition d'anévrysmes coronaires (CAA) qui peuvent engendrer thrombose, sténose et infarctus myocardique (IM), voire même mort subite, d'où la nécessité de prendre en charge rapidement et correctement ces enfants.1,2 En l'absence de test de laboratoire ou de signe clinique spécifique, KD est difficile à identifier et se diagnostique sur la base de critères cliniques et de différents paramètres de laboratoire. Le premier cas de KD a été observé dans les années 60, et aujourd'hui encore de nombreuses questions persistent: la cause exacte reste inconnue, bien que de nombreuses études évoquent un probable rôle infectieux et une prédisposition génétique.3 De plus, étant une maladie relativement "jeune", les effets cardio-vasculaires et le devenir des patients à long terme sont peu connus. Enfin, il manque un test spécifique qui permettrait un diagnostic de certitude.

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Comprend : Académie impériale dedecine. (Séance du 22 janvier 1856.) Extrait du Rapport fait par M. Jolly... sur un travail de M. le Dr Michéa ayant pour titre : "De l'Application des principes actifs de la valériane et de la belladone dans le traitement de quelques affections convulsives"