247 resultados para GAYS
Resumo:
General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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Inscriptions: Verso: [stamped] Photograph by Freda Leinwand. [463 West Street, Studio 229G, New York, NY 10014].
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This article considers the opportunities of civilians to peacefully resist violent conflicts or civil wars. The argument developed here is based on a field-based research on the peace community San José de Apartadó in Colombia. The analytical and theoretical framework, which delimits the use of the term ‘resistance’ in this article, builds on the conceptual considerations of Hollander and Einwohner (2004) and on the theoretical concept of ‘rightful resistance’ developed by O’Brien (1996). Beginning with a conflict-analytical classification of the case study, we will describe the long-term socio-historical processes and the organizational experiences of the civilian population, which favoured the emergence of this resistance initiative. The analytical approach to the dimensions and aims of the resistance of this peace community leads to the differentiation of O`Brian’s concept of ‘rightful resistance’.
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Ao longo dos últimos anos, a homossexualidade tem sido tema de diversos estudos com destaque para os domínios da homoparentalidade. No mesmo contexto, alguns investigadores têm-se preocupado com questões relacionadas com adoção de crianças por casais homossexuais. O presente estudo pretendeu particularmente conhecer os níveis de Aceitação/Rejeição por parte de estudantes do ensino superior quanto à adoção de crianças por casais homossexuais. Realizou-se um estudo com uma amostra não-probabilística, através dum questionário online em que participaram 695 indivíduos, sendo 215 do sexo masculino (30.9%) e 477 do sexo feminino (68.6%), com idades de 17 a 60 anos. A recolha de dados foi feita através de Questionário Sociodemográfico; a EAACH – Escala de Atitudes Face à Adoção de Crianças por Homossexuais, a EEH – Escala de Explicações da Homossexualidade, a ERP – Escala de Rejeição à Proximidade/Intimidade, a EEE – Escala de Expressão Emocional. Os resultados apontam para uma diferença significativa em favor do fator aceitação, sendo que quanto maior a idade, menor é a aceitação da adoção por casais homossexuais. Quanto à explicação da homossexualidade, os sujeitos de menor idade tendem a associa-la a fatores psicossociais, enquanto os mais velhos relevam explicações sobretudo do foro ético-moral e religioso. Verificamos ainda que o género feminino revela atitudes de maior tolerância e aceitação, do mesmo modo que os divorciados/ separados. Verificamos igualmente que a crença em Deus e o grau de religiosidade se relacionam com a menor aceitação da adoção por casais homossexuais. As conclusões resultantes dos nossos dados vão ao encontro da generalidade dos estudos sobre o tema, permitindo constatar que as atitudes que têm permitido manter a ideia de que mulheres lésbicas e homens gays não têm competências parentais que permitam a adequada educação de crianças e adolescentes, serão consequência de preconceitos ainda instalados. Pensamos, no entanto, que é injusto e mesmo imoral que se negue a possibilidade a muitas crianças de serem amadas e educadas por quem tem condições de as amar e educar.
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Dissertação de Mestrado apresentada ao Instituto Superior de Psicologia Aplicada para obtenção de grau de Mestre na especialidade de Psicologia Clínica.
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En este trabajo nuestro interés general está en detectar las fórmulas en las que se enlaza la homoparentalidad con el deseo de descendencia. Específicamente, quisimos conocer cómo estas fórmulas afectan a la estructuración y construcción de las relaciones de parentesco en estas familias. Para ello recurrimos al análisis de un proyecto audiovisual desarrollado por la Federación Estatal de Lesbianas, Gays, y Bisexuales (FELGTB) que consta de 17 documentales, los cuales tratan de esclarecer la realidad social de las familias homoparentales. Se ha utilizado una metodología cualitativa específicamente la ofrecida desde una perspectiva discursiva de orientación psicosocial, basada esencialmente en la investigación sobre los aspectos constructivos del lenguaje en la interacción social. Se empleó el análisis del discurso desde la propuesta de Potter y Wetherell (1987) a partir de sus conceptos construcción y repertorios interpretativos.
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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.
Resumo:
Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.
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Dissertação de Mestrado apresentada no ISPA – Instituto Universitário para obtenção do grau de Mestre na especialidade de Psicologia Clinica
Resumo:
À partir de la décennie 1970, on voit surgir dans la plupart des métropoles en Occident des quartiers comprenant une grande concentration de ménages gays et d’établissements commerciaux destinés à cette clientèle. Les recherches menées sur le phénomène ont négligé de se pencher sur la façon dont la trajectoire de la communauté homosexuelle locale s’articule au parcours historique, politique et urbain de la ville où le quartier est situé. Ce travail vise à combler cette lacune et à éclairer la trajectoire qui a mené la population gay à s’approprier un espace urbain. Il dresse d’abord un panorama des quartiers étant devenus le secteur homosexuel de la ville et de la vie de ses habitants dans les métropoles de San Francisco, Paris et Montréal, à partir de sources secondaires sur l’urbanisation du quartier et sur la communauté gay locale depuis 1900 jusqu’à nos jours. Ensuite, il compare leur évolution selon une périodisation comportant deux axes principaux : l’époque où les homosexuels avaient un vécu clandestin dans la ville et la période où les gays cherchaient à vivre leur sexualité dans la sphère publique. Le résultat montre une trajectoire similaire où la sortie de la clandestinité aboutisse à un quartier ouvert, gentryfié et touristique qui passe par une formation de ghetto liée au contexte économique et politique national, mais aussi au cadre urbain de la ville. En identifiant les facteurs déterminants, il était possible de concevoir l’existence de figures types de quartier gay rendant possible la vie communautaire : le quartier gay portuaire et militant, le quartier symbole d’une culture et le quartier bastion ethnique.