994 resultados para Castro Ruz, Juanita, , 1933 -
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Au début des années 1920, la ville de Montréal se retrouve dans une situation assez unique. À l’époque, les États-Unis et toutes les provinces canadiennes à l’exception du Québec ont adopté la prohibition de la vente d’alcool. Mais même au Québec, environ la moitié de la population de la province est alors touchée par des prohibitions locales (votées au niveau municipal), des prohibitions qui ont largement perduré tout au long de la période à l’étude. Durant cette ère de prohibition de l’alcool nord-américaine, Montréal est la plus grande ville, et une des seules sur le continent non régie par une loi sur la prohibition. C’est aussi celle qui dispose des lois les plus libérales envers l’alcool des deux côtés du 49ème parallèle grâce à la création de la Commission des Liqueurs de Québec (CLQ), le premier système de contrôle gouvernemental de l’alcool en Amérique du Nord. C’est dans ce contexte que Montréal devient une rare oasis dans un continent assoiffé et le plus grand cobaye du modèle de contrôle gouvernemental de l’alcool. Ce mémoire examine les impacts de cette conjoncture sur le développement de cette ville, de son industrie touristique, de sa vie nocturne et de sa réputation. En premier lieu, le mémoire présente une mise en contexte de la situation aux États-Unis, au Canada et au Québec afin de faire ressortir le caractère unique de Montréal pendant cette période. En deuxième lieu, l’essor du tourisme dit « de liqueur » et de la vie nocturne montréalaise, à la fois légale et illicite, est exploré. En dernier lieu, le mémoire met au jour l’impact que cette conjoncture a eu sur la construction de la réputation de la ville à travers l’examen des écrits des anti- et pro-prohibitionnistes qui ont chacun propagé des visions idéalisées et démonisées de cette ville « bien arrosée », ainsi que des documents associés à l’essor du tourisme, tels que les chansons, les guides touristiques et les récits de voyage, qui, pour leur part, ont présenté un image plus romancée de la métropole et associée à un refuge festif de la prohibition. Malgré leurs différences, ces trois visions de Montréal l’ont néanmoins associée à la liberté, que ce soit une liberté ordonnée, dangereuse ou bien émancipatrice. Ainsi, à partir de l’expérience de la prohibition et du tourisme de liqueur, Montréal devient connue comme une ville « ouverte », dans ses acceptions à la fois positives et négatives.
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Le non-humain et son ontologie sont définis dans ce mémoire en fonction des écrits de Philippe Descola et d’Eduardo Viveiros de Castro, deux figures-clés en anthropologie contemporaine sur l’Amazonie. L’animisme de Descola prête aux non-humains une intériorité humaine et les différencie par leur corps. Le perspectivisme de Viveiros de Castro, quant à lui, suppose que les points de vue différents créent des mondes et établissent ce qui est humain ou non. L’humain correspond au sujet cosmologique à la position pronominale de la première personne du singulier, ou « I », au sein d’une relation. De la sorte, un non-humain se perçoit comme un humain à cette position pronominale « I » et voit l’Autre à la position pronominale « it », position du non-humain. Dans ces deux ontologies, le non-humain est conçu comme une personne capable d’agir dans les mondes. La diversité des êtres inclus dans cette ontologie relationnelle est démontrée par des illustrations provenant de l’ethnographie achuar et araweté de ces deux auteurs. Puis, les relations de parenté, d’alliance et de prédation que les non-humains tissent entre eux et avec les humains exposent l’homologie des rapports non-humains avec les rapports humains. Finalement, l’analyse des méthodes de communication entre le non-humain et l’humain élucide comment la reconnaissance du non-humain dans une communication permet le traitement de ces êtres en tant qu’humains. Le non-humain ne serait donc pas un sujet permanent, mais temporaire le moment de l’interaction.
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À l'aube des années 1930, l'Alsace partage un passé trouble avec la France et l'Allemagne. Alors que la région est redevenue française après la Première Guerre mondiale en 1919, Paris éprouve de la difficulté à la réintégrer à la République, parce qu'il ne comprend pas que les quarante ans de l'Alsace au sein du Reich allemand ont bouleversé la vie régionale aux niveaux politique, culturel, religieux et linguistique. La France ne perçoit pas le particularisme des populations retrouvées et leur volonté de conserver les valeurs qui leur sont chères. L'autonomisme alsacien des années 1920 et la répression du mouvement par les autorités françaises mettent à mal les relations entre Paris et Strasbourg. Alors que le début des années 1930 se déroule sur ce fond de tensions, l'arrivée d'Adolf Hitler au pouvoir en 1933 en Allemagne modifie radicalement la donne. Le présent mémoire s'interroge sur la perception par la presse alsacienne francophone de la montée du nazisme en Allemagne, de 1933 à 1939. L'Alsace remet-elle en question son allégeance à une France qui démontre des signes de faiblesses et qui ne comprend pas la région ou préfère-t-elle une Allemagne forte et stable? En consultant des journaux de différentes orientations politiques et religieuses, soit Les dernières nouvelles de Strasbourg, Le nouvelliste d'Alsace, Le Lorrain et L'éclair de l'Est, nous avons analysé l'opinion de la presse alsacienne sur les événements allemands des années 1930. Il apparaît évident que la presse francophone n'est pas en faveur d'un retour avec le Reich. Néanmoins, l'allégeance à la France n'est pas aussi nette que le laisse croire l'historiographie à ce sujet. Jusqu'en mars 1938, la presse alsacienne francophone ne revendique pas de statut particulier, insatisfaite qu'elle est des options qui s'offrent à elle, autant du côté de la France que de l'Allemagne. Le point de vue de la région change régulièrement. Alors que Hitler attire tous les regards en 1933, la situation politique instable en France ainsi que les décisions du Front populaire sont le point de mire pour la presse alsacienne francophone à partir de 1936. Ce n'est que lorsque la guerre semble inévitable qu'elle se range derrière la République française.
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Im folgenden werden die Schutzhaftgefangenen des Konzentrationslagers Breitenau in alphabetischer Reihenfolge mit den Geburtsdaten und Haftzeiten in Breitenau aufgeführt.
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Die Autoren, die Deutschland während der Herrschaft der Nationalsozialisten verlassen mussten, konnten nicht mehr bei einem etablierten Verlag in Deutschland veröffentlichen. Es war für viele Autoren schwer, ihre Manuskripte in einem Verlag im Exil zu veröffentlichen. Eine Reihe von ihnen entschloss sich daher, ihre literarischen Werke in den jeweiligen Exilländern selbst zu publizieren. Sogar bekannte Autoren wie Oskar Maria Graf, Else Lasker-Schüler, Hans Marchwitza und Paul Zech fungierten als Selbstverleger. Nach den Angaben der Deutschen Bibliothek existierten in den Jahren zwischen 1933 und 1945 siebzig Exilselbstverlage. Die Werke aus den Exilselbstverlagen blieben in der Öffentlichkeit weitgehend unbekannt und auch literaturwissenschaftliche Untersuchungen widmeten sich ihnen bisher kaum. Die Bedeutung des Wortes Selbstverlag lässt sich definieren als ’Veröffentlichung durch sich selbst‘. Damit ist eine grundlegende Eigenschaft festgelegt: Im Selbstverlag erfolgt die Produktion und Verbreitung eines Werkes durch den Autor persönlich. Die Gruppe der Selbstverleger setzte sich während des Exils aus Berufen wie Graphiker, Journalisten, Künstler, Militärberater, Parteifunktionäre, Pädagogen, Philosophen, Politiker, Professoren, Psychologen, Publizisten, Schriftsteller und Wissenschaftler zusammen. Vor allem in Europa erreichte im Jahr 1935 die Zahl der Selbstverlage mit elf einen Höchststand. Nach dem Ende des zweiten Weltkrieges im Jahre 1945 sank ihre Anzahl auffallend stark auf drei. In den USA, Israel und Südamerika entstanden in den Jahren 1939 bis 1945 neue Selbstverlage. Insgesamt existierten sie in 15 Ländern. Das Hauptmerkmal der Selbstverlage ist eine direkte Beziehung zwischen Autor und Leser. Die Leserschaft der Selbstverlage war auf einen kleinen Kreis von Freunden, Bekannten und Verwandten reduziert. Während des Exils wurden insgesamt 105 Werke in Selbstverlagen veröffentlicht. Dort wurden 32 Gedichtsbände, 9 Erzählungen und 5 Dramen publiziert. Insgesamt gesehen stellte die Selbstveröffentlichung der Exilautoren eine besondere Form des literarischen Lebens im Exil dar.
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Que los alumnos puedan conocer mejor el pasado utilizando fuentes de información diversas. Que el alumno visitando el poblado se familiarice con conceptos como emplazamiento, situación, relación entre medio físico y arquitectura. Estimular en los alumnos mediante trabajos individuales y de grupo, su memoria visual, capacidad de observación, análisis y deducción y por supuesto el sentido de la convivencia en grupo. Organización de la enseñanza de un tema del área de Historia. Se estudia primeramente el concepto de ámbito y etapas de la cultura castrense, los principales poblados existentes en Asturias su forma de vida en cuanto a los aspectos económicos y sociales. Se hace referencia después a aspectos concretos del castro de Coaña: situación, cronología, estructura, habitantes, etc. Se propone la utilización de los siguientes instrumentos: fuentes literarias: textos de Estrabón y otros autores referidos a los pueblos del Norte. Visita al castro de Coaña. Visita al Museo Arqueológico de Oviedo. Se realiza una descripción desde el punto de vista histórico de la cultura castreña y más concretamente del castro de Coaña y a la vez se presentan los materiales de cara a la introducción en el aula. Igualmente se dan los criterios para la planificación de las visitas mencionadas. Se aportan materiales como: mapas, textos, cuestionarios de interpretación, guías de observación, etc. No consta que estos materiales hayan sido aplicados al trabajo en el aula, por lo que no puede hablarse de resultados de otro tipo.
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Con motivo de dedicarse la XVIII Selmana de les Lletres Asturianes de 1997 a la figura y a la obra de Manuel Fern??ndez de Castro se elaboraron unos materiales did??cticos destinados a los centros de ense??anza secundaria donde se imparte la optativa de lengua asturiana. Este autor del siglo XIX, traductor y poeta principalmente de textos religiosos sirve como ejemplo para valorar el trabajo del traductor como instrumento indispensable en la normalizaci??n de una lengua. Se hacen una serie de propuestas organizadas alrededor de unos centros de inter??s; las actividades se plantean desde una perspectiva interdisciplinar como v??a de integraci??n de la lengua asturiana en el curr??culo de secundaria. Los tres bloques que se trabajan son: 1-El tiempo que le toc?? vivir a Manuel Fern??ndez de Castro. 2-El ambiente literario que rodea la obra del autor. 3-La obra de Fern??ndez de Castro y la traducci??n al asturiano. Se presenta una selecci??n de textos, actividades como rellenar cuadros, esquemas, resolver pasatiempos de contenido literario, etc. Finalmente se ofrece como ejemplo de una futura serie, un material en el que unas fichas gr??ficas con un personaje central llamado Marga, sirvi??ndose en este caso de la figura de Fern??ndez de Castro y su obra en asturiano, propone actividades al alumnado del primer ciclo de Secundaria y de los cursos m??s altos de la Ense??anza Primaria.
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Conocimiento del proceso evolutivo de la legislaci??n sobre ense??anza y su reflejo en el municipio de M??laga. Estudio de dos periodos del Sistema Educativo, 1833-1874 y 1875-1933, en donde se contemplan la formaci??n de ??ste y su consolidaci??n en el municipio de M??laga en torno a los mismos par??metros. Archivos, legislaci??n vigente, fichas bibliogr??ficas. Comparaci??n de los par??metros: poblaci??n, analfabetismo y escolarizaci??n, ense??anza p??blica, ense??anza privada. La ense??anza en M??laga sigue un proceso ascendente en cantidad y calidad debido a factores econ??micos y pol??ticos. A partir de 1920 se reduce la poblaci??n analfabeta.