979 resultados para B lymphocytes


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The protective immune response generated by a commercial monovalent inactivated vaccine against bluetongue virus serotype 1 (BTV1) was studied. Five sheep were vaccinated, boost-vaccinated, and then challenged against BTV1 ALG/2006. RT-PCR did not detect viremia at any time during the experiment. Except a temperature increase observed after the initial and boost vaccinations, no clinical signs or lesions were observed. A specific and protective antibody response checked by ELISA was induced after vaccination and boost vaccination. This specific antibody response was associated with a significant increase in B lymphocytes confirmed by flow cytometry, while significant increases were not observed in T lymphocyte subpopulations (CD4(+), CD8(+), and WC1(+)), CD25(+) regulatory cells, or CD14(+) monocytes. After challenge with BTV1, the antibody response was much higher than during the boost vaccination period, and it was associated with a significant increase in B lymphocytes, CD14(+) monocytes, CD25(+) regulatory cells, and CD8(+) cytotoxic T lymphocytes.

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The granule exocytosis cytotoxicity pathway is the major molecular mechanism for cytotoxic T lymphocyte (CTL) and natural killer (NK) cytotoxicity, but the question of how these cytotoxic lymphocytes avoid self-destruction after secreting perforin has remained unresolved. We show that CTL and NK cells die within a few hours if they are triggered to degranulate in the presence of nontoxic thiol cathepsin protease inhibitors. The potent activity of the impermeant, highly cathepsin B-specific membrane inhibitors CA074 and NS-196 strongly implicates extracellular cathepsin B. CTL suicide in the presence of cathepsin inhibitors requires the granule exocytosis cytotoxicity pathway, as it is normal with CTLs from gld mice, but does not occur in CTLs from perforin knockout mice. Flow cytometry shows that CTLs express low to undetectable levels of cathepsin B on their surface before degranulation, with a substantial rapid increase after T cell receptor triggering. Surface cathepsin B eluted from live CTL after degranulation by calcium chelation is the single chain processed form of active cathepsin B. Degranulated CTLs are surface biotinylated by the cathepsin B-specific affinity reagent NS-196, which exclusively labels immunoreactive cathepsin B. These experiments support a model in which granule-derived surface cathepsin B provides self-protection for degranulating cytotoxic lymphocytes.

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La dérégulation du compartiment B est une conséquence importante de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), qui peut mener à des manifestations autoimmunes et ultimement à des lymphomes B. Parmi les premières anomalies détectées, on dénote l’activation polyclonale, reflétée par la présence d’hyperglobulinémie (hyper-Ig) et des titres élevés d’autoanticorps chez les patients. On observe également une altération des dynamiques des populations, notamment une expansion de la population des cellules matures activées. De plus, les patients évoluent vers l’incapacité de générer une réponse humorale efficace, et sont sujets à une perte de la mémoire immunologique en phase chronique, caractérisée par une diminution de la population des cellules mémoires et par l’épuisement cellulaire. Toutefois, on connaît très peu les mécanismes impliqués dans de telles altérations. Les cellules dendritiques (DC) sont parmi les premières populations cellulaires à rencontrer et à propager le VIH lors d’une infection, et s’en trouvent affectées directement et indirectement, par le virus et ses composantes. On retrouve en effet une diminution des fréquences de DC dans le sang, les muqueuses et les organes lymphoïdes de patients infectés par le VIH, ainsi qu’un blocage au niveau de la maturation cellulaire. Toutefois, un débat perdure quant à l’apparition de ces altérations durant la phase aigüe de l’infection, et à la restauration des fréquences et des fonctions des DC chez les patients sous traitement. Cette controverse est due à la rareté des études longitudinales incluant des suivis qui s’échelonnent de la phase aigüe à la phase chronique de l’infection. Les DC jouent un rôle important dans le développement, la survie et l’activation des lymphocytes B, de façon T-dépendante et T-indépendante, notamment via des facteurs de croissance tel que BLyS (B lymphocyte stimulator). Par conséquent, nous formulons l’hypothèse que dans le cadre d’une infection VIH, les altérations observées au niveau des cellules B sont modulées par les DC. L’objectif majeur de cette étude est donc d’évaluer l’implication potentielle des DC dans les altérations des cellules B au cours de l’infection par le VIH. Pour ce faire, nous avons d’abord caractérisé de façon longitudinale le statut des populations de DC du sang périphérique de patients infectés au VIH et présentant différents types de progression de la maladie. Cela nous a permis d’évaluer la présence d’une corrélation entre les dynamiques de DC et le type de progression. Par la suite, nous avons évalué la capacité des DC à exprimer BLyS, puis mesuré sa concentration ainsi que celles d’autres facteurs de croissance des cellules B dans le plasma des patients. Enfin, nous avons caractérisé le statut des lymphocytes B, en fonction du stade de l’infection et du taux de progression clinique des patients. Cette étude démontre une diminution de la fréquence des populations de DC myéloïdes (mDC) dans le sang de patients infectés par le VIH sujets à une progression clinique. Cette diminution est observée dès le stade aigu de l’infection et au-delà du traitement antirétroviral (ART). Des concentrations élevées de MCP-1 (monocyte chemotactic protein), MIP (macrophage inflammatory protein) -3α et MIP-3β suggèrent la possibilité d’un drainage vers des sites périphériques. Nous observons également des niveaux supérieurs à la normale de précurseurs CD11c+CD14+CD16- en phase chronique, possiblement liés à une tendence de régénération des DC. Les patients en phase chronique présentent de hautes concentrations plasmatiques de BLyS, reflétée par un haut taux d’expression de cette cytokine par les mDC et leurs précurseurs. Parallèlement, nous observons une expansion des cellules B matures activées ainsi que des taux élevés d’IgG et IgA dans le sang de ces patients. De plus, nous constatons l’expansion d’une population de cellules B qui présente à la fois des caractéristiques de cellules B immatures transitionnelles (TI, transitional immature), et de cellules B recirculantes activées de la zone marginale (MZ, marginal zone), considérées ici comme des «précurseurs/activées de la MZ». Cette étude démontre aussi, chez les progresseurs lents, une meilleure préservation du compartiment des DC du sang périphérique, accompagnée d’une augmentation de précurseurs des DC de phénotype CD11c+CD14+CD16+, ainsi que des concentrations plasmatiques et niveaux d’expression normaux de BLyS. Conséquemment, nous n’avons pas observé d’augmentation des cellules B matures activées et des cellules B précurseurs/activées de la MZ. Toutefois, la fréquence des cellules B matures de la MZ est diminuée, reflétant possiblement leur recrutement vers des sites périphériques et leur contribution à un mécanisme actif de contrôle de la progression de la maladie. L’ensemble de ce travail suggère que dans le cadre d’une infection au VIH, les altérations observées au niveau des DC modulent les anomalies des cellules B. Par conséquent, le maintien de l’équilibre des fonctions DC, notamment les fonctions noninflammatoires, pourrait avoir un impact important dans la prévention de la progression de maladies associées aux altérations du compartiment des cellules B.

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The effect of 1,25-dihydroxyvitamin D3 [1,25(OH)2)D3], a steroid hormone with immunomodulating properties, on nuclear factor kappa B (NF-kappa B) proteins was examined in in vitro activated normal human lymphocytes by Western blot analysis. Over a 72-hr period of activation, the expression of the 50-kDa NF-kappa B, p50, and its precursor, p105, was increased progressively. When cells were activated in the presence of 1,25(OH)2D3, the levels of the mature protein as well as its precursor were decreased. The effect of the hormone on the levels of p50 was demonstrable in the cytosolic and nuclear compartments; it required between 4 and 8 hr and was specific, as 25-hydroxyvitamin D3 and 24,25-dihydroxyvitamin D3 were ineffective. Besides p50, 1,25(OH)2D3 decreased the levels of another NF-kappa B protein, namely c-rel. In addition, 1,25(OH)2D3 decreased the abundance of a specific DNA-protein complex formed upon incubation of nuclear extracts from activated lymphocytes with a labeled NF-kappa B DNA binding motif. Further, 1,25(OH)2D3 inhibited the transcriptional activity of NF-kappa B in Jurkat cells transiently transfected with a construct containing four tandem repeats of the NF-kappa B binding sequence of the immunoglobulin kappa light chain gene linked to the chloramphenicol acetyltransferase reporter gene. These observations demonstrate directly that there is de novo synthesis of NF-kappa B during human lymphocyte activation and suggest that this process is hormonally regulated.

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Although the importance of CD4(+) T cell responses to human cytonnegalovirus (HCMV) has recently been recognized in transplant and immunosuppressed patients, the precise specificity and nature of this response has remained largely unresolved. In the present study we have isolated CD4(+) CTL which recognize epitopes from HCMV glycoproteins gB and gH in association with two different HLA-DR antigens, DRA1*0101/DRB1*0701 (DR7) and DRA1*0101/DRB1*1101 (DR11). Comparison of amino acid sequences of HICMV isolates revealed that the gB and gH epitope sequences recognized by human CD4(+) T cells were not only conserved in clinical isolates from HCMV but also in CMV isolates from higher primates (chimpanzee, rhesus and baboon). Interestingly, these epitope sequences from chimpanzee, rhesus and baboon CMV are efficiently recognized by human CD4(+) CTL. More importantly, we show that gB-specific T cells from humans can also efficiently lyse pepticle-sensitized Patr-DR7(+) cells from chimpanzees. These findings suggest that conserved gB and gH epitopes should be considered while designing a prophylactic vaccine against HCMV. In addition, they also provide a functional basis for the conservation of MHC class 11 lineages between humans and Old World primates and open the possibility for the use of such primate models in vaccine development against HCMV.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.

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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.

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Despite the Revised International Prognostic Index's (R-IPI) undoubted utility in diffuse large B-cell lymphoma (DLBCL), significant clinical heterogeneity within R-IPI categories persists. Emerging evidence indicates that circulating host immunity is a robust and R-IPI independent prognosticator, most likely reflecting the immune status of the intratumoral microenvironment. We hypothesized that direct quantification of immunity within lymphomatous tissue would better permit stratification within R-IPI categories. We analyzed 122 newly diagnosed consecutive DLBCL patients treated with rituximab, cyclophosphamide, doxorubicin, vincristine, and prednisone (R-CHOP) chemo-immunotherapy. Median follow-up was 4 years. As expected, the R-IPI was a significant predictor of outcome with 5-year overall survival (OS) 87% for very good, 87% for good, and 51% for poor-risk R-IPI scores (P < 0.001). Consistent with previous reports, systemic immunity also predicted outcome (86% OS for high lymphocyte to monocyte ratio [LMR], versus 63% with low LMR, P = 0.01). Multivariate analysis confirmed LMR as independently prognostic. Flow cytometry on fresh diagnostic lymphoma tissue, identified CD4+ T-cell infiltration as the most significant predictor of outcome with ≥23% infiltration dividing the cohort into high and low risk groups with regard to event-free survival (EFS, P = 0.007) and OS (P = 0.003). EFS and OS were independent of the R-IPI and LMR. Importantly, within very good/good R-IPI patients, CD4+ T-cells still distinguished patients with different 5 year OS (high 96% versus low 63%, P = 0.02). These results illustrate the importance of circulating and local intratumoral immunity in DLBCL treated with R-CHOP.

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The effect of salivary gland extract (SGE) from the tick Boophilus microplus was examined in mitogen-stimulated lymphocytes in vitro. SGE was added to lymphocytes of seven cattle together with the mitogens concanavalin A (ConA), phytohaemagglutinin (PHA) and pokeweed mitogen (PWM). Semi-purified B cells from another seven cattle were stimulated with the mitogen lipopolysaccharide (LPS). PHA and ConA stimulated proliferation of lymphocytes to the same extent, but the inhibition due to SGE of Boophilus microplus on the proliferative response stimulated by PHA (39.0% ± 9.3%) was less than the inhibition of proliferative response stimulated by ConA (75.4% ± 6.9%). In contrast, SGE of B. microplus stimulated the proliferation of B cells in the presence of LPS in a dose-dependent manner. Enhanced stimulation of B cells by SGE at >4 μg in culture was greater than twice that observed when B cells were stimulated by LPS alone. SGE does not have a direct suppressive effect on bovine B cell proliferation; however, in vivo the effectiveness of B cell responses might be influenced by other immune factors, such as cytokine profiles.